Thèmes
- Absurde :
- Les textes délirants sans aucun rapport avec rien
Textes :
-
De authoris syndroma
par
Lapinchien
Premier article sur la Zone de Lapinchien, et premier article portant une mention '1ère partie' qui n'aura vraissemblablement jamais de suite. En toute logique, Lapinchien nous parle ici d'un phénomène bien connu des gens qui doivent écrire, le syndrôme de lapage blanche et impose directement son style inimitable, absurde, incompréhensible et drôle. -
Histoire à dormir debout 1
par
Etylhic
Une sorte de space opera à la Star Wars, mais version alcoolisée : délirant, incompréhensible et complètement surréaliste ! -
L'apologie de l'en-soi
par
Relou-le-Gueux
Voici le premier texte de Relou, auteur inconnu. Mais bon, on est pas chez les flics ici, et c'est pas un état de droit, d'ordre et de sécurité. Les frontères sont ouvertes et on a pas besoin de montrer ses papiers à l'entrée. Donc on y va avec cet article profondément incompréhensible (en plus). -
Rebellion
par
Relou-le-Gueux
Un article écrit à chaud, uploadé à la va-vite sur demande de l'auteur en tant que réaction aux commentaires sur son précédent article. Relou en profite pour se présenter... -
Histoire à dormir debout 2
par
Etylhic
Apparemment c'est la saison du surréalisme sur la Zone. Voici le chapître 2 et la fin de la saga spatiale et interdébilique d'Etylhic, réunis en un article du fait de la petite taille de la fin. -
Du louseur (looser)
par
Relou-le-Gueux
Relou nous explique son mode de vie en quelques lignes, nous décrit son comportement par l'exemple. Un sorte de documentaire animalier schizoïde. Court, marrant, strange et très bien. A lire. -
Devine qui va passer...
par
Etylhic
Encore une déconnade à la lisière entre le surréaliste et le profondément idiot. Illisible comme toujours, on y repère deci de là quelques allusions intéressantes à la Zone... -
Journal intime
par
Relou-le-Gueux
Enfin un peu de déconne sur ce site de merde, et ce grâce au retour de notre congrès de Gueux Nordiques réunis dans la même personne, j'ai nommé Relou. Warning aux mineurs : cet article contient une photo de Jesper Mouton-Défrisé à moitié à poil) -
Prophétie 2007
par
Relou-le-Gueux
Mini-article à la Relou-le-Gueux, ce qui veut bien dire ce que ça veut dire. -
Truc de fou
par
Ocus
Et hop un mini-article complètement absurde et très débile à se mettre sous la dent, ça fait plaisir. -
Réflexions personnelles
par
Tulia
Mini-article plutôt absurde qui débute en version sérieuse et termine en délire débile à souhait. -
Enfer et damned
par
Arkanya
Un article complètement débile et incohérent qui reprend des bouts de phrases d'autres textes zonards. Sans le moindre intérêt pour qui n'aurait pas lu l'intégralité de la Zone. -
La chasse à l'âme
par
Taliesin
Un concentré idiot de divagations inutiles, de jeux de mots en bois, d'absurdités assumées. Le tissu de conneries enquestion trouve à nouveau en Bretagne, même si en l'occurrence ça n'a pas une grande importance sur le récit (ledit récit étant inexistant je vous le rappelle). Taliesin parle de cet article comme d'un hommage à Pierre Desproges. Ca prête à sourire à droite à gauche, sans plus, mais c'était l'unique ambition. -
Clonage par induction solaire à rétroaction magnétique
par
Joke Jester
Premier texte de Joke Jester, un bon petit délire de savant fou assez stupide mais plutôt marrant. J'ai du corriger moi-même une partie des fautes pour rendre lisible par contre. -
Lettre d'un fou
par
Petitbouc
Tout est dans le titre, c'est la lettre qu'un fou envoie à un ami. Le narrateur est plus proche du fou qui repeint son plafond ou qui promène sa brosse à dents en laisse que d'un vrai schizo. Donc en gros c'est de l'absurde pur et simple, à cheval entre l'idiot et le surréaliste. Bon courage. -
Quand deux grands esprits se rencontrent...
par
Narak, Lueur de Vertu
Deux auteurs qui écrivent un texte vaguement déconnant sans idée première, on a déjà eu droit, en principe ça donne de la merde. Le dialogue de Narak et Lueur de Vertu échappe par moments à cette règle. Le coté complètement décousu est pas forcément désagréable bien qu'un peu lassant. L'humour est moins lourd que prévu et j'ai bien aimé les petits moments de mélancolie douce ou de psychopathologie. Mais bon quand même ça mène à que dalle et ça reste globalement du niveau du fou qui repeint son plafond. -
Camisole infantile
par
Caligula
Encore une superbe bouse à l'actif de Caligula, qui se fout visiblement de notre gueule. Ici il tente d'imiter lamentablement le style enfantin pour nous administrer ce monument de confusion mentale écrit avec les pieds. C'est un appel au meurtre ou je ne m'y connais pas. -
Mon fils
par
Abbé Pierre
Bière, tondeuses à gazon, inceste et tête de perruche arrachée avec les dents. Ce texte ne tient pas debout et n'a aucun sens, il est pourtant hilaratif. C'est tout bien rempli d'humour drôle et absurde. -
Au supermarché
par
John Noeud
Après les récents étalages, un texte concis ne peut pas faire de mal. Sauf que là, c'est encore trop long pour ce que c'est. Une sorte de poésie en prose potagère, sexuelle et atomique, dit comme ça, ça pourrait le faire. Et non. C'est confus, fantaisiste, et si le coté bizarroïde est pas déplaisant, l'inutilité flagrante du texte saute trop aux yeux pour qu'on la pardonne. -
This product is meant for educational purposes only
par
Ceacy
Curieux texte, qui sent le champignon hallucinogène croisé au gaz hilarant, pour un résultat franchement absurde et pas du tout convainquant. Du n'importe quoi frénétique, une certaine vision de la lobotomie conviviale. -
Crache
par
Traffic
Encore un bon texte signé Traffic, rien d'extraordinaire non plus, juste une tranche de vie pourrie, un peu désabusée et amusante. Y a pas à dire, les losers alcooliques et déprimés font les meilleurs héros qui soient. Après ça, Traffic en a visiblement eu ras-le-bol. Sans doute à cours d'idée, il a baissé les bras et son truc est parti complètement sur la jante, version absurde et débile, un vrai régal. -
Le petit test cérébral du professeur Hag
par
Hag
Oh putain. Hag commence à me faire peur. Totalement à l'aise dans tous les registres typiquement zonards (violence, psychopathologie, déjante, parodie), c'est vraiment l'animal de compagnie idéal. Là il s'attaque à l'humour absurde et inutile. Et il le fait bien, ce qui est assez novateur en soi. C'est la première fois que je rigole de bon coeur en lisant un texte aussi ridicule. -
Ne vous est-il jamais arrivé d’avoir envie de vous pendre avec un testicule ?
par
Gaborim
Un vrai cauchemar ce texte. Dans le plus grand désordre se mêlent les transsexuels, les caniches, les sept nains, des vieux prophètes et toute une farandole d'autres trucs débiles bien mixés avec quelques jeux de mots de merde pour faire le mortier. C'est dur à enquiller, on dirait du Relou-le-Gueux, une vraie tempête de merde. -
Dogging
par
Lol47
Lol47 est un auteur méconnu. C'est normal. Lol47 est un artiste incompris. C'est logique, ses textes sont incompréhensibles. Bon là je comprends que ça parle de bukkake, ce qui suffit à dire que ce texte est meilleur que toutes les autres merdes de Lol réunies. On voit toujours pas où ce péteux veux en venir, mais y a du sperme. -
Oubliez le panda, c’est une imposture
par
Omega-17
Omega se complait dans l'absurde. Autant dans ses textes sérieux, ça devient vite lourd, autant dans le comique ça passe bien, même si le blabla dégoulinant qui déborde de partout tape un peu sur les nerfs. Du non-sens total, jouissif, qui prouve d'une part que le panda est une illusion d'optique, d'autre part qu'Omega a vraiment du temps à perdre et nous plus encore. -
Courant d'air
par
Nico
Je sais que la Zone a été noyautée par un groupuscule absurdiste très actif, et qu'il ne perdent pas une occasion pour répandre leur propagande, mais là ça va trop loin. Trop loufoque, trop stupide, trop sautillant. Avec à la fois un humour british déconcertant et des gros gags cartoonesques complètement pourris. Bref, c'est du Nico. -
La méta-bijection
par
Hag
On comprend vite qu'on a pas affaire à un texte ordinaire. Rien que le titre me fout le mal de mer. Ca se lit comme une démonstration de maths longue CMB : au début on est vaguement intéressé, puis on capte plus rien. Si on a pas décroché, on finit par trouver ça totalement absurde, et enfin on finit fasciné par l'exploit consistant à déblatérer aussi longuement sur un sujet dont tout le monde se fout. Au moins dans le cas de ce texte, on comprend vite que tout ceci est parfaitement idiot, et donc on finit par ricaner avec un air ahuri. -
Psychiatique
par
Yog
Ce texte est une espèce de grand bourbier de tout et n'importe quoi vérolé à l'écriture automatique. Agressif certes, débile éventuellement, mais surtout aléatoire. Du coup, c'est un peu dur à suivre. Si c'est sensé donner un aperçu crédible d'un esprit schizomongoloïde plongé en milieu psychiatrique, j'ai peur que ce soit raté. Si c'est sensé être amusant ou vaguement émouvant (tendance Obn), ça peut éventuellement fonctionner, pour peu que le lecteur soit d'humeur à débroussailler ce merdier. -
La face cachée des icônes
par
Trompette sournoise
Oulah... S'il faut bien reconnaître une qualité à nos auteurs, c'est qu'ils ne se laissent pas brider par la honte. Acceuillons donc Trompette, pseudo pourri, qui nous parle des retrouvailles entre M. Propre et Captain Igloo. Trompette est au fait de l'air du temps ; des sujets clés de notre société émergent de la javel dans laquelle baigne son cerveau : le ménage, l'homosexualité, la pédophilie, et les poissons panés. Oulalalah. -
GUY HOEZEN AND THE BLACK TEMPLE OF LSD
par
Zalgor
Ce texte est un survivant des poubelles de la Zone; le contenu général n'a pas vocation à raconter quoi que ce soit, mais n'en reste que certaines répliques sont plutôt bien trouvées, voir même drôles. En plus, y'a David Hasselhoff revenu d'entre les morts, ce qui ne peut que plaire aux amateurs de shorts rouges et de voitures high-tech schizophrènes. -
Un enfant de catin – Acte I, Scène I
par
Zalgor
La Zone se diversifie, après la philosophie Pangoline, et autres innovations plus ou moins foireuses, voici un bout de pièce de théâtre, bon, pourquoi pas. Ça commence pas trop mal, certains morceaux passent mieux que d'autres et sont même drôles, mais au bout d'un moment ça deviens assez chiant et surtout, poussif, si bien qu'on a juste envie d'aller GENTIMENT TOUS LEUR CASSER LA GUEULE 0 CES PUTAINS DE GUIGNOLS? DIANTRE§ -
Derniers instants
par
Drragver
Ce texte est rigolo et donc bien dans la nouvelle mouvance de la RIGOLOCRATURE. Cependant attention on dirait un putain de spoil du film qui veut sauver la peau du soldat Roger Rabbit. Film qui n'existe pas heureusement. Le gros problème de ce texte est son auteur. Deja il n'existait pas donc j'ai perdu du temps à comprendre qu'il fallait qu'il existe avant de pouvoir publier son texte, ce qui m'a obligé à tout recommencer. Ensuite l'auteur semble vouloir bien se foutre de la gueule de la Zone avec cette sombre bouse rigolotte. Mais c'est pas grave, on s'en branle. La Zone n'a pas de gueule. -
L'invitation
par
Ratiche
Le narrateur est paumé quelque part dans la cambrousse, éclaboussé de merde par un tracteur kamikaze, et va retrouver sa bien-aime. Le pitch pourrait être celui d'une série particulièrement française. Cela dit, stupeur : c'est drôle et bien écrit, malgré les envolées Châteaubriandesques. -
Il eu tété
par
Rouage
C'est l'histoire de Bobby Lapointe qui nous montre ses melons dans le meilleur texte de l'année 2012 de tout les temps ! -
Une schyzophrénie nomée Bruce Willis, 4ème partie : Sautons le requin
par
Koax-Koax
Suite d'une grande saga dramatique commencée en 2010 - ce qui traduit autant que possible la fainéantise de son auteur - et puisqu'il ne fallait évidemment pas laisser trop longtemps trainer le suspens, voici, donc, une plongée impitoyable dans les abysses du nase, servie telle qu'elle. -
Désoeuvrement 479
par
Clacker
Zonard, ô multitude de type rare, voici que la singularité Clacker passe enfin aux aveux de type officiels, via ce texte plutôt curieux et pas mal réussi : c'est un suppôt du surréalisme de type dada. Ceux qui comme moi n'auront rien compris pourront se venger en allant éditer la fiche wikipédia sur Georges Ribemont-Dessaignes. Message complémentaire de l'auteur : "Par soucis d'ambiance, il n'est pas déconseillé d'écouter In-A-Gadda-Da-Vida à un volume élevé tout en lisant le texte, ni de déguster plusieurs verres d'absinthe." -
Détermination/rupture/rhododendron
par
Seymour Glass
Seymour Glass, un petit nouveau, se lance dans la politique de type rhododendrons et la romance de type Marguerite avec ce drame en trois actes à l'ambiance gentiment absurde et décalée, qui ne casse pas trois pattes à un canard mais se laisse lire sans difficulté et sans donner envie d'envahir la Mongolie. -
La Belle et la Bête
par
La-Pute-Phallique
Débarquer d'un trou de ver. Pondre toute une théorie fumeuse à partir d'un jeu de mot tiré par les cheveux. Snifer les interlignes pour probablement trouver l'inspiration nécessaire à l'écriture poussive de la vingtaine d'autres lignes. Il est étonnant qu'on ne trouve pas dans ce court extrait de pensée pure une vanne résultat d'un badtrip sur le mot "analphabète" , une digression sur l'ambiguïté pédophile latente dans le nom de la marque "Babybel", un paragraphe indigné sur l'expression "bête comme chou". Au delà du terrorisme donc, l'humorisme. On a le droit de dire que c'est misogyne ou on s'en bat les trompes de Fallope ? Vivement qu'une troupe de Femen, Zarofettes et Pussy Riot enragées s'occupent du cas du narrateur. Quant à l'auteur, s'il poste d'autres textes "dans le genre" on va finir par croire qu'il croit au premier degré alors que sur la Zone, on ne s'exprime pas en dessous du huit-sixième. -
Cut-up : 10 mg, S.F : 0,7 mg, Monoxyde de Zonard : 10 mg
par
H kop
H kop est un petit nouveau et débarque avec ce texte un brin confus dans lequel je n'ai pas très bien démêlé le narrateur du héros écrivant ou du héros étant écrit, ou que sais-je encore, dans cette fusion des mondes réels et imaginaires, et des figures féminines. Je ne sais ce qui est le moins clair, de mon esprit ou de ce texte, mais je soupçonne l'auteur d'avoir remplacé le mot 'merdeux' par le mot 'Zonard', histoire de nous faire croire que ceci (le texte) était destiné à ceux-là (nous). Peu importe, au fond, puisqu'il y a des petits mendiants roumains. -
La vie de médium
par
LePouilleux
De la trollLitt. un peu trop évidente mais au finish un texte assez marrant avec en prime un final twist qui fera convulser Najat Vallaud Belkacem qui peut être même fondra en un petit tumulus de slime grumeleux. Une belle décoration pour les fêtes qui s'annoncent. Alors qu'attendre de plus d'un texte zonard ? -
Burroughs, bonne raclée et pubis apparent
par
HaiKulysse
Nous avons enfin la réponse de l'origine de l'écriture burroughsienne de Haiku. En effet, dans ce texte, l'auteur nous dévoile ses petites recettes secrètes. Un texte sans étincelle qui semblait bien parti néanmoins mais l'auteur retombe vite dans ses travers à la n'importe nawak. Des passages décousus viennent polluer le récit avant que Cuddle ne ramène encore sa fraise. L'auteur semble avoir déjà trouvé sa prochaine victime pour la future Saint con. Une bonne année en perspective se dessine avec une petite odeur de pubis brûlé. -
Hunter S. Thompson
par
HaiKulysse
Hunter Stockton Thompson est un journaliste gonzo des années 60-70 qui surfe sur la merveilleuse vague des bonbons multicolores et des bons rails de coke. Un mec comme on les aime et qui nous rappelle tristement qu'on ne choisit pas son époque. A l'heure des "réseaux" et de l'idiotie la plus totale, Haiku se la colle bien devant Las Végas Parano et nous sort un court billet surréaliste emprunt de poésie romantique. Il nous avait bien manqué. -
Pétales arrachés, toison pubienne et bonnes raclées
par
HaiKulysse
Tout le monde aura bien entendu remarqué qu'il s'agit de la suite du texte publié en 2017 intitulé Burroughs, bonne raclée et pubis apparent. C'est évident, puisqu'on y retrouve l'ordinateur conçu pour l'élite et spécialement dédié aux écrivains, le Cora-Hummer 7, des attentats dont on ne sait rien, et une impératrice des Hackers qui pourrait être Cuddle, déjà mentionnée dans le premier texte, et qui refile une sorte de syphilis hardcore au narrateur, à base de ver mutant qui infecte les vagins et les yeux. Mais rassurez-vous, c'est toujours foutrement incompréhensible. -
Tribulations Matricielles, Contrôleurs des Pagodes ou nudité spartiate
par
HaiKulysse
HaiKulysse continue de tisser son HBU (HaiKu Burroughs Universe) avec ce texte qui est, nous précise-t-il, la suite de Pétales arrachés, toison pubienne et bonnes raclées. Ou bien il fait aussi du cut-up avec les messages complémentaires adressés au publicateur, et dans ce cas je n'ai rien compris, mais je ne comprends jamais grand chose à rien. A tout ce bordel d'ordinateur pour écrivain drogués et de hackers samouraïs informatiques s'ajoutent des personnages de Matrix, une romance avec une infirmière de première année, Platon et Perséphone, un groupe de Grunge... C'est la foire à la saucisse, et l'auteur ne s'est même pas donné la peine de corriger ses erreurs de syntaxe. Mais on le pardonne, puisque c'est un bot russe. -
J'aimerais bien avoir un zizi magnétique.
par
Un Dégueulis
Dans les textes du Dégueulis, la ligne de crête est ténue entre régressif, transgressif et carrément dégueulasse. Attention la lecture de cet étron peut provoquer des hauts-le-cœur et prises de conscience que des gens à l'esprit torturé et porcin existent bel et bien. Personnellement ça ne me fait pas rire. Trop crade. -
Dark
par
iThaque
C'est donc avec un texte d'iThaque que nous démarrons ce Grand Concours de l'été (une première sur le site), et au risque de ne choquer personne, je suis au regret de vous dire qu'il s'agit, une fois n'est pas coutume avec notre vieille engeance Burroughsienne pleine de neige sur la tête (qui prétendait prendre sa retraite, mais c'était du pipeau), de cut-up. Oui, encore et toujours du cut-up. Au menu, Bob l'éponge carrée, le sous-prolétaire, qui se fait exploiter une fois de trop par le capitaine Krabs, en parallèle d'une étrange affaire de disparitions d'enfants... Bien entendu, tout ceci n'a aucun sens, et s'il n'y avait pas une citation de Thompson au début, on serait bien en peine de comprendre en quoi tout ce bordel répond au concours.