La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

défouloir à psychopathes

Démarré par lapinchien, Avril 29, 2006, 11:40:32

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Le Duc

L'interprétation de Copenhague s'oppose à l'existence d'un quelconque état d'un système quantique avant toute mesure. En effet, il n'existe pas de preuve que cet état existe avant son observation et le supposer amène à certaines contradictions.

Or, si deux particules sont émises et qu'une relation de conservation existe entre une de leurs propriétés (par exemple, la somme de leurs spins doit être nulle, c'est-à-dire qu'il y a intrication de l'état du système de ces deux particules), la connaissance de l'état de la première après une mesure effectuée sur celle-ci nous informe de l'état dans lequel se trouve la seconde particule après une mesure effectuée sur celle-là plus tard : si la mesure sur la première particule a donné "+", et que la première particule se trouve donc dorénavant dans l'état "+", la mesure sur la seconde donnera toujours "-". Un des biais logiques est que cette dernière particule peut, à l'instant de la mesure, se trouver à une distance aussi grande qu'on le veut dans l'univers observable de la première; la ligne d'univers qui relie les deux événements "mesure sur la particule 1" et "mesure sur la particule 2" de l'espace-temps peut même être une courbe de genre espace, et la seconde particule ne peut donc absolument pas, dans ce dernier cas, "être informée" de quelque façon que ce soit de l'état dans lequel se trouvait la première après la mesure. Comment croire, dans ces conditions, que l'état dans lequel on trouve la seconde particule après la mesure n'était pas déterminée dès le départ, en contradiction avec la représentation de Copenhague ?
"Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme."

Kolokoltchiki

" Je vais prendre un J&B on the rocks, et un couteau de boucher, ou un truc coupant, ce que vous pourrez trouver dans la cuisine. Les filles ? "

Kolokoltchiki

" Je vais prendre un J&B on the rocks, et un couteau de boucher, ou un truc coupant, ce que vous pourrez trouver dans la cuisine. Les filles ? "

Koax-Koax

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"Cette attaque est redoutable...elle est si rapide et si tranchante que lorsque le sang jaillit, oh ! c'est déjà un bloc de glace à la vanille."

Kolokoltchiki

sale pute de merde nique mon cerveau nieer nierk nierk nierk nierk
" Je vais prendre un J&B on the rocks, et un couteau de boucher, ou un truc coupant, ce que vous pourrez trouver dans la cuisine. Les filles ? "

Le Duc

Une étoile est dite Wolf-Rayet si elle montre certaines caractéristiques spectrales précises dont la plus importante est la présence de raies d'émission larges principalement d'hélium, mais aussi d'azote, et parfois de carbone et d'oxygène. La force relative et la présence ou absence de certaines raies permet de classifier l'étoile Wolf-Rayet. La classification des étoiles Wolf-Rayet est un point toujours délicat puisque les caractéristiques spectrales observables sont le reflet de l'état du vent stellaire, et non directement de la « surface » de l'étoile ou de son cœur, inaccessible.

On distingue deux grandes classes d'étoiles Wolf-Rayet : les étoiles riches en azote, notées WN et celles riches en carbone, notées WC. De plus, on distingue encore les étoiles WN en deux sous-classes : les étoiles WNL (pour WN late en anglais, c'est-à-dire tardive), et les étoiles WNE (pour early en anglais, c'est-à-dire précoce). Cette distinction est aussi valable pour les étoiles WC mais très peu utilisée. Pour être complet, précisons que la classification précise des étoiles Wolf-Rayet se décompose entre 10 sous-types WN, de WN11 à WN2, et 7 sous-types WC, de WC9 à WC2 (mais les étoiles WC sont principalement WC9 ou WC4). La classification précise dépend de la mesure précise des forces relatives de certaines raies, comme définie dans le système de classification de Smith, Shara et Moffat (1996, MNRAS, 281, 163). Enfin, les étoiles WN11 à WN6 sont considérées comme des WNL, et les étoiles WN5 à WN2 sont considérées comme WNE.

Ceci peut paraître inutilement compliqué, mais est en fait la conséquence, comme souvent en astronomie, de raisons « historiques ». La plupart du temps, les astronomes classifient avant de comprendre. On peut utiliser cette classification pour parler de chemins évolutifs. Globalement, le chemin évolutif d'une étoile massive s'écrit ainsi :

O → RSG/LBV → WNL → WNE → WC → SN

où O désigne une étoile de type O, RSG (Red Supergiant) désigne une étoile supergéante rouge, LBV (Luminous Blue Variable) désigne une étoile de type LBV, et SN désigne une supernova. Toutes les étoiles massives ne traversent pas toutes les phases. Cela dépend de trois paramètres initiaux : la masse, la métallicité et la vitesse de rotation.

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"Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme."

Malax

#336
Citation de: Le Duc le Septembre 01, 2010, 12:10:34
L'interprétation de Copenhague s'oppose à l'existence d'un quelconque état d'un système quantique avant toute mesure. En effet, il n'existe pas de preuve que cet état existe avant son observation et le supposer amène à certaines contradictions.

Or, si deux particules sont émises et qu'une relation de conservation existe entre une de leurs propriétés (par exemple, la somme de leurs spins doit être nulle, c'est-à-dire qu'il y a intrication de l'état du système de ces deux particules), la connaissance de l'état de la première après une mesure effectuée sur celle-ci nous informe de l'état dans lequel se trouve la seconde particule après une mesure effectuée sur celle-là plus tard : si la mesure sur la première particule a donné "+", et que la première particule se trouve donc dorénavant dans l'état "+", la mesure sur la seconde donnera toujours "-". Un des biais logiques est que cette dernière particule peut, à l'instant de la mesure, se trouver à une distance aussi grande qu'on le veut dans l'univers observable de la première; la ligne d'univers qui relie les deux événements "mesure sur la particule 1" et "mesure sur la particule 2" de l'espace-temps peut même être une courbe de genre espace, et la seconde particule ne peut donc absolument pas, dans ce dernier cas, "être informée" de quelque façon que ce soit de l'état dans lequel se trouvait la première après la mesure. Comment croire, dans ces conditions, que l'état dans lequel on trouve la seconde particule après la mesure n'était pas déterminée dès le départ, en contradiction avec la représentation de Copenhague ?

L'information ne peut aller plus vite que la lumière; le mec qui est à l'autre bout de l'univers et qui va faire la deuxième mesure va te donner l'information, on va dire, par un signal radio qui ne dépasse pas cette fameuse vitesse. Au final, t'es baisé pour le Nobel.
Au bout d'un certain temps l'espérance de vie tombe pour tout le monde à zéro.

Koax-Koax

"Cette attaque est redoutable...elle est si rapide et si tranchante que lorsque le sang jaillit, oh ! c'est déjà un bloc de glace à la vanille."

Hag


Dourak Smerdiakov

Je suis plutôt du côté des ventilateurs.
Pour le débat citoyen et convivial dans le respect indivisiblement démocratique de la diversité multi-culturelle des valeurs républicaines oecuméniques.

Le Duc

Citation de: Malax le Septembre 04, 2010, 16:00:12
Citation de: Le Duc le Septembre 01, 2010, 12:10:34
L'interprétation de Copenhague s'oppose à l'existence d'un quelconque état d'un système quantique avant toute mesure. En effet, il n'existe pas de preuve que cet état existe avant son observation et le supposer amène à certaines contradictions.

Or, si deux particules sont émises et qu'une relation de conservation existe entre une de leurs propriétés (par exemple, la somme de leurs spins doit être nulle, c'est-à-dire qu'il y a intrication de l'état du système de ces deux particules), la connaissance de l'état de la première après une mesure effectuée sur celle-ci nous informe de l'état dans lequel se trouve la seconde particule après une mesure effectuée sur celle-là plus tard : si la mesure sur la première particule a donné "+", et que la première particule se trouve donc dorénavant dans l'état "+", la mesure sur la seconde donnera toujours "-". Un des biais logiques est que cette dernière particule peut, à l'instant de la mesure, se trouver à une distance aussi grande qu'on le veut dans l'univers observable de la première; la ligne d'univers qui relie les deux événements "mesure sur la particule 1" et "mesure sur la particule 2" de l'espace-temps peut même être une courbe de genre espace, et la seconde particule ne peut donc absolument pas, dans ce dernier cas, "être informée" de quelque façon que ce soit de l'état dans lequel se trouvait la première après la mesure. Comment croire, dans ces conditions, que l'état dans lequel on trouve la seconde particule après la mesure n'était pas déterminée dès le départ, en contradiction avec la représentation de Copenhague ?

L'information ne peut aller plus vite que la lumière; le mec qui est à l'autre bout de l'univers et qui va faire la deuxième mesure va te donner l'information, on va dire, par un signal radio qui ne dépasse pas cette fameuse vitesse. Au final, t'es baisé pour le Nobel.

Oui mais non, gros niais.
Dans ce que tu dis t'as raison comme ces connards de Copenhague. Mais justement, gros blaireau, ce que ça veux dire c'est que tu peux emprunter des "raccourcis" en repliant l'univers, avec un trou de ver (trou noir - trou blanc) Et en plus ce qui est absolument génial c'est que tu peux même courber le temps et renvoyer l'information avant quelle soit émise. En théorie. Donc pas besoin de vitesse.
Comprende ?
"Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme."

Dourak Smerdiakov

Arrêtez de replier l'univers, je suis dedans, merde.
Pour le débat citoyen et convivial dans le respect indivisiblement démocratique de la diversité multi-culturelle des valeurs républicaines oecuméniques.

Narak

Courber le temps, c'est courber une perception abstraite. Mets ton cerveau dans une chambre à air, t'iras plus vite, gogole.
L'amour c'est fort, l'envie de chier c'est pire...

Malax

A désolé j'ai pas suivi les cours de Daniel Jackson sur la stargate.
Au bout d'un certain temps l'espérance de vie tombe pour tout le monde à zéro.

Le Duc

C'est pas moi qui le dit, mais un certain Einstein et un certain Rosen.
"Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme."