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Recherche d'articles par mois
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Le plat qui se mange froid
par Affliction - (01/06/2009)
Bon ça c'est pas un vrai auteur, c'est juste une personne qui a un truc à cracher, un malaise à exprimer, comme ça täk täk, pour s'en purger. Catharsis, haine explosive, pulsions de vengeance, tout ça. On appelait ça 'humeur noire', sur la Zone ancienne époque. Forcément, quand au lieu d'un zonard, c'est un genre de pétasse gothique qui expose ses peines de coeur, on peut franchement se mettre à rigoler. Très fort. 'Oh mon Dieu, Kévin m'a trompé avec Cynthia, je vais faire un pacte avec Satan et lui péter les dents à coups de Tampax'. Salope de femelle.
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Les tout petits bourgeois de Calais
par Glop-glop - (04/06/2009)
L'histoire de la déchéance fatale d'une famille de prolos lambdas, avec un style de prolo lambda. De ce que j'en sais, ça s'inspire directement d'un faits divers réel, mais c'est à peu près tout ce qu'il y a à remarquer. Une histoire de suicide collectif familial, ça pourrait jouer la corde du désespoir. Ou à défaut, être drôle. C'est ni l'un ni l'autre : c'est juste vide. Dommage parce que ça se lit rudement bien (pour du vide) et on s'ennuie pas, y a même une chute drôle. Tant pis.
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Les cigarettes
par Kwizera, Nico - (07/06/2009)
Dans ce texte, Kwiz et Nico ressassent l'éternelle détresse du soldat livré à lui-même, sans ordres et sans soutien dans un environnement hostile. Après une introduction incompréhensible, une poignée de scènes traitent sans maestria particulière de l'absurdité de la guerre et des réactions de l'homo sapiens placé en situation extrême. Rien qui vienne nous enlever l'idée que tout ceci a déjà été raconté mille fois, de Céline à Oliver Stone, et que là, ça gave.
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Zebulon subversif
par Gros Biniou - (13/06/2009)
Les insultes, c'est à double tranchant, même dans les textes ouvertement débiles. A petites doses, c'est valable, sinon, c'est l'indigestion. Ici, c'est le cas, et on a l'impression que M. Biniou bégaie du 'pute' et du 'ta gueule' tout du long. Ca doit faire partie du concept. Y a comme un genre d'élégance embryonnaire dans le grattage de couilles matinal et la caricature imbécile, mais sinon ça vaut que dalle.
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Serial Edit annexe : « Mais délivre-nous du Mal »
par Winteria - (16/06/2009)
Ce texte ne se place pas dans la continuité des autres serial-edit, puisqu'il s'inspire d'un nouveau texte de référence, à savoir l'histoire de Don Quichotte contre les moulins. Il faut lire les deux textes en parallèle pour reconnaître la filiation, puisque la version Winterienne remplace le chevalier crétin par un prêtre avec une tendance inquisitoriale non négligeable, et les moulins par des soldats malades, soupçonnés de possession. Texte purulent et glauque, avec style grandiloquent et moyenâgeux de rigueur.
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Spiritus azerty
par Protozwere - (19/06/2009)
Oh cool, un texte mal encodé, avec des � à la place de tous les caractères accentués. C'est une sorte d'épreuve d'endurance. Moi j'ai tenu une dizaine de lignes, avant de conclure que l'intérêt du texte était probablement inférieur à la fatigue qu'il me procurait. Ce qui est cool, c'est que les parties en caps-lock sont (forcément) épargnées, et qu'en survolant, c'est tout ce qu'on retiendra du texte. Et dire que si j'avais fait un effort pour corriger, on aurait affaire à un vrai texte... Mais si l'auteur ne prend pas cette peine, pourquoi le ferais-je ?
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Zipéthrope-man
par Bouquin - (22/06/2009)
Putain, j'avais jamais vu une aussi magnifique synergie entre la débilité d'un texte et la débilité de son auteur. C'est un sorte de vortex spatio-trisomique, un trou noir qui aspire toute forme d'intelligence à des kilomètres à la ronde. Fascinant et effrayant à la fois.
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Überweib
par Das - (24/06/2009)
Das s'aventure dans un domaîne normalement réservé à Dourak : la ballade. Et il le fait plutôt bien, sur un sujet assez habituel : la haine des femmes. Les principaux écueils sont évités : le propos est clair, c'est pas prétentieux et pas trop cliché (malgré une certaine insistance sur le registre du glaireux purulent). Bon, pour attaquer la gent féminine, j'aurais personnellement choisi une pelle, plutôt qu'un poème.
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Acid-man
par Josh - (28/06/2009)
Comme le précise l'auteur lui-même, c'est très long pour un texte qui raconte rien, mais pourtant ça mérite. Le narrateur, complètement bourré puis défondé au LSD, accompagne son frère à une convention de comics aux Etats-Unis. Personnages hauts en couleurs décrits à grands jets de bile, cosplay aux lardons et péripéties improbables. Franchement marrant, parfois jouissif genre saint-connesque, et en plus c'est pas mal écrit, même si sur ce genre de textes on s'en fout un peu.