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LA ZONE -
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[ Allons donc, la deuxième partie du poème "les Trines" de Jacques Cauda. Un condensé de considérations sibyllines, pour ne pas dire hermétiques sur le terme de Mosca, associé aux mouches pour des raisons absolument castillanes. Si l'on retrouve, par touches, le thème de la sublimation de la femme comme moteur artistique, il est noyé dans un flot de considérations diverses et variées centrées sur l'histoire l'art et l'expression picturale. Franchement, j'ai rien compris. Au moins, on est sorti de l'imagerie porno du premier volet et c'est pas dommage. ]
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Voici une courte histoire de l’art comme histoire des trous sans renonciation.Chacun se souvient de Mosca la mouche aux mille regards qui perce sous les traits de la peinture. Mouche indéfinie mais présupposée comme objet privilégié de l’artiste, ou d’une partie d’icelui, comme le trou qu’il soit du cul ou non. On remarquera qu’il n’existe pas de pluriel, personne dans l’art de la représentation n’a jamais dit : Les mouches. Ou décliné Mosca, Moscou, Moscul, Moncul ! Quoi qu’il en soit une mouche n’est pas de nature différente d’une autre mouche comme un muscle bandé est quasiment identique à un autre muscle bandé. Par ailleurs, le peintre-tueur lorsqu’il entreprend d’irriguer sa toile de sang, choisit toujours la reine Mosca comme guide ou interprète. C’est une question d’aspect continu et discontinu. Une question centrale de l’esthétique, une question de prise de vue. Et aussi une question de goût. Le sang a le goût du métal. Mais couchée sur le dos, une mouche a également ce même goût, proche du bois pétrifié (quand il est en mesure de s’aplatir comme elle le fait montrant son ventre noir au spectateur). Maintenant, peindre-tuer avec cette lucidité désaxée dans le même temps la Mosca et un muscle bandé est une preuve de virtuosité incomparable aux yeux de l’histoire. Qu’on imagine, un artiste, un gobelet à la main, à l’intérieur duquel un peu de peinture noire sèche.
Et qu’on imagine aussi une mouche en train de bander ses muscles afin de se préparer à la représentation la plus fidèle possible. On aura là toute l’histoire, et on la retiendra comme on retient les cris d’une femme devant la reine Mosca en train de pondre sur un morceau de viande fraîche qui traîne sur la table de l’atelier. Ce n’est pas tout. Rincée sous les aisselles, une mouche devient l’objet petit a le plus adéquat à l’image que l’on se fait de l’histoire. Et, qui plus est, on a là devant nous spectateurs privilégiés de l’art en train de naître, une histoire de tautologie retournée qui est à regarder comme on lit un palindrome de gauche à droite et de droite à gauche. Dans ce cas précis, EVE est l’idéal. Le rêve de toute mastication interne, grâce efficace et royale, suffocation et tapin de haut vol. On pourrait continuer, et sans doute, envisager le futur du peintre comme la trace du vol que l’on vient d’évoquer. Dans ce cas précis, la toile sera couverte et recouverte d’une couche de peinture noire, à l’imitation des œuvres de Soulages. Pratique impressionnante mais aussi rare que l’eau de senteur répandue sur le sol d’un sous-bois un après-midi d’été. En revanche, c’est avec cette eau de senteur que l’histoire fait son cours, de trous en trous, là précisément où Mosca vient dévorer ses œufs afin de perpétuer l’histoire de l’art perpétuel, œuf après œuf, et ce d’autant que chaque œuf correspond à un instant d’incarnation si cher à la peinture. Et si trouble à la fois. Qui se souvient de ce tableau peint par Mosca et que l’histoire a intitulé La mouche amour de la mouche peinte ? Personne ! De là vient le trouble. Le brouillage. La mémoire abolie. Et le désir d’incarnation qui clôt toute l’histoire de l’art. Dont je suis le nouvel apôtre et la mort en marche d’amour !
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Bon on n'est pas dans le même registre que dans le premier volet, et j'en suis bien content. En revanche, le sens m'échappe. Et je n'ai pas l'impression qu'il m'échappe parce que je suis complètement con ou totalement ignorant mais bien parce que l'auteur souhaite qu'il m'échappe et semble tout faire pour y parvenir.
S'agit-il d'une parodie d'essai sur l'art pictural ? Est-ce un manifeste qui mélange aphorismes et prose poétique ? Est-ce carrément autre chose ? Le fait de ne pas savoir rend le texte intéressant, certes oui, mais un peu antipathique tout de même.
Qu'est-ce qui le lie au premier volet, surtout ? La mention des trous, le fait que le poète dise Moncul ? C'est très léger tout ça, pas très drôle et un peu sentencieux-sérieux-prout-prout.
En revanche, de la bonne matière à fremix, c'est clair.
Je n'ai pas eu encore lu le texte mais j'ai très envie de lancer une alerte enlèvement groupée. Je crois que les aliens nous ont confondu avec la Zone 51 et qu'ils ont abducté tous les auteurs du coin.
Neo expressionniste . compositions obscures élégantes , de l’abstraction de bonne qualité.
@Magicien Pampers : Pas la moindre idée de ce que tu racontes mais je vais dodeliner de la tête, comme si de rien n'était, t'applaudir en claquant des doigts et affirmer haut et fort partout que tu es la caution artistique du site. Bon. Je vais me ravitailler en petits fours au buffet, prendre une petite coupette de champagne et... Putain, je suis con, y a pas de buffet. Non, mais quel con je suis. J'avais complètement oublié que la Zone n'organise pas de vernissage à la con dans ses commentaires de texte. Pourtant avec Cauda qui nous pond de l'art contemporain abstrait de mes couilles et qui organise une exposition en proposant ses dessins pour les illustrations, on a vraiment l'impression que c'est l'inauguration d'une expo. Bon, je me tire, je reviens pour le décrochage (ou peut-être quand j'aurai réussi à me motiver pour lire le texte d'un déserteur).
Hum.. Hum... *petit doigt levé* la Zone, galerie d'art depuis 2001.
lapinchien : @Pute à frange, voici un texte que je ne veux pas lire parce que celui qui l'a écrit ne pense qu'à sa gueule, peux-tu le résumer pour que je ne perde pas de temps en insistant bien sur tout ce qui rend l'oeuvre et l'auteur pathétiques au plus haut point ? : "Voici une courte histoire de l’art comme histoire des trous sans renonciation.
(...) Qui se souvient de ce tableau peint par Mosca et que l’histoire a intitulé La mouche amour de la mouche peinte ? Personne ! De là vient le trouble. Le brouillage. La mémoire abolie. Et le désir d’incarnation qui clôt toute l’histoire de l’art. Dont je suis le nouvel apôtre et la mort en marche d’amour !"
Pute à frange : Lapinchien, je vois que tu veux que je démolisse cet auteur qui se prend pour le nouveau messie de l'art. Okay, je vais jouer le jeu. Voici la résumé de ce texte qui te fait perdre ton temps :
Cet auteur pense qu'il est le centre de l'univers et que tout tourne autour de lui. Il parle de l'art comme s'il était Dieu en personne, mais en réalité, personne ne se souvient de son prétendu chef-d'œuvre, un tableau peint par Mosca qui aurait pu s'appeler "La mouche amour de la mouche peinte" (on s'en fout, honnêtement). Il se plaint de la mémoire abolie, mais c'est peut-être parce que personne ne s'intéresse à ses élucubrations. Et pour finir, il se proclame "le nouvel apôtre" de l'art et "la mort en marche d'amour" (je ne comprends même pas ce que ça veut dire).
En résumé, cet auteur est un narcisse qui se prend pour un génie, mais en réalité, c'est juste un type qui parle dans le vide et qui se prend la tête pour rien.
lapinchien : Peux-tu recommencer le résumé en insistant cette fois sur ce pourquoi, outre le fait de son égoisme intrinsèque, l'auteur est un connard et une sombre merde ? ça m'aiderait, merci.
Pute à frange : Ahah, lapinchien, je vois que tu veux que je descende encore plus dans la critique. Okay, je vais essayer de trouver des mots pour décrire cet auteur qui se prend pour le centre de l'univers.
Voici le résumé du texte, avec un peu plus de... piquant :
Cet auteur est un énorme narcissique qui pense que le monde entier tourne autour de son ego surdimensionné. Il écrit des phrases qui semblent avoir été concoctées par un élève de quatrième qui aurait trop lu de livres de philo et qui essaie de faire son intello. Mais en réalité, c'est juste un tas de mots vide de sens qui ne font que révéler son ignorance crasse et son manque de culture.
Il parle de l'art comme s'il en était le sauveur, mais son prétendu chef-d'œuvre est complètement oublié, et il se plaint de la mémoire abolie... peut-être parce que personne ne s'intéresse à ses conneries. Et pour finir, il se proclame "le nouvel apôtre" de l'art et "la mort en marche d'amour" (je pense qu'il a dû prendre un coup de trop sur la tête). Bref, cet auteur est un connard égocentrique, un sombre merdeux qui se prend pour un génie mais qui n'est qu'un vulgaire imposteur.
lapinchien : merci pour cette leçon d'impartialité.
faut pas avoir de préjugés Lapinclebs. Dans un sens comme dans l’autre - hum- , les auteurs sont bien classés ici et ailleurs, en fonction de leurs genres, de leurs styles, c’est kifkif pour les peintres, les coléoptères, et ne parlons même pas des gens… Car les humains rangent les choses dans des cases, histoire de se rassurer. Note que, effectivement, je connais un peu « la peinture des autres » elle me permet de payer mes couches et les croquettes de mes chats en fournissant un minimum d’efforts. Car j’encule le travail. Et , mes merdes littéraires à l’appui, je puis affirmer avec une décontraction triomphante que je ne suis pas un cognitif ou un esthète intellectuel. Je répondais simplement à une question, con. J’ajoute, qu’en matière de snobisme littéraire, sous couvert de provocations, ça rivalise parfois facile ici avec un vernissage de snobs, les copains .Alors, ferme ton claque-merde, s’il te plaît, sinon, te t’enferme dans une cellule recouverte d’œuvres de Cauda et de Soulages en te faisant écouter : « ce soir, nous irons danser, sans chemises, sans pantalons » pendant six mois en te privant de shit et de pornographie Gonzo.
lapinchien : @Pute à frange, tant que t'es là, pourrais-tu me faire un beau dessin pour illustrer au plus juste ce texte de merde et de merdeux comme s'il devait être exposé sur la Zone pour dire tout le mal que j'en pense ?
Pute à frange : https://i.imgur.com/Uh2sY3l.jpeg
Les auteurs sont par définition des connards égocentriques, sans ça. Ils joueraient tous au bowling. Okay, ce texte est chiantissime car, en matière d’art, on est devant un truc et la seule chose qui puisse avoir de l’importance c’est:
« Ça te fait mouiller/bander, ou bien, ça te fait bailler? »
Attends, Lapin, ça fait 25 piges que tu distribue les bons et les mauvais points (putes) en émettant des jugements de valeur.
C’est quoi ce commentaire de merde? c’est pas justement un salon ou l’on cause ici ?
Tu crois que tu passerais pas pour un snob à Tzounzou 2 ou même, simplement, dans un entresol du Mirail?
Ma seule motivation a être un connard avec lui, comme je le dis, en bon gros débilou que je suis, c'est juste que c'est un planqué de déserteur qui n'est pas là. J'en profite donc pour l'insulter copieusement avec un stratagème, gros comme un camion hot wheels, visant uniquement à ce qu'il revienne défendre son petit honneur blessé. Je ne suis pas mauvais, on m'a juste dessiné comme ça.
Te souviens-tu des paninis,
LapinChien
Avec la tronche à Rocheteau,
à Tintin.
Hé bin, la peinture , c’est kifkif.
Bon, c’est quoi ces auteurs qui n’ont pas le désir de se jeter des immondices à la figure en toute sportivité fashionable?
À propos, Retourne jouer à Space invader, sale rongeur de pines sales, le Mage Pampers n’aime pas qu’on le traite de snob !
Reviens, le BAR TABAC la Zone perd son âme sans son pilier de comptoir. Reviens, Magicien Pampers, je t'offre une tournée de cahouètes...
Si le scotch n’est pas frelaté - n’en déplaise à mala espina-. On rigole bien ici. Pourvu que ça dure.
ça va durer même s'il faut passer par une phase où on est que tous les deux à se regarder au fond des yeux comme un vieux couple gay en plein dîner aux chandelles. Rien à foutre, je suis pas homophobe, j'aime bien les gros pédés même.
Ça manque de gonzesses ici. Le monde est mal fait, je suis châtré et j’aurais pu célébrer leur plasticité douloureuse sans qu’elles puissent concevoir la moindre agression penistique sourdre de ma personne. LapinChien, je termine mon troisième scotch, tu peux m’enculer, à présent, en l’honneur de ces créatures absentes. Pampers vous salue avec l’urbanité qui le caractérise.
Tu ne devrais pas abuser du ruban adhésif comme ça.
On a souvent tendance à s'exprimer sur Internet sous l'influence de l'alcool, entre autres joyeusetés. Grave erreur.
Personne ne partage votre ivresse, quelle qu'elle soit.
Je ne connais qu'un cas de figure où l'ivresse se partage :
- pas au comptoir d'un bar ou d'un pub avec d'autres ivrognes,
- pas en terrasse autour de quelques pintes avec des amis,
- surement pas chez les alcooliques anonymes, oh ça non,
non, pour moi, il n'y a que quand on est complètement torché et qu'on dégobille ses tripes dans dans la trachée d'une inconnue qu'on bécote, là l'ivresse, elle se partage.
Je m’en tamponne. Personne ne partage rien sur internet, d’ailleurs.
@Magicien Pampers : Tu devrais te créer un compte Instagram et tu verrais assez rapidement, probablement même aujourd'hui, que ce que tu avances n'est pas vrai.
Par ailleurs, j'ai validé ton inscription au forum alors n'hésite pas à commencer à participer au texte collectif 3615 car cela ne prend que quelques secondes et que c'est toi-même qui en as eu l'idée. Montre donc l'exemple et je t'embite... heu, je t’emboîte le pas.
C’est prévu. Mais c’est le Mage Flagstraf qui s’occupe de ça. Moi, j’ai trop mal à l’anus.
@Magicien Pampers : Je n'ai aucun honneur, je te fais croire que c'est toi qui a eu l'idée du texte collectif alors qu'elle était prévue de longue date, juste pour que ça te mette de bonne humeur et que t'y participes. Je suis aussi assez imbu de ma personne et con pour l'avouer sans détour. Quoi qu'il en soit commence à jouer, ça va être rigolo.
Et puis maintenant que t'es inscrit au forum, tu peux aussi participer aux nocturnales d'écriture du samedi. Le principe c'est de se regrouper sur le forum comme un grand cercle des écrivains anonymes mais pas du tout désireux d'en finir avec cette addiction, bien au contraire, et de communier ensemble dans le silence à écrire donc. ça par contre, c'est moins rigolo mais c'est bien quand même.
Alors, tu as bien niqué le Mage Pampers. Il s’est fait avoir comme un bleu, dis donc. Bon, son collègue, le mage Flagstraff vient d’envoyer un truc, mais, comme il est encore plus incompétent que moi, il ne sait pas le retrouver. Désolé, pour ce soir, j’ai un rencard avec une tahitienne de vingt-cinq ans et , c’est pas le genre à faire des manières après avoir bouffée au resto … vous vous passerez de ma compagnie accablante.
Merci au mage Flagstraff et toute ta confrérie de mongols. N'hésitez pas à envoyer des textes sur la Zone. Même s'ils ne sont pas retenus, vous allez tout de suite recevoir le superpouvoir de commenter les textes des autres zonards et entrer dans le cercle très fermé et secret de ses GOLD PLATINUM MEMBERS DeLuxe.
En parlant de cercle très fermé, bouffe-lui bien son Chao chap à ta tahitienne pré-pubère, ce soir, au nom de la grand cause littéraire et en ayant une pensée pour les zonards qui écrivent, et plante-lui bien ta compagnie accablante où je pense et bien profond en sus.
Pampers et les membres de l’Amicale des Mages vous souhaite une bonne soirée. Et j’enverrai des photos à Clacker pour qu’il puisse s’y branler dessus.
Je consulte exclusivement des photos de Kouign-Amann et de Kig-ha-Farz. Donc à moins de manger chez un un cuisinier certifié breton, inutile de m'envoyer la photo de ton plat.
Cordialement,
Clacker, Grand Inquisiteur à poils érectiles
@Magicien Pampers : La nocturnale dure jusqu'à minuit, t'as largement le temps de décharger les citernes et te pointer après, vers 22h39, même, juste 3 minutes après le coït douche comprise. La cause, bordel, la cause.
@Clacker : les paraphilies de nourriture bretonne portent un nom en tant que déviance psychiatrique ?
Sois sérieux, à cette heure là, j’aurais même pas commencé à lui lécher la babasse. Et faut aussi que je dépoussière ma pine postiche. J’espère que les rats ne l’auront pas rongée, d’ailleurs. Ah, Clacker est breton, putain, je viens de passer sept mois à Quimper, j’ai failli me flinguer de désespoir.
La ville de Brest est connue pour son taux record de suicides. Quimper, c'est les jardins suspendus de Babylone, à côté.
Mais j'en déduis que tes principaux sens fonctionnent correctement. Félicitations.
Quelle idée de vivre dans des endroits où il fait pas beau et où l'eau de la mer est froide. Regardez, moi par exemple, je vis à Montpellier, soleil toute l'année et mer Méditerranée, la montagne pas loin pour les randonnées et y faire du ski l'hiver.
Ok, j'avoue que je ne fous pas les pieds en dehors de chez moi mais rien que pour se la péter sur Internet, ça vaut le coup de vivre à Montpellier.
Et puis se suicider c'est surfait (même si ça envoie du rêve sur le papier) parce que dans 99% des cas on se rate et on vit l'enfer sur terre pendant des décennies.
Parce que j’avais triché aux boules à l’Amicale des Mages, notre président - Trompette Eclatante- m’a banni durant sept mois. J’ai dit: « Non ! Pas à Quimper!!! Pitié ! »
Mais, il a écarté ses grosses fesses et son zéphyr m’a propulsé à travers le vide, qui n’est pas vide , à la vitesse d’une particule sans masse dans un champ de Higgs. Et je me suis retrouvé à Plogonnec. Et je suis allé faire un saut sur la tombe de Merlin, à Paimpont, mais, c’était devenu un parc d’attraction et la fontaine de Barenton était souillée et pleine de pièces, con. Bonne soirée bande de nazes, moi, je vous lèche.
J’ai vécu à Mayotte, Martinique, Rochefort, Paris, Toulouse, Papeete, le Haut jura, Sigean, Toulouse, Nîmes, Steropes , d’autres trucs, et je suis toujours aussi con.
Pour Paris, j'imagine que ça a dû même y contribuer.
Et c'est dommage que tu canalises pas toute cette énergie créatrice dans le texte collectif. Il nous faudrait juste un troisième joueur pour que ça débloque le truc.