De la crédibilité du Duc et autres choses honteuses pleines de merde DTC

[Narak]

J'entends dire que Monsieur Goret s'améliore avec le texte publié en ce moment. Oh oh, même nos pires auteurs se découvrent du talent !
Ce qui m'amène à me demander si LE pire auteur de la zone, voir du monde, et peut-être même de tous les temps aurait un texte valable...

*Regard vers le plafond*
*Grattage de tête*
*Eclatage de rire*

La réponse est non, bien sûr ! Mais j'en viens à la vraie question :

Quel est selon vous le meilleur texte du Duc ?

[Abbe Pierre]

L'épopée galactique 2.

Non, en effet, ce texte n'est jamais paru.

[Glaüx]

Narak, quand t'es vraiment déprimé et que tu t'ennuies trop, s'il te plait, bois, au lieu d'essayer de déprimer les autres en parlant de choses abominables.

[Narak]

je suis sensé mettre l'ambiance ici, alors c'est ce que je fais...On s'éclate hein ?

[Abbe Pierre]

Grand jeu concours pour ceux qui s'emmerdent.

Toi aussi, avale un grand stock de bombes et éclate toi à imploser plus vite que les concurrents.

Le départ sera gracieusement donné à Narak, initiateur de ce magnifique topic.

Connard.

[Glaüx]

Le meilleur texte du Duc, ce sera son testament.




*boom tchak*

C'était la réplique John Wayne du jour.

[Narak]

Quelle répartie mon cher Gla(Ü!)x.

Vous savez, vous feriez un bon admin ? Si si !

[Glaüx]

Bordel le Ü, on dirait un smiley de putain de clown.

Va mourir. Tu m'as causé un cruel retour de conscience.

[nihil]

Si par "meilleur" tu entends supportable, c'est clairement ça :
http://zone.apinc.org/article.php?id=740
Après il s'est pris pour un auteur sérieux.

Mais je pense sincèrement que faire de la merde est une caractéristique littéraire à part entière, qui n'est pas à la portée de tout le monde. Certains de ses textes sont des petits bijoux de merde dont n'importe qui d'autre serait incapable même en se forçant. Je crois que certains de ses textes sont des chefs d'oeuvre ultimes de la merde, ce qui pour moi les situe beaucoup plus haut dans mon échelle de valeur qu'un texte médiocre, chiant ou simplement insipide. Simplement parce qu'ils ont un coté remarquable. On se souvient de ses textes alors qu'on a déjà tout oublié de nombreux auteurs du site, c'est pas rien.

Et c'est là que le bat blesse. Je suis incapable de choisir mon préféré, ça se joue entre ça :

http://zone.apinc.org/article.php?id=1047

et ça :

http://zone.apinc.org/article.php?id=922

[Glaüx]

23h10
" * tchac * ESPECE DE SALLE MERDE * tchac * on pourra dire que tu M'AURAS FAIS CHIER * tchac * JUSQU'AU BOUT !!

23h11
" salope * tchac * "

Là, j'avoue, je hoquète.

[Nounourz]

23h10
" * tchac * ESPECE DE SALLE MERDE * tchac * on pourra dire que tu M'AURAS FAIS CHIER * tchac * JUSQU'AU BOUT !!

23h11
" salope * tchac * "

Là, j'avoue, je hoquète.

même chose pour moi, ce passage m'a valu cinq bonnes minutes de rigolades et ricanements

[nihil]

Comme je vois qu'on a des fans intégristes ici, je pense que je vais peut-être vous mettre à disposition un texte inédit du Duc, un premier jet qu'il m'avait envoyé il y a bien longtemps... Ca vous dit ?

[Glaüx]

Oooooh oui.

Ceci dit ça ferait un super texte collector pour la prochaine Semaine Textes de Merde.

[nihil]

Lao Tchang

Ancien Japon Impérial, 670 A.P. JC
Je marche sans peine au dessus de ces corps sans vie.
Voilà plus de deux ans que je méne mes troupes au combats, je me prénome Lao Tchang, dernier maitre samouraï de la dinastie des grands kamis.

Grand Palais Impérial Du Shogun Shaow Lin 666, A.P. JC
Le Shogun, apeuré de nos capacités au combats qui lui été pourtant jusqu'à l'or totalement dévoués, c'est mis en tête de nous éradiquer.
Il à commander ses troupes à venir « purifier » l'école samouraï de la grande discipline mystique kami en notre temple de la vallée des esprits.
Incrédule devant une tel volonté je m'étais rendu accompagnant mon père, mon maître, le plus grand de tous les maîtres samouraïs de l'empire du soleil levant, le grand Xiang Tchang chefs des 15 armées du Shogun.

Mon ignorence était alors tel, que je ne s'avais pas quel étais la raison de notre venu dans le palais impérial.
J'étais même content de mi rendre car c'étais la première fois en 21 ans que je sortais de notre école.
J'avancer en silence précédé de mon père, qui dans sa plus belle armure avait un regard noir figeant de terreur tous les citoyens de la cité interdite que nous croissions.
Arriver au pied du palais, nous allions entamer notre assencions en gravissant les 10 000 marches de mabre qui mené a l'entrée de la demeure du Shogun.
J'étais déjà épuiser de notre long voyage, en voyant le gigantesque escalier qui s'étender devant nous, je me dis que je n'arriverais jamais a le gravir en une seule journée.
Mon père ne s'arrêtant même pas dans sa fouler commença à monter les marches une à une, je réprimais alors un soupir, qui m'aurais surement vallus une giffle et le suivi en prenant soin de conserver une distance minimum de trois mètres, privilège du à son rang.
Les gardes impériaux, postés en faction un toutes les dix marches s'agenouiaires en baisant la tête au passage de mon père.
Nous croissames une fille qui dessender les marches accompagnée d'une garde personnels constituer de 20 hommes.
Elle était habillée d'une robe noire bordé de motifs impériaux, je compris alors que c'étais une personne intime au Shogun, en croisant son regard je ne pus m'en défaire forcé de constaté que j'avais devant moi la plus belle femme de l'empire voire du monde, elle me sourria et je ressentis alors une sensations qui m'étais jusque l'or inconnue et j'eu quelques vertiges accompagner de ...
«
-   Hé, toi ! mais qui es-tu donc pour oser posée ton sale regard sur la fille de notre empereur ? Fit l'un des gardes qui s'approcha de moi tout en me donnant une gifle de toutes ses forces, qui contrairement à c'elles de mon père, ne me fis pas décaller la tête d'un centimétre.
-   Je suis Lao Tchang, fils de Xiang Tchang, j'accompagne mon père pour voir ton Shogun. Lui répondis-je très sereinement.
»
Mon père s'arrêta et déplaça sa tête de 10° sur la droite pour pouvoir observer d'un œil qui pouvait bien être le sombre individu qui a osait importuner son fils et du même coup retarder son arriver.
Le garde se liquéfia et baisa mes pieds en implorant mon pardon.
Je ne compris pas sa réaction.
Arriver en haut de l'escalier, les gardes nous ouvrirent lentement les portes de chênes qui devais bien faire chaque-une 5m de hauteur et 3m de largeur. Nous pénétrâmes alors à l'intérieur du palais, les portes se refermèrent derrière nous, de chaque côté s'étender des dixaines de pixiers qui monté la garde immobiles et silencieux tel des statues nous scrutant des pieds à la tête sous notre passage.
Le hall était gigantesque le tapis sur le quel nous marchions devaient s'étendre sur 500m de longueur.
Nous arrivâmes devant une porte faite d'or protéger par un samouraï qui arboré des signes de l'école du micro d'argent. Il sortit son arme, s'agenouia, baissa la tête et tendis le katana de ses deux mains vers mon père, ainsi furent ses paroles :
«
-   Je vous en prie seigneur Tchang, faite moi l'honneur de bien vouloir m'être fin à ma pitoyable existence et pardonnez moi d'être resté au service du Shogun.

Mon père pris le sabre entre ses mains et l'examina minusieusement, la cross était en ivoire n'entie de gravures représentant le premier maître samouraï, la lame était fine, souple et à la fois rigide surement en alliage d'argent et d'acier innoxidable, la mention « honneur et sagesse » y était inscrite en calligraphie nippone. Il éffleuras du bout du doigt le tranchant du katanna et une entaille se dessina tout le long de son doigtdéversant quelques gouttes de son sang et se referma aussi vite tellement elle était fine.

-   Ton katanna est une arme exeptionnel, pour un guerrier exeptionnel.. Relève toi, ta honte n'est pas justifié, tu n'a fais que le devoir de tous samouraïs digne de se nom.
-   Mais, maître ce Shogun veut votre mort et vous êtes pour tous les samouraïs bien plus important que cette imposteur qui se prétent chef de notre empire.
-   Alors si ton acte te ronge a ce point la plutôt que de te tué, je préfère que tu fasse quelque chose pour moi
-   Ordonnez et j'executerais.
-   Je ne suis pas dupe et je sais ce qui m'attend derrière cette porte car jamais je ne trahirai le serrement d'alégence que j'ai proféré au sacrement de notre shogun. Cependant je ne veux pas que mon fils subisse le même sort que moi, il est destiné à une toute autre mission que la grande kami ma révélée. Protége-le jusqu'à ta mort.
»

Le samouraï acquiesca en baissant la tête.
Je ne compris rien à ce qui vennais d'être dis, c'est paroles ne prire sens pour moi seulement que quelques heures plus tard.

[Dourak Smerdiakov]

On a quand même de la difficulté à croire que ce n'est délibéré.