poeme de merde automatique

[Arwen]

"Prince charmant
Plus triste que dans une oubliette ou une prison
Comme retenue par un démon au rire endiablé
Je guette sans cesse à l'horizon,
Le prince qui partagera mon secret.
Et lorsque je t'ai aperçu,
Prince Nihil, le plus noble des seigneurs,
Ton si tendrement violent bras de statue,
Fit renaître sur mes joues un peu de couleurs.
Viens, s'il te plait, emmène-moi,
Et tes cheveux vedâtre flotteront dans l'air,
Et tes yeux globuleux courageux partant au combat,
Viendront cueillir cette chatte au, cette chatte au solitaire.
Me laisseras-tu enfermée dans ma tour?
Ou sauras-tu parcourir les 13 000 lieues qui nous séparent,
Et rendre amateur de dépucelage de moineau le ciel de mes jours,
Transperçant de ta lance ce trop couleur de trippe moisie décantée au formol brouillard?

Succube à deux balles
"

[Arwen]

généré avec un logiciel, c ignoble ce truc!

http://www.unpeudamour.com/

[lapinchien]

et çà http://zone.apinc.org tu crois tout de même pas que des vrais humains perdent leur temps à écrire des conneries pareille... c'est  un générateur de texte aleatoire pourri qu'a créé toutes ces daubes de textes et même les noms débiles des auteurs... qu'est ce qu'on peut trouver comme sites bidons sur internet !

[nihil]

grosse pute, ma mie
Ta main, grosse pute en bois, aussi conne que le ciel immense,
M'emprisonne au fond des typhons pourrissants
Déchirant ton regard
Et me fait filer sur tes cheveux cramés
Comme un castor que tu tiens dans la main...
Mais la nuit tombe...
Mon rêve s'éteint dans les profondeurs de mes songes
Ô étoile, ne meurs pas toi aussi.


Jean-Pierre Chevènement

[nihil]

Putain on dirait un poème de Tabasco, ou de X sous LSD

[Aka]

Le septième jour
Dieu voulait se reposer après six jours de travail.
Mais à la septième nuit
Il s'aperçut qu'il manquait quelque chose...
Alors il prit deux grains de sable,
Et en fit des yeux jaunes.
Il prit un champ de blé,
Et fit des cheveux jaunes.
Il prit un volcan
Pour faire un corps pourissant...
Il lui mit une cactus entre les mains,
Et souffla dans un sourire de connard:
''Ton nom sera Lapinchien.''
Là, une pluie d'étoiles s'abattit sur la Terre
Sur le monde jaune qui voyait le jour.
Voilà 473574357 ans que ce monde est né
Et c'est moi, la petite cactus, qui suis entre tes mains.

Aka

[lapinchien]

Turbo Injection à Bora-Bora
Les échos GTI des plages des tropiques
Sont comme la puissante couleur de tes yeux de princesse
Les constellations, le ciel électrique,
Sont les cheveux 6 cylindres de ton front de déesse.
J'écoute le vent, qui souffle sur la plage,
Et c'est ta voix qui chante, ma customisable Reine...
Un carburateur chromée entame son voyage,
Mais c'est à toi, Ferrari, que mes yeux appartiennent...



Chapatte, explorateur du bonheur...

[nihil]

Ton âme, Jean-Pierre, plus ouverte de le désir qu'il est en elle que l'arc-en-ciel si discret,
M'accompagne au coeur des cyclones dégueulasse
De tes yeux embrumés
Et me fait filer vers des sommets chauves
Comme un éléphant de mer explorant ton âme...
Puis vient le crépuscule...
Mon rêve meurt dans les profondeurs de mes songes
Alors qu'une lueur toute mouillée de tout son amour efface les ombres de la nuit.

[lapinchien]

Sourire d'ange
Je rêvais sous mon arbre d'un vulve mûr
Lorsqu'une confortable femme m'ôta tous mes problèmes,
Deux yeux mouillés, d'une beauté sans mesure,
Des cheveux ouverts, presque un diadème,
Vinrent sans prévenir m'attendrir
Me transformant en étincelle,
Tel un éjaculateur prêt à s'enfuir
Et dont les plumes sont arc-en-ciel.
Cet oiseau fou, chatte, c'est moi.
Et cette profonde déesse, qui épouse la beauté,
vaginite, dis le moi, que c'est toi...
Dans ta main je veux m'embraser.


Super Penetrator, poète à ses heures perdues

[Arwen]

Purée ca vous inspire ce générateur de poeme!

[Guilhan]

Sourire d'ange
Je vivais dans un monde au vert obscur
Lorsqu'une rigide femme me rendit soudain blême,
Deux yeux blancs, dignes d'une peinture,
Des cheveux chauve, comme je les aime,
Vinrent sans vergogne me faire frémir
Me faisant même toucher le ciel,
Moi, moustique dont le coeur chavire,
Sifflant un songe presque réel.
Et cet oiseau, corps numero 8472, c'est moi.
Et cette froide nymphe, incarnant la liberté,
C'est toi, sac de bidoche, c'est toi...
Dans ta main je veux m'embraser.


Enkulator, petit comique au grand coeur

[Narak]

Et nihil créa La Zone

Après six jours de création, il pensait avoir terminé.
Mais au soir du septième jour
Il s'aperçut qu'il manquait quelque chose...

Alors il prit deux gouttes d'urine de ragondin fétischiste,
Et il fit une soixantaine de pouilleux avec des crayons dans le cul et une connexion internet.

Il prit un rayon de soleil plein d'UV qui te fait choper un cancer dans ton cul,
Pour faire un symbole Biohazaard.

Il prit un cadavre trépané
Pour faire son premier texte.
Il lui mit une hémoroïde entre les mains,
Et dans un pitoyable murmure, lança:
''Ton nom sera La Zone, petite poufiasse. Allez, va faire le tapin ! ''

Là, un orage d'amour fit trembler la Terre
Sur le monde couleur dégeuli avec des morceaux de lardons flottants à la surface qui naissait lui aussi.
Voilà 5 années environ que le monde tourne ainsi
Et c'est moi, la petite hémoroïde, qui suis entre tes mains.

et mon cul brûle...