La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

osef (et c'est vraiment pas cool)

Démarré par Le Duc, Juin 11, 2008, 14:57:29

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nihil

Bon bah ça, c'est pas nouveau hein. Faut pas se plaindre, t'aurais pu finir dans un camp de rétention.
Trafiquant d'organes
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Evariste

Je connais, merci. Par contre, ce dont je ne m'étais jamais rendu compte, c'est peut-être nouveau, c'est qu'ils font une sélection à l'entrée du panier. Quand certains ont l'honneur de voir la 'foule' fendue  par deux de ces messieurs pour les attraper (comme moi), d'autres se font relâcher, comme du menu fretin (comme deux amies).

Sinon, on m'a fait boire un breuvage répugnant... Un alcool danois... Antérieur et modèle gustatif des fisherman's friend... Danois... Putain, mais merde ! Du FISK.

_Strange_

J'ai mal au dos.
Hier, à Arte ils ont dit qu'il fallait que je me foute un oeuf en pierre dans le vagin pour le bien de ma circulation et une meilleure diffusion de mes énergies menstruelles. Et aussi que je me caresse les seins pour régénérer mon énergie vitale.

J'hésite.
"BOURRE6MOI LE CUL", Glaüx, 05/06/2008 - 22h10.

Das

Si tu fixes une caméra sur l'œuf, je te conseille vivement de céder à la tentation. Avec un ami bienveillant et désintéressé qui filmerait le massage de te glande mammaire en t'aspergeant tantôt d'huile, tantôt de clous, tu pourrais ensuite t'atteler à la création d'une courte vidéo en introduisant des plans superposés, ou en fondu, et entre chaque plan, des images subliminales (le père noël par exemple) ou des photos de tes vacances avec tes parents. Le choix de la musique sera complexe, à moins de laisser les sons d'origine, ce qui représente une alternative séduisante. Ainsi, tu aura réussi à utiliser de manière constructive et cohérente quelques unes des nombreuses heures qui te séparent de la mort. Heureuse?

Dourak Smerdiakov

Des clous au bout d'une corde, c'est bien aussi, et c'est humble.
Pour le débat citoyen et convivial dans le respect indivisiblement démocratique de la diversité multi-culturelle des valeurs républicaines oecuméniques.

Glaüx

A une bouteille, désormais, je persiste à maintenir une orthographe correcte, moyennant quelques efforts de reprise des fautes de frappe. C'est chiant. Perte de productivité. D'un point de vue bourgeois, c'est nul. Et Dieu sait si je hais les bourgeois.

Evariste

Je n'ai plus de vélo depuis de nombreux mois maintenant. Je suis trop pauvre pour m'en acheter un. PUTAIN DE VOLEURS DE V2LOS §§§ JE ME SENS TRISTE ET D2SENPAR2? JE BOIS DE LA VODKA POUR OUBLIER MA PEINE... NA ZDOROVIE §§§

Hyenne

A peine j'en suis au troisième jour de vacances que je me retrouve à passer une heure inutile sur la Zone.
Comme tous les trois mois.
Et que j'ai bien aimé.
Comme d'hab.

Il y a quelque chose d'addictif sur ce site.
Et ce ne sont pas les jeux de mots à deux centimes, ni les attaques personnelles permanentes.
Non, c'est la littérature qui transperce de ci, de là. Je ne reviens que pour ça. Et j'en redemande. Bon, faut la chercher la pute, elle se cache bien.

nihil

Trafiquant d'organes
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Glaüx

DTCS §§
DTCS §!§§§

HAHAHAAAAA DTCS §§§§§


Putain ça faisait SI longtemps.

Evariste

Un de mes vieux (la soixantaine) amis et camarades vient de me désigner comme étant affriolant... Il n'est certes pas gay (auquel cas ce ne serait pas grave... Enculé !), mais entendre ça de la part d'un homme que l'on considère et qui nous a connu jeune, ça ne rassure pas, même si le contexte prête à ce genre de remarques.

nihil

Développe le contexte, pour voir ?
Trafiquant d'organes
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Evariste

#102
Version 1 :

A mon arrivée, les dames ainsi que les demoiselles de la soirée et de ma connaissance, ont exprimé bruyamment leur contentement.

Version 2 :

J'étais raide dans ma tête, dans les poches, dans le froc. Alors comme d'hab', oui, je me murge avant de faire le tapin, je suis allé au bois pour me renflouer.
Après quelques passes qui m'avaient égratigné un torse trop sensible au contact rugueux des arbres, une voiture s'est arrêtée. Le mec portait vraisemblablement un fausse barbe et des lunettes noires. J'avais ma perruque et mon maquillage de voiture tunée.

Il m'a baisé comme par amour, trop doucement, et mon trou de balle se resserrait comme pour évacuer sa vilaine queue de merde. Je hais les bites.
Il me l'a mise dans la bouche. Je suçais ma propre merde sans jamais relever la tête, sans jamais affronter son sourire satisfait, sans y penser pour ne pas céder à la tentation de le mordre lorsqu'il s'est répandu dans ma bouche et sur mes cheveux synthétiques.
La joie d'une bite, ça fait vaciller les jambes, et tu ne m'imagine tout de même pas courir avec des talons qui m'empêchent de marcher. Encore une fois les lampe-torches, leurs voix de cons, leurs moqueries puis la cellule, puis les moqueries.

Ils ont passé plus de temps à le travailler que "l'habitué" que j'étais. Tout de suite, je l'ai reconnu. La lumière blafarde du mitard à fait la suite.
Plus tard, il m'a lancé, "je t'ai toujours trouvé affriolant". Que répondre d'autre qu'un "merci" ? Puis, "putain, ça va faire une plombe que je bande rien que d'y penser. Suce mon gland et je te paye un resto".
A ça, comment peut-on répondre autrement que par l' étreinte violente de son cou ? Comment résister à l'envie de fracasser sa gueule suffocante pendant que le maton peine à trouver la clef de la cellule ?
Quand il est entré, je me suis laissé maîtriser, feinteur que je suis, avant de déverser par mon anus un flot violent de haine multicolore et tourbillonnante.
Papy me l'avait interdit, mais ce cas de force majeure avait bien mérité que je déchaine ma "colique diabolique".
Maintenant, j'ai un royaume à moi ou personne n'encule personne et où les femmes portent des soutifs en sardines fraîches.
 

Dourak Smerdiakov

Je propose la création d'un dossier 'Contextes'.
Pour le débat citoyen et convivial dans le respect indivisiblement démocratique de la diversité multi-culturelle des valeurs républicaines oecuméniques.

nihil

Ca fait genre un mois et demi que je travaille sur un paragraphe d'à peine une page pour mon bouquin. Et j'ai pas fini. Stakhanov, viens-moi en aide !
Trafiquant d'organes
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