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La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel

Démarré par lapinchien, Août 13, 2017, 09:55:58

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lapinchien

Appel à contribution. Ici une nouvelle aventure de Jack intitulée "Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel"
ça se joue en tour par tour, il faut aller là dessus  http://enneagon.org/phrases puis entrer 5 phrases et appuyer sur le bouton "Lancer !" Alors 5 phrases burroughsiennes seront générées. Il vous suffira ensuite de faire un copier/coller et d'insérer ces phrases dans une nouvelle itération du texte collectif après les avoir légèrement modifiées pour qu'elles veuillent dire quelque chose dans le contexte.

lapinchien

Alors le psychiatre fit une longue prescription tout en prodiguant quelques conseils à son patient : "Monsieur Jack, observez bien mes recommandations et attendez de plus qu'on le détache. Vous verrez c'est fantastique. J'ai d'ailleurs accompagné mon frère là bas. Quel pied monumental ! Hélas pour nous tous, si l'on voulait, nous profiterions de ces minutes égoistes pour les consacrer à Dieu. Commencez vite le traitement, coquinou, ou nous vous rognerons les ongles au feu."

lapinchien

Alors le psychiatre fit une longue prescription tout en prodiguant quelques conseils à son patient : "Monsieur Jack, observez bien mes recommandations et attendez de plus qu'on le détache. Vous verrez c'est fantastique. J'ai d'ailleurs accompagné mon frère là bas. Quel pied monumental ! Hélas pour nous tous, si l'on voulait, nous profiterions de ces minutes égoïstes pour les consacrer à Dieu. Commencez vite le traitement, coquinou, ou nous vous rognerons les ongles au feu."

Alors Jack rouspéta car les dimensions et limites de la vérité, dans les plus profondes et subtiles facettes de leur considération, n'étaient pas respectées dans les divagations du praticien. "Je ne vous donnerai pas un denier !", rétorqua Jack puis haussant d'un ton : "J'ai là une goutte d'eau-de-vie... Certes l'on ne peut contester les paroles que vous venez d'éructer. Séchez vos yeux et non pas nos gosiers !" Cette réaction embarrassa le  psychiatre qui s'empressa d'augmenter les doses prescrites. Il osa une diversion : "Travail difficile, j'en ai bien peur. Mon frère ne sera pas dupe de l'immortalité par ce prompt et soudain embellissement bien inexplicable de la situation. Dans sa belle santé de jeunesse, honteux comme un renard et méchant comme un corbeau, je le menais quelquefois dîner chez maman." Le passé évoqué, étrangement, parlait à Jack. "Secouez-vous les puces à présent, mon cher ami !", Conclut le praticien, "Un rejet trop précoce de la conformité n'a jamais aidé quiconque à grimper aux troncs d'arbres."

LePouilleux

#3
Alors le psychiatre fit une longue prescription tout en prodiguant quelques conseils à son patient : "Monsieur Jack, observez bien mes recommandations et attendez de plus qu'on le détache. Vous verrez c'est fantastique. J'ai d'ailleurs accompagné mon frère là bas. Quel pied monumental ! Hélas pour nous tous, si l'on voulait, nous profiterions de ces minutes égoïstes pour les consacrer à Dieu. Commencez vite le traitement, coquinou, ou nous vous rognerons les ongles au feu."

Alors Jack rouspéta car les dimensions et limites de la vérité, dans les plus profondes et subtiles facettes de leur considération, n'étaient pas respectées dans les divagations du praticien. "Je ne vous donnerai pas un denier !", rétorqua Jack puis haussant d'un ton : "J'ai là une goutte d'eau-de-vie... Certes l'on ne peut contester les paroles que vous venez d'éructer. Séchez vos yeux et non pas nos gosiers !" Cette réaction embarrassa le  psychiatre qui s'empressa d'augmenter les doses prescrites. Il osa une diversion : "Travail difficile, j'en ai bien peur. Mon frère ne sera pas dupe de l'immortalité par ce prompt et soudain embellissement bien inexplicable de la situation. Dans sa belle santé de jeunesse, honteux comme un renard et méchant comme un corbeau, je le menais quelquefois dîner chez maman." Le passé évoqué, étrangement, parlait à Jack. "Secouez-vous les puces à présent, mon cher ami !", Conclut le praticien, "Un rejet trop précoce de la conformité n'a jamais aidé quiconque à grimper aux troncs d'arbres."

Abandonné à terrain découvert, quantité de légendes sur les origines d'une probable guérison circulait. Espoir qui valait le charme d'un repas avec maman. Dans cette dernière crise, avec la main d'un espoir secourable, il avait aperçut des lumières. L'influence de la voix du psychiatre s'étant fait sentir, de même le tronc (du corps de Jack) souffrant versait par sa blessure son sang et enflammait les joues de Jack. 


LePouilleux

Alors le psychiatre fit une longue prescription tout en prodiguant quelques conseils à son patient : "Monsieur Jack, observez bien mes recommandations et attendez de plus qu'on le détache. Vous verrez c'est fantastique. J'ai d'ailleurs accompagné mon frère là bas. Quel pied monumental ! Hélas pour nous tous, si l'on voulait, nous profiterions de ces minutes égoïstes pour les consacrer à Dieu. Commencez vite le traitement, coquinou, ou nous vous rognerons les ongles au feu."

Alors Jack rouspéta car les dimensions et limites de la vérité, dans les plus profondes et subtiles facettes de leur considération, n'étaient pas respectées dans les divagations du praticien. "Je ne vous donnerai pas un denier !", rétorqua Jack puis haussant d'un ton : "J'ai là une goutte d'eau-de-vie... Certes l'on ne peut contester les paroles que vous venez d'éructer. Séchez vos yeux et non pas nos gosiers !" Cette réaction embarrassa le  psychiatre qui s'empressa d'augmenter les doses prescrites. Il osa une diversion : "Travail difficile, j'en ai bien peur. Mon frère ne sera pas dupe de l'immortalité par ce prompt et soudain embellissement bien inexplicable de la situation. Dans sa belle santé de jeunesse, honteux comme un renard et méchant comme un corbeau, je le menais quelquefois dîner chez maman." Le passé évoqué, étrangement, parlait à Jack. "Secouez-vous les puces à présent, mon cher ami !", Conclut le praticien, "Un rejet trop précoce de la conformité n'a jamais aidé quiconque à grimper aux troncs d'arbres."

Abandonné à terrain découvert, quantité de légendes sur les origines d'une probable guérison circulait. Espoir qui valait le charme d'un repas avec maman. Dans cette dernière crise, avec la main d'un espoir secourable, il avait aperçut des lumières. L'influence de la voix du psychiatre s'étant fait sentir, de même le tronc (du corps de Jack) souffrant versait par sa blessure son sang et enflammait les joues de Jack. 

Belle voix, quelle absence d'idées ! À peu près égale et agrégée en une masse épaisse de sang, la souffrance était exactement la même, tandis qu'il se laissait vivre depuis un an déjà. Lui-même avait déjà pris maintes drogues assassines, qu'il se versait à travers l'enfilade du nez, afin que la peur s'inclina, comme si le silence de son esprit ne dusse exister. Maman... il pouvait tout de suite boire la mer. Piquant sa seringue quelque part dans Jack avec les délicatesses élégantes du reptile et du tigre, le psychiatre s'éloigna finalement sans bruit.

Lourdes Phalanges

Alors le psychiatre fit une longue prescription tout en prodiguant quelques conseils à son patient : "Monsieur Jack, observez bien mes recommandations et attendez de plus qu'on le détache. Vous verrez c'est fantastique. J'ai d'ailleurs accompagné mon frère là bas. Quel pied monumental ! Hélas pour nous tous, si l'on voulait, nous profiterions de ces minutes égoïstes pour les consacrer à Dieu. Commencez vite le traitement, coquinou, ou nous vous rognerons les ongles au feu."

Alors Jack rouspéta car les dimensions et limites de la vérité, dans les plus profondes et subtiles facettes de leur considération, n'étaient pas respectées dans les divagations du praticien. "Je ne vous donnerai pas un denier !", rétorqua Jack puis haussant d'un ton : "J'ai là une goutte d'eau-de-vie... Certes l'on ne peut contester les paroles que vous venez d'éructer. Séchez vos yeux et non pas nos gosiers !" Cette réaction embarrassa le  psychiatre qui s'empressa d'augmenter les doses prescrites. Il osa une diversion : "Travail difficile, j'en ai bien peur. Mon frère ne sera pas dupe de l'immortalité par ce prompt et soudain embellissement bien inexplicable de la situation. Dans sa belle santé de jeunesse, honteux comme un renard et méchant comme un corbeau, je le menais quelquefois dîner chez maman." Le passé évoqué, étrangement, parlait à Jack. "Secouez-vous les puces à présent, mon cher ami !", Conclut le praticien, "Un rejet trop précoce de la conformité n'a jamais aidé quiconque à grimper aux troncs d'arbres."

Abandonné à terrain découvert, quantité de légendes sur les origines d'une probable guérison circulait. Espoir qui valait le charme d'un repas avec maman. Dans cette dernière crise, avec la main d'un espoir secourable, il avait aperçut des lumières. L'influence de la voix du psychiatre s'étant fait sentir, de même le tronc (du corps de Jack) souffrant versait par sa blessure son sang et enflammait les joues de Jack. 

Belle voix, quelle absence d'idées ! À peu près égale et agrégée en une masse épaisse de sang, la souffrance était exactement la même, tandis qu'il se laissait vivre depuis un an déjà. Lui-même avait déjà pris maintes drogues assassines, qu'il se versait à travers l'enfilade du nez, afin que la peur s'inclina, comme si le silence de son esprit ne dusse exister. Maman... il pouvait tout de suite boire la mer. Piquant sa seringue quelque part dans Jack avec les délicatesses élégantes du reptile et du tigre, le psychiatre s'éloigna finalement sans bruit.

Reconnaissant envers ses deux guides, il revint sur-le-champ. Animé par le vin qu'on boit, on lisait sur son visage une joie encore à apprendre. L'État de son âme défaillante, Coquine lâche, il recula devant cet acte nécessaire. "Précipitez-vous pour descendre avant que je ne dorme plus." lâcha t-il finalement à Jack.
« Allons bon ! s'écria Socrate ; nous étions à la recherche d'une vertu : en voici tout un essaim ! »

lapinchien

#6
Le psychiatre fit une longue prescription tout en prodiguant quelques conseils à son patient : "Monsieur Jack, observez bien mes recommandations et attendez de plus qu'on le détache. Vous verrez c'est fantastique. J'ai d'ailleurs accompagné mon frère là bas. Quel pied monumental ! Hélas pour nous tous, si l'on voulait, nous profiterions de ces minutes égoïstes pour les consacrer à Dieu. Commencez vite le traitement, coquinou, ou nous vous rognerons les ongles au feu."

Alors Jack rouspéta car les dimensions et limites de la vérité, dans les plus profondes et subtiles facettes de leur considération, n'étaient pas respectées dans les divagations du praticien. "Je ne vous donnerai pas un denier !", rétorqua Jack puis haussant d'un ton : "J'ai là une goutte d'eau-de-vie... Certes l'on ne peut contester les paroles que vous venez d'éructer. Séchez vos yeux et non pas nos gosiers !" Cette réaction embarrassa le  psychiatre qui s'empressa d'augmenter les doses prescrites. Il osa une diversion : "Travail difficile, j'en ai bien peur. Mon frère ne sera pas dupe de l'immortalité par ce prompt et soudain embellissement bien inexplicable de la situation. Dans sa belle santé de jeunesse, honteux comme un renard et méchant comme un corbeau, je le menais quelquefois dîner chez maman." Le passé évoqué, étrangement, parlait à Jack. "Secouez-vous les puces à présent, mon cher ami !", Conclut le praticien, "Un rejet trop précoce de la conformité n'a jamais aidé quiconque à grimper aux troncs d'arbres."

Abandonné à terrain découvert, quantité de légendes sur les origines d'une probable guérison circulait. Espoir qui valait le charme d'un repas avec maman. Dans cette dernière crise, avec la main d'un espoir secourable, il avait aperçut des lumières. L'influence de la voix du psychiatre s'étant fait sentir, de même le tronc (du corps de Jack) souffrant versait par sa blessure son sang et enflammait les joues de notre garnement

Belle voix, quelle absence d'idées ! À peu près égale et agrégée en une masse épaisse de sang, la souffrance était exactement la même, tandis qu'il se laissait vivre depuis un an déjà. Lui-même avait déjà pris maintes drogues assassines, qu'il se versait à travers l'enfilade du nez, afin que la peur s'inclina, comme si le silence de son esprit ne dusse exister. Maman... il pouvait tout de suite boire la mer. Piquant sa seringue quelque part dans Jack avec les délicatesses élégantes du reptile et du tigre, le psychiatre s'éloigna finalement sans bruit.

Maman... Souvent elle s'était abandonnée au sommeil total après sa grande fatigue, mais on n'en était plus à ce genre de considération futile ; Cette dame respectable avait les mains et l'irritation du sable dans les plates-bandes après avoir donné la vie deux fois et maintenant elle n'était plus qu'un gros tas de compost enseveli et mal entretenu. "Arrête-toi un instant !", Se menaça Jack en se pointant du doigt avec insistance. Finalement le psychiatre s'affaissait dans un fauteuil et vomissait longuement puisqu'il jouissait de ce privilège : "Et, si ce mien maître-là est fou, (Freud, j'entends.) courageux, revêtu de sa robe, un glaïeul m'en soit témoin, mon frère m'écouterait peut-être marcher ce soir même !" Ce souvenir mettait clairement son cher ami, François Berléand, en en porte-à-faux, les sourcils déroulés tel un fantôme du futur.

Reconnaissant envers ses deux guides, il revint sur-le-champ. Animé par le vin qu'on boit, on lisait sur son visage une joie encore à apprendre. L'État de son âme défaillante, Coquine lâche, il recula devant cet acte nécessaire. "Précipitez-vous pour descendre avant que je ne dorme plus." lâcha t-il finalement à Jack.


lapinchien

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j'ai posté un premier épisode avec ce texte.
Ce serait bien que quelqu'un d'autre que moi entame le chapitre 2 pour donner une nouvelle direction.
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lapinchien


Lourdes Phalanges

Chapitre II

"Nous croirons ce que nous allions dîner quelque part" cria quelqu'un ou quelque chose dans la tête de Jack. Ensemble ils vivent ensevelis dans les ténébreuses profondeurs ; ensemble ils formaient une très longue phase de transition et prenant les oiseaux pour se raconter des histoires des grandes cités qui ont existé dans chacun de ces quatre enfers."Imagine-toi que je suis la vie de tous les problèmes de cette dernière époque" continua la voix... "Fait de pièces détachées, parmi les noms sortis de l'urne de quatre-vingts ans. Note de l'observatoire : j'étais invisible, et après notre rupture, je n'entreprendrai pas d'en reparler ?"
« Allons bon ! s'écria Socrate ; nous étions à la recherche d'une vertu : en voici tout un essaim ! »

lapinchien

#10
Chapitre II

"Nous croirons ce que nous allions dîner quelque part" cria quelqu'un ou quelque chose dans la tête de Jack. L'alternative bizarre, où cette entité le priait de passer chez son ennemi mortel, fit baver l'éphèbe sur le trône de l'évêque. Ensemble ils vivent ensevelis dans les ténébreuses profondeurs ; ensemble ils formaient une très longue phase de transition et prenant les oiseaux pour se raconter des histoires des grandes cités qui ont existé dans chacun de ces quatre enfers. Encore un effet secondaire des nouveaux médocs contre les symptômes florides des psychoses. Florides ? Bordel ! Mais pourquoi pas connecticuts ou alabamas ? "Imagine-toi que je suis la vie de tous les problèmes de cette dernière époque" continua la voix... Tumulte effroyable, un rire général s'échappant de l'auditorium dans son crâne avait accueilli ce petit récit. "Fait de pièces détachées, parmi les noms sortis de l'urne de quatre-vingts ans. Note de l'observatoire : j'étais invisible, et après notre rupture, je n'entreprendrai pas d'en reparler ?"

Jack cacha son visage dans les buissons pour ne point montrer à la plèbe une hilarité irrationnelle dont il aurait fait les frais. La voix poursuivait son monologue de type stand up : "Et nous serions ainsi dispensés tous deux de l'absolution, et ce point est crucial ! Foin des moines qui portaient les fléaux et criaient à la chienlit." Des promeneurs accoururent ; des boutiquiers, l'air grave appelaient, Jack, mon cher curé. Le jeune homme, confus, plaça son pouce dans l'oreille et son auriculaire devant sa bouche pour feindre un double appel. "Allez, allez !", disait le pauvre bougre entre ses dents, "Jetez-le hors de la cabane de planches ayant été détruite. Il n'ouvrira pas le samedi !"

Lourdes Phalanges

Chapitre II

"Nous croirons ce que nous allions dîner quelque part" cria quelqu'un ou quelque chose dans la tête de Jack. L'alternative bizarre, où cette entité le priait de passer chez son ennemi mortel, fit baver l'éphèbe sur le trône de l'évêque. Ensemble ils vivent ensevelis dans les ténébreuses profondeurs ; ensemble ils formaient une très longue phase de transition et prenant les oiseaux pour se raconter des histoires des grandes cités qui ont existé dans chacun de ces quatre enfers. Encore un effet secondaire des nouveaux médocs contre les symptômes florides des psychoses. Florides ? Bordel ! Mais pourquoi pas connecticuts ou alabamas ? "Imagine-toi que je suis la vie de tous les problèmes de cette dernière époque" continua la voix... Tumulte effroyable, un rire général s'échappant de l'auditorium dans son crâne avait accueilli ce petit récit. "Fait de pièces détachées, parmi les noms sortis de l'urne de quatre-vingts ans. Note de l'observatoire : j'étais invisible, et après notre rupture, je n'entreprendrai pas d'en reparler ?"

Jack cacha son visage dans les buissons pour ne point montrer à la plèbe une hilarité irrationnelle dont il aurait fait les frais. La voix poursuivait son monologue de type stand up : "Et nous serions ainsi dispensés tous deux de l'absolution, et ce point est crucial ! Foin des moines qui portaient les fléaux et criaient à la chienlit." Des promeneurs accoururent ; des boutiquiers, l'air grave appelaient, Jack, mon cher curé. Le jeune homme, confus, plaça son pouce dans l'oreille et son auriculaire devant sa bouche pour feindre un double appel. "Allez, allez !", disait le pauvre bougre entre ses dents, "Jetez-le hors de la cabane de planches ayant été détruite. Il n'ouvrira pas le samedi !"

Donc, à neuf ou dix personnes, ils l'attachèrent au tronc d'un vieux domestique, mais comme des enfants, tirant sur les avirons. "Parfait, j'allais trouver le seigneur !" s'égosilla Jack, qui, contenu les uns dans les autres, tiendrait son rang, en attendant la réponse de l'inflexible nécessité. Bousculé par un passant, c'est évidemment lui que l'on console, transporté sur ces hauteurs qui servaient d'introduction à la connaissance. "Frappez fort pour qu'on puisse multiplier à discrétion mes pertes et ma dépense..." Marmonna l'un des boutiquiers, tout de sueur trempé.
« Allons bon ! s'écria Socrate ; nous étions à la recherche d'une vertu : en voici tout un essaim ! »

lapinchien

Chapitre II

"Nous croirons ce que nous allions dîner quelque part" cria quelqu'un ou quelque chose dans la tête de Jack. L'alternative bizarre, où cette entité le priait de passer chez son ennemi mortel, fit baver l'éphèbe sur le trône de l'évêque. Ensemble ils vivent ensevelis dans les ténébreuses profondeurs ; ensemble ils formaient une très longue phase de transition et prenant les oiseaux pour se raconter des histoires des grandes cités qui ont existé dans chacun de ces quatre enfers. Mauvais signe pour le malade, il avait quelque chose dans l'espèce de tambour dans les oreilles : "les bruyantes paroles du gredin de psychiatre". Encore un effet secondaire des nouveaux médocs contre les symptômes florides des psychoses. Florides ? Bordel ! Mais pourquoi pas connecticuts ou alabamas ? "Imagine-toi que je suis la vie de tous les problèmes de cette dernière époque" continua la voix... Tumulte effroyable, un rire général s'échappant de l'auditorium dans son crâne avait accueilli ce petit récit. "Fait de pièces détachées, parmi les noms sortis de l'urne de quatre-vingts ans. Note de l'observatoire : j'étais invisible, et après notre rupture, je n'entreprendrai pas d'en reparler ?"

Jack cacha son visage dans les buissons pour ne point montrer à la plèbe une hilarité irrationnelle dont il aurait fait les frais. La voix poursuivait son monologue de type stand up : "Et nous serions ainsi dispensés tous deux de l'absolution, et ce point est crucial ! Foin des moines qui portaient les fléaux et criaient à la chienlit !" Des promeneurs accoururent ; des boutiquiers, l'air grave, appelaient Jack, mon cher curé. Le jeune homme, confus, plaça son pouce dans l'oreille et son auriculaire devant sa bouche pour feindre un double appel. "Allez, allez !", disait le pauvre bougre entre ses dents, "Jetez-le hors de la cabane de planches ayant été détruite. Il n'ouvrira pas le samedi !"

Donc, à neuf ou dix personnes, ils l'attachèrent au tronc d'un vieux domestique, mais comme des enfants, tirant sur les avirons. "Parfait, j'allais trouver le seigneur !" s'égosilla Jack, qui, contenu les uns dans les autres, tiendrait son rang, en attendant la réponse de l'inflexible nécessité. Bousculé par un passant, c'est évidemment lui que l'on console, transporté sur ces hauteurs qui servaient d'introduction à la connaissance. "Frappez fort pour qu'on puisse multiplier à discrétion mes pertes et ma dépense..." Marmonna l'un des boutiquiers, tout de sueur trempé.

Seulement ceux qui le lynchaient étaient toujours suivis de cohortes de pleureuses, comme il sied dans ces contrées, à l'usage du pays. Ces artifices étaient fort utiles pour masquer les bruits incongrus d'un tabassage en règle de la milice de quartier. Le boutiquier en sueur, un vendeur de sommeil, assoiffé, de pouvoir, d'argent, de sexe, d'eau potable, se proposa, au nom du collectif des gens molestés, de demander à Jack de rendre des comptes devant la commission des indemnités. "Rendez-nous la voix dans votre tête, celle-là même qui s'en amouracha jadis de vous, mais nous vous serions gré de nous la restituer en silence. Cessez vos verbiages incohérents. Faites le boire qu'il se taise ou poussez le dans le vide."

LePouilleux

Ça devient cauchemardesque... excellent ! Je reviens apporter mon caillou à l'édifice dès que j'ai un peu plus d'alcool dans les veines.

lapinchien

Yeah ! Pouce bleu. Perso, c'est les neuroleptiques que je commence ce soir.