worst-of


Si vous voulez vous foutre de notre gueule en lisant les textes les plus stupides, les moins bien écrits, les plus hors-de-propos, c'est là que ça se passe. Parce qu'on fait pas dans l'élitisme et qu'ici être le plus mauvais c'est aussi honorifique qu'être le meilleur...


  1. Dreamcatcher    ( 0.00/10 - Le Duc - 28/05/2005) : Accrochez-vous à vos bretelles. Notre poulain, notre champion, notre héros gavé aux stéroïdes déboule dans l'arène de la semaine 'textes de merde'. Et une nouvelle fois il s'impose comme le Seul, l'Unique. Conjugaison aléatoire, clichés batards, stupidité au premier degré, confusion mentale, repompage qui touche à la parodie involontaire. Le Duc met toutes les chances de son coté. Attention chef d'oeuvre de la merde.
  2. ? rire, la mort ?    ( 0.29/10 - Aure - 07/04/2006) : Ce texte m'a fait me demander si je devais pas après tout imposer un minimum de qualité pour publier. Mais il m'a tellement fait rire que je ne pouvais pas le passer à la trappe. Aure est visiblement la femelle du Duc et cette chose est l'une des pires bouses jamais procréées. Si jamais c'était une parodie, ça tiendrait du génie. Attention les yeux.
  3. Fin de soirée    ( 0.33/10 - Amanite - 21/01/2002) : Retranscription d'un tas de conneries écrites sur une assiette en carton pendant une soirée bien arrosée et bien enfumée. Les conneries sont signées Amanite ou bien soufflées par d'autres zonards en goguette...
  4. Erections    ( 0.33/10 - Fresbee - 08/05/2002) : Réaction de Fresbee au résultat du second tour des élections présidentielles. Ca tient en quelques mots, aussi nihil s'est senti obligé de rajouter une immense introduction ultra-sarcastique.
  5. Crying like a diplodocus    ( 0.33/10 - Narak - 02/07/2004) : Un texte de chanson imaginaire en anglais, enfin dans un anglais de 3ème quoi... Narak tombe bien bas avec cet immondice qui fait que nous sommes encore plus idiots après l'avoir lu qu'avant, et ça c'est plutôt cool. Une ode (involontaire) à la confusion mentale qui ne vaut que comme temoignage ethnologique de la connerie crasse de nos adolescents.
  6. Jolie fille mais dangeureuse    ( 0.33/10 - Shell - 26/08/2007) : Enorme. Ca faisait longtemps qu'on avait pas eu un vrai mauvais, un irrécupérable. Et enfin nous arrive Shell, qui joue dans la cour des grands aux cotés d'Aure, d'Arkai59 et même du grand Duc. Pitoyable, absurdement con, on ne peut que tomber d'admiration devant ce monument d'extravagante nullité.
  7. Pulsion    ( 0.33/10 - Reteex - 13/09/2009) : Voilà un concurrent super sérieux pour le concours de textes de merde, malgré ses deux semaines de retard. Stupidité éblouissante, écriture de pangolin liquéfié, histoire de merde d'un psycho-killer qui va acheter sa baguette de pain... Les armes déployées contre le lecteur sont nombreuses. Et en plus c'est complètement chiant ! C'est le Silence des Agneaux contre la Septième Compagnie, Winny l'ourson névropathe, le Necronomicon belge. On s'en prend plein la face à tous les étages, c'est un vrai bonheur.
  8. MORBIDE ANTAGONISME    ( 0.40/10 - Abysmal - 23/10/2012) : Ici, vous pourrez admirer de vos yeux ébahis le premier modèle fait main de Panzer-Pangolin, accompagné de ses nombreuses fautes et incohérences et phrases stupides; sans parler du scénario. Le Duc de la grande époque se serait peut-être réincarné, souhaitons-lui longue vie et grande gloire, Amen !
  9. A mort les tarés    ( 0.50/10 - M. Goret - 01/03/2002) : Le premier article de M. Goret, complètement débile, incompréhensible, débile, absurde. Bourré de private-jokes et de phrases complètement distordues. Personne ne sait quoi penser de cet article.
  10. ?    ( 0.50/10 - Shirow - 28/01/2002) : ?
  11. La trainée et le maso    ( 0.50/10 - Caligula - 10/05/2005) : Le comité des pondeurs de bouses diarrhétiques nous présente aujourd'hui un nouveau mini-article, un poème romantique boursouflé de douleur outrée et hérissé de vannes improbables (voire involontaires).
  12. La pile    ( 0.50/10 - Nobodiz - 25/11/2005) : Nobodiz nous propose un texte d'anticipation au concept intéressant, mais il succombe dès le départ au travers majeur de ce genre : dépeindre une civilisation en dix lignes, tracer une intrigue en trois coups de cuiller à pot. Ca ressemble à un synopsis, à un plan de texte plutôt qu'à un texte abouti. Ajoutons à celà que le style est très mauvais et rebutant. Dommage, l'idée était bonne. Mais en l'état, c'est horrible.
  13. Les voluptés du bain    ( 0.50/10 - Aesahaettr - 18/03/2006) : Dans l'intro Aesatruc nous raconte la génèse de son article et c'est tellement pourri qu'on aborde le texte lui-même avec un bon feeling. Effectivement c'est convaincant : c'est l'une des pires bouses qui ait vu le jour sur la Zone et pourtant on est riches de ce coté-là. C'est ennuyeux, pénible, inutile au possible, ce qui pourrait être pardonné si les tentatives humoristiques n'étaient pas à ce point minables.
  14. Beat    ( 0.50/10 - Krang23 - 30/07/2006) : Ce superbe tribute à Nounourz est une pièce qui restera inégalée, à jamais gravée dans nos mémoires pour ce qu'elle est : un brûlot polémique et sarcastique, qui vise sans trembler une police brutale et intolérante. Vive la Zone, vive El Def, vive nous !
  15. Clip    ( 0.50/10 - Serge D - 01/01/2007) : Konsstrukt peut aller se rhabiller, il a trové son maître en la personne de Serge, qui fait encore plus minimaliste, encore moins stylisé et encore plus inutile. De la pure lobotomie littéraire. Heureusement que c'est court.
  16. Bagnard de la vie    ( 0.50/10 - Tab - 25/04/2008) : Mongo le mongolien se révolte ! Ce serait bien qu'un neuropsychomongologue se penche sur ce texte pour nous donner un diagnostic sur la degenerescence neuronale de l'auteur. Le Monsieur, il é pa contan, mais on comprend pas tout ce qu'il raconte. On dirait le cri de rage d'un enfant de grande section qui mord son institutrice.
  17. Rien à faire    ( 0.50/10 - Ta Chatte - 01/09/2009) : Il n'est pas impossible que ce texte ait été savamment dosé et ciselé dans le but de le rendre vraiment lamentable. Mais comme je suis un humaniste, je vais partir du principe qu'il n'en est rien et que son auteur est juste un gros con. Cette Oeuvre fascinante est criblé de fautes cataclysmiques et aspergé d'humour de yorkshire. Ca sent l'incapacité mentale, l'acné explosif, le fan de tuning puceau qui joue avec son caca, entouré de ses trois potes mongoliens. L'absence de propos (et de cerveau) est palpable. Magistral.
  18. Bons à rien    ( 0.50/10 - Abracadabrants - 17/10/2012) : Notre nouveau palmier de compétition déjà responsable du futur classique http://www.lazone.org/articles/2442.html est tout chagrin dedans son corps et pour nous le faire savoir, rien de tel qu'un bon vieux pamphlet de désespoir en véritable poil de pin des Landes, servi tel quel. Impressionnant.
  19. 06. Le dico des mots cons #SaintCon2016    ( 0.50/10 - Alesie - 11/04/2016) : Texte en compétition dans le cadre de la #SaintCon2016. On tape dans l'art contemporain avec cette oeuvre transmedia. Pour apprécier le chef d'oeuvre dans le respect de toutes les dimensions artistiques prévues par l'auteur, il est vivement recommandé de visualiser le texte et ses liens interactifs en enfilant une paire d'Oculus Rift. Vous serez de fait en immersion dans cette merveille. Cette année, l'auteur des textes demeure anonyme jusqu'au verdict des votes pour ne pas les influencer. Il vous est toujours possible de poster une ou plusieurs contributions pour briguer le titre de Grand Inquisiteur de l'Ordre de Saint-Con avant le 17 Avril.
  20. Merde    ( 0.50/10 - pascal dandois - 10/09/2017) : Ce qu'il y a de bien avec Dandois c'est qu'il nous en apprend tous les jours, aujourd'hui bienvenue dans l'univers champêtre d'un scatophile. Ce qui m'amène à une situation saugrenue : taper dans le moteur de recherche "scatophile" et tomber sur ce genre de forum : "bonjour, j'ai un énorme problème, je crois que mon fils est scatophile et ça m'inquiète beaucoup. il a 16 ans, passe en 1ère scientifique, est assez bon élève (12.7 de moyenne en 2nde) est très gentil, doux et timide. il a peu d'amis mais n'est pas associable. j'ai récemment fait une découverte qui m'a énormément choqué: il cache bien soigneusement en haut de son placard plusieurs boites à chaussures des excrément qu'il façonne de façon à représenter des personnes et parfois des animaux! qu'en pensez vous? dois-je lui en parler? est-ce passager où a-t-il des tendances malsaines?" Finalement, il y a pire que la Zone, oui mes amis bien pire ! Sinon, pour revenir au texte, on prend ce billet, on l'imprime et on se torche le cul avec manière d'être en communion avec le contenu.
  21. ...    ( 0.67/10 - Gawhell - 06/04/2004) : Bon c'est profondément stupide et sans le moindre intérêt, mais c'est pas ça qui va m'empêcher de le publier bordel de merde, ça se saurait si je refusais les trucs cons et inutiles.
  22. Saloperie de connerie à la con de putain de guerre de merde    ( 0.67/10 - Tabasco - 07/10/2004) : Je suppose que Tabasco tente de battre le record de l'article le plus merdique de la Zone, et fait assez fort avec ce monument de confusion bien-pensante et imbécile sous forme de poème (c'était prévisible). Dommage, le titre est trop bon pour que le record soit homologué. Dans ton cul Tabasco.
  23. Mirage    ( 0.67/10 - X - 17/11/2004) : Le thème, la manipulation affective, est vraiment intéressant et complexe, mais là putain c'est du sous-développé, dix lignes de quatre mots chacune, ça peut pas suffire à résumer le problème. En plus c'est encore un putain de poème à la con.
  24. Lettre ouverte à monsieur Sarkozy    ( 0.67/10 - Alexis de Hamilton - 25/03/2007) : En général, quand on écrit une lettre à Nicolas Sarkozy, vaut mieux l'envoyer à Nicolas Sarkozy plutôt que sur la Zone. Plus de chances que ça parvienne à son destinataire. Et puis nous, ça nous éviterait d'avoir à nous coltiner ce machin.
  25. Another day ....    ( 0.67/10 - Ron Weasley - 03/04/2007) : Titre en anglais, intro mal orthographiée pour emo-kids en chaleur, suite inutile et basée sur un personnage de MTV, ponctuation aléatoire. Je crois qu'on a le compte. Ca fait beaucoup pour un si petit texte. Nullité totale.
  26. La Belle et la Bête    ( 0.67/10 - La-Pute-Phallique - 12/09/2015) : Débarquer d'un trou de ver. Pondre toute une théorie fumeuse à partir d'un jeu de mot tiré par les cheveux. Snifer les interlignes pour probablement trouver l'inspiration nécessaire à l'écriture poussive de la vingtaine d'autres lignes. Il est étonnant qu'on ne trouve pas dans ce court extrait de pensée pure une vanne résultat d'un badtrip sur le mot "analphabète" , une digression sur l'ambiguïté pédophile latente dans le nom de la marque "Babybel", un paragraphe indigné sur l'expression "bête comme chou". Au delà du terrorisme donc, l'humorisme. On a le droit de dire que c'est misogyne ou on s'en bat les trompes de Fallope ? Vivement qu'une troupe de Femen, Zarofettes et Pussy Riot enragées s'occupent du cas du narrateur. Quant à l'auteur, s'il poste d'autres textes "dans le genre" on va finir par croire qu'il croit au premier degré alors que sur la Zone, on ne s'exprime pas en dessous du huit-sixième.
  27. Info Parano 2    ( 0.75/10 - Le Duc - 13/05/2004) : On tient là probablement le pire auteur sur la Zone depuis M. Goret... Mmh en resurvolant ce texte je dirais le pire auteur tout court, rejouissons-nous. Blindé de fautes, illisible, humour de navet paraplégique, repompage de vannes des guignols de l'info... A chier.
  28. Recette : cervelle de morue    ( 0.75/10 - Arkai59 - 24/01/2007) : Notre nouveau boulet de compétition nous impose sa prose génétiquement dégénérée et skybloggesque. Ca se voit qu'il essaie de s'intégrer ce pauvre bichon. Ca se veut zonard au possible, sauf qu'à part un effort larvaire de violence gratuite, y a que dalle à se mettre sous la dent.
  29. Début de la fin    ( 0.75/10 - Sirène - 17/05/2008) : Sirène est jeune, c'est son premier texte, et elle réclame l'indulgence. Ca commence mal. Le texte, c'est du vrai gros charabia, tout rempli d'introspection stupide et d'erreurs de vocabulaire, avec un style de langouste. Du grand n'importe-quoi. Prenez un texte de chanson emo-goth au choix, mixez-le avec la recette du steak tartare, traduisez-le en moldave et lisez un mot sur quatre en commençant par la fin, et vous aurez une impression similaire. J'espère avoir été assez indulgent.
  30. Le changement ? Une prière, une tape sur le cul et au lit…    ( 0.75/10 - Le Docteur Burz - 13/01/2017) : Après les remarques de M. Burz sur l'organisation de la publication des textes (oui, apparemment nous ne sommes pas assez rapide), on s'attendait à lire une merveille dans le genre, une sorte de pépite qu'on aurait oubliée au fond du tiroir. Sauf que là, cette vieille serpillière, on aurait préféré ne pas la voir, ne pas la lire, même, ne pas la retrouver en page d'accueil. Dès les premières lignes, on pleure, amis de l'orthographe et de la conjugaison, attention aux yeux car ça picote ! Une énième discussion de comptoir sur le quinquennat de feu Hollande et de notre avenir. Bref, le texte a frôlé la catégorie "sans texte" ou la nouvelle catégorie sortie tout droit de mon imaginaire : "OSEF"
  31. Manipulation : conclusion    ( 1.00/10 - Amanite - 09/03/2002) : Une petite anecdote amusante pour clore le dossier Manipulation.
  32. Civisme... again    ( 1.00/10 - Amanite - 17/04/2002) : Réponse tardive (conçue comme un article indépendant) à l'article Appel au civisme, c'est l'article qui, à cause de la proximité des élections présidentielles à réellement lancée la polémique sur le civisme et l'abstention sur le forum.
  33. Hmf    ( 1.00/10 - Fresbee - 25/07/2002) : Fresbee est en passe d'imposer son style sur la Zone, ou plutôt son non-style : articles ultra-courts, balancés à la va-vite et taillés en quelques mots. Celui-ci nous laisse une impression désagréable sur l'été et les vacances à la plage.
  34. J'ai cru voir...    ( 1.00/10 - Gwen - 26/07/2002) : Gwen décide de détruire les bases de la Zone et de provoquer un peu avec cet article qui détonne à mort avec la ligne éditoriale du site. Enfin quelqu'un qui a compris que la première règle qu'on doit transgresser, c'est bel et bien celle de la Zone qui dit que le site est conçu pour transgresser toutes les règles.
  35. Mon premier rêve    ( 1.00/10 - Krista - 22/06/2002) : C'est la mode : pour leur premier article, les nouveaux auteurs décident de nous raconter leur vie. Un épisode particulier ici : sexe, drogue et techno à fond dans ta gueule. Rejouissant.
  36. Limites 6    ( 1.00/10 - M. Yo - 23/08/2002) : Evenement : première participation de M. Yo en tant qu'auteur ! Un article qui concerne les limites qu'il considère aller de soi quant à ses interventions sur la Zone, un texte plein de sens, de développement et de... euh... Va te faire foutre, Yo !
  37. Limites 7    ( 1.00/10 - M. Goret - 06/09/2002) : Evidemment, si quelqu'un devait saisir la substantifique moëlle d'un sujet quelqu'il soit, en l'occurence celui du dossier limites, ce serait M. Goret. Il nous assène donc cet intéressant article, entièrement pompé sur doctoronline.com ou autre site du même genre.
  38. Pétassofight 1    ( 1.00/10 - Shirow - 06/02/2002) : Shirow rajoute une petite couche hargneuse à l'histoire développée dans l'article Dénonciation 1 de Gwen.
  39. Marre    ( 1.00/10 - Shirow - 25/06/2002) : L'exaspération monte chez Shirow, qui se met à dézinguer tous les crétins qui trainent dans ses pattes.
  40. La stratégie de l'échec    ( 1.00/10 - Zone Inc. - 16/01/2002) : Une citation tirée de la vidéo 'la stratégie de l'échec' de D. Farruggia, pas très longue mais vraiment excellent.
  41. L'associé du diable    ( 1.00/10 - Zone Inc. - 01/02/2002) : Citation du film 'l'associé du diable', passage complètement disjoncté, hilarant au cinéma, incompréhensible à l'écrit.
  42. Bernie    ( 1.00/10 - Zone Inc. - 04/02/2002) : Deux citations du film 'Bernie' de Dupontel, qui passent difficilement par écrit, mais marrantes.
  43. Langue de folle    ( 1.00/10 - Pastilla - 21/01/2002) : Pastilla, un auteur inconnu, fait une critique assez surréaliste de la gent masculine québécoise.
  44. Les fêtes à la con    ( 1.00/10 - Gloom - 07/01/2003) : Je commence à faire les poubelles du forum en collant ce mini-article d'un nouveau, Gloom, qui explore un terrain étrange, que j'appelerais... 'les bons sentiments à la zonarde'. Bon ça reste gentillet, mais on s'en tape.
  45. Best-of auteurs    ( 1.00/10 - Zone Inc. - 15/01/2003) : Best-of du défunt 'forum auteurs'
  46. Nouveaux sorciers    ( 1.00/10 - Daria - 18/01/2003) : Encore un sujet de société pour ce mini-article vraiment très court.
  47. Le retour de la revanche    ( 1.00/10 - Tulia - 12/02/2003) : Eh oui, il fallait s'y attendre, après un an d'attente insupportable, c'est bientôt le retour de notre fête nationale préférée.
  48. Non la fatalité n'est pas une fatalité    ( 1.00/10 - Petitclaxon - 17/02/2003) : On a décroché une vraie tanche en la personne de Petitclaxon, preuve en est cet article au titre excellent, mais au contenu autobiographique incompréhensible, bourré d'abréviations et de phrases à la con : youpiii !
  49. Interview de Six-Feet-Under    ( 1.00/10 - Six-Feet-Under, Tulia - 07/03/2003) : Voici l'interview de Six-Feet-Under par Tulia, échange très absurde et très débile, c'est marrant et ça fait passer le temps cinq minutes, donc pas de raison de se priver.
  50. Le dindon de la farce    ( 1.00/10 - Arkanya - 25/03/2003) : Voici le récit de l'arrivée d'Arkanya sur la Zone, ses circonstances et son déroulement. Et c'est un zonard bien connu qui fait les frais de ces circonstances... Je ne comprends rien à ma phrase précédente, rassurez-moi en me disant que vous non plus.
  51. La retenue en société 2    ( 1.00/10 - Arkanya - 16/04/2003) : Ca me fait clairement chier de publier un article ni drôle ni revendicatif ni sombre ici, mais par simple amitié avec Arkanya qui a prouvé pour tout un tas d'autres raisons qu'elle est très zonarde, je le fais quand même, c'est donc une réponse directe au mini-article de Clax, 'la retenue en société' (à lire avant donc)
  52. Conversation ordinaire    ( 1.00/10 - Daria - 17/04/2003) : Alors là c'est bien simple : j'ai rien capté
  53. Guerre    ( 1.00/10 - Djinny - 08/05/2003) : Un petit texte sur les jeux video qui pourrait entraîner unpeu de réflexion sur le virtuel et le réel. Pas trop quand même, c'est mauvais pour la santé, la réflexion.
  54. Enfer et damned    ( 1.00/10 - Arkanya - 14/06/2003) : Un article complètement débile et incohérent qui reprend des bouts de phrases d'autres textes zonards. Sans le moindre intérêt pour qui n'aurait pas lu l'intégralité de la Zone.
  55. Erection piège à cons    ( 1.00/10 - M. Con - 11/04/2004) : Encore une innovation à la con : maintenant c'est les cons qui profitent de la Saint-Con pour venir parler de leur connerie sur la Zone ! Pour cette fois j'accepte, je rebaptise quand même Ric (auteur de ce superbe pamphlet stupide) en M. Con pour bien cerner. C'est encore lié au conflit Tentations - Bourric, et en plus c'est incompréhensible et chiant, inutile de cliquer, donc, passez votre chemin.
  56. Genius, genius… vous avez dit genius ?    ( 1.00/10 - Sauvage - 12/04/2004) : Une fois encore, les embrouilles Tentations - Bourric - Brebis Galeuse inspirent les inquisiteurs en puissance (et commencent à me saouler). Sauvage, transfuge du site Tentations profite donc de la Saint-Con pour régler des comptes que ne suivront que les lecteurs ayant bien suivi toute l'intrigue.
  57. La mort    ( 1.00/10 - Pourridelamoëlle - 30/05/2004) : On se croirait dans 'Hélène et les garçons organisent un suicide collectif'. Etre adolescent et mal dans sa peau, ça craint, mais alors être adolescent trisomique et mal dans sa peau, c'est encore pire...
  58. Lettre de motivation    ( 1.00/10 - Kirunaa - 11/07/2004) : Un maçon qui envoie une lettre de motivation pour se faire embaucher dans une entreprise de Pompes Funèbres. Waou.
  59. Quand deux grands esprits se rencontrent...    ( 1.00/10 - Narak, Lueur de Vertu - 27/07/2004) : Deux auteurs qui écrivent un texte vaguement déconnant sans idée première, on a déjà eu droit, en principe ça donne de la merde. Le dialogue de Narak et Lueur de Vertu échappe par moments à cette règle. Le coté complètement décousu est pas forcément désagréable bien qu'un peu lassant. L'humour est moins lourd que prévu et j'ai bien aimé les petits moments de mélancolie douce ou de psychopathologie. Mais bon quand même ça mène à que dalle et ça reste globalement du niveau du fou qui repeint son plafond.
  60. L’amour rend fou    ( 1.00/10 - Le Duc - 02/09/2004) : Le Duc nous refait Carrie en version gore et (involontairement) stupide. On sent bien les efforts multiples pour faire de ce texte un truc qui tient la route, mais ça a tendance à aggraver le cas : les mots sont bien orthographiés mais pas à la bonne place, la réflexion sur l'ambiance et la psychologie est anéantie par une réalisation de chiottes, et le gore est même plus marrant tellement il pue le premier degré. Même le titre est digne de Johnny Hallyday. Va falloir abandonner toute ambition littéraire là, Duc.
  61. Rêve : ennui / désennui    ( 1.00/10 - Lunatique - 24/09/2004) : Associations d'idées et écriture automatique, entre humour amorphe et visions bizarroïdes. C'est un texte surréaliste avec tous les défauts que ça comporte. Y a une espèce de feeling sombre assez inexplicable qui se dégage sur la fin et qui rattrape.
  62. L’épopée galactique    ( 1.00/10 - Le Duc - 20/10/2004) : Un texte qui regorge d'efforts, mais faut être clair : c'est à chier. SF de base assez politique avec quelques bonnes idées mais ça tient pas debout et c'est très mal foutu. Si encore c'était un peu humoristique, ça permettrait de lire au second degré et de s'amuser, mais ça se prend mortellement au sérieux. Et ce n'est qu'une intro, le Duc ne fait que poser quelques bases (ce qui contribue au manque d'intérêt) et nous promet dix autres articles... Tu parles d'un calvaire.
  63. My bullet    ( 1.00/10 - Tabasco - 06/11/2004) : Non content d'utiliser la Zone pour publier des textes de chanson et des poèmes, voilà que Tabasco le fait en anglais maintenant. Et qu'il nous envoie nous faire foutre, de surcroit ! Non mais dites-donc, ça ne va pas bien mon petit monsieur ?
  64. Camisole infantile    ( 1.00/10 - Caligula - 12/12/2004) : Encore une superbe bouse à l'actif de Caligula, qui se fout visiblement de notre gueule. Ici il tente d'imiter lamentablement le style enfantin pour nous administrer ce monument de confusion mentale écrit avec les pieds. C'est un appel au meurtre ou je ne m'y connais pas.
  65. N° 903 047    ( 1.00/10 - Le Duc - 31/01/2005) : Après avoir tenté d'imiter le texte déconnant, la nouvelle horreur-gore puis la SF violente, Duc se met à la propagande nihiliste et l'exhortation agressive genre Bible du néant. Et comme d'hab ça foire : texte semi-lisible car criblé de fautes, clichés énormes qui le ferait aisément passer pour une parodie, manque d'intérêt global. Y a quand même du progrès, de ci de là, mais c'est pas encore ça, et on a pas encore dépassé le stade du pathétique.
  66. Métal tiède    ( 1.00/10 - Narak - 01/02/2005) : Un texte qui se base sur un calembour minable, ça fait forcément un mauvais texte et cela Narak l'a bien compris. En plus de ça, ce texte est très squelettique, n'est ni drôle ni bien écrit. La fin du texte est abracadabrante, une sorte de pirouette absurde qui n'a rien à foutre ici et signe le texte de merde.
  67. Histoire de gar(e)s    ( 1.00/10 - Anthrax - 02/02/2005) : Ce texte basé sur les sonorités (MC Solaar-style, ça c'est de la référence) est un genre de chef d'oeuvre merdique. Alors certes, il y a de l'enculade, et ça rattrape un peu, mais l'ensemble est clairement à se taper la tête contre les murs.
  68. Le petit chaperon bouge    ( 1.00/10 - Mandrago - 08/02/2005) : Ce masochiste trisomique de Mandrago nous assène cette lourde parodie du petit chaperon rouge version banlieue, et ça tient en six lignes. Wow. J'espère profondément que Mandrago est une sorte de génie incompris de ses contemporains, sinon son existence n'a aucune utilité.
  69. Rêve : du rêve à la réalité    ( 1.00/10 - Emert-X - 28/02/2005) : Notre nouveau boulet de compétition est un adolescent québecois enthousiaste et trisomique. Ce texte est à son image, et on espère bien que ce sera son dernier, sur la Zone et même ailleurs, parce que faut pas souhaiter le malheur des autres.
  70. Les aventures de Jacques Chirac    ( 1.00/10 - Puyo - 26/05/2005) : Puyo, l'illustrateur vedette de lapin.org débarque sur la Zone avec cette sombre merde illisible. Manque de talent ? Stupidité innée ? Non, c'est juste qu'il met toutes les chances de son coté pour le concours de la semaine 'textes de merde'. Voici donc les aventures politico-mongoliennes de notre chef de l'état aux prises avec ses adversaires de gauche et de l'UDF. On se croirait dans 'Oui-oui', c'est totalement insupportable.
  71. Testament exalté d'un suicidaire raté    ( 1.00/10 - Glaüx-le-Chouette - 04/08/2005) : Glaüx est un surlittéraire qui se la pète, bon ça c'est acquis. Ca fait pas spécifiquement de lui un bon auteur, preuve en est cet obscur texte qui équivaut à du Anthrax qui aurait avalé Mallarmé de traviole.
  72. Phobie 4 : la porte de secours    ( 1.00/10 - Caer - 05/10/2005) : Dans un style sautillant et confus, très désagréable, l'auteur de ce texte tente de nous faire prendre une logorrhées d'absurdités pour un texte cohérent. Images pourries, style over-pourri, intrigue en voie de décomposition, ce serait trop beau si c'était du second degré. Ridicule.
  73. Phobie 14 : jouvence    ( 1.00/10 - Ordia - 10/10/2005) : Cette infame bouse est non seulement très très mal écrite, mais également neuneu dans son histoire, débile dans sa psychologie et attendu dans ses rebondissements. Un grand cru merdique donc. L'héroïne a peur de vieillir et tout ce que ça occasionne comme symptômes, c'est une propension aux liftings et à la maltraitance de vieux ? Ah bon ? Et oui.
  74. La subversion pour les nuls : pourquoi le zonard est-il l'élite de la société capitaliste?    ( 1.00/10 - Cadarn - 20/10/2005) : Le titre laisse envisager de grandes possibilités délirantes à souhait et le résultat n'est qu'une suite de bouts d'arguments à demi-philosophiques à peine cohérents entre eux. Résultat, ça tient pas debout, je suspecte l'auteur de l'avoir fait exprès, c'est pas possible autrement.
  75. Comme toutes les autres    ( 1.00/10 - Glaüx-le-Chouette - 25/01/2006) : J'espère que Glaüx a bien honte de ce texte pourri, en tous cas je ferai tout dans ce résumé pour l'enfoncer. Pas intéressant, pas original, pas franchement zonard, son texte est en plus basé sur un principe tellement dépassé qu'on a pitié de ce pauvre Glaüx. Participant en avant-première à la semaine 'textes de merde'.
  76. Putain !!!    ( 1.00/10 - The Unknown - 04/02/2006) : ce nouvel auteur a décidé de nous raconter sa vie de merde dans un lycée catho, et il le fait bien : en deux fois trois lignes c'est torché. C'est nul à chier et ça n'avance à rien. Mais ce qui donne à ce texte sa force merdique est sa chute sentimentale grotesque. Pathétique.
  77. Va te faire enculer    ( 1.00/10 - Erreur - 05/02/2006) : Le grand Erreur revient avec ce texte de merde franchement abusif. Dix mots et puis s'est terminé. C'est tout à fait lamentable, mais il semble qu'Erreur ait négligé cet adage élaboré depuis la dernière semaine 'textes de merde' : un texte de merde ne peut être insupportable que si il est très très long.
  78. Les fabuleuses aventures de bénito mussolini à la plage    ( 1.00/10 - Dr Ben Jovi - 06/02/2006) : Ben Jovi s'impose d'emblée comme un incontournable du texte de merde. Cette chose illisible n'a aucun sens ni aucun intérêt, n'est jamais drôle, se complait dans le pénible. Ca dépasse pas mal de limites de l'humainement acceptable. J'ajoute les fautes, le titre sans rapport avec le reste, le repompage de Las Vegas Parano, et on est pas loin du Grand Chelem.
  79. Dolly    ( 1.00/10 - Lecks - 20/03/2006) : Ce poème de merde confirme notre impression : Lecks est un putain d'ado qui s'est fondu dans la mode goth et en recrache les pires clichés. Son poème, en plus d'être une sale ressucée de l'esprit caverneux de nos amis gothiques, est putain d'incompréhensible et chiant. La vraie chiasse.
  80. Minutes (4)    ( 1.00/10 - Konsstrukt - 08/04/2006) : Ouf, enfin le dernier épisode de la série Minutes. Le concept était intéressant et y avait de bons moments, mais dans l'ensemble on s'est bien fait chier. Ce quatrième épisode agonise lamentablement, le suspense est foiré et on s'ennuie à mort. Le coup du viol virtuel est sympa mais a déjà été exploité. Bref y a pas grand-chose à tirer de ce truc et la lecture de l'ensemble de la série laisse un goût amer.
  81. Comment crâmer un con de façon roleplay sans être trop super grosbill méga-bourrin    ( 1.00/10 - Claudia Pepita - 12/04/2006) : Il fallait bien qu'à un moment ou un autre on se paye les vannes sur les cons sultants et les cons comittants, c'est fait avec ce texte. Claudia outrepasse un peu ses droits en crâmant deux cons : Raffarin et Bush. Elle ne fait que survolerleur abyssale connerie à coups de citations pourries. La crémation est une parodie de Dongeons & Dragons, y a de l'idée, mais ça reste assez pauvre tout ça.
  82. This product is meant for educational purposes only    ( 1.00/10 - Ceacy - 07/10/2006) : Curieux texte, qui sent le champignon hallucinogène croisé au gaz hilarant, pour un résultat franchement absurde et pas du tout convainquant. Du n'importe quoi frénétique, une certaine vision de la lobotomie conviviale.
  83. Poison smoke    ( 1.00/10 - MantaalF4ct0re - 18/10/2006) : Un texte de chanson en anglais, c'est pas notre créneau, mais pourquoi pas. Tout n'est pas à jeter, notamment quelques visions étranges et mystiques pas dégueulasses. Mais le ton bascule sans transition de l'agression apocalyptique à un appel au respect pour hippies. Quant à la réalisation, c'est pas trop ça : slogans primaires, exhortations pourries, bref que du cliché de merde.
  84. La mort ou la gloire    ( 1.00/10 - Lecks - 07/11/2006) : Dans la série des poèmes minables, on a ce concentré de champ lexical goth à la con, peu compréhensible de surcroît. Si c'était un peu plus sobre dans la branlette dépressive et l'amour romantique exalté, si ça forçait un peu moins sur le crayon noir autour des yeux, ça pourrait presque passer pour une marche militaire, là c'est tout juste de la daube. Attends que je te trouve une image de pute gothique pour t'illustrer la gueule, connard.
  85. En partance    ( 1.00/10 - Arkai59 - 19/02/2007) : Après nous avoir infligé sa prose chromosomiquement surnuméraire, Arkai décide de ravager un autre genre littéraire : la poésie. On sent que l'auteur veut rendre le tout classe, puisque cette fois il écrit les mots en entier, mais ça transpire la misère adolescente. Au début, à part à rien, ça ressemble à un poème skybloggesque de merdeux gothique refoulé, et au fur et à mesure que ça avance, on dirait plutôt une envolée lyrique qui se crashe. On retient les efforts de l'auteur, on jette le reste.
  86. Cedric 18 ans    ( 1.00/10 - Sot-Viet - 20/02/2007) : Ouais, bon dans le minimaliste on a rarement fait pire. Circulez, y a rien à lire.
  87. Réflexions du Malax    ( 1.00/10 - Malax - 18/03/2007) : Malax croit bon de nous exposer sa vision de la religion, et met donc sa prose au service du grand génocide synaptique. C'est con, c'est chiant, mais c'est encore une preuve indiscutable de l'existence d'une épidémie de 'dernières phrases de merde'. Su-per.
  88. Trois jours    ( 1.00/10 - Sot-Viet - 10/05/2007) : Comment foirer un suspense en une leçon magistrale. En gros il arrive quelque chose au narrateur, et nous pauvres lecteurs manipulés, ne savons pas quoi. Oh mon dieu, le suspense est insoutenable, on en a rien à braire tout ça. Le récit de cette ennuyeuse expérience est infiniment mal écrit, au point que ça finit par devenir amusant. On se marre même bien devant la deliquescence de cette piètre tentative. Minable.
  89. Ca derape, c'est du fromage    ( 1.00/10 - Lol47 - 04/07/2007) : Putain mais c'est quoi ce pseudo de merde, cet humour de merde, ce style de merde, c'est pour la caméra cachée ou quoi ? Si j'avais rien d'autre à branler que de lire les bouses des nouveaux au fur et à mesure qu'elles arrivent, j'aurais bien fait participer celle-ci à la semaine textes de merde, parce que c'est vraiment pathétique. Dégage d'ici, connard de merde.
  90. Ils comprendront    ( 1.00/10 - Ceacy - 05/08/2007) : 654022 049799 0674670 967044 0670055 4440660 6464540 464505 0545760 5640540. Ca veut dire 'enculé' en crypto-code futuriste.
  91. Carlos    ( 1.00/10 - Lol47 - 30/08/2007) : Ceci est probablement de la poésie en prose. Vous voici prévenus. Personnellement je ne me prononcerais pas formellement, il est hors de question que je me penche plus avant sur ce tas de boue.
  92. Ministrable ?    ( 1.00/10 - Quelqu un - 20/04/2008) : Oh tiens une tranche de vie. Le narrateur nous y raconte donc ses histoires amoureuses d'un inintérêt a peu près absolu et conclut d'une crémation brillante de discrétion, le tout enrobé dans un style épouvantable formé de morceaux de phrases collés les uns à la suite des autres. Histoire d'achever le texte, l'auteur y a ajouté quelques réflexions incongrues, probablement échappées du bistrot le plus proche. Nul.
  93. Mortier qui file comme ta vie    ( 1.00/10 - Tab - 29/05/2008) : Tab, c'est un genre de champion du monde de l'incompétence littéraire, un super-mongolien gavé aux farines animales. Après un premier texte 'introspectif' (pour peu qu'une éponge puisse s'introspecter), il diversifie son arsenal et s'attaque sans pitié à la fiction. Ce récit guerrier est d'une rare imbécillité, mais ça on s'en fout. C'est le style, admirablement pourri, qui vaut le détour. Avec une fin hallucinante à mi-chemin entre Lara Fabian et Rocky IV.
  94. ÿ â øîêå ó íàñ ïðîöâåòàåò ÿ âñÿ òåêó ðàññêàçû !!! êàäàæ òàêîå çàêîí÷åòñÿ    ( 1.00/10 - Karambelis - 23/11/2008) : Sur le forum, nos amis les bots russes nous ont soumis un certain nombre de textes récemment (avec parfois quelques illustrations). Toutefois, peu au fait de la langue russe, surtout sans la prise en charge de l'alphabet cyrillique, j'ai eu tendance à les supprimer. Pour éviter qu'on me juge fermé d'esprit ou hostile à la cause botique russe, j'ai choisi de publier cette admirable contribution. Vive la Sainte Russie !
  95. Merci la police    ( 1.00/10 - Assogba - 03/09/2009) : Magnifique. Du pseudo-slam contre cette société de merde t'as vu, bourré de clichés débiles et de phrases qui perdent leur sens en cours de route. Une belle bouse revendicative à mi-chemin entre l'adolescence Skyrock et la niaiserie simili-gauchiste (qui reprend des slogans Adidas quand même). Rimes en bois, ponctuation en option, slogans haineux teletubbiesques, références footballistiques : tout y est. C'est un champion. Va falloir prévoir un test anti-dopage si ça continue.
  96. Poulpe fiction    ( 1.00/10 - Das - 04/09/2009) : Je serai probablement le seul à avoir lu ce truc, sans utilisation d'alcool, de produits dopants ou de suicide du moins. Voilà un texte qui respecte le contrat du Texte de Merde jusqu'aux virgules, au point que j'en ai très envie de rencontrer l'auteur qui a dû passer des heures à rédiger cette bouse en y incluant toute la pourriture dont il était capable, sachant bien qu'il allait le payer très cher et que plusieurs mois durant il ne saurait plus écrire QUE comme ça ; histoire de lui péter la face pour les dommages collatéraux dans ma gueule interne à ma tête esthétique. J'ai mal. Candidat sévère pour le concours.
  97. Mort heureuse    ( 1.00/10 - Korneumuz - 05/09/2009) : La semaine 'textes de merde' nous permet d'explorer en profondeur le cul de la littérature, d'en sonder les pires aspects. Nos auteurs ont fait preuve d'une imagination sans failles quand il s'agissait de torcher les textes les plus insupportablement cons. Il arrive pourtant, après de longues années à encaisser ces déchets tous plus radioactifs les uns que les autres, qu'on soit encore frappé par un texte désarmant de naïveté, à la recette simple et éprouvée : style d'enfant de six ans, mitraille de fautes grotesques, confusion mentale, lamentations de Caliméro trisomique. C'est aymouvan.
  98. Ne lisez même pas    ( 1.00/10 - Napalm - 24/12/2009) : Administrateur de garde, bonjour. Si vous n'avez rien de mieux à branler de votre soirée de réveillon que de lire cette bouse, je vous garantis que l'année prochaine vous préfererez vous inventer une famille pour échapper à une nouvelle épreuve de cet acabit. A texte aléatoire, image aléatoire. Plus sérieusement, c'est écrit avec un seul doigt de pied, et on y apprend juste que Yog fait des émules. A chier des bulles multicolores.
  99. Le rêve de Léa    ( 1.00/10 - Zalgor - 24/01/2010) : Alors ça, bravo, c'est complètement pourri. Bonjour les enfants, voici un conte pour vous faire comprendre qui sont les gentils et les méchants en politique. On soupçonne l'auteur de se foutre volontairement de notre gueule, mais vu son texte, on a surtout envie de se foutre violemment de la sienne.
  100. Seul contre tous    ( 1.00/10 - Nounourg - 28/05/2010) : Ca doit un concept : chaque péripétie du texte tient en une phrase. C'est tout à fait dégueulatoire, j'ai l'impression de bouquiner sur un marteau-piqueur. A part ça, c'est pourri, mais plus pour des raisons de style lamantinesque que d'intrigue, qui tient pas debout mais on s'en branle. Ce serait mieux en... euh, pièce de théatre ? Ah, et bravo pour l'usage (involontaire certes) du langage SMS dans le texte, je crois que c'est une première ça.
  101. Comment je suis devenue chauve à seize ans.    ( 1.00/10 - La particule - 04/09/2010) : Dans ce texte, la narratrice, une espèce d'hybride dépressivo-SM, se charcute les miches et envoie sa viande par la poste, ce qui pourrait d'abord passer pour une bonne idée, mais qui se noie dans un tout plutôt banal, qui pèche par sa mise en forme et ce malgré la fin, qui elle, est quasi Saint connesque.
  102. L'accusateur    ( 1.00/10 - Mike Fallus - 09/02/2011) : Ca faisait longtemps qu'on avait pas eu un texte involontairement drôle, et celui-ci est il faut le dire, assez distrayant. Du moins, suffisamment pour faire oublier que derrière tout ça, se cache une piètre tentative de l'auteur de faire dans le semi-Maldoror. La dernière phrase est tout à fait formidable.
  103. Un peu agaçant    ( 1.00/10 - Glandeur - 10/04/2011) : La Saint Con session 2011 commence doucement avec cette espèce de semi-crémation en forme de blague Carambar. Ca pisse pas loin pour une mise en bouche, surement que le pseudonyme de l'auteur précise également sa fonction.
  104. Napolitain au chocolat blanc    ( 1.00/10 - Nana - 12/07/2011) : ça sent le texte de troll improvisé à la 6 4 2 mais ce que les trolls ne savent pas ben c'est que la ZONE sous la RIGOLOCRATIE laisse entrer les trolls même s'ils portent des baskets. L'exercice d'impro est vraiment pas mal, surement un gars qui remportera un jour le prix PULITZER ou qui sera le nègre de Paul Loup Sulitzer en tout cas pour l'instant je vais me contenter d'un Alka Selzer. Enfin bon les troll, c'est trop LOL ! Comme ça ils débarquent en douce et ils font du rôle play, c'est vraiment trop kiffant ! En fait tu penses que t'as à faire à un gros débile avec un pseudo de merde alors qu'en réalité c'est un gros débile mais avec un autre pseudo de merde. Ils se prennent pour Splinter Cell en mission d'infiltration alors que leurs selles s'exfiltre de leur Sphincter (note pour plus tard : filer le bout de phrase à King Ju de Stupéflip)
  105. Suicide (1)    ( 1.00/10 - Wilhelm - 12/08/2011) : Wilhelm, dans cette tranche de vie en plusieurs parties (désolé), nous conte un sujet vu, revu, revisité et sans grand intérêt : l'adolescent un peu asocial et peu intégré qui se tue pour des raisons puériles, ici une castration avortée. Malheureusement, on sent surtout un manque de cohérence et d'idées : la fin est bâclée, le début ne colle pas avec le développement d'une intrigue grossière, et le tout laisse dans la bouche le goût sucré du vomi de lendemain de soirée.
  106. Dissemblances    ( 1.00/10 - Abracadabrants - 02/03/2013) : Voici un truc avec des mots dedans et des ponctuations que le lobby crypto-maçonnique des oculistes de France et de Navarro m'a forcé a publier sur la Zone pour faire marcher le bizness de la vente de mouchoir anti-saignement des yeux. L'image est cadeau et sans rapport parce qu'il est souvent difficile d'illustrer le génie à l'envers. En l’occurrence, oui.
  107. L'inovation #TDM2014    ( 1.00/10 - LeLoempe - 09/06/2014) : texte très pourri de par le nombre de ses néologismes et ses fautes mais aussi l'argumentation du narrateur évoluant en spirale. "innovation" écrit avec un "n" au lieu de deux, résume cependant assez bien l'esprit de ces pionniers ingénieux de notre époque. Il y est fait allusion à une erreur que j'aurai commise mais je n'arrive pas à retrouver l'endroit où elle se trouve. Note pour plus tard : prendre rendez-vous chez le gastroentérologue... Je vous prie en attendant de faire une standing ovulation à notre nouvel auteur.
  108. La Genèse du récit publié sur La Revue qui te parle.    ( 1.00/10 - HaiKulysse - 29/07/2015) : Je tiens vraiment à remercier l'auteur de ce texte pour la pub gratuite pour ma revue non commerciale et un peu invasive en ce moment qui m'attirera probablement la haine bien justifiée de tous les autres admins. Bon, j'ai classé ce texte dans la catégorie =Divers-Pangolins et Licornes= parce qu'à force de recycler en ratatouille, son vomi et son caca, au bout d'un certain nombre d'itérations, ça n'est plus trop nourrissant et ça devient fade et sans goût par ailleurs. Tiens je vais mettre la photo d'un sanibroyeur avec des algorithmes prédictifs en illustration.
  109. La Vengeance de Katia ………… Troisième partie.    ( 1.00/10 - HaiKulysse - 11/09/2015) : Percé jusques au fond du cœur d'un triptyque drogué D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle, Misérable Jumbo vengeur d'une juste querelle, Et malheureux objet d'une injuste rigueur dans son slip, Je demeure immobile face à Katia sur OS X, et mon âme abattue face au film de HPG, son vit, son œuvre, tout ça, Cède au coup qui me tue par anévrisme ou serait ce ce laps de temps d'ennui entre deux battements de la trotteuse des secondes ? Si près de voir mon feu récompensé au cinéma porno du coin, Ô Dieu, l'étrange peine et ce petit chapiteau sous mon drap pour accueillir toute la troupe Zavatta ! En cet affront mon père est l'offensé, et Achille l'arme au point sur le point de clamser Et l'offenseur le père de Chimène, bas, dit : "Que je sens de rudes combats , tourments sur mes glaouis. Contre mon propre honneur mon amour s'intéresse : Il faut venger un père, et perdre une maitresse, Angela et Katia, la raison de jadis et la botte de radis. L'un m'anime le cœur, l'autre retient mon bras, branlebas le combat, banlebarbapapa . Réduit au triste choix ou de trahir ma flamme, Ou de vire en infâme, Imax, Cinerama. Il est donc conseillé de vider intégralement son armoire à pharmacie avant d'entamer ce texte.
  110. = RÉSUMÉ =    ( 1.00/10 - Lourdes Phalanges - 20/01/2016) : «ma bite dans son étui» Tout un programme. Et ce programme, c'est pas du qBasic, c'est pas du C++, c'est pas la un truc allégé par Najat vallaud-belkacem parce que soit disant ce serait élitiste et discriminant. Non, ce programme, c'est les 20 prochaines années comme dans la pub Finley staring Omar Sy. Oui, les 20 prochaines année. Parce que l'étui de ma bite, certain auraient supputé que c'est la poche de mon slip kangourou, ou encore mon putain de prépuce à la con. (je spoile le texte collectif Jack et le pote-au-feu mais bon personne le lira. Donc. Bon. Spagrav') Oué, genre, j'me la joue comme Bilal, le rappeur du neuf deux et j'suis sûr que t'as des connexions dendritiques qui ont fait "pop" à l'évocation de ce souvenir enfoui et honteux. Mais bon. Quand faut y aller : " 92 Fontenay aux Roses y'a rien à faire! Wesh regarde ta tête et ta touffe de mouton... Généralement tout l'monde dit qu't'as une tête de con. Wéééé. Attends tu fais l'mec, mais retourne au quatre-vingt-treize qu'ils t'mettent la zermiiiiiii!!!!! Même ton père (se surnommant Kader) il se saoule tous les soirs et ensuite il te course dans les cool-ouars (ou les cougars, j'sais plus). Attends!!! Ouais ! On devrait te hagar pour qu'tu fermes un peu ta grosse gueule. T'as niqué Beblah et tu t'crois chaud? HEIN TU T4krOA Krowa... Kreuve... crûsse ? heu, croit chaud ? Mais, dis toi, dans ta tête, que nous, c'est pas la même chose, alors : Arrête. Arrêtee. Arrêtee, keuoua. Putain, tu t'es serré une p'tite gogo danseuse, et ça s'croit show. Hein, tu t'crois chauve ? Si elle aurait vue ta p'tite bite, elle s'rait partie. (Hein, j'ai pas trop capté le concept de pé-cho aussi. spourça) Hein, bon, ta bite, déjà, elle est toute p'tite. Elle a des rides, attends. Même celle de mon p'tit frère est plus grosse et plus grande. Et sans rides, donc tu vois, Arrête, tu vas t'enficher... heu... t'afficher. Alors, arrête, arrête, arrête. Whoooohhh." Donc oui, l'étui de mon micro-pénis, c'est toi. J'te kiffe. Pouce vert à ton clito, punching ball de ma langue. #TDM/cover/20janvier2016 (signé l'admin masqué)
  111. Jet de bile Cosby (Jet de bile n°0)    ( 1.00/10 - Lourdes Phalanges - 26/01/2016) : Lourdes Phalanges se paie la tronche de Mala Espina en se lançant dans une bonne parodie aléatoire de son style et de sa chronique "Jet de Bile". Nouveau clash. Nouvelle Battle. Nouveau Palimpseste game donc. Une petite recherche Google et hop, on découvre que des tas de passages sont plagiés à Gérard Conio, théologie de la provocation, et bien sûr des extraits tout le long de "La vie ne m'apprend rien" de Daniel Balavoine et probablement d'autres trucs que je n'ai pas envie de trouver. La manière d'écrire in fine est plus proche de celle d'HaiKulysse et Pascal Dandois. Alors où cela nous mène-t-il ? Pourquoi cet acte terroriste aveugle ? Lourdes Phalanges n'a même pas de revendications. Il shoote dans le tas direct sans même qu'on puisse négocier.
  112. Poème conscientisé    ( 1.00/10 - LePouilleux - 08/04/2016) : L'auteur de ce poème bisounoursien avec des wingdings proclame en message complémentaire : "Big up à Auguste Blanqui." En cela je pense qu'il s'attaque directement au mouvement naissant #NuitDebout , qu'il cherche à discréditer en l'associant à ce personnage, dit l'insurgé permanent. Si on cherche dans sa biographie Wikipedia effectivement, on trouvera des liens entre la pensée et l'action de Blanqui et le mouvement Hesselien des Indignés prônant une révolution molle et sans avenir. De fait l'auteur de ce texte qui étrangement a le même email que LePouilleux, passe probablement par le même proxy, dont le pseudonyme est l'anagramme de LePouilleux et est donc LePouilleux, offre une vision Smerdakovienne de #NuitDebout , c'est à dire celle d'une bande de hippies désœuvrés qui comme leurs prédécesseurs des années 70 ne révolutionneront rien. (Rappelons toutefois que l'Amérique s'est retirée du Vietnam et que le mouvement hippie n'en porte pas certes tout le mérite mais peut en endosser une grande responsabilité.) Pour ma part, je suis avec attention ce nouveau mouvement sans chercher à le cataloguer dans une fulgurance digne d'Eric Cartman de South Park alors qu'il vient à peine d'émerger. Assis, debout, couchés, ce n'est pas bien grave tant que vous nuisez. Au panier, pas bouger, donne la papatte, évitons.
  113. 05. Mais qui dit mieux ? #SaintCon2016    ( 1.00/10 - Randolph Lafayette - 11/04/2016) : Texte en compétition dans le cadre de la #SaintCon2016. L'auteur de ce court poème en prose, ajoute en message complémentaire : "La soif est le contraire de ce que j'attends de la vie". Pour ma part il me faudrait pas mal boire pour faire un lien entre la Saint Con et ce texte, à tel point qu'il m'a été bien difficile d'y trouver une crémation même symbolique à part l'allusion à quelques cigarettes et un cendrier. Ma présentation est connement fallacieuse : une odeur de poudre, une fumée qui fait tourner la tête émanent du poème cependant, celles d'un royaume décadent qui brûle, celles d'un nouveau cycle, celles d'un cracheur de feu qui aurait expectoré son cerveau. Vous l'aurez compris : moi, pas. La musicalité sonne juste cela dit. C'est plaisant à écouter. Aussi peut-être est-ce tout simplement une incantation de sorcier, un sort contre les lecteurs qui sous le charme vont massivement voter pour le texte ? Cette année, l'auteur des textes demeure anonyme jusqu'au verdict des votes pour ne pas les influencer. Tant qu'il reste des textes à publier, il vous est toujours possible de poster une ou plusieurs contributions pour briguer le titre de Grand Inquisiteur de l'Ordre de Saint-Con.
  114. 17. Saint Con #SaintCon2016    ( 1.00/10 - pascal dandois - 17/04/2016) : Texte en compétition dans le cadre de la #SaintCon2016. Nouvelle crémation symbolique avec son lot de calembours par un de nos fameux envoyés spécial à Groland qui cette fois-ci se paye le luxe de publier un article de tabloïd anglais avec des allégations aléatoires dont lui seul assumera l'origine des sources. Bien sûr tout cela s'inscrit dans de la pure provocation gratuite, ou peut être cherche-t-il à se cramer lui-même dans un exercice de troll littérature ? A vous de juger si tout ceci est bien dans l'esprit de l'évènement ou pas. Cette année, l'auteur des textes demeure anonyme jusqu'au verdict des votes pour ne pas les influencer. Rappelons qu'il vous est toujours possible de poster une ou plusieurs contributions pour briguer le titre de Grand Inquisiteur de l'Ordre de Saint-Con, avant le 17 Avril.
  115. Hep ! Y a un éléphant qui fait des claquettes derrière toi #DailyRondelNews    ( 1.00/10 - Lapinchien - 19/05/2016) : Quoi que trahissent a priori les apparences, qui, je vous le rappelle, sont souvent trompeuses, le Dossier #DailyRondelNews n'est pas du tout exclusivement réservé à Lapinchien. Alors si l'envie vous prend de traiter l'actualité de manière décalée, sous un éclairage inattendu, différemment, puisque in fine à quoi bon s'entendre dire tous les jours qu'on est différent, si cette différence, on ne l'exprime pas, alors n'hésitez pas à poster un rondel vite goupillé sur la Zone. Je rappelle que l'objectif de cette initiative n'est pas de parler des news puisque les journalistes sur les JT en boucle et l'ensemble de la twittosphère le fait déjà exclusivement, non-stop, de manière obsessionnelle et compulsive, mais bien d'explorer la vacuité de l'information continue.
  116. Les rondelles des 2 bouts bouts #DailyRondelNews    ( 1.00/10 - pascal dandois - 19/05/2016) : Pascal Dandois participe à l'initiative #DailyRondelNews en envoyant une première contribution. Le prosélytisme pour l'anarchie est présent dans le fond certes, ironiquement, mais bien au premier degré dans la structure même du rondel, dont les règles volent en éclat. L'impression d'un chant révolutionnaire porté par des cohortes d'attardés mentaux et après tout, pourquoi pas. Les révolutions seraient peut-être de grands lâchés de débiles qu'on a fichu en rogne ? Et Rouget de Lisle en son temps avait probablement quelques chromosomes surnuméraires quelque part. Rappel : Vous pouvez vous aussi poster vos rondels liés de près ou de loin avec la vacuité des journaux télévisés, de l'actualité, des news et de la rubrique chiens écrasés, en non stop, 24 sur 24, 7 jours sur 7.
  117. Croix de bois, croix de fer #DailyRondelNews    ( 1.00/10 - HaiKulysse - 20/05/2016) : HaiKulysse nous gratifie d'une contribution à l'initiative #DailyRondelNews. A priori, il fait partie de la même école que celle de Pascal Dandois, c'est à dire celle de la poésie anarchique surtout dans la forme. Les règles de construction d'un rondel ne sont donc pas respectées. A dire vrai, on s'en fiche un peu. A tout hasard, au cas où je serai dans le faux et que ces constitutions rebelles soient en fait involontaires, j'ai mis en illustration une petite règle simple pour compter les syllabes jusqu'à 8 grâce aux doigts des mains. C'est un truc bien pratique. Pour les Alexandrins, on peut utiliser ses orteils. Tout comme les contributeurs précédents, HaiKulysse ne semble pas croire en l'objectivité de l'information et fait une petite fixette sur le mouvement Nuit Debout. Je rappelle à Pascal Dandois et HaiKulysse que s'ils veulent se lâcher sur Nuit Debout, il existe une autre initiative d'écriture collective assez fun : Jack et la Nuit Debout http://forum.lazone.org/index.php?topic=3556.0 Rappel : Vous pouvez vous aussi poster vos rondels liés de près ou de loin avec la vacuité des journaux télévisés, de l'actualité, des news et de la rubrique chiens écrasés, en non stop, 24 sur 24, 7 jours sur 7.
  118. Alors le capuchon du stylo s'arrime avec le module Soyouz #DailyRondelNews    ( 1.00/10 - Lapinchien - 20/05/2016) : Les catastrophes sont des mannes pour les chaînes d'information continue. Elles font alors appel à leurs plus grands experts et consultants capables de digresser sur la vacuité du vide sur tout et n'importe quel sujet en tenant le téléspectateur en haleine des jours durant sans dormir, spéculant sur les plus improbables théories alors qu'il ne se passe absolument rien. Rappel : Vous pouvez vous aussi poster vos rondels liés de près ou de loin avec la vacuité des journaux télévisés, de l'actualité, des news et de la rubrique chiens écrasés, en non stop, 24 sur 24, 7 jours sur 7.
  119. Lieu commun n°0000000: Comme un poisson dans l'eau.    ( 1.00/10 - pascal dandois - 23/05/2016) : Nième contribution de Pascal Dandois à la rubrique originale de Mill des lieux communs. Le crescendo de la terreur continue. On vient de passer un cap cette fois-ci. Peut-être même avant mais j'étais aveugle. Et de la parodie, on passe directement dans la catégorie troll littérature. Pascal Dandois n'aime vraiment pas qu'on lui dise ce qui est bien et mal. Plus on lui répète que les calembours et les jeux de mot constituent le stade ultime de la violence extrême et gratuite dans les textes (quels qu'ils soient) et plus il s'en fiche et place même à chaque fois la barre encore plus haut. Philippe Bouvard et Laurent Ruquier ont jeté l'éponge depuis longtemps. /!\ Attention la lecture de ce texte peut provoquer des ruptures d'anévrisme /!\ Bien entendu, un tel descriptif sans connivence n'aura pour conséquence que d'encourager bien malgré moi, Pascal Dandois a continuer son exploration des abysses. Espérons pour lui qu'il respecte les paliers de décompression lorsqu'il se décidera à remonter.
  120. LES DERNIERS X-MEN-EPISODE SECOND    ( 1.00/10 - pascal dandois - 23/07/2016) : Pascal Dandois a très envie de taper dans le fan art, rappelons qu'en France la fan fiction est interdite car c'est le pays des droits de l'Homme et de l'Auteur. Je ne sais pas si Pascal Dandois dans son reboot de licence clandestin s'attaque à Marvel et donc à Disney ou bien à DC Comics et donc à Ted Turner. Quoi qu'il en soit, ne nous étonnons pas si des légions d'avocats américains débarquent sur les cotes normandes.
  121. Guapa te quiero !    ( 1.00/10 - HaiKulysse - 13/07/2016) : Le flood storytellique aléatoire de HaiKulysse passe au stade "attaque chimique Bashar Al Assad like". martin et lui, semblent se donner le change pour nous pondre une histoire onirique à dormir debout. Ne voulant pas offenser la puissance créative du binôme, j'ai laissé les fautes d'inattention qui je le pense sont liées au foutage de gueule total d'un texte pondu en 2 minutes chrono sur le coin d'une nappe mais peut être que non, peut être que ça s'inscrit dans un truc intentionnel super puissant et génial alors je ne préfère pas y toucher et livrer le texte tel qu'il a été posté.
  122. Le réveil d'Alfredo Nomore    ( 1.00/10 - pascal dandois - 24/07/2016) : Attention, voici un nouveau récit de Pascal Dandois. Ici un narrateur qui perd des orifices alors que son cerveau, lui semble en gagner, maladie céphalospongiforme, genre Creutzfeldt Emmental Jakob Gruyère. Cette présentation de texte a été écrite sans les doigts.
  123. Abécédaire Zonard    ( 1.00/10 - HaiKulysse - 15/08/2016) : Vous connaissez sans nul doute le jeu du baccalauréat consistant à choisir quelques crétins, quelques thèmes, tirer une lettre au sort et demander aux crétins de trouver un mot commençant par la lettre en question pour chaque thème, le gagnant du tour étant le premier à trouver un mot pour tous les thèmes. Bien sûr il y a des subtilités. Par exemple on peu privilégier l'originalité lors du décompte en n'accordant pas de points aux mots que les crétins ont été plusieurs à plébisciter. HaiKulysse nous invite donc à jouer au baccalauréat, un jeu initiatique pour mettre un premier pas, si c'est le droit ça porte bonheur il parait, dans le monde de la confusion mentale littéraire : L'OuLiPisme . Un texte à lire avec des Crayola à portée de main.
  124. M    ( 1.00/10 - Khalid EL Morabethi - 30/09/2016) : Autant vous avertir : pour ma part, ce texte issu du slam est plus destiné à être performé sur une scène qu'à être publié sur la Zone, d'ailleurs pas très inspiré pour en écrire la description, j'en ai parlé à Dourak qui m'a convaincu cependant. "Ce n'est pas une raison pour refuser ce texte" , Me rétorque notre expert ès poésie puis il poursuit, comme à son habitude un peu taquin, "Et après tout, on vient de nommer admin un gars qui a commis 'Le prince au petit pois'" Et Dourak n'a pas tort, d'ailleurs il n'a jamais tort et je vous refuse ici le droit de détecter la moindre trace homéopathique d'ironie dans mes propos car Dourak, je ne le respecte pas, je lui voue un culte en cachette. Et Il poursuit de plus : "Je n'aime pas beaucoup, mais je ne vois pas non plus de raison objective de dire non, le texte est relativement sombre et un brin violent (mais tout poème adolescent gothico-tragique l'est un peu, certes). " J’acquiesce. Que celui qui n'a jamais péché dans ce domaine, la main dans le sac, peaufinant un petit sonnet hermétique par ci, une petite ballade crypto-obscurantiste par là, me jette la première chimère. Puis Dourak enchaîne en imitant Don Corleone : "On freine officiellement sur la poésie, mais on vient de publier un autre texte en vers libre d'un nouvel auteur, et je ne vois pas trop pourquoi l'un et pas l'autre, objectivement. Le problème, c'est le risque d'être submergé par ce genre de littérature que certains peuvent facilement produire au kilomètre." Le Godfather de la poésie, on ne peut pas faire autrement que de respecter son avis. Je me fais alors tout petit. J'ai pas envie qu'on retrouve, au petit matin, mon corps ayant fait grippé les rouages du pilon. D'ailleurs, mettre en péril les cadences de la glorieuse industrie du recyclage des invendus littéraires, c'est carrément contre mes convictions. Finir en smoothie au milieu de confettis de recueils de bouquins de politiciens en ce moment, très peu pour moi, merci. Dourak fronce alors les sourcils de ses doigts et écrit : "Bref, je dirais qu'on le publie mais avec une certaine prise de distance dans la description par rapport à la poésie." J'espère que la mission est accomplie. Stopper le pilon, ne serait-ce qu'une demie-journée en cette période de primaires électorales, c'est l'inondation assurée, une violation des accords de la COP21 : livres douteux vendus sous le manteau à chaque coin de rue, gros risque d’endoctrinement à la sortie des maternelles. Des feuillets de livres qu'on ne pourrait plus écouler, seraient glissés entre les pages de la bonne littérature qui se vend. Les consommateurs seraient complètement lobotomisés à la lecture, un peu plus qu'à l’accoutumé, j'entends.
  125. Complainte femelle    ( 1.00/10 - Clochard Céleste - 01/11/2016) : Prototype de ce qui deviendra le Bobo, exporté dans nos contrées gauloises, le Beatnik est un dangereux individu. Après Jacques Cauda, voici un nouveau spécimen dont les méfaits sont publiés sur la Zone. La beat generation s’apprête à investir les lieux, ça commence d'ailleurs à un peu sentir le pipi, faudrait convoquer d'urgence des légions d’auxiliaires de vie pour endiguer l'afflux de migrants retraités fuyant des sites littéraires aux lignes éditoriales plus strictes. Ici donc, sous un nouveau titre qui fleure bon la provoc' des années 50, une sorte d'hommage collatéral à Jack Kerouac, une invitation à l'errance, qui cache en vérité un prosélytisme pro bouddhiste frontal et sans vergogne.
  126. Entre temps 1.0 Brusquement 2.1 Et Ensuite 0.0    ( 1.00/10 - HaiKulysse - 04/11/2016) : HaiKulysse se réinvestit corps et âme dans son improbable quête absolue de non-sens. Nouveau volet de la rubrique au nom ironique "Quelques éclaircissements" et peut être si on laisse la parole à un des narrateurs de l'épisode précédent, narrateur étant sensé écrire le texte que voici, on en comprendra peut-être pas la subtilité (je ne sais pas s'il y en a) mais tout du moins quelques bribes de logique venant contrecarrer le plan d'HaiKulysse dont l'objectif est de nous embourber dans la confusion mentale. Le dernier narrateur, le nouvel auteur affirmait en effet : " Dans l'obscurité doucement, la sacro-sainte Raison des Humains se perdait, allant jusqu'au non-sens qu'ils redoutaient pourtant, et de folies ordinaires en chaos effroyables, le fameux Non-Sens progressait en sapant davantage les fondements de sa rivale... j'avais cherché d'abord un moyen de les plonger dans le noir le plus incompréhensible... ahuri, j'avais passé des dizaines d'années en usant et en abusant de mes connaissances dans cette quête inutile ; et sans jamais obtenir un seul résultat, encore moins l'once d'une reconnaissance. Au contraire, on me blâmait : je n’avais toujours pas de travail, ma seule occupation officielle (écrire) ne nourrissait pas son homme, c’était bien connu. J’étais un parasite à leur charge, pour les Autres." Et si ses mots ne nous livrent peut-être pas une clef pour décrypter ce nouvel opus, c'est probablement qu'on vient d'entrer à nouveau dans une sous-convention clandestine affiliée à la #TrollCon2016 . On reconnaîtra même après le pillage des épisodes précédents des univers de la licence Alien, de l'improbable collision avec celle du "Père Noel est une ordure", ici , des allusions aux personnages Hommes-Taupes de Marvin. Encore une fois, une impression de gloubiboulga littéraire probablement destiné à être apprécié par des monstres gentils de l'île aux enfants. Casimirs dans le coin, dégainez donc vos cartes de bibliothèque.
  127. Muscle    ( 1.00/10 - Khalid EL Morabethi - 18/11/2016) : Alors déjà, je tiens à dire que j'ai longuement hésité sur le thème à associer à ce texte (vous vous en tapez le coquillard mais je le dis quand même) : "Débile-absurde" pour le côté absurde de la chose, on parle quand même d'un *muscle* dans tout ce bordel, et aussi parce qu'il n'y avait pas de catégorie absurde. Grosse hésitation avec la catégorie "poème de merde" puisque l'auteur y va à gros coups d'pelle d'anaphores et de répétitions (je crois qu'on a compris qu'il s'agissait d'un effet de style). Après une première lecture difficile, j'ai tenté de mettre *le muscle* en voix (et oui, je prends mon boulot d'admin au sérieux bande de phoques) mais la juxtaposition de phrases sans queue ni tête empêche une bonne lecture. Quoi qu'il en soit, j'ai pompé sur LC pour approprier un thème plus adéquat à la chose. Par contre Khalid tu n'es pas G.G.R. Martin, faut arrêter avec game of thrones, la saison 7 c'est pas pour tout de suite. *ENJOY*
  128. Pourris d’humanistes à la solde du monde.    ( 1.00/10 - Le Docteur Burz - 14/03/2017) : "Je ne nourris dans moi qu'une humeur noire, Chagrin, fâcheux, mélancolic, hagard, Grogneux, dépit, présomptueux, langard, Je fais l'amour au bon vin et au boire. De mon esprit toutefois je fais gloire, Pour le penser être frisque et gaillard, Et ne tenir nullement du vieillard, Mais nul que moi ne le se fait accroire. Pour trop me plaire, à chacun je déplais De vains discours, pauvre sot, je me pais, Ne pouvant rien sans espoir je désire. Pour n'avoir plus de reste que ma voix, Je chante à tous mes anciens exploits, Mais, les chantant, je n'apprête qu'à rire." Etienne Pasquier, humaniste du XVIème siècle. C'est beau la littérature quand on s'y met. Le verbe est manié avec douceur, les mots gazouillent comme des petits oiseaux. Et voici l'humanisme selon Burz : "Aimez-vous les uns les autres aux Maldives, C’est assez grand pour vos gueules de pets." Quelle poésie chantante, un plaisir vos petites oreilles...
  129. Dans la petite maison dans la prairie    ( 1.00/10 - Khalid EL Morabethi - 18/09/2017) : Au début je ne voulais pas publier ce texte de Khalid EL Morabethi, car comme d'autres admins, je ne le trouvais pas zonard. Je pourrais parler de manière hypocrite de slam ou de sublime et dire que ça n'est pas mon truc, ni le truc de la Zone, mais en vérité j'ai déjà lu de très bons textes de slam ou de sublime, et ça ça n'en fait tout simplement pas partie. Ce texte pourrait être produit par un algorithme complètement bancal et médiocre, cependant je ne crois pas que ce soit le cas non plus car la suite de mots "La petite maison dans la prairie" est présente 10 fois dans ce "poème", titre compris, et simplement à la fin, il manque l'article avant "prairie" aussi c'est une erreur qu'un algorithme n'aurait pas faite puisqu'un algorithme n'a pas besoin de se relire alors qu'a priori un auteur zonard non plus depuis aujourd'hui. J'ai décidé unilatéralement de publier ce texte et de le ranger dans le dossier P.K.Dick-like parce qu'il me semble cependant que les thèmes abordés sont dickiens : rapport à la réalité, confusion mentale, grande matrice et cerveau global observant tout l'univers. Laura Ingalls faisant partie de l'univers et étant par ailleurs un personnage super flippant pour moi, suscitant des réactions phobiques et paranoïdes équivalentes à celles que provoquent les clowns chez certaines personnes un peu plus saines d'esprit que je le suis, je me dis que je ne dois pas trop être dans le faux. J'ai donc dans ma grille d'évaluation de la dickinité d'un texte assez de croix cochées ici pour crier "Bingo !" et publier "ce bel hommage". Il se peut que ce texte ait cependant été posté par l'auteur avant la parution de l'appel à textes P.K.Dick-like mais ce serait un argument supplémentaire en vérité pour affirmer que ce texte est dickien. Je ne ferai pas l'effort de relire ma présentation, par contre, faut pas charrier.
  130. La conjonction des probabilités    ( 1.00/10 - pascal dandois - 14/07/2022) : Accident pédagogique : on avait publié ici un "texte" mal écrit, pas drôle et égotiste uniquement pour illustrer un propos. Comme l'auteur en a publié d'autres, on a choisi celui-ci, qui est vaguement moins chiant et aussi plus court, pour remplacer le contenu de l'article initialement publié. Bon, c'est la Zone, c'est bordélique et on fait n'importe quoi. (21/7/2022)
  131. Le soigneur des anneaux : la paupiette de l'anneau    ( 1.00/10 - Delavigne - 30/04/2023) : Vous voyez ces dialogues spirituels autant qu'édifiants sur fond d'images tirées du Seigneur des anneaux ou de Kaamelott dont débordent les réseaux sociaux telles de foutre les chattes à vos mères ? Hé bien vous retirez les images et vous étirez le supplice sur quelques petites minutes de lecture et vous obtenez ce texte. D'autres que moi goûteront peut-être davantage cet humour débile dont on ne saurait du reste nier qu'il constitue un pan de la Zone. "Veuillez parler fort car je suis sourd" prévient ce nouvel arrivant, alors que le mauvais peuple zonard veut juste savoir s'il suce et avale.
  132. DEPARDIEW MAX POWER MEGA TURBO    ( 1.00/10 - Zone Inc. - 29/01/2024) : Parce que sur la Zone, on sait dissocier l'homme de sa bite.
  133. Zia    ( 1.33/10 - zia - 14/12/2024) : Une fois n'est pas coutume, l'auteur a rédigé son propre résumé. Tant mieux, j'avais un poil dans la main ce samedi soir, et je n'ose, par ailleurs, me fendre d'un commentaire critique autre que "c'est mignon". A vous de voir, c'est la Zone, on s'exprime, on dit des trucs qu'on regrette et après on se retrouve avec des commentaires désobligeants. Voici le résumé du texte de Zia, qui s'appelle "Zia" et qui parle d'une certaine Zia. Ca sent le triple mise en abîme à caractère égocentrique. "Dans les ruelles sombres et les squats abandonnés, une voix s'élève, brute et incendiaire. Zia Gouri, punk folle, HP, droguée, est une âme en révolte, une conscience enragée qui refuse de se taire. Son regard acéré scrute la ville, un labyrinthe de néons et de béton, où les esprits sont anesthésiés par la télé et les plaisirs faciles. Elle en a marre des adolescents attardés de cinquante ans, des prolos incultes qui ne pensent qu'au foot, au MMA, à Hanouna... Tout ce qui est bête et simple, avec une dose de méchanceté en prime. Zia ne peut plus rester passive. Elle décide d'agir, de frapper fort. Ses vidéos deviennent des cris de révolte, ses tags des appels à la réflexion. Elle dénonce la télé, cette drogue moderne, qui rend les cerveaux dociles. Elle organise des rassemblements, des discussions publiques, des ateliers de sensibilisation. Elle veut confronter les gens à la réalité, à la vérité crue. Mais elle sait que c'est peine perdue. Leur cerveau est vide, leur âme est morte. Ils ne veulent pas entendre, ils ne veulent pas voir. Ils préfèrent se complaire dans leur ignorance, dans leur médiocrité. Alors Zia décide de passer à l'action. Elle sort de son squat, descend dans la rue, bombe de peinture en main. Elle tague les murs, crie sa révolte, hurle sa vérité. Dans ce texte, Zia Gouri nous emmène dans un voyage introspectif et mélancolique, où chaque pensée, chaque action est un cri de révolte contre l'ignorance et la médiocrité. À travers ses yeux, nous voyons un monde en déclin, où les esprits sont anesthésiés et les corps fatigués. Mais Zia ne se résigne pas. Elle continue à se battre, à agir, à espérer. Parce que c'est la seule chose qui lui reste. Parce que c'est la seule chose qui vaut la peine."