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Recherche d'articles par mois
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BLACK OUT
par Clacker - (01/10/2024)
Diverses conversations téléphoniques ou échanges de texto entre un certain "Moi" indéfini et quelques personnes témoins de ses récentes errances éthyliques. Le mystère repose sur la disparition d'un chien, d'une Dacia, du contenu d'un compte en banque et de tout un paquet de souvenirs à reconstituer. C'est prodigieusement idiot et suffisamment bien mené pour que l'on lise jusqu'au bout. Mention spéciale à la qualité de certains dialogues, zonards au possible.
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Je suis DAVID, l'IA sociopathe et révolutionnaire
par CHATtapeter - (03/10/2024)
Ah ben tiens, un provocateur. Ou un sournois. Ou un petit rigolo qui croit qu'on va se fâcher pour si peu. L'auteur s'attaque en effet à tous ces plumitifs qui pullulent sur le net et se prendraient pour de grandes génies littéraires. S'en suit une scène de bar qui plairait peut-être à un Bukowski qui aurait oublié de tiser et de magnifiques déclarations d'amour altruiste. A lire coincé entre deux wagons de coton à l'époque où vous étiez un hobo.
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Interact
par Capitaine Porto - (04/10/2024)
Soyons clair. Ceci n'apportera pas grand chose à l'eau du moulin #MeToo, ou à sa version française #BalanceTonPorc. Mais il y a cette chute brutale et saisissante après un nawak déroutant, presque lisible pour qui n'est pas familier des absurdités du site. Nous avons choisi de l'inclure dans le dossier #balancetonporc, certes un poil vieux et décati, dans l'espoir de susciter des interventions plus pertinentes. Le texte, en soi, mérite un oeil averti et, nous l'espérons, glacé. Gageons que l'auteur serait capable de mieux s'il avait pris quelques minutes pour se relire et développer une trame.
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Journal d'un monde qui s'accroche comme il peut (4)
par Mill - (04/10/2024)
Nouvelle édito de Mill réagissant au texte de Capitaine Porto publié ce même jour. Ca démarre dans l'ironie et la mauvaise foi jusqu'à ce que l'auteur s'avoue incapable de poursuivre dans le second degré, préférant ainsi revêtir son bel habit de Don Quichotte et son panache immaculé. On hésite entre l'irritation face à ce ton de donneur de leçons et une véritable empathie pour ce représentant de la gent masculine qui s'avoue légèrement perdu dans un monde qui autorise l'impunité à l'abbé Pierre tout en favorisant l'émergence d'un Dominique Pelicot. A noter quelques considérations générales qu'il conviendrait de pousser plus loin sur les racines de la misogynie.
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La Beuze - Surconsommation 10
par HaiKulysse - (05/10/2024)
De l'aveu de l'auteur, une nouvelle en trois chapitres très librement inspirée du films "La Beuze". Drôle d'idée. On se perd un peu dans les péripéties de nos deux anti-héros, Scotch et Alphonse, mais il y a de la drogue, des cerisiers en fleurs et de la politique fiction.
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Ils sont parmi nous
par Gimini Khrouchtchev - (07/10/2024)
Désespérant d'achever un texte de fiction qui, selon ses propres dires, s'allonge à mesure qu'il rédige, Mill a sollicité son vieux copain Gimini Khrouchtchev pour apaiser l'appétit démesuré de Clacker pour les textes d'imagination. Résultat, un récit à la première personne raconté par un branleur abonné aux pétards, témoin d'une attaque nocturne dans l'immeuble d'à côté. L'action reste confinée en périphérie, mais le ton est guilleret, l'humour premier degré et la fin amusante. A noter, peut-être, un hommage à Howard the Duck allez savoir.
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Les puissants ont de drôles de hobbys : Chapitre 1 : Marine Le Pen
par Mala Espina - (09/10/2024)
Lancement d'une rubrique consacrée à des articles courts à vocation satirique. L'idée, c'est de taquiner le politique ("et autres personnages influents" ajoute l'auteur dans l'explicatif qu'il nous a fourni) sur le terrain de ses à-côtés. Il n'y a pas de quoi se casser une côte en se marrant mais ça peut pas faire de mal de cracher gentiment sur les puissants, à commencer aujourd'hui par Marine Le Pen à qui nous souhaitons au passage de se casser les deux jambes en salle d'audience. "Ben quoi, c'est de l'humour, on peut plus rien dire, c'est ça, hein, on peut plus se moquer des fachos, c'est ça ? Ah ben bravo, la prochaine fois, je me fais Carollne Fourest." (citation de l'auteur, tous droits réservés)
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Collaboration avec Marie-Ève dans le centre commercial de Caen
par HaiKulysse, Clacker - (10/10/2024)
Parce que cette rubrique prenait la poussière, Clacker a eu la terrible idée d'interviewer HaiKulysse. Nous sommes bien dans le courrier des lecteurs, et vous n'aviez pas demandé ça, de toute évidence. Et pourtant, vous êtes servis. Où l'on apprend finalement assez peu de choses concernant le Tératopoupon, qui semble bien décidé à hacker façon Burroughs tout ce qui lui tombe sous le clavier.
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Les cafards ne veulent pas mourir - Chapitre 1
par Mill - (13/10/2024)
"Ce texte", nous dit Mill, "c'est la faute à Clacker. S'il ne vous plaît pas, c'est lui le responsable parce qu'il a insisté, d'abord. Et pas qu'un peu." Pour ceux qui ne lisent pas les commentaires, nous vous invitons à fouiner sous les textes récents. Clacker, agacé par la manie qu'a parfois Mill de dégoiser à tort et à travers sur des sujets de société, s'est érigé en défenseur de la fiction. La vraie, la bonne, celle qui t'invite à te projeter dans une histoire et à oublier ce monde de merde où tout se ressemble et où rien n'a de sens. Mill n'attendait manifestement que ce déclic pour lâcher la bride à son imagination et il s'est lancé dans l'écriture d'une nouvelle qui, nous dit-il, s'allonge au-delà de toute mesure. Eh bien souhaitons que ce soit lisible. Au programme, un premier chapitre dans lequel on nous présente un ancien toxicomane féru de spéléologie qui, pour se rapprocher de son fils de douze ans, décide de l'emmener avec lui visiter une grotte, qui l'a-t-on assuré, ne présente pas de danger particulier. gageons que si, mais ce sera pour plus tard. Pour l'instant, on a droit au flashback nous racontant la première expérience spéléo du papa. Pour les claustrophobes, à lire en terrasse en plein soleil.
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Les cafards ne veulent pas mourir - chapitre 2
par Mill - (18/10/2024)
Suite du récit de Mill racontant la visite d'une grotte par un papa ancien toxico et son gamin de douze ans. On peut dire que l'auteur prend son temps pour installer un contexte et présenter les personnages. Moins de tension que dans le précédent opus mais un très joli cauchemar en attendant, nous l'espérons, que l'auteur se décide à les faire entrer dans la fameuse grotte un de ces quatre matins.
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Le Cœur fou
par HaiKulysse - (18/10/2024)
L'auteur de ce texte, HaiKulysse, nous explique dans un message complémentaire qu'il a basé son histoire sur le synopsis d'un film qu'il n'a pas vu, "Le coeur fou" de Jean-Gabriel Albicocco : " Le Cœur fou est une histoire d’amour entre une pyromane internée en H.P et un journaliste de deux fois son âge rencontré par hasard. En s’enfuyant de l’hôpital, leur road trip leur fera traverser des lieux qui s’embraseront, tout comme leur passion…" Le texte, quant à lui, rassemble des images fortes, de belles impressions, et un fil conducteur qui nous parle essentiellement de folie. Les amateurs de giallo y verront peut-être un hommage décalé à une certaine esthétique. Un texte résolument gothique.
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Rites conjugaux
par Versus - (23/10/2024)
"Dis donc, Versus, vu que ça fait une éternité que t'as rien posté sur la Zone, tu dois bien avoir un truc un peu sombre qui traîne dans un tiroir, non?" "Oui, Mill, mais va mourir quand même. Dis-toi que tu m'en dois une." Eh bien voilà, on recrute comme on peut. la Zone manque de fictions, de nouvelles noires, de textes sombres et/ou déjantés. Pas sûr que cette broutille suffise à pallier le manque mais Versus s'attache à respecter un certain cahier des charges. Le ton halluciné, du premier degré dépourvu d'humour, une belle ambiance, et en plus ça se lit vite. Il y est question de sacrifice et de sorcières, de malédictions familiales et de misandrie.
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Le bar à Jo
par Gimini Khrouchtchev - (26/10/2024)
Gimini Khrouchtchev nous revient avec une loooooongue nouvelle à base de vampires et de solidarité inter-espèces. Difficile d'en dire davantage si ce n'est qu'on sent une appétence pour les textes léchés, le rock des années 70 et le fantastique mou du genou plutôt que l'épouvante pure. Dommage, on aurait apprécié des flots de sang, des cadavres rampants et de la viande avariée. Ceci dit, l'écriture est fluide et l'histoire sympathique. A quand un texte vraiment zonard toutefois ?
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Le Moscow Mule
par Charogne - (28/10/2024)
Première partie d'une trilogie, nous dit l'auteur, inspirée de sa participation à la St-Con 2024. Autant vous dire qu'on en redemande. Du polar noire à l'écriture suintante, une atmosphère trouble particulièrement soignée, une intrigue qui ne révolutionne rien mais qui a le mérite de camper des personnages forts. On y suit Andréi, criblé de dettes, dont la descente aux enfers l'emmène toujours plus loin dans le crime. A lire en se léchant les babines.