Ce matin j'ai fait une pause dans ma recherche effrénée de caractères d'imprimerie (cf: le grand livre des choses dont on à rien à foutre).
Ce présent fait à moi-même d'un moment d'oisiveté à la saveur oubliée et la moiteur de ma peau, firent comme un fil d'Ariane me guidant dans mes méandres de ma caboche, jusqu'ici, dans l'idée et dans le geste.
Après dégustation de madeleines proustiennes au fourrage zonard, m'est revenu le souvenir du temps que je trainais en ces lieux. A l'époque, j'avais touché un vague héritage.
Ce qui suit n'est en rien l'expression du déni, mais un constat empli de tendresse pour l'état dans lequel je me trouvais à l'époque :
PUTAIN DE MERDE, j'étais perpétuellement bourré ou en cuvage piquette. JE GERBAIS MA GNÖLE A LONGUEUR DE TEMPS ET MES DOIGTS HUILEUX DE SUEUR ALCOOLIQUE COLLAIENT AUX TOUCHE DE MON CONNARD DE CLAVIER.
C'était un genre de bon vieux temps, horde de chiures.
d'un coup, j'ai soif.
Ce présent fait à moi-même d'un moment d'oisiveté à la saveur oubliée et la moiteur de ma peau, firent comme un fil d'Ariane me guidant dans mes méandres de ma caboche, jusqu'ici, dans l'idée et dans le geste.
Après dégustation de madeleines proustiennes au fourrage zonard, m'est revenu le souvenir du temps que je trainais en ces lieux. A l'époque, j'avais touché un vague héritage.
Ce qui suit n'est en rien l'expression du déni, mais un constat empli de tendresse pour l'état dans lequel je me trouvais à l'époque :
PUTAIN DE MERDE, j'étais perpétuellement bourré ou en cuvage piquette. JE GERBAIS MA GNÖLE A LONGUEUR DE TEMPS ET MES DOIGTS HUILEUX DE SUEUR ALCOOLIQUE COLLAIENT AUX TOUCHE DE MON CONNARD DE CLAVIER.
C'était un genre de bon vieux temps, horde de chiures.
d'un coup, j'ai soif.