Sujet sérieux, bandes de moules !

[Dourak Smerdiakov]

En ce temps-là, on sauvait des âmes, monsieur.

[Glaüx]

Mon cul, ouais.

La guillotine, c'est bite molle aussi.
L'injection, j'en parle même pas.
La pendaison, c'est à la limite de Oui Oui et le couloir de la mort.

Non, toute la poésie de la mise à mort s'est perdue.
Au moins depuis les Alamands.


Le pétage de crâne à la massue chez les Goths, ça, c'était de la mise à mort, bordel.

[Marvin]

Y'avait des trucs super rigolos quand même.
Genre les carcans t'as pas l'air con, et puis quand on rempli les gens d'eau, le coup de l'entonnoir en plein dans la poire, l'est pas banal.

[Glaüx]

Oui, la Question, faut leur laisser ça, c'était sympa.


Mais c'était une simple reprise de la torture médiévale.
Peu imaginatif.
12/20

[lapinchien]

rien de tel qu'une bonne bouillabesse aux piranas vivants à feu doux dans laquelle on fait plonger le condamné en début de cuisson...

sinon les textes de El Def c'était pas mal aussi

[Marvin]

C'est toujours mieux chez les voisins, même la mort.

[Funram]

Par rapport à la littérature que j'écris, tout ce que tu peux avoir lu d'hors et déja passe pour un monument de l'écriture.
Donc c'est relatif.

Par contre, un truc pas bête, c'était le pal.
Il paraît qu'on y mourrait en fait de faim et de soif. Aouch.

Et la roue, aussi, ce fut pas mal, ça.

[Dourak Smerdiakov]

Les voisins étaient mieux avant.

[lapinchien]

quoique le pirana vivant finalement, c'est mieu en sushi comme supplice

[Marvin]

Le pal y parait qu'on y mourrait tout court.

[Dourak Smerdiakov]

Oui, mais le pal c'est came.

[lapinchien]

La trempette ! çà c'est vicieux... un bain d'acide acethylsalicylique concentré dans lequel on fait plonger la tête du condamné... La double action disolvante/aspirine de l'acide acethylsalicylique est d'une barbarie audieuse.

[Abbe Pierre]

On peut aussi vous laisser dans une pièce hermétiquement close avec Cadarn.

[lapinchien]

le coupe-tranches du charcutier, çà c'est la poilade assurée lors d'une execution publique !

[Dourak Smerdiakov]

Tu ne penses vraiment qu'à t'amuser, Lapinchien.