La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

Textes rejetés

Démarré par nihil, Juin 21, 2007, 16:25:18

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tomatefarcie

ça se réclame de la poésie, c'est donc même un pieds bot.

(jeu de mots à usage unique, et c'est pas dommage)

Dourak Smerdiakov

Tu étais déjà à -4 points pute avant celle-là ?
Pour le débat citoyen et convivial dans le respect indivisiblement démocratique de la diversité multi-culturelle des valeurs républicaines oecuméniques.

El Dégueulis

Citation de: Dourak Smerdiakov le Juin 01, 2021, 18:53:11
Ah, j'ai complètement zappé cette possibilité, en effet. Reste que si les bots décident de participer aux semaines TDM également, on n'aura rien à leur objecter.

La Zone prise d'assaut par les bots, c'est très N3DRZ, ça.
¡Muerte a todos los traidores golpistas! ¡El fuego del Dégueulis os quemara! ¡Os quemara todos, viles sinvergüenzas!

MILL

#33
Début édit par Dourak Smerdiakov : oh, un sonnet. Fin édit.




J'ai eu les yeux qui saignaient à chaque ver : rimes bancales, images simplistes et purement ordurières, rythme au mieux aléatoire, mais plus généralement inexistant.

lapinchien

faudra organiser le festival des trolls un de ces jours

Clacker

CitationTexte reçu le 15/09/24

Hum, il me semblait que ce poème de merde datait de 2022.

Ouais, on a laissé trainer des moutons sous la commode, je ne sais plus trop pour quelle raison. Des auteurs qui ne répondaient pas à leur adresse mail, ou un truc comme ça.
Pourquoi on a jamais foutu leurs textes à la benne, ça c'est une autre question, dont la réponse pourrait être d'ordre médical.   

Dourak Smerdiakov

C'est une des personnes qui ont posté un premier texte sur la Zone au mauvais moment, quand le système de connexion du site est tombé en rade et que j'ai mis des mois à réparer.
Pour le débat citoyen et convivial dans le respect indivisiblement démocratique de la diversité multi-culturelle des valeurs républicaines oecuméniques.

MILL

De Jean-Guy Maillet, Chomsquiche. Texte reçu le 12/04/2024

« Il faut affamer les non-vaccinés »

Le linguiste fourré aux petits lardons
Aura été bien mal armé
Quand le Covid fut venu
Lui titiller les poils du cu
Pas grave Noam
Ni âme ni armes
No ham
Dans ta quiche
Certains coupent leur dope
Toi tu coupes ta quiche
À l'aspartam




Je ne sais pas si c'est légitime de ma part, surtout après avoir constaté l'edit de Dourak un peu plus haut, mais je ne vois pas en quoi ce texte aurait sa place sur le site. De même pour celui-qio suit, toujours de Jean-Guy Maillet : Grand-mère disquette (reçu également le 12/04/2024)

C'est un poème sur ma grand-mère
« Staupe la viaulence
Sinon j'encule ta grand-mère »
Eh bien vas-y cher ami
Je t'en prie grand bien te fasse
À la quéquette
Elle est belle ta quette
À la disquette
Poilue
Car ma grand-mère est vieille
Sèche dégueulasse pétainiste
Aigrie et elle pue de la tête
Je pense d'ailleurs qu'elle ne va pas tarder
À décéder
Du cul
De l'anus quoi




Précisons que l'auteur menace d'envoyer d'autres poèmes. Ce ne serait pas le retour de Pascal Dandois ?


Surtout, n'hésitez pas à me reprendre si j'abuse en jetant ces textes à la poubelle.

MILL

De Von Karfax, texte reçu le 16/09/2022

> demanda Chochana.
> dit le Casablancais, et il jura en arabe parce qu'il s'était brûlé les ongles avec son mégot noir.
Trois paires de mains tremblantes jonglant entre cigarettes et tasses de café, et trois gueules fiévreuses encore envapées, empapaoutées de morgue, froncées par les excès.
Le soleil était gris, la réalité piquetée de moucherons blancs synonymes d'une dangereuse baisse de tension dans nos organismes, les visages des passants gondolaient, flous comme du bruit, perdus dans la longue focale de mes binocles.
Nous étions surveillés avec une agressivité palpable par les sinistres mirages de la grande ville, ou seulement par les miradors déglingués de mon amour propre.
La truffe rose de Chochana s'agitait en tous sens, ses gigantesques pupilles happées par des visions connues d'elle seule.
Salem se contentait de se cramer les griffes d'un air sombre.

Notre histoire commune était une mauvaise blague dont la chute ne venait jamais.

C'est une juive, un arabe et un basque à lunettes.
Ils passent soixante-douze heures ensemble dans une chambre de bonne parisienne, gobent des cachetons, avalent des litrons de vinasse, dessinent sur les murs. Ils se pelotent, partagent leurs germes et leurs clopes, s'explosent les tympans sur de l'électro débilitante.
Un buvard d'acide passe d'une langue à une autre, une bouteille éclate au sol sans que personne n'y touche, des pigeons comme des dragons s'envolent, les murs se recouvrent de vigne grimpante écarlate, le velux passe un film de Chaplin, et dehors la pluie recouvre la ville d'une pélicule d'encre noire de calmar.
Et c'est tout.

 demandai-je.
Elle nous montra sa paume, couverte de sang.
> ordonna-t-elle.
>
>
Le Casablancais s'exécuta avec mauvaise grâce. Les animaux, ce n'était pas son truc.
Puis Chochana se tourna vers moi.
>.
> protestai-je.
Elle me prit la main et nous remontâmes la rue de Belleville à grandes enjambées. Les gens tiraient la gueule, jetaient des oeillades agressives dans tous les coins, ou bien fixaient le trottoir en marchant d'un pas nerveux. C'était la gravité de la grande ville qui les comprimaient de l'intérieur, qui les constipaient jusqu'à l'occlusion.
Elle nous tue, la ville, à petits coups d'entropie.
Et parfois elle nous rappelle brusquement notre condition de mortels.

Nous sonnâmes chez Kader, mais personne ne répondit. La porte restait entrouverte, et seul le silence s'en échappait.
L'appartement était vide.
Nous appelâmes, en vain.
L'odeur nous terrifia.
Finalement, je trouvai Madame Kader dans la salle de bain.
Il y a deux choses que je ne souhaite à personne de connaître en pleine descente d'acide : une visite impromptue de ses parents, et la découverte d'un cadavre en putréfaction.
Madame Kader avait le corps recouvert de cloques rompues d'où s'écoulait un liquide trouble et visqueux, et d'ulcérations profondes assaillies d'essaims d'insectes frénétiques ; enceinte de la mort, son ventre enflé avait doublé de volume, et sa peau autrefois caramel était marquée de zébrures psychédéliques jaunes et violettes.
La mâchoire pendait, démantibulée, et la langue noire et gonflée rappelait une grasse anguille figée dans la boue.
Sa culotte de grand-mère n'avait pas pu retenir les fuides corporels, qui avaient fui de l'anus en boudins sombres, visibles en transparence sous le vêtement.

Chochana vomit, pendant que je restais stupéfait par le spectacle vivant de l'autolyse à l'oeuvre.

MILL

Du Hurlante Nova Origin, texte reçu le 03/07/2024

america go legislative

tout comprendre a qui sait comprendre

Les Origines au XVIIIe siècle
Au XVIIIe siècle, le mouvement des Lumières se penche avec une grande curiosité sur les origines de divers aspects de la civilisation humaine. Jean-Jacques Rousseau, par exemple, explore les origines du langage et de la musique, tandis que Giambattista Vico s'intéresse aux origines des nations. Montesquieu et Locke, pour leur part, se concentrent sur les origines des institutions politiques, et Rousseau approfondit la notion de contrat social. De même, les origines des religions sont examinées par des penseurs tels que Pierre Bayle. Ces interrogations sur les origines, inspirées par une soif de compréhension profonde, caractérisent la période des Lumières.
L'émergence du Positivisme au XIXe siècle
Le XIXe siècle, marqué par le positivisme et le scientisme, rejette en grande partie ces questionnements sur les origines, les jugeant absurdes et primitives. Le positivisme, prôné par Auguste Comte, privilégie les sciences positives et les faits empiriques, écartant les spéculations métaphysiques. Les questions sur l'origine du langage, qui fascinaient des penseurs comme Rousseau, Herder, Hamann et Kant, sont désormais considérées comme irrationnelles et inaccessibles.
La Fiction du Contrat
Le contrat social, un concept central analysé par Hobbes et Rousseau, est également relégué au rang de fiction. Dans cette optique, la préhistoire est perçue comme une période de chaos et de nuit, sans intérêt face à la lumière des sciences positives et au progrès technologique. Les sociétés, désormais en marche vers l'avenir, préfèrent se concentrer sur les accomplissements futurs plutôt que sur les origines brumeuses du passé.
La Téléologie et la Science des Fins
Au XIXe siècle, la perspective devient résolument téléologique. La science des fins, ou téléologie, vise le perfectionnement et le déploiement total des ressources matérielles et humaines, comme en témoigne le marxisme. Même dans des domaines où cette téléologie est négative, comme la thermodynamique de Carnot et Clausius, l'intérêt se porte sur la finalité et non sur l'origine. Ces scientifiques prévoient l'extinction inéluctable de l'univers, mais leur préoccupation demeure la finalité.
La Tension entre Origines et Aboutissement
Cette focalisation sur l'aboutissement marque un changement profond dans la sensibilité et le psychisme des sociétés industrielles. L'horizon des préoccupations se déplace de l'origine vers le futur. Même les régressions vers la barbarie, telles que les deux guerres mondiales et les génocides, n'inversent pas cette tendance. La société continue de privilégier une marche horizontale vers l'avenir, malgré les horreurs du passé.
En conclusion, la transition du XVIIIe au XIXe siècle illustre un déplacement radical de la pensée, des origines vers les fins, marquant ainsi une évolution profonde dans la manière dont les sociétés perçoivent et interprètent leur propre développement.
### Les Conséquences du Refus de l'Héritage Intellectuel
L'abandon des méthodes et de l'héritage intellectuel du XVIIIe siècle a eu des conséquences profondes et souvent tragiques au cours du XXe siècle et au-delà. Ce rejet a donné naissance à des mouvements extrêmes et contradictoires, dont l'extrême droite raciste et réactionnaire ainsi que des coalitions politiques ambiguës.
### L'Extrême Droite et le Racisme
La perte de méthode et le refus de l'héritage intellectuel ont alimenté l'émergence de l'extrême droite raciste. Cette idéologie, rouillée dans ses principes et dangereusement simpliste, se nourrit du rejet de la complexité et de l'héritage des Lumières. Hannah Arendt, dans *Les Origines du Totalitarisme*, observe : « Le nationalisme tribal et le racisme ont une affinité avec les idéologies totalitaires, qui exploitent la peur et l'insécurité des masses. » Cette situation rappelle les avertissements de Montesquieu dans *L'Esprit des Lois* : « Le despotisme est une institution corrompue qui naît de la ruine des principes de liberté et de justice. »
### Le Front Populaire et les Contradictions de la Gauche
En parallèle, la gauche, autrefois porteuse des idéaux des Lumières, est elle aussi tombée dans des contradictions profondes. Le Front Populaire, par exemple, a accepté l'OTAN et ses 4 500 000 morts, montrant une ambiguïté inquiétante. Antonio Gramsci, dans ses *Cahiers de prison*, écrit : « Les partis de gauche peuvent être absorbés par l'hégémonie culturelle de la bourgeoisie, perdant ainsi leur essence révolutionnaire. » L'impérialisme des États-Unis, souvent soutenu tacitement ou explicitement par les démocrates, s'accompagne de la négation des génocides contemporains, comme celui de Gaza, plongeant la gauche dans une obscénité morale.
### La Bien-Pensance Morbide des Électeurs de Gauche
Les électeurs de gauche se retrouvent ainsi dans une position schizophrénique. Ils luttent contre le racisme interne tout en restant aveugles et sourds aux crimes commis par leurs propres dirigeants. Michel Foucault, dans *Surveiller et punir*, évoque cette dualité : « Les mécanismes de pouvoir ne se contentent pas de réprimer ; ils produisent également des comportements et des discours qui justifient et légitiment l'oppression. » Cette bien-pensance morbide masque une perte de l'essence même des idéaux progressistes. En se focalisant sur des luttes superficielles, ils négligent les oppressions systémiques et les violences perpétrées au nom de la démocratie.
### La Perte de l'Essence des Idéaux Progressistes
En abandonnant les questions fondamentales des origines et des fins, la société contemporaine perd son essence. Les idéaux des Lumières, centrés sur la raison, l'humanisme et la quête de vérité, sont sacrifiés sur l'autel du pragmatisme politique et de l'opportunisme. La recherche de l'aboutissement, sans ancrage dans les origines et les méthodes critiques, laisse place à un vide moral et intellectuel. Simone Weil, dans *L'Enracinement*, souligne : « Seul un retour aux valeurs fondamentales et aux traditions critiques peut enrayer l'aliénation moderne et redonner un sens à l'existence collective. »
### Comparaison Littéraire entre les Époques
La littérature comparée entre les époques révèle également cette évolution. Alors que Voltaire et Rousseau interrogeaient les fondements de la société et des institutions, des auteurs contemporains comme George Orwell et Aldous Huxley explorent les dystopies où la déconnexion des origines mène à des sociétés totalitaires. Orwell, dans *1984*, montre : « Celui qui contrôle le passé contrôle le futur ; celui qui contrôle le présent contrôle le passé. » Cela illustre comment la perte de mémoire historique et l'effacement des origines peuvent aboutir à une manipulation totale de la réalité.
La déconnexion des héritages intellectuels du passé a conduit à des dérives extrêmes et à des contradictions insoutenables. Que ce soit par le biais de l'extrême droite raciste ou de la gauche hypocrite, la société contemporaine montre des signes alarmants de désorientation morale. Pour retrouver leur essence, les courants politiques doivent renouer avec les méthodes et les idéaux des Lumières, réaffirmant ainsi un engagement sincère envers la justice, la vérité et l'humanisme. Comme le rappelle Albert Camus dans *L'Homme révolté*, « La révolte authentique est celle qui cherche à préserver la dignité humaine face à l'absurde et à l'injustice. »
Conclusion
François Hollande, avec son intervention en Syrie, a causé la mort de 300 000 civils, soit six fois plus que le nombre de victimes dans la bande de Gaza. Ce chiffre alarmant démontre un fascisme omniprésent parmi toutes les parties belligérantes. Les démocrates, qui vendent des poèmes et cachent des meurtres, se posent la question absurde de savoir s'il y avait des bébés terroristes syriens, tant leur rhétorique propagandiste est nécessaire pour accepter l'inacceptable. Politiques et électeurs se confondent dans une même puanteur d'abandon moral et de complicité crasseuse.
Yannick Jadot, conscient qu'il allait perdre les présidentielles, a été instrumentalisé par les médias militarisés pour promouvoir sa guerre insensée contre les Russes, se soumettant totalement aux fabricants d'armes américains et à l'impérialisme vorace des États-Unis. Il savait que son action conduirait à la défaite de Mélenchon, à la qualification de Le Pen pour le second tour et à l'élection de Macron. Tout était clair dans sa stratégie destructrice de la gauche, et pourtant, aujourd'hui, sans honte, il clame qu'il fait barrage au Front National et ne déteste pas trop Mélenchon. Quelle hypocrisie! Lui, qui en tant qu'écologiste prétend sauver les eucalyptus et les koalas, pourrait aussi sauver les vies des Ukrainiens, des Russes, des Palestiniens et des Israéliens en éliminant les bombes des usines d'armes américaines de son programme vert.
Quant à Raphaël Glucksmann, qui taxe tout le monde d'antisémitisme à la manière de Pascal Praud et voit des agents russes ou chinois partout, qu'il nous explique en quoi son "G.I. Joe Biden", grotesque et violent comme Rambo, n'est pas lui-même un "génocidaire" en envoyant 266 avions cargo et 20 navires débordant de bombes pour raser Gaza, dans le but de monopoliser le gaz offshore. La guerre contre la Russie a augmenté le prix de ce gaz, tout comme l'explosion de Nord Stream 2 et celle du port de Beyrouth, qui pourtant passait un contrat de 200 milliards avec la Chine pour ce gaz. Gluckmann est de gauche chez Hanouna et Morandini, mais chez Wikileak et Julian Assange, nous lui rappelons  que son maccartisme de big brother et oncle sam sont combattus non pas par le FSB ou l'oeil de Pékin, mais par Bernie Sanders et Noam Chomsky, des Juifs Américains de Gauche : Anti impérialistes !
Les chiffres de la guerre à Gaza sont effarants : depuis le 7 octobre 2023, 92 511 blessés, 16 012 enfants tués, 10 538 femmes tuées, 500 personnels médicaux tués, 153 journalistes tués, 74 personnels d'urgence tués, et 1 018 attaques de colons. Ces nombres ne tiennent pas compte de ceux encore piégés sous les décombres des bâtiments détruits, estimés à plus de dix mille.
Les noms derrière les chiffres sont poignants : 74 enfants nommés Bilal et 105 enfants nommés Sham ont été tués. Ces pertes humaines incalculables témoignent d'une tragédie que ni Glucksmann ni les autres politiciens complices ne veulent reconnaître pleinement. Ils sous-qualifient le génocide pour masquer leur participation à ces horreurs.
Pour conclure, le rejet de l'héritage intellectuel des Lumières et la perte des idéaux progressistes ont conduit à une dérive morale collective. Les crimes de guerre, les génocides et l'impérialisme sont acceptés sous couvert de rhétorique propagandiste. La gauche, dans son aveuglement, se rend complice de ces atrocités, perdant ainsi son essence et son humanité. Pour retrouver une véritable moralité, il est impératif de renouer avec les valeurs fondamentales de justice, de vérité et d'humanisme.
Les USA ont totalement dominé la droite avec Sarkozy, puis la gauche sous contrôle avec hollande. Sur le cadavre de cet éventail politique Macron le banquier Kinder surprise a saccagé l'article 1 de la constitution, transformant le social en martial. Et a présent que la politique Française est morte les USA place dans l'hémicycle de l'assemblée Nationale leur modèle avec des républicains Français racistes et grossiers comme Trump et Bush, des Démocrates français meurtriers comme Obama qui bombarde 50 000 fois en deux ans (plus que Bush) et le terrible Génocide Joe et une vraie gauche social Française (la LFI) isolée et acculée comme Bernie Sanders aux USA. Car en effet les démocrates tuent ailleurs mais aussi sont experts en crime fratricide ! Espérons pour les 4 500 000 morts tués par l'OTAN que notre lutte contre tout les fascismes soit réelle, car ces innocents sont de mémoire bénis.
"Le bonheur ne se trouve ni dans l'ignorance ni dans l'indifférence, mais dans la conscience de ce qu'est la vie." - Simone de Beauvoir, La Force des choses