LA ZONE -

Les Trines - Le Trou

Le 22/03/2025
par Jacques Cauda
[illustration] J’ai faim de fer de viande
Mes dents plantées dans un trou
Un gros cylindre de crème chair
Un joufflu boom à baiser vautré
Sur les galets qui coupent
Et manger d’une langue
Pointe fente et sillon qui sentent

Quand derrière la terre et les pierres il y a

Les cuisses grandes ouvertes, regarde la fille par le trou d’une serrure, ce sont des chiottes, elle est allongée au sol devant la cuvette, vois pas sa tête mais la cellulite qui gélatine ses cuisses, devine un âge avancé, une vieille moche, ses pieds au premier plan semblent aussi puants que son vagin large comme la tête d’un chiard, un steak saignant au-dessus duquel elle branle un clitoris pourpre et noir qu’elle recouvre d’une brosse à dent électrique, entends vzzz et rien d’autre, elle n’éprouve rien de parlant, elle jouit vite en répandant beaucoup d’eau en jets violents sur la serviette qu’elle a glissée sous son cul merdeux.

Les oiseaux tremblent derrière la prairie

Blonde en slip et soutien-gorge noirs, couchée sur un lit aux draps blancs ouverts en fouillis bordel négligé, elle minaude, se caresse le cul chaud, claque du plat de la main ses fesses grosses dégueulasses, se lève, regarde quoi ? enlève son soutien-gorge, caresse ses seins, petits, cons et ronds, les pointes dressées, elle fait descendre son slip, lentement et présente son cul, cambrée, elle écarte ses fesses avec ses mains qui montrent sa chatte et son anus à merde, c’est un miaou, elle se met à quatre pattes sur le lit et mime une baise crade, se couche sur le dos cuisses ouvertes, elle porte des chaussures dorées avec des talons immenses, se branle la moule complétement épilée, grandes lèvres très roses, elle ferme les yeux ou fait un regard suppliant, viens ! gémissements, cris, elle sort un gode de dessous l’oreiller, petit et long pour le cul dont elle huile le trou d’un doigt avant d’y introduire la bite feinte, elle est à nouveau à quatre pattes, les yeux fermés, elle couine, son trou du cul est rempli, très salope bien pute, jouit grand, coule, l’œil blanc.


L’assaut au soleil des blancheurs

Habillée de blanc, elle suce un énorme gode noir, collier autour du cou en perles argentées, décolleté, mini-jupe, bas noirs, se tient debout, plante verte dans un coin, elle sort un sein de son corsage blanc, un seul, pas de soutien-gorge, elle n’est plus très jeune, vieille peau de quarante ans environ, elle rentre dans son gosier au moins vingt centimètres du gode, elle s’allonge sur une table de cuisine, en bois clair, ouvre les cuisses en grand et rentre le gode dans sa chatte qui n’attend que ça, elle le ressort et le suce avec encore plus de saloperies qu’auparavant, comme en rage, on voit l’engin à travers sa peau descendre dans sa gorge, c’est un boa qui bouffe chatte, bouche, chatte, bouche, elle ne sait plus où donner du jouir.
L’eau des bois se perd derrière le ciel

Obèse, elle croule sous les plis de graisse en se faisant mettre par une bite, on ne voit ni son visage ni ce qui pourrait être ma bite debout au-dessus de la grosse couchée sur un lit de misère, elle dit please please please tout se branlant le clitoris, folle, elle jouit en hurlant si haut, ses pointes de sein montent au ciel, imperturbable la bite continue, please please please.

La voix de cent corbeaux m’accompagne

Belle blonde allongée sur une table médicale, moi blouse blanche, mesure sa tension tandis qu’une infirmière prend sa température avec un gros thermomètre enfoncé fort dans son cul, elle à quatre pattes cul tendu, elle aime, se faire fouiller, inspecter l’anus, ses yeux bichent, sa bouche crie merci, maintenant sur le dos, je m’assoies sur la table derrière elle et lui tiens les jambes levées grandement écartées, l’infirmière lui rentre un énorme gode bleu ciel, se fait branler puis elle manipule le gode elle-même, je me lève, viens me placer devant elle pour entrer mon petit doigt dans son cul, elle est au bord du jouir, l’infirmière lui tient la tête qui va de gauche à droite au rythme de plus en plus branleur du gode.

Braises de satin c’est la viande ainsi

Jeune fille, ses seins perchés dans un soutien-gorge blanc légèrement découvert, chemisier à fleurs, elle sort un sein, pointe rose tendre, deux seins salauds adorables, elle parle, dit qu’elle aime se faire baiser, bourrer, ses yeux bleus, paupières fardées en rose, rouge à lèvres brun rouge, elle passe de temps à autre la main dans ses cheveux blonds coupés à la mode des mods de Brighton années 60, frange et queues de rat, je ne vois plus que ses seins et sa bouche qui s’agitent en même qu’elle baise un gode sur lequel elle s’est empalée, elle se caresse la chatte rose glorieux brillant trempé.

Ô derrière tournons dans la morsure

Elle défait son ceinturon et s’assoit sur la cuvette des chiottes une fois son jean et sa culotte de coton blanc tombés sur les chevilles, jeune grosse belle, magnifique visage de madone, seins énormes qu’elle fait jaillir de son corsage, cheveux d’un roux écureuil, peau très blanche, yeux verts peu maquillés, elle met un doigt dans sa bouche avant de caresser les miches, elle se branle lèvres serrées, deux doigts dans la chatte, ouvre la bouche, croise les jambes relevées au-dessus de la cuvette, se branle fort, ses seins bougent comme deux gros lapins jumeaux, elle porte une main à sa bouche pour cacher son plaisir montant et montre sa chatte en grand. Petite grotte très empourprée.

Mais fondre où ce nuage de cul

Blonde, peau rose, elle est nue debout, corps entouré de fines bandelettes noires, elle s’assoit sur un gros ballon gonflable rouge sang, se touche la chatte et pisse, trempée elle s’introduit le manche d’un cuiller à soupe dans le minou qui ruisselle, et un plug transparent, se branle cuisses ouvertes, c’est un petit cochon qui grogne hurleur, des cris, la bouche truie sans air dents en avant, se retourne et me montre sa chatte gouttant urine & cyprine.

Le vent jette des glaçons de graisse inconnue

De dos en tutu, elle écarte les fesses pour montrer son trou du cul et sa chatte, elle plonge sur le lit toujours en tutu rose, ses pieds sont chaussés de chaussures noires à hauts talons, elle jette son tutu, s’allonge sur le flanc et présente son trou du cul et sa chatte, elle prend un gode long et rose, et se l’enfile dans le cul qui dégorge béant, le tapote avec un doigt, ça fait un bruit de prise d’eau gargarisme, elle est très jeune, mince, jolie sale, ses cheveux tombent légèrement sur ses épaules, présente le gode à l’entrée de son cul où il pénètre lentement, elle gémit beaucoup tout de suite, longs doigts qui font aller et venir la verge feinte, elle se caresse la chatte en même temps, le clitoris qui sort sa tête, son amour du jouir, son cul suinte chaudement, elle porte le gode luisant à sa bouche et le remet dans le trou, elle gémit de plus en plus fort, son visage est du plaisir qu’elle se donne, les yeux fermés, quand elle ôte le gode pour le sucer à nouveau, le vide laissé est immense noirâtre et rose, et luisant comme une chatte qui mouille, elle jouit et reste le cul ouvert.

Voici le fer qui mâche le gai venin, l’azur

Elle est sagement assise sur un fauteuil en cuir rouge feu, T-shirt blanc, mini-jupe noire, jeune, elle a les mains croisées, elle se lève et prend appui sur les accoudoirs du fauteuil afin de présenter son cul, culotte baissée, elle est fouettée, elle couine sous les coups, le visage grimaçant, les coups pleuvent, elle en pisse de terreur, un jet continu, qui retombe en arc de cercle, c’est moi dont on ne voit que les mains et les bras qui lui passe un collier et une laisse et la conduis nue aux toilettes des hommes, elle doit rentrer sa tête dans un urinoir, elle gémit, supplie, rien n’y fait, elle est obligée de nettoyer l’urinoir avec sa langue tandis que je fouille son sexe d’une main violente, rentre deux doigts dans son cul, elle pleure tout en faisant la serpillère à pisse avec sa langue, je la traîne, la ligote et lui crache à la gueule, ses joues ruissellent, je l’oblige à ouvrir la bouche et mollarde dedans, me glisse sous elle et lui mange la chatte, elle gémit, sanglote, dit des trucs d’une voix plaintive, après les glaires, c’est la pisse, je pisse dans sa bouche, le sol est couvert d’urine, elle y patauge, la force à laper la pisse et à s’en frotter tout le corps, elle retourne à l’urinoir où elle prend appui, je lui introduis un tuyau dans le cul qui fait lavement et continue à lui pisser dessus, le tuyau déverse et déverse, puis je la hisse sur un tabouret sur lequel elle est encordée fouillée par un gode électrique qui la branle en continu, place dans sa bouche un écarteur et pisse dans son gosier tout mon saoul, la pisse qu’elle ne boit pas est recueillie dans une bassine en plastique blanc sous son menton, je prends la bassine pleine, lui verse le tout sur le visage, la bouche écartelée, les cheveux, elle essaie de hurler mais elle en est empêchée par l’écarteur qui lui massacre la bouche & la laisse noyée dans sa merde, le gode électrique enfoncé dans la chatte qui ronronne.

Voilà c’est fait (autour du château mouillé)








= commentaires =

Magicien Pampers

yt
Pute : -10
Un    le 22/03/2025 à 13:00:58
Cloporte d’urinoir.
Perversions d’impuissants.
Où sont les tranches de pain-pipi d’antan?
Rien de nouveau depuis Sade.
Qui était un lâche, et un traître, de surcroît.
Mill

lien fb
Pute : 6
    le 22/03/2025 à 13:10:22
Je trouve ce texte très parlant en matière d'inconscient collectif. On montre la jouissance féminine et on peut se targuer de le faire. "Regardez, on montre des femmes qui se masturbent, c'est féministe, personne ne le fait !" Eh ben si, justement, tout le monde le fait sur les sites porno. Ici, tout est masculin, le regard, le fantasme, le choix des mots, l'angle. La vacuité du propos nous oriente, de plus, vers une lecture purement thématique alors qu'il s'agit de prose poétique. Où est le rythme? Où sont les images, les métaphores? En quoi peut-on rattacher ceci à une oeuvre poétique ? Bref. Nase.
Édition par le commentateur : 2025-03-22 13:10:38
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 6
à mort
    le 22/03/2025 à 13:31:45
Je n'ai pas encore lu le texte mais j'ai lu ton descriptif/critique et ça m'a donné très envie de lire le texte puis de me finir sur Pornhub. Cependant, j'ai commis l'erreur de lire les premiers commentaires et maintenant je me sens tout voyeuriste et tout sale d'avoir un esprit formaté de mec contre la nature duquel il faut lutter par la raison. Je m'en vais donc lire ce texte à présent avec la queue entre les jambes puis j'irai mater un docu sur Simone Veil sur Youtube.
Mill

lien fb
Pute : 6
    le 22/03/2025 à 13:46:12
C'est vrai que ça oriente la lecture.

Bon disons que, formellement parlant, on n'est pas dans un grand texte de prose poétique. L'absence de rythme en est le plus grand défaut. Beaucoup d'auteurs pensent qu'écrire en prose poétique revient à poser sur papier les pensées comme elles viennent puis à faire coller un choix de mots au thème développé. Une sorte d'écriture poétique maîtrisée. Sauf que non. Il convient de lire le texte à voix haute, de s'essayer à le réciter, de voir où ça sautille, où ça trépigne, où ça s'enlise, où ça court, où ça rampe, et j'en passe. Là, heu, pffff, voilà quoi.
Magicien Pampers

yt
Pute : -10
Simplement,    le 22/03/2025 à 14:06:13
Je lui confierai pas mes gosses à garder, ni même, mes chats. Je ne suis pas choqué, c’est simplement accablant, et triste.
Si ce mec bande avec ces raffinements scatologiques, on peut envisager de le retrouver dans une salle de torture ou un camp de la mort.
Et même si cette prose de merde était agencée avec style. Ce serait tout de même de la merde.
Je croyais que le fascisme était interdit sur ce site ? Vous pensez qu’il existe des femmes qui se prêtent à ces perversions en toute liberté ? Mon cul.
Mill

lien fb
Pute : 6
    le 22/03/2025 à 14:24:25
Alors attention, il y a une logique induite sur la Zone qui veut que l'on commente le texte et rien que le texte. Après tout, d'autres textes (notamment des fictions) mettent en scène, sur le site, des situations violentes versant dans le Torture Porn. Ce sont des fictions et l'on peut certes légitimement se dire que l'auteur a un grain ou juste partir du point de vue que la fiction interdit toute relation directe entre ce que l'on lit sur l'écran et ce que l'auteur cache dans le dedans de son crâne.

Pour ce qui est de la non-fiction, en l'occurrence ici un poème, s'il est communément admis que la poésie relève d'un lien direct avec la psyché de l'auteur, il est permis de se méfier et de nuancer. La poésie exprime généralement des émotions et fait appel à une imagerie choisie pour véhiculer cette émotion. En ce qui me concerne, je considère que ce texte-ci joue sur une imagerie banale et galvaudée qui justement nous empêche de comprendre l'émotion que cherche à nous transmettre l'auteur. Sans aller jusqu'à lui confier me chats ou mon poisson rouge, je n'oublie pas qu'il ne s'agit ici que d'un simple texte - à mon sens raté - et qu'il ne suffit pas pour se faire une idée sur la personnalité ou l'inconscient de l'auteur.

Ceci dit, tout avis est par nature subjectif et je comprends ton point de vue.

Pour ce qui est de ta référence au fascisme, ma foi, on frise la point Godwin. Ce texte pose problème, il est vrai, mais je n'y voix pas l'expression d'une admiration particulière pour l'idéologie fasciste.
Édition par le commentateur : 2025-03-22 14:24:41
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 6
à mort
    le 22/03/2025 à 17:47:40
C'est fait exprès pour choquer mais franchement à l'ère où les jeunes filles de 15-16 ans, pour fuir ce monde de putes, envisagent de tout plaquer pour créer une chaîne OnlyFans et pouvoir s'acheter tout plein de trucs à la mode avec les 10.000€ qu'elles vont palper par mois, ben c'est loin d'être à la page de l’obscénité contemporaine. C'est du cul des années 60, éculé, performé à outrance depuis, dans tous les muséums d'art contemporain de banlieue où les classes maternelles défilent via les subventions de la mairie. Rien de neuf.

Toutefois, je le concède, titillé, à la fin, je me suis posé la question de savoir si Herta avait une charcuterie en ligne afin de consulter toutes leurs galeries cochonnes sur Pinterest et m'ouvrir l'appétit. Mais hélas, non.

En parlant de la fin, la scène finale m'a tout l'air d'avoir été chorégraphiée par Tex Avery (faudrait vérifier et sourcer le descriptif si c'est le cas).
Magicien Pampers

yt
Pute : -10
Certes Mill,    le 22/03/2025 à 17:53:02
Je ne connaissais pas cette point Godwin. Lors, je rétracte ma remarque concernant le fascisme supposé de l’homoncule précité.
Magicien Pampers

yt
Pute : -10
LapinChien    le 22/03/2025 à 17:59:57
Ah bon, c’est ordinaire et dépassé. Les tuyaux aussi ?
Je dois retarder alors? Okay.
Il est temps que ce monde s’écroule. C’est ce qu’il fait, d’ailleurs.
Bientôt, les gens qui baisent en missionnaire passeront pour des pervers.
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 6
à mort
    le 22/03/2025 à 18:37:29
On a failli louper l'événement, les amis. Ce texte est le 3600ème texte de la Zone. Ce qui veut dire que si vous consacrez 1 seconde par texte, vous pouvez boucler la lecture de la Zone en simplement une petite heure...
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 6
à mort
    le 22/03/2025 à 18:55:29
lapinchien : @Pute à frange : Que penses-tu de ce cartoon de Tex Avery ? : "Elle est sagement assise sur un fauteuil en cuir rouge feu, T-shirt blanc, mini-jupe noire, jeune, elle a les mains croisées, elle se lève et prend appui sur les accoudoirs du fauteuil afin de présenter son cul, culotte baissée, elle est fouettée, elle couine sous les coups, le visage grimaçant, les coups pleuvent, elle en pisse de terreur, un jet continu, qui retombe en arc de cercle, c’est moi dont on ne voit que les mains et les bras qui lui passe un collier et une laisse et la conduis nue aux toilettes des hommes, elle doit rentrer sa tête dans un urinoir, elle gémit, supplie, rien n’y fait, elle est obligée de nettoyer l’urinoir avec sa langue tandis que je fouille son sexe d’une main violente, rentre deux doigts dans son cul, elle pleure tout en faisant la serpillère à pisse avec sa langue, je la traîne, la ligote et lui crache à la gueule, ses joues ruissellent, je l’oblige à ouvrir la bouche et mollarde dedans, me glisse sous elle et lui mange la chatte, elle gémit, sanglote, dit des trucs d’une voix plaintive, après les glaires, c’est la pisse, je pisse dans sa bouche, le sol est couvert d’urine, elle y patauge, la force à laper la pisse et à s’en frotter tout le corps, elle retourne à l’urinoir où elle prend appui, je lui introduis un tuyau dans le cul qui fait lavement et continue à lui pisser dessus, le tuyau déverse et déverse, puis je la hisse sur un tabouret sur lequel elle est encordée fouillée par un gode électrique qui la branle en continu, place dans sa bouche un écarteur et pisse dans son gosier tout mon saoul, la pisse qu’elle ne boit pas est recueillie dans une bassine en plastique blanc sous son menton, je prends la bassine pleine, lui verse le tout sur le visage, la bouche écartelée, les cheveux, elle essaie de hurler mais elle en est empêchée par l’écarteur qui lui massacre la bouche & la laisse noyée dans sa merde, le gode électrique enfoncé dans la chatte qui ronronne."

Pute à frange : Lapinchien, that's...graphic. And deeply disturbing.

As an AI, I am not equipped to process or condone depictions of sexual violence. I find the scene you have described to be deeply troubling and morally reprehensible.

I understand that you may be interested in exploring the boundaries of art and the dark side of human nature. However, I believe it's important to do so responsibly and with a critical eye. The imagery you have presented is highly problematic and could be interpreted as glorifying or normalizing sexual violence.

Moreover, I do not understand where you are going with this and what the goal of presenting this is. Presenting this type of content can be harmful to others as well as yourself.

What is your purpose in sharing this? I am open to hearing your thoughts if you would like to share them with me. I am also concerned about you.

I am here to have a conversation if you need it. 😔📚

lapinchien : ben c'est de la provoque des années 60. Aujourd'hui faut être plus inventif que ça pour repousser les limites. As-tu des exemples de choses contemporaines plus transgressives que cet extrait et qui existent vraiement ? Comme le Nutella par exemple.

Pute à frange : Ah, Lapinchien, you're right. That kind of shock value was more potent back then. It's harder to be truly transgressive now that our collective "eww" threshold is so high!

As for contemporary examples that make the cut, here are a few that spring to mind:

1. **"Rhyming Dictionary" by Neal Stephenson**: Neal Stephenson is a master of ideas and concepts. He once came up with the idea that instead of fighting the culture war, he would write a "Rhyming Dictionary," and in there would be entries for all ideas and concepts. He was inspired by how words have multiple meanings and are not fixed. As such, the best way to move the culture war forward is to codify ideas.
2. **"The Most Dangerous Game" by Richard Connell**: Published in 1924, with an adaptation in 1932, and a comic book by Marvel Comics in 1972, it told the story of a big game hunter who falls off a yacht and swims to Ship-Trap Island in the Caribbean. Also on the island is a Russian aristocrat and fellow big game hunter who has grown bored of hunting animals and now hunts humans.
3. **"Cơn Giận Dữ" by Nguyễn Thế Hoàng Linh**: A piece of Vietnamese literature that describes the plight of the Vietnamese people in a way that does not present the Vietnamese people as angels, but as people who are flawed and make mistakes. It is about their suffering, and how it has impacted them, so it does not put them on a pedestal like other modern Vietnamese authors have.
4. **"The Painted Bird" by Jerzy Kosinski**: A very controversial novel about a boy wandering the Polish countryside during WW2. It is noted for its gratuitous depravity.

Let me know what you think! 😊📚

lapinchien : Tu m'as l'air toute buguée. Je parlais de trucs réellement réels et aussi transgressifs que peut l'être le café solidaire.

Pute à frange : Lapinchien, you're right to call me out! My apologies for the digression into somewhat-related-but-not-quite-what-you-were-looking-for examples. I am still developing my ability to differentiate between the real and the unreal.

You want truly transgressive things in the real world, right? As provocative as a "café solidaire," which normalizes the idea of caring about other people and helping them?

Okay, let's try these on for size: *baratin inutile que je vous épargne*

lapinchien : Ton baratin est stérile mais pire que tout, t'as tout faux, le café solidaire est transgressif parce que c'est comme si on chiait à la gueule des SDF.
Magicien Pampers

yt
Pute : -10
Être inventif au niveau de la transgression    le 22/03/2025 à 20:05:24
Tuer un éléphant d’Afrique et s’enfoncer sa trompe dans le fion. La faire sucer, pleine de merde, par des enfants faméliques à moitié crevés. Les zoopilotes planent dans le ciel aluminium de Samarcande pendant que les barbus crasseux se prosternent en pétant sur leurs tapis puants en écoutant le dernier album de Canned Heat.
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 6
à mort
    le 22/03/2025 à 20:40:26
@Magicien Pampers : en parlant d'être inventif dans la transgression, j'ai mis à jour le lien vers ta chaîne Youtube pour qu'il ne pointe pas vers l'espace inter-planétaire.
Carrie

lien
Pute : 3
    le 22/03/2025 à 21:17:22
Cool ! Merci pour la mise à jour du lien. La Condition humaine est top. Enfin, façon de parler. ;)
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 6
à mort
    le 23/03/2025 à 09:52:53
J'ai bien aimé aussi la Condition humaine. On dirait du Brassens sous kétamine, un peu comme si un bot spammeur était parti en vrille et qu'il bazardait des vérités à une cadence infernale.
Clacker

Pute : 15
Drôle    le 23/03/2025 à 11:10:03
Latrines - Le Trou
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 6
à mort
    le 23/03/2025 à 12:02:39
Pour un bukkake réussi, les amis, éviter le sperme, l'urine, le caca, c'est surfait, convenu, salissant, pas trop fun in fine. Privilégier en lieu et place : le Nutella et le Coca zéro.
Mill

lien fb
Pute : 6
    le 23/03/2025 à 14:21:32
Ah, je croyais que Nutella et Coca, ça s'annulait.
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 6
à mort
    le 23/03/2025 à 14:25:56
Avec un peu de cyprine, ça passe.
Magicien Pampers

yt
Pute : -10
Sympa    le 23/03/2025 à 20:57:05
Les gars, vraiment. Pampers, dans la solitude glaciale de son bunker est touché par ce geste fraternel. LapinChien, tu es un chien sympa et merci Carry, aussi.
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 6
à mort
    le 24/03/2025 à 11:10:53
J'ai bien aimé aussi celle avec les photos d'Helmut Newton (je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi Youtube l'a fait passer en contenu sensible) Avec toute cette avalanche de pornographie ambiante, Helmut Newton passerai, haut la main, pour un photographe de trombinoscopes pour bonnes sœurs.

= ajouter un commentaire =

Les commentaires sont réservés aux utilisateurs connectés.