Thèmes
- Semaine 'textes de merde' 03 :
- Les pires textes jamais publiés sur un site littéraire. Les auteurs les moins talentueux et les plus cons jamais lus. Qui sera le pire auteur de la Zone ?
Textes :
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Comme toutes les autres
par
Glaüx-le-Chouette
J'espère que Glaüx a bien honte de ce texte pourri, en tous cas je ferai tout dans ce résumé pour l'enfoncer. Pas intéressant, pas original, pas franchement zonard, son texte est en plus basé sur un principe tellement dépassé qu'on a pitié de ce pauvre Glaüx. Participant en avant-première à la semaine 'textes de merde'. -
Mes pensées de merde
par
Malax
Malgré son pseudo de true warrior, Malax est une pute. Je veux dire une fille. Son premier texte n'est pas très bon : plutôt confus, ça se complait dans les clichés introspectifs de base, dans le genre dépression qui tourne au cauchemar. Inutile et stupide. Participe en avant-première à la semaine 'textes de merde'. -
Je me délecte
par
Nev
Quelqu'un devait bien se coller au poème baudelairien merdique pour cette semaine 'textes de merde'. C'est Nev qui s'en charge, et elle s'en sort bien la salope : confusion, approximations, romantisme-branlette boursouflé, gothisme outrancier. C'est nul et au premier degré, mais l'effort d'orthographe et la recherche des expressions empêche clairement le grand chelem. -
Putain !!!
par
The Unknown
ce nouvel auteur a décidé de nous raconter sa vie de merde dans un lycée catho, et il le fait bien : en deux fois trois lignes c'est torché. C'est nul à chier et ça n'avance à rien. Mais ce qui donne à ce texte sa force merdique est sa chute sentimentale grotesque. Pathétique. -
L'histoire du type qui est grand
par
Malax
Malax est un raté notoire. Après nous avoir asséné ses pensées de merde au premier degré, voilà qu'il s'essaie au texte de merde, sans plus de succès. Pour se faire il choisit l'angle de la stupidité et de l'absurdité. Manque de bol : c'est tellement stupide et tellement absurde que ça m'a occasionné un inénarrable fou-rire. Encore raté, pauvre con. -
Epilepsie au travail : attention danger
par
Narak, Lueur de Vertu
Ces deux hippies congénitaux n'en sont pas à leur coup d'essai en matière de textes de merde. Le professionnalisme paye : le résultat est à se cogner la tête contre les murs. Calembours méprisables, vannes repompées sur Timsit, délires enfumés, poésie merdique et fin en queue de poisson. Presque parfait, hormis le fait qu'une ou deux vannes sont tellement bidons qu'elles en deviennent bidonnantes. -
Va te faire enculer
par
Erreur
Le grand Erreur revient avec ce texte de merde franchement abusif. Dix mots et puis s'est terminé. C'est tout à fait lamentable, mais il semble qu'Erreur ait négligé cet adage élaboré depuis la dernière semaine 'textes de merde' : un texte de merde ne peut être insupportable que si il est très très long. -
Echange de mails de merde
par
Lapinchien
Lapinchien est un génie, ses concepts littéraires occasionnent généralement des textes merveilleux... Et plus rarement des bides intersidéraux. Preuve en est cet échange de mails novateur du point de vue littéraire et destructeur du point de vue neuronal. Hélas, ça a beau être nul, ça n'en reste pas moins génial. -
Fuck you all (and you of course)
par
René Laboiçon
Ce texte n'aurait aucune raison d'être si la semaine 'textes de merde' n'existait pas. Stupide et absurde sans pour autant être drôle, il est plutôt chiant. René évite le carton-plein merdique grace à un improbable et lancinant surempilement du mot 'enculer', ce qui est évidemment d'un bon goût certain. -
Les fabuleuses aventures de bénito mussolini à la plage
par
Dr Ben Jovi
Ben Jovi s'impose d'emblée comme un incontournable du texte de merde. Cette chose illisible n'a aucun sens ni aucun intérêt, n'est jamais drôle, se complait dans le pénible. Ca dépasse pas mal de limites de l'humainement acceptable. J'ajoute les fautes, le titre sans rapport avec le reste, le repompage de Las Vegas Parano, et on est pas loin du Grand Chelem. -
On the merde again
par
Lahyenne
Sans doute épuisé par la rédaction de sa très bonne nouvelle 'Local à poubelles', Lahyenne se défoule dans un mélange d'anglais décérébré et de français demeuré. L'ensemble est incroyablement pénible, mais on sent une certaine hystérie finalement assez réjouissante, et un enthousiasme presque communicatif. -
Chute sans fin
par
Ieyasu
Le personnage se veut un dieu vivant mais sombre dans la confusion et l'imbecillité. Alternances de quintes de mots en amas inidentifiables et de logorrhées grandiloquentes imbuvables, ça se veut le reflet de la tourmente dans laquelle est plongé le narrateur. Mais le résultat c'est que c'est le lecteur qui ne comprend rien à ce qu'il se passe. Peut-on faire mieux dans la confusion mentale ? En guise réponse je cite l'auteur : 'Impossible ! Sprotch ! Impossible ! Sprotch ! Impossible ! Sprotch !'. -
Le combat de l’homme et du copier/coller
par
Abbé Pierre
C'est sûr c'est pas très compliqué de rendre son texte franchement illisible, et l'Abbé ne se foule pas le cerveau avec la subtilité. Un bon copier-coller parkinsonien et le tour est joué. Mais quoi qu'il en soit, ce texte restera le plus illisible du moment. C'est donc un banal auto-flood à coups de copier-coller et si la facilité du procédé ne peut que nous tirer un rictus de mépris, il faut reconnaître que c'est efficace. -
L'empereur avait deux pieds
par
Womble
Womble fait partie de ces bons auteurs qui se voudraient polyvalents mais sont littéralement infoutus de pondre un vrai bon texte de merde. Le texte en question est bien écrit, il repose sur un postulat intensément stupide, mais qui n'est jamais qu'une grosse blague finalement assez rigolote. Seul bon point : la chute, plaquée brut de décoffrage, genre réponse à une devinette Carambar. Texte de merde franchement médiocre. Rentre chez ta mère, loser. -
Moi, instituteur
par
Nobodiz
Nobodiz est un expert ès 'textes de merde', il l'a déjà prouvé. Ce texte pourrait presque être signé le Duc pour le style digne d'un mort-né sous kétamine et l'orthographe de brontosaure myopathe. Sur le fond, c'est assez grandiose : l'instituteur qui combat les mouches est le digne successeur du fou qui repeint son plafond. Hélas une certaine forme de second degré larvaire vient corrompre la grande impression que fait ce texte.