Archives Menstruelles


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Recherche d'articles par mois
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Old Fashioned
par Charogne - (02/12/2024)
Bigre, la suite du "Moscow Mule" de Charogne . ma foi, l'auteur nous dit qu'il s'agit de la deuxième partie d'une trilogie. tant mieux parce que, hormis une certaine constance stylistique et le timide retour d'un personnage-clé, les liens entre les deux histoires semblent assez ténus. L'ambiance est ici encore plus poisseuse que dans le premier volet, les descriptions horrorifiques encore plus prégnantes et détaillées. L'intrigue, impliquant un flashback un verre d'alcool et des teintes ambrées, nous laisse entrevoir la figure d'un ange vengeur. Ou peut-être pas. Le mystère demeure et c'est ça qu'on aime.
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Canis Canem Edit - premier volet
par Clacker - (05/12/2024)
Bigre, un texte de Clacker ! Du bon, du vif, du qui coule bien comme il faut sous la glotte. Une narration fluide et détaillée, des personnages que l'on veut suivre jusqu'au bout, et une intrigue de polar dont on se demande bien comment que ça va finir, nom d'une trompe. Le pitch ? Je vous le fait sans m'étendre parce que ça se découvre in situ. En gros, des malfrats en accueillent un nouveau au sein de leur bande, c'est le narrateur, plutôt moins méchant que les autres, mais cynique, oh ça oui. Au programme, du deal et des gueules cassées, des saloperies de petites frappes qui veulent se faire plus grosses que le boeuf, des trahisons et des règlements de compte. On en redemande et c'est tant mieux, puisque l'auteur promet au moins une suite, peut-être deux. On a hâte.
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Les cafards ne veulent pas mourir - chapitre 4
par Mill - (07/12/2024)
Comme disait le philosophe érotomane confronté à une orgie tardant à démarrer, "il était temps qu'ils entrent!" En effet, les deux personnages du feuilleton spéléophile de Mill sont enfin à l'intérieur de la grotte. Au programme, des descriptions de souterrains, de trous, de trucs sous terre un peu obscurs mais pas trop, parce que frontales, parce que sinon on n'y verrait goutte, parbleu, et parce que vu qu'on traîne pas mal nos guêtres dans le dedans de la tête de nos olibrius, la lumière on s'en fout un peu. L'angoisse monte, le môme a peur, nous aussi, un peu. En escomptant que le père pète un câble... A suivre.
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Zia
par zia - (14/12/2024)
Une fois n'est pas coutume, l'auteur a rédigé son propre résumé. Tant mieux, j'avais un poil dans la main ce samedi soir, et je n'ose, par ailleurs, me fendre d'un commentaire critique autre que "c'est mignon". A vous de voir, c'est la Zone, on s'exprime, on dit des trucs qu'on regrette et après on se retrouve avec des commentaires désobligeants. Voici le résumé du texte de Zia, qui s'appelle "Zia" et qui parle d'une certaine Zia. Ca sent le triple mise en abîme à caractère égocentrique. "Dans les ruelles sombres et les squats abandonnés, une voix s'élève, brute et incendiaire. Zia Gouri, punk folle, HP, droguée, est une âme en révolte, une conscience enragée qui refuse de se taire. Son regard acéré scrute la ville, un labyrinthe de néons et de béton, où les esprits sont anesthésiés par la télé et les plaisirs faciles. Elle en a marre des adolescents attardés de cinquante ans, des prolos incultes qui ne pensent qu'au foot, au MMA, à Hanouna... Tout ce qui est bête et simple, avec une dose de méchanceté en prime. Zia ne peut plus rester passive. Elle décide d'agir, de frapper fort. Ses vidéos deviennent des cris de révolte, ses tags des appels à la réflexion. Elle dénonce la télé, cette drogue moderne, qui rend les cerveaux dociles. Elle organise des rassemblements, des discussions publiques, des ateliers de sensibilisation. Elle veut confronter les gens à la réalité, à la vérité crue. Mais elle sait que c'est peine perdue. Leur cerveau est vide, leur âme est morte. Ils ne veulent pas entendre, ils ne veulent pas voir. Ils préfèrent se complaire dans leur ignorance, dans leur médiocrité. Alors Zia décide de passer à l'action. Elle sort de son squat, descend dans la rue, bombe de peinture en main. Elle tague les murs, crie sa révolte, hurle sa vérité. Dans ce texte, Zia Gouri nous emmène dans un voyage introspectif et mélancolique, où chaque pensée, chaque action est un cri de révolte contre l'ignorance et la médiocrité. À travers ses yeux, nous voyons un monde en déclin, où les esprits sont anesthésiés et les corps fatigués. Mais Zia ne se résigne pas. Elle continue à se battre, à agir, à espérer. Parce que c'est la seule chose qui lui reste. Parce que c'est la seule chose qui vaut la peine."
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Rupture anticipée
par Gimini Khrouchtchev - (24/12/2024)
Bigre, un artefact ! Un texte-concept, un machin dont l'auteur nous confie qu'il fut rédigé dans un état second il y a trois mois dans la perspective de le publier le jour de Noël - ce qui en dit long sur la folie douce de l'auteur en question. C'est assez obscur au départ, et puis bon, voilà, on se dit "ah ok" alors autant ne pas résumer dans le détail et balancer ça comme un joli texte de Noël.
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La Griffe Noire
par HaiKulysse - (30/12/2024)
Quoi de plus approprié qu'un texte signé HaiKulysse pour passer le solstice d'hiver ? Posté il y a six mois, il était temps qu'on le publie - en même temps, voilà ce qui se passe quand t'es prolifique, hein, les choses traînent ! L'auteur nous précise que ce texte répond à l'appel à Textes de la Forêt. Pour mémoire et selon ses propres termes : "mélangeant les différentes époques fictives et réels, contemporaines et plus anciennes pour donner un récit imaginaire, un lieu fictif et un voyage qui sera suivi d'autres chapitres peut-être." Eh bien ma foi, nous verrons. En attendant, une lecture agréable avec des personnages étranges, une ambiance un brin confuse où Desireless croise les membres d'un groupe anarchiste, des bestioles dangereuses, un palais, etc. Je vous le dis, c'est le bordel, mais un bordel gouleyant.
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Les puissants ont de drôles de hobbys : Chapitre 3 : François et Manu.
par Mala Espina - (31/12/2024)
Allons donc, qu'est-ce que c'est que cette coquecigrue ? Fidèle à son concept de blague carambar aux accents vaguement politiques, Mala Espina se fend d'un troisième opus de sa rubrique centrée sur les passe-temps favoris des puissants de ce monde. Disons-le d'office, c'est une broutille, à peine zonard, presque naïve. Il est bon, parfois, de quitter la réalité pour s'en aller chercher du réconfort dans la fiction, mais là, il manque quelque chose. Du sang, peut-être, des larmes, des éruptions de Capslock, une véritable analyse politico-sociétale ? Sans doute, oui, ou alors devons-nous envisager que Mala Espina est une petite souris qui a ses entrées un peu partout et que les choses se sont déroulées précisément comme ça.