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Recherche d'articles par mois
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Ascension progressive et définitive
par Cuddle - (02/01/2008)
Bon alors, la narrateuse est dépressive. Des fois que ça puisse éventuellement excuser le ton geignard et auto-centré de cette tranche de vie. Et les épanchements sur les thèmes du rejet, de la souffrance et du paradis, goth-style. Que du classique quoi. C'est lisible et pas désagréable, avec de bons passages, mais nos spécialistes zonards de l'éxagération et du grand-guignol ont déjà pondu tellement plus intense que c'est difficile d'apprécier.
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Et si la nature n’était pas communiste, bordel ?
par Lapinchien - (03/01/2008)
Ca fait du bien de lire du Lapinchien de temps en temps. Même un truc aussi anecdotique et peu abouti que celui-ci. C'est profondément idiot tout en étant pas trop con, ce qui est une performance, juste déjanté comme il faut. Mais ça aurait mérité de pousser le délire encore plus loin.
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La journée commence qu'on voudrait déjà qu'elle finisse...
par Quelqu un - (05/01/2008)
Sous ce titre mal gaulé se cache un texte mal gaulé, qui part dans tous les sens à coups de réfléxions rase-mottes sur la décrépitude de la société et l'asservissement du pékin moyen. Le tout sur un ton sautillant avec de la gouaille de supermarché et de la fausse poésie en prose tendance hip-hop. Avec des passages qui frisent le bizarroïde agréable, et d'autre qui se vautrent dans la stupidité. Pas convaincant mais pas dégueu non plus.
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Loving memory
par Arkanya - (06/01/2008)
Oh putain. Arka, quand elle décide de cogner, elle fait pas semblant. Son texte est concis, ne s'embarrasse pas de fioritures mais va à l'essentiel. Et passe sans transition de l'introspection sombre au grand-guignol gore le plus absurde et le plus jouissif, le tout en total premier degré. Torturé, excessif sans être débile. Grand moment.
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Les frigos de Babylone (part1)
par Mano - (09/01/2008)
Dans son premier épisode, Mano a eu tendance à faire dans le lyrisme à outrance, en mettant en scène des marginaux idéalisés et irréalistes, sensibles et utopistes. Ici, si le cadre est identique, le ton est autrement plus dur. Les descriptions de tapette on presque disparu. A la place, du gore, du cul non consenti, de la came, ça claque de partout. Un genre de conte de fées trash, dont la brutalité exacerbée est hélas atténuée par la lenteur de l'action.
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Les frigos de Babylone (part2)
par Mano - (09/01/2008)
Dans son premier épisode, Mano a eu tendance à faire dans le lyrisme à outrance, en mettant en scène des marginaux idéalisés et irréalistes, sensibles et utopistes. Ici, si le cadre est identique, le ton est autrement plus dur. Les descriptions de tapette on presque disparu. A la place, du gore, du cul non consenti, de la came, ça claque de partout. Un genre de conte de fées trash, dont la brutalité exacerbée est hélas atténuée par la lenteur de l'action.
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Je voulais me payer un connard en gros
par Traffic - (11/01/2008)
Les divagations alcoolisées de Traffic sont moins chiantes que celles d'Omega-17, mais pas plus utiles. Ca traine les bars, ça regarde de traviole les divers usagers et ça raconte n'importe quoi. Bref, la même soupe, en version un peu drôle pour Traffic. Sans plus.
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Le compte est bon
par Marquise de Sade - (13/01/2008)
Tiens, c'est bon ça. On dirait on peu un texte de Saint-Con sans crémation, avec des fanatiques des Chiffres et des Lettres comme cibles. Rythmé, jouissif, cynique : une petite merveille. Bon, ça dépasse pas le stade du texte-défouloir, le truc qu'on lit pour se détendre, mais merde, on est là pourquoi sinon pour ça ?
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Synchronicité de comptoir
par Mill - (15/01/2008)
C'est quoi ce style de merde encore ? Depuis quand on raconte les origines de la troisième guerre mondiale en mode 'brèves de comptoir' maintenant ? Si Mill espère que son texte soit meilleur ou plus frappant en le faisant baver par un poivrot qui nous zappe tous les détails, c'est foiré. C'est con, parce que sans ça, y avait de quoi faire un texte marrant, grâce aux faits divers sordides ou sanglants qui s'enchainent en catastrophes.
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Anniversaire (MF mix)
par MantaalF4ct0re - (16/01/2008)
Mentalcastor réussit une bonne parodie d'un texte pourri. Avec un certain second degré appréciable : rien à battre de l'intrigue du moment qu'elle apporte son lot de scènes porno ou sanglantes. Tout est cliché, les héroïnes sont des bonnasses lesbiennes, nymphomanes et décervelées et on s'en fout complètement. Y a du sexe non-consenti, du cynisme, de la petite salope éclatée sur le bitume, on allait pas demander que ça soit intelligent en plus.
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Litanies (lyric zit-masturbating mix)
par Glaüx-le-Chouette, 222 - (19/01/2008)
Etonnant mélange de style entre le Glaüx maniéré et surlittéraire, amateur de sonnets punkoïdes, et la 222 teigneuse et semi-autiste. S'ensuit une sorte de comptine glauque, confuse et étrange, chantonnée par une âme en perdition qui se parle à elle-même. Sensation de malaise et d'incompréhension. C'est de la poésie en prose complètement absconse, dur d'adhérer totalement, mais on se prend du dégout, de la souffrance et de la confusion plein la face.
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Recette : tourte magique
par B52 - (21/01/2008)
Que dire... 'Ta gueule pute' est une option pertinente pour saluer ce chef d'oeuvre inutile de B52. Dans sa recette, elle mélange un peu tout et n'importe quoi, du plus saugrenu au plus dégueulasse. Certes. Alors on espère une chute, mais non. On se satisfera éventuellement du ton sautillant qui souligne joyeusement la stupidité du propos.
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Anecdote : des fusils et des blattes
par EvG - (23/01/2008)
C'est pas de l'anecdote ordinaire ça, ma bonne dame, puisque ça se passe en temps de guerre. Trois gamins désoeuvrés qui tombent sur un stock d'armes à feu et s'en servent. EvG s'en sort vraiment bien, nous chie un truc pas prise de tête, assez déjanté sans tomber dans les excès d'hémoglobine habituels sur la Zone. Ca a du bon parfois, la retenue. J'aurais jamais cru écrire ça un jour. Enculés.
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Inconscience
par Mentaltrash - (28/01/2008)
Mentaltrash nous a posté tout son blog rempli de récriminations contre sa meuf. J'ai tout foutu sur le forum parce qu'au-delà du mot 'pute' répété en boucle, c'était très plaintif et pas très zonard. Cet extrait a le mérite d'être un poil plus violent, mais on y comprend quand même pas grand-chose, c'est très mal écrit, stupide, et ça ne dilue que peu l'idée générale qui reste de ces extraits : MT est un faible qui ne sait que geindre sans talent.
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Métro
par Kwizera, Aesahaettr - (30/01/2008)
Alors comme ça on veut faire dans l'artistique, tas de pédales ? De l'écriture fignolée, tarabiscotée au point d'en devenir lourde. Une ambiance vaporeuse, vaguement mélancolique. Une intrigue diffuse à géométrie variable. J'invoquerai la subjectivité pour annoncer que je déteste parce que c'est un truc d'ambiance où il se passe à peu près rien, tout en recommandant la lecture à tout amateur de beaux objets bien travaillés.