La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

zonards honorifiques

Démarré par lapinchien, Décembre 25, 2014, 12:42:02

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lapinchien

Serait-il possible de poster des textes écrits par des zonards honorifiques ? c'est à dire des textes connus qui répondent aux exigences éditoriales du site et écrits par des types qui pourraient être des zonards de passage, vivants ou morts. Bien sûr sans leur consentement. Au delà des textes, l'intérêt résiderait dans les commentaires qui pourraient en être fait. Le parrain du zonard honorifique le défendant à décharge et les autres commentateurs déclinant des contre-arguments pour exclure l'auteur du cercle.

J'avais pensé pour un premier essai à poster ce discours du pape François car je trouve qu'il est super transgressif, punk, et à contre-courant de la bienséance ambiante.
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Des maladies et des tentations qui affaiblissent notre service (22 décembre 2014, discours du pape François lors de la présentation des vœux de Noël à la Curie romaine - extrait )

La Curie est appelée à s'améliorer, à s'améliorer en permanence et à croître dans la communion, la sainteté et la sagesse pour pleinement mener à bien sa mission. Pourtant, comme tout corps, comme tout corps humain, elle est exposée aussi aux maladies, au dysfonctionnement, à l'infirmité. Et je voudrais mentionner ici certaines de ces probables maladies, les « maladies curiales ». Ce sont des maladies assez communes dans notre vie de Curie. Ce sont des maladies et des tentations qui affaiblissent notre service au Seigneur. Je crois que, à l'instar des Pères du désert qui en rédigeaient de tels, le « catalogue » de ces maladies nous aidera à nous préparer au sacrement de la réconciliation, qui constituera pour nous tous une étape importante vers la fête de Noël.

1. La maladie de celui qui se sent « immortel », « immunisé » ou tout à fait « indispensable » et néglige les contrôles nécessaires et habituels. Une Curie qui ne fait pas son autocritique, ne s'ajuste pas en permanence, ne cherche pas à s'améliorer, est un corps malade, infirme. Une simple visite au cimetière nous permettrait de voir les noms de nombreuses personnes, dont certaines pensaient peut-être qu'elles étaient immortelles, immunisées et indispensables ! C'est la maladie de l'homme riche et insensé de l'Évangile qui pensait vivre éternellement  et de tous ceux qui se transforment en maîtres et se sentent supérieurs à tous, et non au service de tous. Elle découle souvent de la pathologie du pouvoir, du « complexe des élus », du narcissisme qui consiste à regarder passionnément sa propre image et à ne pas voir l'image de Dieu imprimée sur le visage des autres, spécialement des plus faibles et des plus nécessiteux. L'antidote à cette épidémie est la grâce de se sentir pécheurs et de savoir dire de tout cœur : « Nous sommes de simples serviteurs : nous n'avons fait que notre devoir ».

2. Autre maladie : le « marthalisme » (qui vient de Marthe) ou l'activité excessive. Elle concerne ceux qui se noient dans le travail et négligent inévitablement « la meilleure part » : s'asseoir aux pieds de Jésus. C'est pourquoi Jésus a demandé à ses disciples de « se reposer un peu », car négliger le repos nécessaire conduit au stress et à l'agitation. Le temps du repos, pour celui qui a mené à bien sa mission, est une nécessité, un devoir, et doit être vécu sérieusement : en passant un peu de temps avec sa famille et en respectant les jours fériés comme des moments pour se ressourcer spirituellement et physiquement. Il faut retenir ce qu'enseigne Qohéleth : « Il y a un moment pour tout ».

3. Il y a aussi la maladie de la « pétrification » mentale et spirituelle. Ceux qui en sont atteints possèdent un cœur de pierre et une « nuque raide ». Ce sont ceux qui, chemin faisant, perdent leur sérénité intérieure, la vivacité et l'audace, et se cachent derrière leurs dossiers, devenant les « rois du formulaire » et non « des hommes de Dieu ». Il est dangereux de perdre cette sensibilité humaine qui permet de pleurer avec ceux qui pleurent et de se réjouir avec ceux qui se réjouissent ! C'est la maladie de ceux qui perdent « les dispositions » de Jésus. Car, au fil du temps, leur cœur se durcit et devient incapable d'aimer inconditionnellement le Père et le prochain. Être chrétien, en fait, signifie avoir « les dispositions qui sont dans le Christ Jésus », dispositions à l'humilité et au don, au détachement et à la générosité.

4. La maladie de la planification excessive et du fonctionnarisme. Quand l'apôtre planifie tout minutieusement et croit que planifier à la perfection fait réellement avancer les choses, il se transforme pratiquement en expert-comptable ou en fiscaliste. Tout bien préparer est nécessaire mais il ne faut jamais succomber à la tentation de vouloir enfermer ou piloter la liberté de l'Esprit Saint, qui demeure toujours plus grande, plus généreuse que toute planification humaine. On se laisse gagner par cette maladie parce qu'il « est toujours plus facile et plus commode de se caler dans ses propres positions statiques et inchangées. En réalité, l'Église se montre fidèle à l'Esprit Saint dans la mesure où elle n'a pas la prétention de le régler ni de le domestiquer – domestiquer l'Esprit Saint ! – Il est fraîcheur, imagination, nouveauté ».

5. La maladie de la mauvaise coordination. Quand il n'existe plus de communion entre les membres et que le corps est privé de son fonctionnement harmonieux et de sa tempérance en devenant un orchestre qui produit seulement du chahut, parce que ses membres ne collaborent pas et ne vivent pas l'esprit de communion et d'équipe. Lorsque le pied dit au bras : « je n'ai pas besoin de toi » ou la main à la tête : « c'est moi qui commande », provoquant ainsi malaise et scandale.

6. Il y a aussi la maladie d'« Alzheimer spirituelle », c'est-à-dire l'oubli de « l'histoire du salut », de l'histoire personnelle avec le Seigneur, du « premier amour ». Il s'agit d'un déclin progressif des facultés spirituelles qui, à plus ou moins long terme, provoque de graves handicaps chez la personne, la rendant incapable d'exercer une activité autonome. Celle-ci vit dans un état de dépendance absolue vis-à-vis de ses vues souvent imaginaires. Nous détectons cette maladie chez ceux qui ont perdu la mémoire de leur rencontre avec le Seigneur ; chez ceux qui ne perçoivent pas le sens historique de la vie ; chez ceux qui sont totalement dépendants de leur présent, de leurs passions, caprices et manies ; chez ceux qui construisent autour d'eux des murs et des habitudes et deviennent de plus en plus esclaves des idoles qu'ils ont sculptées de leurs propres mains.

7. La maladie de la rivalité et de la vanité. Quand l'apparence, les couleurs des vêtements, les signes honorifiques deviennent le premier objectif de la vie, et que l'on oublie les paroles de saint Paul : « Ne soyez jamais intrigants ni vaniteux, mais ayez assez d'humilité pour estimer les autres supérieurs à vous-mêmes. Que chacun de vous ne soit pas préoccupé de ses propres intérêts ; pensez aussi à ceux des autres ». C'est la maladie qui nous pousse à être des hommes et des femmes faux et à vivre un faux « mysticisme », et un faux « quiétisme ». Paul lui-même les définit comme des « ennemis de la croix du Christ » parce qu'ils « mettent leur gloire dans ce qui fait leur honte ; ils ne pensent qu'aux choses de la terre ».

8. La maladie de la schizophrénie existentielle. C'est la maladie de ceux qui ont une double vie, fruit de l'hypocrisie typique du médiocre et du vide spirituel progressif que les diplômes et les titres académiques ne peuvent combler. Une maladie qui frappe souvent ceux qui, abandonnant le service pastoral, se limitent aux tâches bureaucratiques et perdent ainsi le contact avec la réalité, avec les personnes concrètes. Ils créent ainsi un monde parallèle, à eux, où ils mettent de côté tout ce qu'ils enseignent sévèrement aux autres et où ils commencent à vivre une vie cachée et souvent dissolue. La conversion est assez urgente et indispensable pour lutter contre cette maladie extrêmement grave.

9. La maladie de la rumeur, de la médisance, et du commérage. J'ai déjà parlé de nombreuses fois de cette maladie, mais cela ne suffit pas encore. C'est une maladie grave, qui commence simplement, peut-être seulement pour faire un brin de causette, et qui s'empare de la personne. Celle-ci se met alors à « semer de la zizanie » (comme Satan), et dans beaucoup de cas à « assassiner de sang froid » la réputation de ses propres collègues et confrères. C'est la maladie des personnes lâches qui, n'ayant pas le courage de parler directement et parlent dans le dos. Saint Paul avertit : « Faites tout sans récriminer et sans discuter ; ainsi vous serez irréprochables et purs ». Frères, gardons-nous du terrorisme des bavardages !

10. La maladie qui consiste à diviniser les chefs. C'est la maladie de ceux qui courtisent leurs supérieurs, en espérant obtenir leur bienveillance. Ils sont victimes du carriérisme et de l'opportunisme, ils honorent les personnes et non Dieu. Ce sont des personnes qui vivent le service en pensant uniquement à ce qu'ils doivent obtenir, et non à ce qu'ils doivent donner. Des personnes mesquines, malheureuses, et inspirées seulement par leur égoïsme fatal. Cette maladie pourrait frapper aussi les supérieurs quand ils courtisent certains de leurs collaborateurs pour obtenir leur soumission, leur loyauté et leur dépendance psychologique, mais il en résulte au final une véritable complicité.

11. La maladie de l'indifférence envers les autres. Elle survient quand chacun ne pense qu'à soi et perd la sincérité et la chaleur des relations humaines. Quand le plus expert ne met pas ses connaissances au service des collègues qui le sont moins. Quand on vient à apprendre quelque chose et qu'on le garde pour soi au lieu de le partager de manière positive avec les autres. Quand, par jalousie ou par ruse, on éprouve de la joie à voir l'autre tomber au lieu de le relever et de l'encourager.

12. La maladie du visage lugubre. Elle est celle des personnes bourrues et revêches, qui estiment que pour être sérieux il faut porter le masque de la mélancolie, de la sévérité, et traiter les autres – surtout ceux que l'on considère comme inférieurs – avec rigidité, dureté et arrogance. En réalité, la sévérité théâtrale et le pessimisme stérile sont souvent les symptômes d'un sentiment de peur et de d'insécurité. L'apôtre doit s'efforcer d'être une personne courtoise, sereine, enthousiaste et joyeuse qui transmet la joie quel que soit l'endroit où il se trouve. Un cœur empli de Dieu est un cœur heureux qui irradie et communique sa joie à tous ceux qui l'entourent : cela se voit tout de suite ! Ne perdons donc pas cet esprit joyeux, qui sait manier l'humour, et même l'autodérision, qui font de nous des personnes aimables même dans les situations difficiles. Comme une bonne dose d'humour sain nous fait du bien ! Réciter souvent la prière de saint Thomas More nous fera le plus grand bien : je le fais tous les jours, cela me fait du bien.

13. La maladie qui consiste à accumuler. Souffre de celle-ci l'apôtre qui cherche à combler un vide existentiel dans son cœur en accumulant les biens matériels, non pas par nécessité, mais seulement pour se sentir en sécurité. En réalité, nous ne pourrons emporter avec nous rien de matériel parce que « le linceul n'a pas de poches » et tous nos trésors terrestres – même si ce sont des cadeaux – ne pourront jamais combler ce vide. Au contraire, ils le rendront encore plus exigeant, et plus profond. À ces personnes, le Seigneur rappelle : « Tu dis : 'Je suis riche, je me suis enrichi, je ne manque de rien', et tu ne sais pas que tu es malheureux, pitoyable, pauvre, aveugle et nu ! [...]. Eh bien, sois fervent et convertis-toi ». L'accumulation ne fait que nous alourdir et ralentir inexorablement notre chemin ! Je pense à une anecdote. Autrefois, les jésuites espagnols décrivaient la Compagnie de Jésus comme la « cavalerie légère de l'Église ». Je me souviens du déménagement d'un jeune jésuite : il était en train de charger dans un camion tout ce qu'il avait – bagages, livres, objets, cadeaux –, quand un vieux jésuite qui l'observait lui dit : « Ce serait cela la 'cavalerie légère de l'Église' ? » Nos déménagements sont un signe de cette maladie.

14. La maladie des cercles fermés, quand l'appartenance à un petit groupe devient plus forte que celle au Corps et, dans certaines situations, au Christ lui-même. Cette maladie elle aussi commence toujours par de bonnes intentions, mais au fil du temps, elle asservit ses membres, devient un cancer qui menace l'harmonie du Corps et cause tellement de mal – des scandales –, spécialement aux plus petits de nos frères. L'autodestruction ou le « tir ami » des frères d'armes est le danger le plus sournois. C'est le mal qui frappe de l'intérieur et, comme le dit le Christ, « tout royaume divisé contre lui-même devient désert ».

15. Et la dernière, la maladie du profit mondain, des exhibitionnismes. Elle est celle de l'apôtre qui transforme son service en pouvoir, et son pouvoir en marchandise pour obtenir des profits mondains, ou davantage de pouvoir. C'est la maladie des personnes qui cherchent insatiablement à multiplier les pouvoirs et dans ce but, ils sont capables de calomnier, de diffamer, de discréditer les autres, jusque dans les journaux et les magazines. Naturellement, dans le but de s'afficher et de montrer qu'ils sont davantage capables que les autres. Cette maladie fait elle aussi beaucoup de mal au Corps parce qu'elle conduit les personnes à justifier l'usage de n'importe quel moyen pour atteindre ce but, souvent au nom de la justice et de la transparence ! Il me vient à l'esprit le souvenir d'un prêtre qui appelait les journalistes pour leur raconter – et inventer – des choses privées et personnelles sur ses confrères et ses paroissiens. Pour lui, seul comptait le fait de se voir à la une des journaux, parce qu'ainsi il se sentait « puissant et irrésistible ». Il faisait tellement de mal aux autres et à l'Église. Le pauvre !

Frères, de telles maladies et de telles tentations sont naturellement un danger pour tout chrétien et pour toute curie, communauté, congrégation, paroisse, mouvement ecclésial. Et elles peuvent frapper au niveau individuel ou communautaire.

Dourak Smerdiakov

- domaine public
- droit de citation
- procès, menaces, genoux pétés à coups de barre de fer


- intérêt dans les débats en commentaires ?
- état concret de l'activité du site
- réalisme


Je loue moi aussi les qualités de François, mais de là à le déclarer zonard, je crois qu'il y a de la marge.


Sinon, concrètement, ce qui me paraîtrait réaliste, ce serait des sortes de chroniques/présentations/critiques d'un texte ou d'un auteur jugé zonard ou intéressant. Un peu comme sur un blog littéraire, quoi... Je ne sais trop si c'est une bonne idée, mais concrètement il suffirait de créer un dossier consacré. Si tu veux le faire, juste-fais-le. Dès qu'il y a deux textes, on crée le dossier. Mais bien le faire, de façon à produire un texte qui ait de l'intérêt, c'est y passer du temps, a priori. Mieux vaut que ça ait de l'intérêt.


Du reste, fondamentalement, discuter de la zonarditude des gens ou des choses ne me semble pas passionnant. Il y a un esprit général du site à respecter ; au-delà de ça, perso, je m'en tamponne.
Pour le débat citoyen et convivial dans le respect indivisiblement démocratique de la diversité multi-culturelle des valeurs républicaines oecuméniques.

lapinchien

Bon en fait en y réfléchissant de nouveau, et après lecture de tes considérations, effectivement ce texte en particulier n'a pas sa place sur la Zone car son auteur en est aussi le narateur et qu'il le présente au premier degré. On pourrait me taxer de prosélytisme mais je ne suis même pas chrétien pratiquant et à peine d'origine, je ne suis pas un lobbyste du Vatican non plus payé pour endoctriner les surfeurs égarés du web.

J'ai bien aimé le coté managérial de ce texte avant tout, la transposition qui pourrait en être faite dans d'autres domaines (gérant de Mc Do, PDG de multinationale, leader de parti politique, parrain de la mafia, chef de tribu Ewok)

lapinchien

Ça aurait pu être une bonne base d'une nouvelle fournée de serial édit mais effectivement l'activité du site actuelle ne le permettrait pas. En fait j'ai essayé de trouver une initiative en me forçant et j'ai tout de suite été grillé. Zonards honorifiques avec recul c'est une idée un peu foireuse. Mais c'est ce texte qui m'a ébloui ainsi que l'esprit de Noël et la vodka d'alcool de patate polonaise.

Dourak Smerdiakov

Et paix aux pommes de terre de bonne volonté.
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lapinchien

Ah, et puis j'ai remplacé schizophrène et alzheimer et handicapé par trisomique et séropositif et quebecon dans ma tête aussi et je me suis fais la remarque que ce pape François, il était vachement pas politiquement correct avec sa karsherisation de sa curie d'Augias... Et que ça me donnait l'impression de lire un texte zonard du coup.

Dourak Smerdiakov

Bah, même pas, non, il n'est pas politiquement incorrect. Tout ce qu'il dit, en tous cas dans le texte ci-dessus, paraît évident, naturel, inattaquable une fois que c'est dit. Ça fait du bien qu'un pape le dise, mais ça devrait être normal.

On peut rappeler que JP II dénonçait les excès du capitalisme mais que nos médias préféraient le présenter comme un opposant au communisme soviétique. Un peu comme Soljenitsyne.

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lapinchien

et si j'étais fiscaliste ou comptable ou fonctionnaire aussi je me sentirais un peu aliéné par ce discours qui paradoxalement exhorte au rassemblement et fustige la division. AH § et ça aurait été plus zonard si à la place d'esprit saint il avait parlé de foutre et qu'il avait été réalisateur de films porno à la place de pape. ENFIN EN GROS CE TEXTE A UN GROS POTENTIEL PATAMODELESQUE § j'avais déjà fais un texte POPE CORN ou je citais BENOIT XVI alors peut être que je vais pondre une suite de type COMPLOT JESUITOFINANCIER DU PAPE NOIR DE SAINT MALACHIE MAIS JE MANGE DES PRUNEAUX ?

Dourak Smerdiakov

SAINT MALACHIE NE PROFITE JAMAIS.
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Dourak Smerdiakov

Ton texte sur Benoît XVI n'était pas très catholique, si je me souviens bien. Et puis, chrétien d'origine, ça n'a pas beaucoup de sens. Meme si, concrètement, on peut deviner vaguement ce que ça peut vouloir dire.

Et puis Darid a une petite bite.
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Dourak Smerdiakov

Je suis enfin parvenu à mes fins. Je me suis emparé de ce site de dégénérés et de mécréants et j'en ai fait un forum chrétien.
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lapinchien

perso je compte bien pé-cho de la lop-sa aux prochaines JMJ. Elles sont plus chaudasses qu'au burningman à ce qu'il parait.

lapinchien

dans pope corn avec Benito, mon narrateur shootait des gars d'ONG en Afrique qui distribuaient des capotes dans la gueule des petits africains mais à la fin il mourrait avec le pape dans une combustion spontanée liée à un départ de feu au cul suite à des rapports sodomites prolongés. L'un dans l'autre ça doit être un peu catholique.

Dourak Smerdiakov

Je ne comprends plus rien à ce que tu dis, je suppose que tu t'es mis à parler polonais.
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lapinchien

la résurrection des personnages ne devrait pas poser de problème LOGIC dans ce type de SYSTEM de croyances. je vais mouliner un scenario en tache de fond dans ma tronche pour une suite en 2027 date de la fin du monde selon les prédictions du mec qui s'est fait passer pour St Malachie 3 siècles après sa mort et je devrais arrêter de regarder des reportages sur RMC DECOUVERTES aussi.