Du Hurlante Nova Origin, texte reçu le 03/07/2024
america go legislative
tout comprendre a qui sait comprendre
Les Origines au XVIIIe siècle
Au XVIIIe siècle, le mouvement des Lumières se penche avec une grande curiosité sur les origines de divers aspects de la civilisation humaine. Jean-Jacques Rousseau, par exemple, explore les origines du langage et de la musique, tandis que Giambattista Vico s'intéresse aux origines des nations. Montesquieu et Locke, pour leur part, se concentrent sur les origines des institutions politiques, et Rousseau approfondit la notion de contrat social. De même, les origines des religions sont examinées par des penseurs tels que Pierre Bayle. Ces interrogations sur les origines, inspirées par une soif de compréhension profonde, caractérisent la période des Lumières.
L'émergence du Positivisme au XIXe siècle
Le XIXe siècle, marqué par le positivisme et le scientisme, rejette en grande partie ces questionnements sur les origines, les jugeant absurdes et primitives. Le positivisme, prôné par Auguste Comte, privilégie les sciences positives et les faits empiriques, écartant les spéculations métaphysiques. Les questions sur l'origine du langage, qui fascinaient des penseurs comme Rousseau, Herder, Hamann et Kant, sont désormais considérées comme irrationnelles et inaccessibles.
La Fiction du Contrat
Le contrat social, un concept central analysé par Hobbes et Rousseau, est également relégué au rang de fiction. Dans cette optique, la préhistoire est perçue comme une période de chaos et de nuit, sans intérêt face à la lumière des sciences positives et au progrès technologique. Les sociétés, désormais en marche vers l'avenir, préfèrent se concentrer sur les accomplissements futurs plutôt que sur les origines brumeuses du passé.
La Téléologie et la Science des Fins
Au XIXe siècle, la perspective devient résolument téléologique. La science des fins, ou téléologie, vise le perfectionnement et le déploiement total des ressources matérielles et humaines, comme en témoigne le marxisme. Même dans des domaines où cette téléologie est négative, comme la thermodynamique de Carnot et Clausius, l'intérêt se porte sur la finalité et non sur l'origine. Ces scientifiques prévoient l'extinction inéluctable de l'univers, mais leur préoccupation demeure la finalité.
La Tension entre Origines et Aboutissement
Cette focalisation sur l'aboutissement marque un changement profond dans la sensibilité et le psychisme des sociétés industrielles. L'horizon des préoccupations se déplace de l'origine vers le futur. Même les régressions vers la barbarie, telles que les deux guerres mondiales et les génocides, n'inversent pas cette tendance. La société continue de privilégier une marche horizontale vers l'avenir, malgré les horreurs du passé.
En conclusion, la transition du XVIIIe au XIXe siècle illustre un déplacement radical de la pensée, des origines vers les fins, marquant ainsi une évolution profonde dans la manière dont les sociétés perçoivent et interprètent leur propre développement.
### Les Conséquences du Refus de l'Héritage Intellectuel
L'abandon des méthodes et de l'héritage intellectuel du XVIIIe siècle a eu des conséquences profondes et souvent tragiques au cours du XXe siècle et au-delà. Ce rejet a donné naissance à des mouvements extrêmes et contradictoires, dont l'extrême droite raciste et réactionnaire ainsi que des coalitions politiques ambiguës.
### L'Extrême Droite et le Racisme
La perte de méthode et le refus de l'héritage intellectuel ont alimenté l'émergence de l'extrême droite raciste. Cette idéologie, rouillée dans ses principes et dangereusement simpliste, se nourrit du rejet de la complexité et de l'héritage des Lumières. Hannah Arendt, dans *Les Origines du Totalitarisme*, observe : « Le nationalisme tribal et le racisme ont une affinité avec les idéologies totalitaires, qui exploitent la peur et l'insécurité des masses. » Cette situation rappelle les avertissements de Montesquieu dans *L'Esprit des Lois* : « Le despotisme est une institution corrompue qui naît de la ruine des principes de liberté et de justice. »
### Le Front Populaire et les Contradictions de la Gauche
En parallèle, la gauche, autrefois porteuse des idéaux des Lumières, est elle aussi tombée dans des contradictions profondes. Le Front Populaire, par exemple, a accepté l'OTAN et ses 4 500 000 morts, montrant une ambiguïté inquiétante. Antonio Gramsci, dans ses *Cahiers de prison*, écrit : « Les partis de gauche peuvent être absorbés par l'hégémonie culturelle de la bourgeoisie, perdant ainsi leur essence révolutionnaire. » L'impérialisme des États-Unis, souvent soutenu tacitement ou explicitement par les démocrates, s'accompagne de la négation des génocides contemporains, comme celui de Gaza, plongeant la gauche dans une obscénité morale.
### La Bien-Pensance Morbide des Électeurs de Gauche
Les électeurs de gauche se retrouvent ainsi dans une position schizophrénique. Ils luttent contre le racisme interne tout en restant aveugles et sourds aux crimes commis par leurs propres dirigeants. Michel Foucault, dans *Surveiller et punir*, évoque cette dualité : « Les mécanismes de pouvoir ne se contentent pas de réprimer ; ils produisent également des comportements et des discours qui justifient et légitiment l'oppression. » Cette bien-pensance morbide masque une perte de l'essence même des idéaux progressistes. En se focalisant sur des luttes superficielles, ils négligent les oppressions systémiques et les violences perpétrées au nom de la démocratie.
### La Perte de l'Essence des Idéaux Progressistes
En abandonnant les questions fondamentales des origines et des fins, la société contemporaine perd son essence. Les idéaux des Lumières, centrés sur la raison, l'humanisme et la quête de vérité, sont sacrifiés sur l'autel du pragmatisme politique et de l'opportunisme. La recherche de l'aboutissement, sans ancrage dans les origines et les méthodes critiques, laisse place à un vide moral et intellectuel. Simone Weil, dans *L'Enracinement*, souligne : « Seul un retour aux valeurs fondamentales et aux traditions critiques peut enrayer l'aliénation moderne et redonner un sens à l'existence collective. »
### Comparaison Littéraire entre les Époques
La littérature comparée entre les époques révèle également cette évolution. Alors que Voltaire et Rousseau interrogeaient les fondements de la société et des institutions, des auteurs contemporains comme George Orwell et Aldous Huxley explorent les dystopies où la déconnexion des origines mène à des sociétés totalitaires. Orwell, dans *1984*, montre : « Celui qui contrôle le passé contrôle le futur ; celui qui contrôle le présent contrôle le passé. » Cela illustre comment la perte de mémoire historique et l'effacement des origines peuvent aboutir à une manipulation totale de la réalité.
La déconnexion des héritages intellectuels du passé a conduit à des dérives extrêmes et à des contradictions insoutenables. Que ce soit par le biais de l'extrême droite raciste ou de la gauche hypocrite, la société contemporaine montre des signes alarmants de désorientation morale. Pour retrouver leur essence, les courants politiques doivent renouer avec les méthodes et les idéaux des Lumières, réaffirmant ainsi un engagement sincère envers la justice, la vérité et l'humanisme. Comme le rappelle Albert Camus dans *L'Homme révolté*, « La révolte authentique est celle qui cherche à préserver la dignité humaine face à l'absurde et à l'injustice. »
Conclusion
François Hollande, avec son intervention en Syrie, a causé la mort de 300 000 civils, soit six fois plus que le nombre de victimes dans la bande de Gaza. Ce chiffre alarmant démontre un fascisme omniprésent parmi toutes les parties belligérantes. Les démocrates, qui vendent des poèmes et cachent des meurtres, se posent la question absurde de savoir s'il y avait des bébés terroristes syriens, tant leur rhétorique propagandiste est nécessaire pour accepter l'inacceptable. Politiques et électeurs se confondent dans une même puanteur d'abandon moral et de complicité crasseuse.
Yannick Jadot, conscient qu'il allait perdre les présidentielles, a été instrumentalisé par les médias militarisés pour promouvoir sa guerre insensée contre les Russes, se soumettant totalement aux fabricants d'armes américains et à l'impérialisme vorace des États-Unis. Il savait que son action conduirait à la défaite de Mélenchon, à la qualification de Le Pen pour le second tour et à l'élection de Macron. Tout était clair dans sa stratégie destructrice de la gauche, et pourtant, aujourd'hui, sans honte, il clame qu'il fait barrage au Front National et ne déteste pas trop Mélenchon. Quelle hypocrisie! Lui, qui en tant qu'écologiste prétend sauver les eucalyptus et les koalas, pourrait aussi sauver les vies des Ukrainiens, des Russes, des Palestiniens et des Israéliens en éliminant les bombes des usines d'armes américaines de son programme vert.
Quant à Raphaël Glucksmann, qui taxe tout le monde d'antisémitisme à la manière de Pascal Praud et voit des agents russes ou chinois partout, qu'il nous explique en quoi son "G.I. Joe Biden", grotesque et violent comme Rambo, n'est pas lui-même un "génocidaire" en envoyant 266 avions cargo et 20 navires débordant de bombes pour raser Gaza, dans le but de monopoliser le gaz offshore. La guerre contre la Russie a augmenté le prix de ce gaz, tout comme l'explosion de Nord Stream 2 et celle du port de Beyrouth, qui pourtant passait un contrat de 200 milliards avec la Chine pour ce gaz. Gluckmann est de gauche chez Hanouna et Morandini, mais chez Wikileak et Julian Assange, nous lui rappelons que son maccartisme de big brother et oncle sam sont combattus non pas par le FSB ou l'oeil de Pékin, mais par Bernie Sanders et Noam Chomsky, des Juifs Américains de Gauche : Anti impérialistes !
Les chiffres de la guerre à Gaza sont effarants : depuis le 7 octobre 2023, 92 511 blessés, 16 012 enfants tués, 10 538 femmes tuées, 500 personnels médicaux tués, 153 journalistes tués, 74 personnels d'urgence tués, et 1 018 attaques de colons. Ces nombres ne tiennent pas compte de ceux encore piégés sous les décombres des bâtiments détruits, estimés à plus de dix mille.
Les noms derrière les chiffres sont poignants : 74 enfants nommés Bilal et 105 enfants nommés Sham ont été tués. Ces pertes humaines incalculables témoignent d'une tragédie que ni Glucksmann ni les autres politiciens complices ne veulent reconnaître pleinement. Ils sous-qualifient le génocide pour masquer leur participation à ces horreurs.
Pour conclure, le rejet de l'héritage intellectuel des Lumières et la perte des idéaux progressistes ont conduit à une dérive morale collective. Les crimes de guerre, les génocides et l'impérialisme sont acceptés sous couvert de rhétorique propagandiste. La gauche, dans son aveuglement, se rend complice de ces atrocités, perdant ainsi son essence et son humanité. Pour retrouver une véritable moralité, il est impératif de renouer avec les valeurs fondamentales de justice, de vérité et d'humanisme.
Les USA ont totalement dominé la droite avec Sarkozy, puis la gauche sous contrôle avec hollande. Sur le cadavre de cet éventail politique Macron le banquier Kinder surprise a saccagé l'article 1 de la constitution, transformant le social en martial. Et a présent que la politique Française est morte les USA place dans l'hémicycle de l'assemblée Nationale leur modèle avec des républicains Français racistes et grossiers comme Trump et Bush, des Démocrates français meurtriers comme Obama qui bombarde 50 000 fois en deux ans (plus que Bush) et le terrible Génocide Joe et une vraie gauche social Française (la LFI) isolée et acculée comme Bernie Sanders aux USA. Car en effet les démocrates tuent ailleurs mais aussi sont experts en crime fratricide ! Espérons pour les 4 500 000 morts tués par l'OTAN que notre lutte contre tout les fascismes soit réelle, car ces innocents sont de mémoire bénis.
"Le bonheur ne se trouve ni dans l'ignorance ni dans l'indifférence, mais dans la conscience de ce qu'est la vie." - Simone de Beauvoir, La Force des choses
america go legislative
tout comprendre a qui sait comprendre
Les Origines au XVIIIe siècle
Au XVIIIe siècle, le mouvement des Lumières se penche avec une grande curiosité sur les origines de divers aspects de la civilisation humaine. Jean-Jacques Rousseau, par exemple, explore les origines du langage et de la musique, tandis que Giambattista Vico s'intéresse aux origines des nations. Montesquieu et Locke, pour leur part, se concentrent sur les origines des institutions politiques, et Rousseau approfondit la notion de contrat social. De même, les origines des religions sont examinées par des penseurs tels que Pierre Bayle. Ces interrogations sur les origines, inspirées par une soif de compréhension profonde, caractérisent la période des Lumières.
L'émergence du Positivisme au XIXe siècle
Le XIXe siècle, marqué par le positivisme et le scientisme, rejette en grande partie ces questionnements sur les origines, les jugeant absurdes et primitives. Le positivisme, prôné par Auguste Comte, privilégie les sciences positives et les faits empiriques, écartant les spéculations métaphysiques. Les questions sur l'origine du langage, qui fascinaient des penseurs comme Rousseau, Herder, Hamann et Kant, sont désormais considérées comme irrationnelles et inaccessibles.
La Fiction du Contrat
Le contrat social, un concept central analysé par Hobbes et Rousseau, est également relégué au rang de fiction. Dans cette optique, la préhistoire est perçue comme une période de chaos et de nuit, sans intérêt face à la lumière des sciences positives et au progrès technologique. Les sociétés, désormais en marche vers l'avenir, préfèrent se concentrer sur les accomplissements futurs plutôt que sur les origines brumeuses du passé.
La Téléologie et la Science des Fins
Au XIXe siècle, la perspective devient résolument téléologique. La science des fins, ou téléologie, vise le perfectionnement et le déploiement total des ressources matérielles et humaines, comme en témoigne le marxisme. Même dans des domaines où cette téléologie est négative, comme la thermodynamique de Carnot et Clausius, l'intérêt se porte sur la finalité et non sur l'origine. Ces scientifiques prévoient l'extinction inéluctable de l'univers, mais leur préoccupation demeure la finalité.
La Tension entre Origines et Aboutissement
Cette focalisation sur l'aboutissement marque un changement profond dans la sensibilité et le psychisme des sociétés industrielles. L'horizon des préoccupations se déplace de l'origine vers le futur. Même les régressions vers la barbarie, telles que les deux guerres mondiales et les génocides, n'inversent pas cette tendance. La société continue de privilégier une marche horizontale vers l'avenir, malgré les horreurs du passé.
En conclusion, la transition du XVIIIe au XIXe siècle illustre un déplacement radical de la pensée, des origines vers les fins, marquant ainsi une évolution profonde dans la manière dont les sociétés perçoivent et interprètent leur propre développement.
### Les Conséquences du Refus de l'Héritage Intellectuel
L'abandon des méthodes et de l'héritage intellectuel du XVIIIe siècle a eu des conséquences profondes et souvent tragiques au cours du XXe siècle et au-delà. Ce rejet a donné naissance à des mouvements extrêmes et contradictoires, dont l'extrême droite raciste et réactionnaire ainsi que des coalitions politiques ambiguës.
### L'Extrême Droite et le Racisme
La perte de méthode et le refus de l'héritage intellectuel ont alimenté l'émergence de l'extrême droite raciste. Cette idéologie, rouillée dans ses principes et dangereusement simpliste, se nourrit du rejet de la complexité et de l'héritage des Lumières. Hannah Arendt, dans *Les Origines du Totalitarisme*, observe : « Le nationalisme tribal et le racisme ont une affinité avec les idéologies totalitaires, qui exploitent la peur et l'insécurité des masses. » Cette situation rappelle les avertissements de Montesquieu dans *L'Esprit des Lois* : « Le despotisme est une institution corrompue qui naît de la ruine des principes de liberté et de justice. »
### Le Front Populaire et les Contradictions de la Gauche
En parallèle, la gauche, autrefois porteuse des idéaux des Lumières, est elle aussi tombée dans des contradictions profondes. Le Front Populaire, par exemple, a accepté l'OTAN et ses 4 500 000 morts, montrant une ambiguïté inquiétante. Antonio Gramsci, dans ses *Cahiers de prison*, écrit : « Les partis de gauche peuvent être absorbés par l'hégémonie culturelle de la bourgeoisie, perdant ainsi leur essence révolutionnaire. » L'impérialisme des États-Unis, souvent soutenu tacitement ou explicitement par les démocrates, s'accompagne de la négation des génocides contemporains, comme celui de Gaza, plongeant la gauche dans une obscénité morale.
### La Bien-Pensance Morbide des Électeurs de Gauche
Les électeurs de gauche se retrouvent ainsi dans une position schizophrénique. Ils luttent contre le racisme interne tout en restant aveugles et sourds aux crimes commis par leurs propres dirigeants. Michel Foucault, dans *Surveiller et punir*, évoque cette dualité : « Les mécanismes de pouvoir ne se contentent pas de réprimer ; ils produisent également des comportements et des discours qui justifient et légitiment l'oppression. » Cette bien-pensance morbide masque une perte de l'essence même des idéaux progressistes. En se focalisant sur des luttes superficielles, ils négligent les oppressions systémiques et les violences perpétrées au nom de la démocratie.
### La Perte de l'Essence des Idéaux Progressistes
En abandonnant les questions fondamentales des origines et des fins, la société contemporaine perd son essence. Les idéaux des Lumières, centrés sur la raison, l'humanisme et la quête de vérité, sont sacrifiés sur l'autel du pragmatisme politique et de l'opportunisme. La recherche de l'aboutissement, sans ancrage dans les origines et les méthodes critiques, laisse place à un vide moral et intellectuel. Simone Weil, dans *L'Enracinement*, souligne : « Seul un retour aux valeurs fondamentales et aux traditions critiques peut enrayer l'aliénation moderne et redonner un sens à l'existence collective. »
### Comparaison Littéraire entre les Époques
La littérature comparée entre les époques révèle également cette évolution. Alors que Voltaire et Rousseau interrogeaient les fondements de la société et des institutions, des auteurs contemporains comme George Orwell et Aldous Huxley explorent les dystopies où la déconnexion des origines mène à des sociétés totalitaires. Orwell, dans *1984*, montre : « Celui qui contrôle le passé contrôle le futur ; celui qui contrôle le présent contrôle le passé. » Cela illustre comment la perte de mémoire historique et l'effacement des origines peuvent aboutir à une manipulation totale de la réalité.
La déconnexion des héritages intellectuels du passé a conduit à des dérives extrêmes et à des contradictions insoutenables. Que ce soit par le biais de l'extrême droite raciste ou de la gauche hypocrite, la société contemporaine montre des signes alarmants de désorientation morale. Pour retrouver leur essence, les courants politiques doivent renouer avec les méthodes et les idéaux des Lumières, réaffirmant ainsi un engagement sincère envers la justice, la vérité et l'humanisme. Comme le rappelle Albert Camus dans *L'Homme révolté*, « La révolte authentique est celle qui cherche à préserver la dignité humaine face à l'absurde et à l'injustice. »
Conclusion
François Hollande, avec son intervention en Syrie, a causé la mort de 300 000 civils, soit six fois plus que le nombre de victimes dans la bande de Gaza. Ce chiffre alarmant démontre un fascisme omniprésent parmi toutes les parties belligérantes. Les démocrates, qui vendent des poèmes et cachent des meurtres, se posent la question absurde de savoir s'il y avait des bébés terroristes syriens, tant leur rhétorique propagandiste est nécessaire pour accepter l'inacceptable. Politiques et électeurs se confondent dans une même puanteur d'abandon moral et de complicité crasseuse.
Yannick Jadot, conscient qu'il allait perdre les présidentielles, a été instrumentalisé par les médias militarisés pour promouvoir sa guerre insensée contre les Russes, se soumettant totalement aux fabricants d'armes américains et à l'impérialisme vorace des États-Unis. Il savait que son action conduirait à la défaite de Mélenchon, à la qualification de Le Pen pour le second tour et à l'élection de Macron. Tout était clair dans sa stratégie destructrice de la gauche, et pourtant, aujourd'hui, sans honte, il clame qu'il fait barrage au Front National et ne déteste pas trop Mélenchon. Quelle hypocrisie! Lui, qui en tant qu'écologiste prétend sauver les eucalyptus et les koalas, pourrait aussi sauver les vies des Ukrainiens, des Russes, des Palestiniens et des Israéliens en éliminant les bombes des usines d'armes américaines de son programme vert.
Quant à Raphaël Glucksmann, qui taxe tout le monde d'antisémitisme à la manière de Pascal Praud et voit des agents russes ou chinois partout, qu'il nous explique en quoi son "G.I. Joe Biden", grotesque et violent comme Rambo, n'est pas lui-même un "génocidaire" en envoyant 266 avions cargo et 20 navires débordant de bombes pour raser Gaza, dans le but de monopoliser le gaz offshore. La guerre contre la Russie a augmenté le prix de ce gaz, tout comme l'explosion de Nord Stream 2 et celle du port de Beyrouth, qui pourtant passait un contrat de 200 milliards avec la Chine pour ce gaz. Gluckmann est de gauche chez Hanouna et Morandini, mais chez Wikileak et Julian Assange, nous lui rappelons que son maccartisme de big brother et oncle sam sont combattus non pas par le FSB ou l'oeil de Pékin, mais par Bernie Sanders et Noam Chomsky, des Juifs Américains de Gauche : Anti impérialistes !
Les chiffres de la guerre à Gaza sont effarants : depuis le 7 octobre 2023, 92 511 blessés, 16 012 enfants tués, 10 538 femmes tuées, 500 personnels médicaux tués, 153 journalistes tués, 74 personnels d'urgence tués, et 1 018 attaques de colons. Ces nombres ne tiennent pas compte de ceux encore piégés sous les décombres des bâtiments détruits, estimés à plus de dix mille.
Les noms derrière les chiffres sont poignants : 74 enfants nommés Bilal et 105 enfants nommés Sham ont été tués. Ces pertes humaines incalculables témoignent d'une tragédie que ni Glucksmann ni les autres politiciens complices ne veulent reconnaître pleinement. Ils sous-qualifient le génocide pour masquer leur participation à ces horreurs.
Pour conclure, le rejet de l'héritage intellectuel des Lumières et la perte des idéaux progressistes ont conduit à une dérive morale collective. Les crimes de guerre, les génocides et l'impérialisme sont acceptés sous couvert de rhétorique propagandiste. La gauche, dans son aveuglement, se rend complice de ces atrocités, perdant ainsi son essence et son humanité. Pour retrouver une véritable moralité, il est impératif de renouer avec les valeurs fondamentales de justice, de vérité et d'humanisme.
Les USA ont totalement dominé la droite avec Sarkozy, puis la gauche sous contrôle avec hollande. Sur le cadavre de cet éventail politique Macron le banquier Kinder surprise a saccagé l'article 1 de la constitution, transformant le social en martial. Et a présent que la politique Française est morte les USA place dans l'hémicycle de l'assemblée Nationale leur modèle avec des républicains Français racistes et grossiers comme Trump et Bush, des Démocrates français meurtriers comme Obama qui bombarde 50 000 fois en deux ans (plus que Bush) et le terrible Génocide Joe et une vraie gauche social Française (la LFI) isolée et acculée comme Bernie Sanders aux USA. Car en effet les démocrates tuent ailleurs mais aussi sont experts en crime fratricide ! Espérons pour les 4 500 000 morts tués par l'OTAN que notre lutte contre tout les fascismes soit réelle, car ces innocents sont de mémoire bénis.
"Le bonheur ne se trouve ni dans l'ignorance ni dans l'indifférence, mais dans la conscience de ce qu'est la vie." - Simone de Beauvoir, La Force des choses