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Recherche d'articles par mois
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Rien à faire
par Ta Chatte - (01/09/2009)
Il n'est pas impossible que ce texte ait été savamment dosé et ciselé dans le but de le rendre vraiment lamentable. Mais comme je suis un humaniste, je vais partir du principe qu'il n'en est rien et que son auteur est juste un gros con. Cette Oeuvre fascinante est criblé de fautes cataclysmiques et aspergé d'humour de yorkshire. Ca sent l'incapacité mentale, l'acné explosif, le fan de tuning puceau qui joue avec son caca, entouré de ses trois potes mongoliens. L'absence de propos (et de cerveau) est palpable. Magistral.
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I, Pod
par Narak - (01/09/2009)
Prenez un livre. Arrachez ses pages et bousillez les à coups de trouilloteuse. D'une main ferme, saisissez un rouleau de scotch. Déroulez entre quinze et vingt mètres de scotch en essayant d'en sortir vivant. Placez le dans un shaker avec les confettis de pages. Mélangez bien. Il ne vous reste plus qu'à isoler un passage et le copier-coller sur la Zone, saupoudré d'une pincée de réflexions hors-de-propos. Attention : cette recette fonctionne mieux lorsque le cuisiner est camé jusqu'aux yeux.
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Merci la police
par Assogba - (03/09/2009)
Magnifique. Du pseudo-slam contre cette société de merde t'as vu, bourré de clichés débiles et de phrases qui perdent leur sens en cours de route. Une belle bouse revendicative à mi-chemin entre l'adolescence Skyrock et la niaiserie simili-gauchiste (qui reprend des slogans Adidas quand même). Rimes en bois, ponctuation en option, slogans haineux teletubbiesques, références footballistiques : tout y est. C'est un champion. Va falloir prévoir un test anti-dopage si ça continue.
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Les mystères du Rosaire (chapelet)
par MantaalF4ct0re - (03/09/2009)
On sent bien que l'auteur a hésité, tout au long de la conception de ce texte, entre écrire un texte amusant sans plus, et chier un texte franchement merdique. Le résultat s'en ressent. Il s'agit d'une parodie du rosaire chrétien, invitant les fidèles à méditer sur une liste de msytères. Ici, presque logiquement, les msytères sont remplacés par des histoires de bite. Evidemment, c'est naze et ennuyeux. Mais pas suffisemment pour retenir l'attention.
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Poulpe fiction
par Das - (04/09/2009)
Je serai probablement le seul à avoir lu ce truc, sans utilisation d'alcool, de produits dopants ou de suicide du moins. Voilà un texte qui respecte le contrat du Texte de Merde jusqu'aux virgules, au point que j'en ai très envie de rencontrer l'auteur qui a dû passer des heures à rédiger cette bouse en y incluant toute la pourriture dont il était capable, sachant bien qu'il allait le payer très cher et que plusieurs mois durant il ne saurait plus écrire QUE comme ça ; histoire de lui péter la face pour les dommages collatéraux dans ma gueule interne à ma tête esthétique. J'ai mal. Candidat sévère pour le concours.
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Mort heureuse
par Korneumuz - (05/09/2009)
La semaine 'textes de merde' nous permet d'explorer en profondeur le cul de la littérature, d'en sonder les pires aspects. Nos auteurs ont fait preuve d'une imagination sans failles quand il s'agissait de torcher les textes les plus insupportablement cons. Il arrive pourtant, après de longues années à encaisser ces déchets tous plus radioactifs les uns que les autres, qu'on soit encore frappé par un texte désarmant de naïveté, à la recette simple et éprouvée : style d'enfant de six ans, mitraille de fautes grotesques, confusion mentale, lamentations de Caliméro trisomique. C'est aymouvan.
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Médiocrité d'une destinée
par Héréma - (07/09/2009)
Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla, mais ferme ta gueule.
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Goobuzz.de
par Saintshaka - (07/09/2009)
A chaque occurrence de la semaine 'textes de merde', quelques artistes du vide se pointent pour nous montrer leur dernière créations neurotoxiques. C'est le cas pour ce texte, un modèle du genre. C'est visiblement une mosaïque de spams passés en vrac aux traducteurs automatiques. Résultat : un genre de magma publicitaire ultime, quasi-warholien, qui donne l'impression que l'auteur a bouffé mille heures d'affilée de zapping télé sur les chaines du câble avant de péter un boulon et de tout regerber n'importe comment.
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La folle escapade
par Le Duc - (08/09/2009)
On est en droit de se demander ce qu'espère Le Duc avec ce texte. Pour un texte de merde, il est plutôt comestible. Certes, c'est pas drôle, un peu ennuyeux et ça mène nulle part, mais on est bien loin du niveau ducal à l'ancienne. Pas beaucoup de fautes, utilisation quasi-appropriée du vocabulaire, et une simili-intrigue qui tient plus ou moins. Un petit effort pour merdifier artificiellement ton texte, ça serait trop demander, connard de merde ? Le Duc est mort, vive personne.
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Morgane de ta chatte
par Poutre - (09/09/2009)
Comme dit Glaüx, on a là affaire à du faux pr0n de qualité roumaine, auquel ne manque que la musique Bontempi bien stylée 80s. Bon ça pue tellement la parodie que c'est pas près de faire un bon score pour la semaine spéciale 'textes de merde', mais c'est pas grave. Je me suis marré tout du long. Tous les clichés les plus ressassés sont là (avec une Kangoo en bonus DVD), dans une avalanche de métaphores improbables et quelques absurdités réjouissantes. Et ça devient même pas lourdingue. Drôle.
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Les crottinettes de combat
par Omega-17 - (10/09/2009)
Omega a choisi de comprendre l'expression 'texte de merde' en tant que dissertation sur l'élément merde, plutôt que comme texte pourri (le sens largement admis dans ce concours de textes de merde). Du coup son texte, bien qu'éminemment ennuyeux, est un article parodique et plutôt amusant au sujet d'un festival excrementiel. C'est pas très homologable tout ça, même si on se tape une vraie overdose de bouse.
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Pulsion
par Reteex - (13/09/2009)
Voilà un concurrent super sérieux pour le concours de textes de merde, malgré ses deux semaines de retard. Stupidité éblouissante, écriture de pangolin liquéfié, histoire de merde d'un psycho-killer qui va acheter sa baguette de pain... Les armes déployées contre le lecteur sont nombreuses. Et en plus c'est complètement chiant ! C'est le Silence des Agneaux contre la Septième Compagnie, Winny l'ourson névropathe, le Necronomicon belge. On s'en prend plein la face à tous les étages, c'est un vrai bonheur.
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Une leçon de logique
par Nicko - (18/09/2009)
Un polar campagnard classique, sur fond d'assassinat et d'adultère. Genre le Poulpe accouplé à Marcel Campagnol. J'ai rien contre Montigny-le-Platane et ses bouseux, mais là c'est vraiment mou quand même. C'est bien écrit et bien construit, c'est pas le problème, c'est juste que les péripéties sont trop diluées, et que c'est jamais ultraviolent, outrancier ou débile (tout ce qu'on aime). La baston est terne, le suspense éventé, les conflits sans grand intérêt. On finit par survoler et plus tout comprendre. AH C4EST MALIN HEIN §
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Moi, le pervers
par Krome - (19/09/2009)
Ce texte a échappé à la semaine 'textes de merde' parce que face aux mastodontes du genre, il apparait plutôt véniel. Reste qu'il a un certain charme, avec son lexique en roue libre et sa naïveté d'ado qui tente de rendre convainquant son personnage de gros dur manipulateur et cynique, en vain. Encore un texte qui surfe sur le thème usé de la destruction de l'innocence, celui-ci a le mérite et le défaut d'être anodin.
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Dérouillé
par Glop-glop - (22/09/2009)
Glop-Glop est dans son cycle 'Meetic' apparemment. Ici, on a affaire à un vieux couple blasé, niveau gaudriole, qui recrute une jeune pouf pour les accompagner au lit. Ca sent le coup foireux à plein nez, évidemment. Ca s'annonce bien, tout se met parfaitement en place, on en rigole d'avance. Sauf que, bizarrement, une fois l'action lancée, ça ne dure que deux lignes et paf, the end. Frustrant. Comme si la bonnasse du coin te faisait un strip-tease d'enfer puis se tournait pour faire des mots croisés. Glop est précoce.
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Pamphlet
par Ash - (23/09/2009)
Oh super, un roquet qui jappe contre l'humanité. Celui-là, on lui donne quinze ans environ, si ce n'est qu'il nous épargne les balourdises orthographiques habituelles. Bon donc, c'est teigneux et inutile. Là où on note la supériorité de l'auteur sur les autres crétins de son espèce, c'est qu'il se rend compte en cours de route de l'ampleur de la tâche et de la profonde absurdité de son propos, et décide de saborder son texte en vol. Moi, je trouve ça plutôt mature. C'est bien, dans deux trois ans il aura la même prise de conscience avant même d'écrire et fera pas chier l'internet avec sa prose de demeuré.
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Fête du slip
par F. - (25/09/2009)
Je suis pas sur de tout bien capter. Est-ce que ce texte, avec ses danseurs qui pataugent et baisent dans le pus et la merde, relève du fantasme, de la fable, de l'absurde le plus complet ? Je suis pas bien sûr. Peut-être qu'on s'en fout, peut-être que la vision est amusante. Peut-être que c'est l'équivalent du sarariman excédé qui descend ses collègues et son boss au shotgun. En attendant il manque un truc. Et puis c'est trop poli, tout ça, trop nuancé. On ressent autant de dégoût et de rage rentrée que dans un tutorial de tricot en apnée (je cède cette métaphore au plus offrant).
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La relative tranquillité du bucheron
par Trompette - (27/09/2009)
Bizarre pseudo, bizarre titre, bizarre texte. On est bien barrés, tiens. Un héros bûcheron, avec une psychologie de Winnie l'ourson sous meth, incapable de fixer sa pensée plus de trois secondes. C'est absurde sans être drôle, la confusion mentale est palpable, et ces caractéristiques qui définiraient la bouse du siècle, font de ce texte un OVNI qu'on apprécie pour son étrangeté. Je suis pas sur que ça raconte vraiment quelque chose, mais je crois qu'on s'en fout, c'est bien.
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La contradiction entre une société du paraitre et la logique inexorable du poil
par Le roi de la grimace - (30/09/2009)
Une tragédie grecque intense et prenante à base de poils, c'est un truc qui manquait encore, tiens. En plus d'être original, ce texte atteint un très haut degré d'imbecillité. De la rebellion, de la violence, de l'auto-mutilation, des questions existentielles. Et des poils, donc. Je salue l'abnégation de l'auteur. Je lui conseillerais bien d'aller rouler des pelles à des tyrannosaures, ça semble de même niveau dans l'absurde.