La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

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Démarré par lapinchien, Novembre 08, 2009, 03:28:46

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lapinchien

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la pâtisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son cœur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème pâtissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème pâtissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclencher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mêlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Geronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent frôler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien. S'agissant de cibles strictement civiles, son usage était parfaitement licite en regard du droit international applicable et notamment du traité de non-prolifération nucléaire signé par la République Islamique d'Iran.

Au milieu de la foule, Jack reconnu sa proie avec l'acuité visuelle d'un lynx en chaleur, en l'alpaguant par le col (ou bien était-ce son quadruple menton), il la traina dans l'indifférence générale dans un endroit reclus où personne ne viendrait perturber leur rituel amoureux, la cabine à l'abandon pour cause de pause syndicale de guichetiers dealers de coupons violets et pass Navigo, aussi la grosse dame tétanisée ou peut être consentante, ne mouftant pas le moins du monde, se mis à  lécher et pourlécher son éclair suintant de nappage prédigéré et d'amylase salivaire en adoptant une moue lascive et offerte et en couvrant son auguste apollon de clins d'œil aguicheurs (ou peut être était-ce un tic nerveux provoqué par la terreur de devenir l'objet sexuel d'un déséquilibré).

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

Narak

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la pâtisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son cœur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème pâtissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème pâtissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclencher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mêlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Geronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent frôler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien. S'agissant de cibles strictement civiles, son usage était parfaitement licite en regard du droit international applicable et notamment du traité de non-prolifération nucléaire signé par la République Islamique d'Iran.

Au milieu de la foule, Jack reconnu sa proie avec l'acuité visuelle d'un lynx en chaleur, en l'alpaguant par le col (ou bien était-ce son quadruple menton), il la traina dans l'indifférence générale dans un endroit reclus où personne ne viendrait perturber leur rituel amoureux, la cabine à l'abandon pour cause de pause syndicale de guichetiers dealers de coupons violets et pass Navigo, aussi la grosse dame tétanisée ou peut être consentante, ne mouftant pas le moins du monde, se mis à  lécher et pourlécher son éclair suintant de nappage prédigéré et d'amylase salivaire en adoptant une moue lascive et offerte et en couvrant son auguste apollon de clins d'œil aguicheurs (ou peut être était-ce un tic nerveux provoqué par la terreur de devenir l'objet sexuel d'un déséquilibré). Jack, rendu nerveux par l'urgence de la situation, tenta avec une maladresse gênante de lui gifler les joues avec son sexe comme il l'avait vu faire dans la plupart des pornos gonzo californiens qu'il s'envoyait tous les deux jours. Ce qui le touchait le plus dans ces productions, mis à part les anus dilatés par trois bites, était cet enthousiasme quasi-palpable avec lequel les acteurs endossaient leur rôle. "Ca c'est pas du mainstream" se plaisait-il à dire fréquemment en s'asseyant, encore transpirant d'onanisme, sur des sachets de glaçons. Mais revenons à la bite de Jack fraichement exhibée sous le gode-ceinture.
L'amour c'est fort, l'envie de chier c'est pire...

Kolokoltchiki

Elle avait une forme étrange aujourd'hui. En plus des croutes brunatres habituelles, elle semblait plus bridée que d'habitude. Jack et elle se fixait droit dans le blancs de yeux quand la grosse dame lui proposa une fellation pour redonner de la vigueur à cette relique ancestrale. Tandis que la femme commençait à travailler, Jack sortit son gode et se le planta dans le cul jusqu'à la garde.
" Je vais prendre un J&B on the rocks, et un couteau de boucher, ou un truc coupant, ce que vous pourrez trouver dans la cuisine. Les filles ? "

lapinchien

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la pâtisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son cœur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème pâtissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème pâtissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclencher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mêlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Geronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent frôler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien. S'agissant de cibles strictement civiles, son usage était parfaitement licite en regard du droit international applicable et notamment du traité de non-prolifération nucléaire signé par la République Islamique d'Iran.

Au milieu de la foule, Jack reconnu sa proie avec l'acuité visuelle d'un lynx en chaleur, en l'alpaguant par le col (ou bien était-ce son quadruple menton), il la traina dans l'indifférence générale dans un endroit reclus où personne ne viendrait perturber leur rituel amoureux, la cabine à l'abandon pour cause de pause syndicale de guichetiers dealers de coupons violets et pass Navigo, aussi la grosse dame tétanisée ou peut être consentante, ne mouftant pas le moins du monde, se mis à  lécher et pourlécher son éclair suintant de nappage prédigéré et d'amylase salivaire en adoptant une moue lascive et offerte et en couvrant son auguste apollon de clins d'œil aguicheurs (ou peut être était-ce un tic nerveux provoqué par la terreur de devenir l'objet sexuel d'un déséquilibré). Jack, rendu nerveux par l'urgence de la situation, tenta avec une maladresse gênante de lui gifler les joues avec son sexe comme il l'avait vu faire dans la plupart des pornos gonzo californiens qu'il s'envoyait tous les deux jours. Ce qui le touchait le plus dans ces productions, mis à part les anus dilatés par trois bites, était cet enthousiasme quasi-palpable avec lequel les acteurs endossaient leur rôle. "Ca c'est pas du mainstream" se plaisait-il à dire fréquemment en s'asseyant, encore transpirant d'onanisme, sur des sachets de glaçons. Mais revenons à la bite de Jack fraichement exhibée sous le gode-ceinture.Elle avait une forme étrange aujourd'hui. En plus des croutes brunatres habituelles, elle semblait plus bridée que d'habitude. Jack et elle se fixait droit dans le blancs de yeux quand la grosse dame lui proposa une fellation pour redonner de la vigueur à cette relique ancestrale. Tandis que la femme commençait à travailler, Jack sortit son gode et se le planta dans le cul jusqu'à la garde.

"Oh là, ya quelqu'un là-dedans ?" Un petit gars de la proche banlieue nord ou tu du moins cherchant à le prétendre de par son accoutrement de moine franciscain encapuché Nike, se mit soudain à tambouriner sur la vitre tout en postillonnant au travers de l'hygiaphone : "j'voudrais un aller-retour 2eme classe pour Freinville Sevran, s'il vous plaît. En train couchettes et si possible la place du haut."

Das

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la pâtisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son cœur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème pâtissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème pâtissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclencher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mêlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Geronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent frôler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien. S'agissant de cibles strictement civiles, son usage était parfaitement licite en regard du droit international applicable et notamment du traité de non-prolifération nucléaire signé par la République Islamique d'Iran.

Au milieu de la foule, Jack reconnu sa proie avec l'acuité visuelle d'un lynx en chaleur, en l'alpaguant par le col (ou bien était-ce son quadruple menton), il la traina dans l'indifférence générale dans un endroit reclus où personne ne viendrait perturber leur rituel amoureux, la cabine à l'abandon pour cause de pause syndicale de guichetiers dealers de coupons violets et pass Navigo, aussi la grosse dame tétanisée ou peut être consentante, ne mouftant pas le moins du monde, se mis à  lécher et pourlécher son éclair suintant de nappage prédigéré et d'amylase salivaire en adoptant une moue lascive et offerte et en couvrant son auguste apollon de clins d'œil aguicheurs (ou peut être était-ce un tic nerveux provoqué par la terreur de devenir l'objet sexuel d'un déséquilibré). Jack, rendu nerveux par l'urgence de la situation, tenta avec une maladresse gênante de lui gifler les joues avec son sexe comme il l'avait vu faire dans la plupart des pornos gonzo californiens qu'il s'envoyait tous les deux jours. Ce qui le touchait le plus dans ces productions, mis à part les anus dilatés par trois bites, était cet enthousiasme quasi-palpable avec lequel les acteurs endossaient leur rôle. "Ca c'est pas du mainstream" se plaisait-il à dire fréquemment en s'asseyant, encore transpirant d'onanisme, sur des sachets de glaçons. Mais revenons à la bite de Jack fraichement exhibée sous le gode-ceinture.Elle avait une forme étrange aujourd'hui. En plus des croutes brunatres habituelles, elle semblait plus bridée que d'habitude. Jack et elle se fixait droit dans le blancs de yeux quand la grosse dame lui proposa une fellation pour redonner de la vigueur à cette relique ancestrale. Tandis que la femme commençait à travailler, Jack sortit son gode et se le planta dans le cul jusqu'à la garde.Amateur des premières heures du toucher prostatique, il ne se sentait jamais autant comblé qu'avec le fion bien rempli, et cette fois-ci ne fit pas exception : d'extase, son front tendu de plaisir alla s'écraser mollement contre la vitre. Il l'avait presque recouverte entièrement de bave quand un faux plaisant vint l'interrompre fort peu à propos :

"Oh là, ya quelqu'un là-dedans ?" Un petit gars de la proche banlieue nord ou tu du moins cherchant à le prétendre de par son accoutrement de moine franciscain encapuché Nike, se mit soudain à tambouriner sur la vitre tout en postillonnant au travers de l'hygiaphone : "j'voudrais un aller-retour 2eme classe pour Freinville Sevran, s'il vous plaît. En train couchettes et si possible la place du haut."

Yog

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu.Son gode bordeaux etait mal attaché, il grattait et glissait sur la sueur de ses hanches et de son cul  Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
"Te lave pas, j'arrive"

Yog

Je me suis quichée et je vous emmerde
"Te lave pas, j'arrive"

lapinchien

#52
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Son gode bordeaux était mal attaché, il grattait et glissait sur la sueur de ses hanches et de son cul. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la pâtisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son cœur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème pâtissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème pâtissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclencher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mêlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Geronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent frôler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien. S'agissant de cibles strictement civiles, son usage était parfaitement licite en regard du droit international applicable et notamment du traité de non-prolifération nucléaire signé par la République Islamique d'Iran.

Au milieu de la foule, Jack reconnu sa proie avec l'acuité visuelle d'un lynx en chaleur, en l'alpaguant par le col (ou bien était-ce son quadruple menton), il la traina dans l'indifférence générale dans un endroit reclus où personne ne viendrait perturber leur rituel amoureux, la cabine à l'abandon pour cause de pause syndicale de guichetiers dealers de coupons violets et pass Navigo, aussi la grosse dame tétanisée ou peut être consentante, ne mouftant pas le moins du monde, se mis à  lécher et pourlécher son éclair suintant de nappage prédigéré et d'amylase salivaire en adoptant une moue lascive et offerte et en couvrant son auguste apollon de clins d'œil aguicheurs (ou peut être était-ce un tic nerveux provoqué par la terreur de devenir l'objet sexuel d'un déséquilibré). Jack, rendu nerveux par l'urgence de la situation, tenta avec une maladresse gênante de lui gifler les joues avec son sexe comme il l'avait vu faire dans la plupart des pornos gonzo californiens qu'il s'envoyait tous les deux jours. Ce qui le touchait le plus dans ces productions, mis à part les anus dilatés par trois bites, était cet enthousiasme quasi-palpable avec lequel les acteurs endossaient leur rôle. "Ca c'est pas du mainstream" se plaisait-il à dire fréquemment en s'asseyant, encore transpirant d'onanisme, sur des sachets de glaçons. Mais revenons à la bite de Jack fraichement exhibée sous le gode-ceinture. Elle avait une forme étrange aujourd'hui. En plus des croutes brunâtres habituelles, elle semblait plus bridée que d'habitude. Jack et elle se fixait droit dans le blancs de yeux quand la grosse dame lui proposa une fellation pour redonner de la vigueur à cette relique ancestrale. Tandis que la femme commençait à travailler, Jack sortit son gode et se le planta dans le cul jusqu'à la garde. Amateur des premières heures du toucher prostatique, il ne se sentait jamais autant comblé qu'avec le fion bien rempli, et cette fois-ci ne fit pas exception : d'extase, son front tendu de plaisir alla s'écraser mollement contre la vitre. Il l'avait presque recouverte entièrement de bave quand un faux plaisant vint l'interrompre fort peu à propos :

"Oh là, ya quelqu'un là-dedans ?" Un petit gars de la proche banlieue nord ou tu du moins cherchant à le prétendre de par son accoutrement de moine franciscain encapuché Nike, se mit soudain à tambouriner sur la vitre tout en postillonnant au travers de l'hygiaphone : "j'voudrais un aller-retour 2eme classe pour Freinville-Sevran, s'il vous plaît. En train couchettes et si possible la place du haut."

"Va te faire foutre par un nabab, tas de vermines agglutinées !" Jack aimait imaginer un richissime hindou enfoncer son poing jusqu'au fond du colon d'un sale mioche banlieusard et gris; il désespérait de n'avoir pu être au volant de la voiture de police, à Clichy sous Bois, pour défoncer ces morveux sur une   mini-moto japonaise (Jack adorait les sushis fait par les chintocs à Paris parce qu'ils maudissaient les japs de n'être pas tous morts à Hiroshima ou à Nagasaki).

"Putain, ta mère, hé bâtard! Comment tu me parles!?..." Le petit gars gris encapuchonné gueulait et tapait sur la vitre avec ses poings, les yeux tout convulsionnés ! Il était tellement frustré de ne pouvoir lui en coller une sur la tronche. Mais quand il vit, soudainement, sa mère sucer allègrement la queue brunâtre de Jack, il s'étrangla de rage mêlée de désirs refoulés !

Le compte à rebours sur le gode ceinture indiquait qu'il ne restait plus que neufs secondes avant que la première décharge fatale n'ait lieu.  Jack empala la grosse gourmande jusqu'à fond de cale tout en comptant à voix haute sur l'air wagnérien de la chevauchée des Walkyries. Il y eu comme un grand éclair dans la cabine insonorisée. Les vitres se  fissurèrent et l'hygiaphone fut propulsé à plusieurs mètres. Avant de terminer sa course folle en s'enfichant dans un landau, il avait traversé la capuche du gamin tétanisé devant la cabine. Un petit filet de sang se dessina sur son cou, mais sa tête resta en place quoi que maintenant désolidarisée du reste de son corps, retenue par la pression verticale qu'exerçait la capuche sur ses épaules. Il s'effondra à genoux comme dans une dernière prière. Sur ses rétines la dernière image qui était venue s'imprimer était celle du corps de sa mère qui ne formait plus qu'une sorte de gros bocal à confiture de saindoux. Jack n'avait que quelques égratignures. Il retira son gode suisse multifonction dans un long filet de caramel. Jugeant hâtivement  que son gibier ne ferait pas l'affaire pour le pot-au-feu,  il ne prit cependant pas la peine de le cacher. « On ne sait jamais », Pensa-t-il, « Cette belle pièce de viande fera peut être le bonheur d'un nécessiteux de passage ? » Il traversa alors la vitre de la cabine dans un magnifique  salto groupé qu'il avait appris à maitriser en visionnant l'intégrale de Naruto Shippuden. « Le pot au feu est mon nindo* (* voie du ninja) ! », se mit il à crier en se dirigeant vers le quai en faisant tournoyer son gode comme un lasso et en aspergeant au passage de caramel tiède toute une foule d'usagers éberlués.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

lapinchien

Vaut mieux réserver ça pour la suite, je sectionne, publie la 2eme partie et on entame le chapitre trois toujours en prenant comme intitulé, le titre d'une des oeuvres D'Amélie Nothomb.



3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle.   

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

Yog

3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle.  Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
"Te lave pas, j'arrive"

400asa

3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices.A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandisqu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs il se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

Hag

3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices.A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandisqu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs il se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

Yog

3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices.A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandisqu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs il se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux levres rouges et fremissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
"Te lave pas, j'arrive"

Glaüx

3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices.A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandisqu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs il se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux levres rouges et fremissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manirèe à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

Yog

3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices.A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandisqu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs il se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux levres rouges et fremissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manirèe à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech"

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres
"Te lave pas, j'arrive"