La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

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Démarré par lapinchien, Novembre 08, 2009, 03:28:46

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Glaüx

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

Kolokoltchiki

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
" Je vais prendre un J&B on the rocks, et un couteau de boucher, ou un truc coupant, ce que vous pourrez trouver dans la cuisine. Les filles ? "

lapinchien

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

glopglop


2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets. Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin.Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

Narak

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets. Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

Posté par: lapinchien   
L'amour c'est fort, l'envie de chier c'est pire...

Hag

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Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets. Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

Das

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Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets. Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

Kolokoltchiki

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets. Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
" Je vais prendre un J&B on the rocks, et un couteau de boucher, ou un truc coupant, ce que vous pourrez trouver dans la cuisine. Les filles ? "

lapinchien

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème patissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie  toute puissante venait de déclancher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.


Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

Narak

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème patissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie  toute puissante venait de déclancher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.


Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
L'amour c'est fort, l'envie de chier c'est pire...

Kolokoltchiki

" Je vais prendre un J&B on the rocks, et un couteau de boucher, ou un truc coupant, ce que vous pourrez trouver dans la cuisine. Les filles ? "

lapinchien

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème patissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclancher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mèlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjeamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Géronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent froler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

Das

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème patissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclancher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mèlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjeamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Géronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent froler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

lapinchien

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème patissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclancher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mèlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjeamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Géronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent froler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

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#44
[2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème patissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclancher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mèlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjeamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Géronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent froler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien.S'agissant de cibles strictement civiles, son usage était parfaitement licite en regard du droit international applicable et notamment du traité de non-prolifération nucléaire signé par la République Islamique d'Iran.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.