[Randy]
Randy releva sa propre gueule écrasée contre la terre molle, la bite encore dûre sous son jean serré. Comme d'habitude il avait rêvés de pratiques sexuelles déviantes, cette fois-ci avec des chats et des chèvres il ne savait plus très bien... Il avait honte. Randy était atteint d'un syndrôme gerbo-enculatoire, c'était son médecin qui lui avait dit. Randy rêvait de scèness zoophiles le mettant en scène, accompagnées de crises de somnanbulisme sévère... Ainsi, il traversait une rue sombre encore endormi, parcourait les campagnes de nuit, parfois courrant plusieurs kilomètres dans l'obscurité, tout en rêvant qu'il enculait des animaux, le plus souvent domestiques. Les trucs exotiques ça ne le branchait pas, même s'il ne rechignait pas à se branler de temps en temps sur des documentaires du National Geographic.
Encore une fois Randy avait dû parcourir une sacré distance, il ne reconnaissait pas l'endroit autour de lui. Un genre de parc vide et silencieux, qui puait la fiente.
Randy eut un frisson de plaisir. Cette odeur de merde lui était délicieuse, sans qu'il ne sache pourquoi. Elle lui rappelait des souvenirs familiers, des périples solitaires et nocturnes dont ne lui restaient que des bribes de sensations.
Randy s'assit sur un banc en forme de Porc, au groin tellement réaliste qu'il lui fallut bien admettre qu'il était d'origine animale. La déco bien que curieuse, n'effrayait pas Randy, bien au contraire, ''l'organique c'est mon dada'' disait-t'il souvent. Le contact du banc le fit frémir: les lattes de bois étaient fausses, en vérité elles avaient la douceur et la texture d'une peau. Randy les caressa de la main. Sa bite grossissait à vue d'oeil. Randy devenait doucement excité sans le remarquer, l'odeur de purin lui montait à la tronche, tandis qu'il agrippait le banc entièrement composé de matières porcines. Randy pencha la tête et respira à plein poumons l'odeur de cuir de Porc, puis finit par se toucher frénétiquement la bite. Il éjacula quelques minutes plus tard. ''Est-ce le paradis?'' se demanda Randy.
Un bruit sourd le sortit de sa torpeur. Il lui semblait entendre une voix. Des genres de grognements stridents à l'accent bavarois résonnaient au loin, qui devinrent des saloperies de ricanements hilares et diaboliques, presques humains. Les rires se turent subitement. Randy avait honte et peur.
Se pouvait-il qu'il soit ne pas seul ici? Il se mit en route, tout en arrachant le groin du banc qu'il fourra dans sa poche. Cela lui donnerait du courage. Devant lui s'étandait une grande barraque à barbapapa-rillettes, Randy avait faim.
Il traversa un genre de jardin où les fourrés étaient taillés pour donner vie à des scènes de mythologie. Bien sûr, Ulysse était un porc à barbe armé d'un arc tandis qu'une gorgone à tête de truie était affublée d'une coiffe de serpents-sangliers. Ici et là dansaient des satyres aux groins aguicheurs. Au mileu de ces scènes délicieusement hérotiques aux yeux de Randy, trônait une statue dorée d'un personnage ignoble et laid, un clown déformé au sourire dément et au bide gonflé.
Randy accéléra le pas vers la barraque. Un frisson lui parcouru l'échine.
Randy releva sa propre gueule écrasée contre la terre molle, la bite encore dûre sous son jean serré. Comme d'habitude il avait rêvés de pratiques sexuelles déviantes, cette fois-ci avec des chats et des chèvres il ne savait plus très bien... Il avait honte. Randy était atteint d'un syndrôme gerbo-enculatoire, c'était son médecin qui lui avait dit. Randy rêvait de scèness zoophiles le mettant en scène, accompagnées de crises de somnanbulisme sévère... Ainsi, il traversait une rue sombre encore endormi, parcourait les campagnes de nuit, parfois courrant plusieurs kilomètres dans l'obscurité, tout en rêvant qu'il enculait des animaux, le plus souvent domestiques. Les trucs exotiques ça ne le branchait pas, même s'il ne rechignait pas à se branler de temps en temps sur des documentaires du National Geographic.
Encore une fois Randy avait dû parcourir une sacré distance, il ne reconnaissait pas l'endroit autour de lui. Un genre de parc vide et silencieux, qui puait la fiente.
Randy eut un frisson de plaisir. Cette odeur de merde lui était délicieuse, sans qu'il ne sache pourquoi. Elle lui rappelait des souvenirs familiers, des périples solitaires et nocturnes dont ne lui restaient que des bribes de sensations.
Randy s'assit sur un banc en forme de Porc, au groin tellement réaliste qu'il lui fallut bien admettre qu'il était d'origine animale. La déco bien que curieuse, n'effrayait pas Randy, bien au contraire, ''l'organique c'est mon dada'' disait-t'il souvent. Le contact du banc le fit frémir: les lattes de bois étaient fausses, en vérité elles avaient la douceur et la texture d'une peau. Randy les caressa de la main. Sa bite grossissait à vue d'oeil. Randy devenait doucement excité sans le remarquer, l'odeur de purin lui montait à la tronche, tandis qu'il agrippait le banc entièrement composé de matières porcines. Randy pencha la tête et respira à plein poumons l'odeur de cuir de Porc, puis finit par se toucher frénétiquement la bite. Il éjacula quelques minutes plus tard. ''Est-ce le paradis?'' se demanda Randy.
Un bruit sourd le sortit de sa torpeur. Il lui semblait entendre une voix. Des genres de grognements stridents à l'accent bavarois résonnaient au loin, qui devinrent des saloperies de ricanements hilares et diaboliques, presques humains. Les rires se turent subitement. Randy avait honte et peur.
Se pouvait-il qu'il soit ne pas seul ici? Il se mit en route, tout en arrachant le groin du banc qu'il fourra dans sa poche. Cela lui donnerait du courage. Devant lui s'étandait une grande barraque à barbapapa-rillettes, Randy avait faim.
Il traversa un genre de jardin où les fourrés étaient taillés pour donner vie à des scènes de mythologie. Bien sûr, Ulysse était un porc à barbe armé d'un arc tandis qu'une gorgone à tête de truie était affublée d'une coiffe de serpents-sangliers. Ici et là dansaient des satyres aux groins aguicheurs. Au mileu de ces scènes délicieusement hérotiques aux yeux de Randy, trônait une statue dorée d'un personnage ignoble et laid, un clown déformé au sourire dément et au bide gonflé.
Randy accéléra le pas vers la barraque. Un frisson lui parcouru l'échine.