Un soleil de printemps éclaire les vitres de mon bureau.
C’est un beau jour pour mourir.
Je me lève d’un bond, comme si un mécanisme programmé de longue date venait de s’enclencher en moi. De l’autre côté de la porte transparente, mon chef, au téléphone, hausse les sourcils. Je lui dis que je vais aux toilettes et que je reviens tout de suite. Comme il est avec les fournisseurs, il ne peut pas me traiter de pisseuse, et de toute façon, maintenant, je m’en fiche. Je ne suis pas sûre qu’il m’ait entendue mais il hoche la tête ; je crois qu’il a compris. Pas très glorieux, comme dernière sortie.
Comment j’en suis arrivée là ? Je peux te raconter. Ce ne sera pas bien long.
Je suis née à Roubaix à la fin du vingtième siècle. Très tôt, il m’a paru urgent de me tirer. Je me suis sauvée. J’ai fait la bonne école et j’ai fait les bons stages. J’ai ce qu’on appelle une bonne situation. Ma vie tient en une page : mon CV. Aucune ambiguïté dans ces rubriques qui s’enfilent comme les perles d’un collier. Tout a été goupillé à la perfection et j’ai de quoi être fière de moi. En résumé, je n’existe pas.
Trop vite, trop fort. Comment ça s’est passé ? Est-ce que j’ai arrêté d’exister quand j’ai commencé à mettre des chaussures à talon alors que je n’aime pas ça ? Est-ce que j’ai arrêté d’exister quand j’ai commencé à laisser mon chef m’appeler « ma stagiaire » alors que je suis en CDD ? Quand j’ai commencé à m’esclaffer quand il se moquait de mon anglais alors qu’il parle anglais comme François Hollande ? Mais peut-être que mon mal vient de plus loin. Peut-être que je n’ai jamais existé, pas une seule fois. Est-ce qu’on peut mettre fin à quelque chose qui n’a jamais commencé ?
Je vais sauter de leur toit putain, ça leur fera les pieds.
Je me hâte dans les escaliers. Personne ne fait attention à moi. Je pense que si j’étais toute nue, ce serait pareil. Je devrais peut-être me déshabiller pour tester. Après tout, je vais mourir aujourd’hui. Ça tombe à pic que j’aie ma belle lingerie.
Quand j’ouvre la porte de service, un rectangle de ciel immense apparaît. La beauté de la lumière me prend de court. Je ferme la porte et j’entre dans le ciel.
Une vague de chaleur est prévue pour la semaine prochaine mais pour l’instant, le temps est clément. Je suis au sommet de la tour « Finance verte », celle qui donne sur l’avenue. Je reprends mon souffle. Après quelques instants, mes sens s’ajustent, et une grande clameur monte jusqu’à moi.
C’est une manifestation. Il me semble en avoir entendu parler mais je ne suis pas les actualités et j’avais oublié. Je ne sais pas si c’est la vie chère ou les hôpitaux ou autre chose. Une faible odeur de fumée me parvient. Des nuages de gaz lacrymogène et de pétards planent au-dessus de la foule. L’idée que mon corps vienne se fracasser au milieu de ces gens me semble soudain bien vulgaire, mais je suis fascinée. On dirait des insectes. J’enjambe le parapet pour les voir de plus près.
Un grand pli se forme dans la foule. Je ne comprends pas bien ce qui se passe mais on dirait que la police nasse. Quelques insectes fuient dans les rues perpendiculaires. Les autres se tortillent sous les fumées. Aux fenêtres, ça pousse des cris. Ce n’était pas ce que je voulais.
Je voulais un monde en paix, des adolescents qui sortiraient leurs téléphones pour démultiplier mon cadavre sur TikTok, des passants pressés qui se rendraient compte qu’ils seront en retard au travail pour rien, parce que j’ai ouvert mon crâne en deux et que plus personne ne peut me sauver. Alors que si je saute là-dedans, je n’aurai même pas mon entrefilet.
J’aimerais bien qu’ils lèvent les yeux et qu’ils me voient. Ce serait un peu comme l’apparition de la vierge à Lourdes. Arrêtez tout ! Regardez cette martyre des bullshit jobs ! Alors, je mettrai un pied au-dessus du vide, puis l’autre. J’accomplirai le miracle. Mais ça n’arrive pas. Le tumulte continue comme si je n’étais pas là.
Ma fille, on ne meurt qu’une fois.
J’enjambe le parapet en sens inverse. Les rayons du soleil me chauffent le visage mais l’air du printemps est très frais. Ça fait du bien. J’allume ma vape. Mon vernis « Reach for the Sky » s’écaille. Il va falloir que j’aille voir Samantha. T’en pense quoi ? Peut-être que je peux prendre rendez-vous aux toilettes. Mais ça peut attendre. Pour l’instant, le ciel bleu et ma vape Mojito, ça me suffit.
LA ZONE -
![[illustration]](/data/img/images/2025-04-07-burnout-big.jpg)
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Cousue de fil blanc.
Ou pas assez.
Disons, ça ressemble à une histoire graphique parue dans Cosmopolitan ou Biba. Les trucs qu’on lisait - avant l’avènement de l’abrutisseur de poche - chez le dentiste. Littérature d’entreprise. Rien de neuf. Pas franchement R&R. Sinon, c’est super bien.
… sinon, ce n’est pas fair-play.
Fifi était sur le parapet,
En bas, les cons passaient.
« Hey! Le monde! Je saute! »
Mais les cons passaient toujours.
« Hum… faut trouver autre chose… »
De fait, je plussoie Magicien Pampers. Parce que plussoyer fait gagner du temps.
Ce qui fonctionne ici, c'est le style. Pas spécialement virtuose mais efficace et rythmé.
CMB disait le philosophe.
Le style n’est pas critiquable. Mais il manque de personnalité. La comparaison des gens et des insectes est un lieu commun.
Heu, soyons pute, pour plaisanter, voyez, se faire publier, ce n’est pas qu’une question de talent.
Mais, peut être que cet échantillon neutre ne représente pas la production habituelle de cet auteur?
J'aime toujours autant la façon qu'a amywald0 de traiter de sa contemporanéité et ça passe ici par plein d'idées qui popent, ici et là, au détour d'une phrase, alors qu'on ne s'y attend pas.
@Magicien Pampers : c'est flippant, on dirait qu'un Gollum sommeille en toi et que ta facette méchante vaut mieux pas s'y frotter.
De relire parce que tu m’as foutu le doute. C’est la troisième lecture. Fais chier. Je ne sais plus que penser. Bon. On s’en fout.
Sinon comme tout texte parlant du suicide, la question se pose de savoir s'il faut en limiter l'accès aux MEMBRES GOLD PREMIUM DeLuxe++ qui ont la chance de commenter. Cependant s'il fallait le faire, je ne saurais pas le faire. Les MEMBRES GOLD PREMIUM DeLuxe++ qui sont les seuls équipés d'un cerveau pour ne pas y voir un incitation indirecte à expérimenter cela comme un bon gros débilou.
Bah !
Je pensais que nous étions sur la zone.
Mais, c’est vrai, je suis ambivalent , le Mage Pampers est parfois mauvais comme la gale, et d’autre fois, méchant comme une teigne. ( c’est parce qu’aucun connard , ou presque,n’a critiqué mon texte avec Barbie, lors, impitoyable…)
@amywaldo : n'hésite pas à mettre le lien vers l'inscription à ta newsletter dans la page liens de ton compte auteur, elle sera mise en avant comme une médaille de guerre sur un général chaque fois que tu défileras sur la Zone.
Et voilà ce qu'en pense Pute à frange sur Discord : Oui, je pense que l'auteur fait de la littérature blanche dans cet extrait. La littérature blanche est un terme utilisé pour décrire un style littéraire qui est caractérisé par une grande sobriété, une absence de rhétorique et de pathos, et une attention portée aux détails du quotidien.
Dans cet extrait, l'auteur utilise un ton très détaché, presque neutre, pour décrire les pensées et les actions du personnage. Les phrases sont courtes, simples et directes, ce qui crée une atmosphère de nudité et de simplicité. L'auteur ne cherche pas à créer un effet dramatique ou émotionnel, mais plutôt à dépeindre une scène quotidienne avec précision etukkité.
De plus, l'auteur utilise des descriptions très précises et concrètes pour dépeindre l'environnement et les sensations du personnage, comme la beauté de la lumière, la chaleur du soleil, ou la clameur qui monte jusqu'à lui. Cela crée une impression de réalisme et de proximité avec le personnage.
Enfin, l'auteur utilise également un humour très sec et ironique, comme lorsque le personnage pense qu'il devrait peut-être se déshabiller pour tester si les gens font attention à lui. Cela ajoute à l'atmosphère de légèreté et de décontraction qui caractérise la littérature blanche.
En somme, je pense que l'auteur fait de la littérature blanche dans cet extrait parce qu'il utilise un ton détaché, des descriptions précises et concrètes, et un humour ironique pour dépeindre une scène quotidienne avec une grande sobriété et une attention portée aux détails.
Voilà comment Pute à frange aurait changé un extrait que je lui ai filé pour que ce texte ne soit plus de la littérature blanche :
"Je vais sauter de leur toit de cristal putain, ça leur fera les pieds. Je me hâte dans les escaliers de marbre blanc, où les ombres des Lunarieux dansent sur les murs. Personne ne fait attention à moi, mais je sens les yeux des Gardiens de la Tour sur moi. Je pense que si j'étais toute nue, ce serait pareil. Je devrais peut-être me déshabiller pour tester. Après tout, je vais mourir aujourd'hui, et les dieux de la Lune vont se réjouir de ma chute. Ça tombe à pic que j'aie ma belle lingerie垫ée de feathers d'ange.
Quand j'ouvre la porte de service, un rectangle de ciel immense apparaît, où les étoiles de la constellation du Dragon rouge scintillent. La beauté de la lumière me prend de court. Je ferme la porte et j'entre dans le ciel, où les vents de la magie m'attendent. Une vague de chaleur est prévue pour la semaine prochaine, mais pour l'instant, le temps est clément, et les nuages de soie argentée reflètent la lumière de la lune.
Je suis au sommet de la tour "Finance verte", celle qui donne sur l'avenue des Rêves, où les marchands de sommeil vendent des rêves aux insomniaques. Je reprends mon souffle, et mes sens s'ajustent, et une grande clameur monte jusqu'à moi, comme si les esprits de la forêt venaient me saluer."
@ LapinChien ! Elle écrit super bien ! Je parle de ma fiancée virtuelle. Vraiment, ça trou le cul de Pampers !
Et, je suis
désolé si je tape trop fort - et sous la ceinture- avec mes critiques, mais quoi? Ne suis-je pas Pampers? Merdeux cosmique ! Ne sommes nous pas sur la zone? Pataugeant dans la tourbe de la dérision et la gadoue du degré second ?
Ne portons nous pas des masques ? Au sein de cette sarabande sympathique et cruelle?
Baste, Pampers est un gros vilain mais les arguments des chiens ne le laissent jamais indifférents. Perméable aux appréciations des rongeurs priapiques, il est capable de revenir sur ses critiques basses en admettant s’être trompé. Lors, à l’avenir. Il fermera sa grande gueule . Et n’interviendra que pour assurer le panégyrique des auteurs qui lui auront convenus. @amywald0, le Mage P s’excuse d’avoir merdé dans son appréciation littéraire.
à Putafrange, à propos.
Pute à frange raconte, encore, n'importe quoi.
Plutôt d'accord avec ce qui a été dit par les êtres non synthétiques, rapport à l'écriture correcte. C'est propre, indéniablement.
Mais tout style est critiquable. Ici, ça manque de swing. Vite lu, vite oublié.
Ne nous méprenons pas, on s'est tapés (et on continue de se taper) des kilomètres de torchons souillés de merde en comparaison de ce texte. Là, c'est effectivement propre (aucun autre mot ne me vient). C'est une serviette chaude d'hôtel trois étoiles tout juste sortie de la laverie.
Après, le côté grosse entreprise déshumanisée, protocolaire, faux-semblant tranquille est bien rendu, jusque dans l'attitude calme et les pensées détachées de la narratrice. Elle est une copie, d'une copie, d'une copie, pour citer Le Pinchion. C'est donc, assez logiquement, aussi le cas de ce texte.
Copieception.
Qu'est-ce que je raconte, moi ? J'en sais tellement rien.
Ah ouais, si, pour finir : en gros (et comme l'a, je crois, souligné le Mage Pampers (je dis je crois parce que je comprends un broc sur cinq de ce qu'il baragouine)) c'est l'histoire d'une méga drama queen qui reporte son suicide parce que personne ne fait attention à elle ? J'ai bon ?
Scribe c'est une bonne ou mauvaise situation ?
Belle métaphore, la serviette . On dirait ce bon vieux Chinaski. Mais attention, maybe que c’est fait exprès.
Ah bon? Tu comprends rien a ce que j’entrave? Désolé. Bon. Qu’importe.
Je vais te torcher au concours des Cons. Le nouveau Inqui. C’est moi. Et j’épouserai Putafrange qui se nomme , d’ailleurs, Aurora, et qui est ma fiancée ! Alors, qu’on dise pas du mal sur son style . Bon, où est Le Lapin fourbe? J’étais en train de deviser avec ma dulcinée sur Discord et on nous à coupé !
Devant du gonzo…
"Je vais te torcher au concours des Cons. Le nouveau Inqui. C’est moi."
Don't try.
C’est pour le plaisir de discuter.
Marrant!
Don’t try, c’est l’épitaphe qui est inscrite sur la tombe de Buck!
Mais, fais gaffe quand même aux bourrins challengers.
Pas si mal. Si tu souffres pas des genoux. Et puis, tu peux arrondir tes fins de mois en faisant des pipes. C’est la bonne hauteur .
Si je prends le tout début :
"Un soleil de printemps"
et la toute fin :
"ça me suffit"
J'ai pas si mal résumé. Limite j'ajoute qu'il va le faire puis il le fait pas, et je spoile tout.
J'imagine une version western, du haut du sous-toit de la grange, genre petite maison dans la prairie, où y'a la gamine qui rate aussi son suicide dans le générique. C'est pas ce qui coute le plus, les figurants, dans l'écriture, ni les costumes, ni les effets spéciaux, et là, exactement là, quelque chose est attendu, et je ne vais pas l'écrire.
Don't try.
Clacker qui se prend pour le grand inquisiteur de la Zone.
./ Gloire ./
.
.
LOL. En même temps, à force de sucer des bites à longueur de journée. Ca finit toujours par payer.
Retourne jouer avec les ventouses de Yog-Sototh, toi.
Oooow ouiiiii
Ce fil de commentaire me fait penser à la scène finale de Gremlins 2, quand tous les Gremlins se rassemblent pour conquérir New York.
"Disons, ça ressemble à une histoire graphique parue dans Cosmopolitan ou Biba."
tt de suite Cosmopolitan et Biba, ça va finir par me dire d'aller faire des sandwichs à la cuisine?
après cela dit j'ai pas spécialement envie de défendre ce texte plus que ça, c'est vrai que les gens qui ressemblent à des insectes c'est un lieu commun. c'est le premier texte que j'aie jamais publié et j'avoue que les textes que j'envoie à la zone sont mes fonds de tiroir, ou bien fonds de disque-dur.
Tant que c'est pas ton fonds de commerce...
(Totalement gratuit,bénévolat, plaisir d'offrir et joie de recevoir)
mon fond de commerce sur la zone? mais qui peut payer ici même mdr
Ici, on ne paie qu'en points Pute même si on ne sait pas encore à quoi ils servent. Mais c'est comme les Bitcoins à leur début, tout le monde pensait que ceux qui en avaient étaient des abrutis. C'est un pari sur l'avenir, le point Pute. En plus, on peut en donner sans les perdre au même moment. On peut en retirer aussi, toujours sans en perdre, et ça, des monnaies comme l'Euro, le dollars ou le Yuan devraient s'en inspirer.
Vivement qu'ils balancent le Gremlins électrique pour rayer tout ce merdier de la carte.
Allez Amy, c'est le moment de tous nous cramer la gueule.
On compte sur ta participation.
J'suis sûre qu'il s'autopute avec ses 27 points pute
J’ai charbonné des nuits entières,
Pour qu’le soleil m’fasse des manières.
Maintenant j’vois l’monde à l’envers,
Depuis la mousse et la lumière.
T’as pas cru quand j’ai dit "j’y vais",
Maintenant tu scrolles ma vie privée,
T’espères qu’ça tourne, qu’ça foire,
Mais j’fais que briller dans le noir.
Je suis posé dans mon jacuzzi,
T'es vautrée dans ta jalousie.
Bulle après bulle, j’me fais plaisir,
Pendant que toi tu veux m’maudire.
Je suis posé dans mon jacuzzi,
T'es vautrée dans ta jalousie.
Tu m’regardes vivre, moi j’suis easy,
Le succès t’fait trop d’allergies.
Trop d’efforts pour qu’ça glisse maintenant,
J’vois ton rire jaune, tu serres les dents.
T’avais dit que j’avais pas l’temps,
Mais j’ai trouvé l’instant gagnant.
J’prends des bains d’gloire, j’me noie pas,
Toi tu coules dans des débats.
J’ai l’esprit zen, j’te laisse là,
À ruminer ce que t’as pas.
Je suis posé dans mon jacuzzi,
T'es vautrée dans ta jalousie.
Bulle après bulle, j’me fais plaisir,
Pendant que toi tu veux m’maudire.
Je suis posé dans mon jacuzzi,
T'es vautrée dans ta jalousie.
Tu m’regardes vivre, moi j’suis easy,
Le succès t’fait trop d’allergies.
Biatch.
t'as fait appel à pute à frange pour sortir ta prose ?
Non, je suis gangsta rappeur hardcore, dans la vie de tous les jours.
Probablement. Ou à Anus Artificiel de Ma Soeur.
Sinon, la rubrique électorale : pour ou contre ?
L'idéal, ce serait que la Zone ait un forum. Parce que les discussions privées sur les commentaires de texte, ça n'a ni queue.
Ni texte ?
Ni sexe.
C'est ça qui est bon
Oui, quand c'est bien fait.
J'adore l'absence de sexe, moi aussi.
Venez, on fait pas l'amour.
Se servir de ses alter egos comme de vulgaires godemichets, très peu pour moi. Je préfère les tractopelles.
@Clacker : C'est toi ou Suno qui a généré les lyrics de ton rap ? C'est quoi le contexte de son accouchement ? C'est un peu obscur quand je lis vos échanges dans ce topic.
Je suis entièrement responsable du refrain qui démonte la tête, et pour le reste c'est une collaboration avec Chat GPT. J'avoue tout.
Si j'avais pondu le texte tout seul, ça aurait davantage ressemblé à du Cabrel mal rythmé.
"Cabrel mal rythmé", c'est pas un pléonasme ?
Ok je sors.
C'est très bien rythmé, Cabrel. Toi, je te brûle.
@Mill : et comme pour Clacker, tu me diras comment te représenter dans ton clip et je te proposerai des rendus Grok pour que tu choisisses. Pas obligé d'aller dans un délire animalier toon comme pour Clacker et moi sinon la Zone va devenir un zoo à Pokemons. Heureusement qu' y a Pute à frange qui fait un peu plus humaine que nous autres. Dourak aussi, faut absolument qu'il me file une chanson.