Thèmes
- Système :
- Subversion générale à propos du Système actuel et de ses implications.
Textes :
-
Etat des lieux
par
nihil
Un article fourre-tout, qui ressemble un peu à un édito par la juxtaposition de paragraphes sans grand rapport, mais dont la plupart tourne autour de l'acceptation générale des consensus mous. Article à l'origine d'une polémique à suivre dans les articles Réponse... et Philoscorbutie -
Réponse...
par
Djinny, Amanite, nihil
Polémique générale en réaction à l'article Etat des lieux, à laquelle participent Djinny, Amanite et nihil. -
Philoscorbutie
par
Scorbut
Nouvelle réaction à l'article Etat des lieux paru quelques jours plus tôt, qui donne en quelques paragraphes la vision de la vie du très grand et très aimé Scorbut. -
Résignation
par
nihil
Un article qui répond aux questions que quelques lecteurs pourraient se poser à propos de la contradiction qui existe entre les idées et les comportements réels de nihil. -
Commu-niqué
par
nihil
nihil poursuit sa propagande insidieuse, sous-entendant ici que la frénésie de communication qui nous envahit est un instinct animal et remet ça avec la manipulation par le Système. Ca tourne au comique de répétition, à ce niveau-là... -
Un exemple concret d'endoctrinement
par
nihil
Un mini-article plutôt polémique en réaction à l'aveu des autorités de vouloir enseigner aux enfants que 'le Mal absolu existe' et que 'le relativisme n'est pas compatible avec les valeurs de la République'. -
L'offre et la demande
par
Lapinchien
De la polémique en barre sous forme de nouvelle. Ici on parle marketing, budgets, appels d'offre, commissions etc... Avec toujours la patte Lapinchien, gros gage de qualité : longueur, réflexion pointue, développement soigné et idées neuves. -
Le sel de la terre
par
Dourak Smerdiakov
Premier texte de Dourak. On dirait du Relou-le-Gueux version sérieuse. Ce qu'il en ressort ? Des phrases qui pètent à la gueule, tout dans la remise en question. A lire, relire et méditer. Commentaire de l'auteur : 'ta gueule ou je lâche le chien'. C'est noté. -
Une petite dose de réalité
par
Vassago
Pour son deuxième texte, Vassago fait tout autant rentre-dedans que pour le premier mais de manière bien différente, plus sérieuse. Il remet en perspective quelques statistiques ainsi qu'un témoignage pour peindre un avenir sans espoir. -
Propagande pour propagande
par
nihil
Déjà lu, déjà assimilé, c'est juste du remâché. Mais à intervalles réguliers je me sens obligé de recracher ça à la gueule de la démocratie. J'ai des putains de pulsions sexuelles bizarres moi... Rien de neuf sous le soleil. -
Comment va le monde ?
par
Anthrax
Anthrax fait dans l'habituelle bouillie d'images stroboscopiques, ici au service d'une dénonciation des travers de notre système, sauce lyrique et grandiloquent à souhait (avec le coté ridicule qui va avec). Sur le fond l'idée est bonne, mais rien n'est fouillé, rien n'est précis, on saute trop vite d'une idée à une autre. Sujet bien ressassé en plus. -
Magma obscur
par
Anthrax
Le problème avec ces putain de hippies, c'est qu'ils croient pouvoir passer pour des gros durs en racontant l'asservissement, la robotisation de l'invididu, l'industrialisation galopante et polluante. Mais on finit toujours par les repérer parce qu'ils dénoncent, alors que nous les aciéries on aime plutôt bien ça. Du coup ça les identifie tout de suite comme des cons d'adorateurs des prairies et des petits oiseaux. -
Rêves et cauchemars
par
Ieyasu
Encore un qui appelle de ses voeux l'extinction de l'humanité. Ce texte s'intéresse aux dernières pensées juste avant la catastrophe globale. Une sorte de manifeste nihiliste sous-developpé, pas très mature, mais plein de spontanéité. -
Red paradise
par
Hokakyo
Je fus peut-être excessif en qualifiant ce texte de perle, mais le fait est qu'il m'a bien fait marrer, même si l'on s'y fout de la gueule des camarades militants et militantes, et ça c'est mal. D'ailleurs, l'auteur finira en Sibérie ou à Brest. -
Le moral des ménages
par
Serge D
Soit Serge D est un dangereux terroriste littéraire qui implose le carcan de la littérature, soit c'est un abruti qui se veut intello et se prend pour Duchamp version textuelle. N'en reste pas moins que sa prose est débilitante, si c'était volontaire (pour refléter le degré d'abrutissement de notre société ?), c'est réussi. -
Tout est normal
par
Omega-17
Ca débute comme un texte de réflexion sur la normalité, ce genre de semi-philosophie maquillée en coup de gueule qu'on connaissait sur la Zone à ses tous débuts. Mais petit à petit ça tombe dans une sorte de tranche de vie pathétique, traité sur un mode désabusé et cynique. Bref, c'est pas de l'art mais c'est lisible. Le narrateur a une certaine classe dans le genre méprisant. -
Le croyant
par
Mill
Un texte qui porte sur la croyance religieuse, avec une vision de la foi et de Dieu un peu décalée. On s'en bat un peu l'oeil des croyances du narrateur et de l'auteur, mais son point de vue a le mérite d'être un peu original. Tout le monde y trouvera sûrement à redire. Je commencerai le tir de roquettes en signalant que comme beaucoup d'écrits de cet ordre, ça se pose un peu trop en vérité absolue. -
Réflexions du Malax
par
Malax
Malax croit bon de nous exposer sa vision de la religion, et met donc sa prose au service du grand génocide synaptique. C'est con, c'est chiant, mais c'est encore une preuve indiscutable de l'existence d'une épidémie de 'dernières phrases de merde'. Su-per. -
Lacrima mosa est
par
MantaalF4ct0re
Quand Mentalfactor fait dans la philo, c'est pas triste. J'ai rien capté du tout, et j'ai pas ressenti particulièrement l'envie de me forcer à capter. Ca parle des larmes et de leur signification chez diverses catégories d'humanoïdes. Sur la fin ça part un peu plus en vrille, tant mieux, mais ça ne sauve pas le texte du naufrage. -
La boucle
par
Winteria
Et allez, au tour de Winteria de sortir un lapin putréfié de sa manche pour pas tomber dans les inactifs. Résumé succinct : "métro, boulot". Point. Mais on capte pas où ça va, à part dtcs. Trop bien écrit pour croire que c'est torché ; trop court et sans suite pour prendre aux tripes ou couilles ou ovaires. En tout cas y a de jolis accents circonflexes et même des trémas. -
La journée commence qu'on voudrait déjà qu'elle finisse...
par
Quelqu un
Sous ce titre mal gaulé se cache un texte mal gaulé, qui part dans tous les sens à coups de réfléxions rase-mottes sur la décrépitude de la société et l'asservissement du pékin moyen. Le tout sur un ton sautillant avec de la gouaille de supermarché et de la fausse poésie en prose tendance hip-hop. Avec des passages qui frisent le bizarroïde agréable, et d'autre qui se vautrent dans la stupidité. Pas convaincant mais pas dégueu non plus. -
Voie de garage
par
Stylo
C'est correctement écrit, court et direct, sans prise de tête particulière. Les réflexions de cette adolescente qui s'interroge sur son avenir en face de son conseiller d'orientation ne sont pas de la première fraicheur, mais prennent quand même un peu de distance par rapport aux stéréotypes de la rébellion adolescente. Bref c'est pas mal, quoique perfectible. -
Pamphlet
par
Ash
Oh super, un roquet qui jappe contre l'humanité. Celui-là, on lui donne quinze ans environ, si ce n'est qu'il nous épargne les balourdises orthographiques habituelles. Bon donc, c'est teigneux et inutile. Là où on note la supériorité de l'auteur sur les autres crétins de son espèce, c'est qu'il se rend compte en cours de route de l'ampleur de la tâche et de la profonde absurdité de son propos, et décide de saborder son texte en vol. Moi, je trouve ça plutôt mature. C'est bien, dans deux trois ans il aura la même prise de conscience avant même d'écrire et fera pas chier l'internet avec sa prose de demeuré. -
Haine Publique
par
Le Rieur
"Les gens c'est tous trop des cons, sauf moi bien sûr, parce que moi je suis pas un con, tu vois ? Et si jamais les gens disent que je suis con, c'est parce que c'est des gens et que les gens c'est tous trop des cons, tu vois ?". -
Le sabot du diable
par
Muscadet
Prétextant le thème littéraire classique du voyage, Muscadet fait s’affronter Nietzsche et Kant. Visez plutôt l’épée à deux mains, une arme exigeante, clivante, ingrate, loin des fleurets des duels bourgeois et de leurs premiers sangs d’apparat. Je ne vais rien souiller mais sachez que les concepts sourdent, s'encastrent dans les dents des vaincus et des jouisseurs, percent la rétine pour qu’enfin vous regardiez au lieu de voir, et ce dans une langue déliée, qui sait où, quand et comment frapper, lacérant les mantras satisfaits des eunuques à lunettes, qui phagocytent débats télé, amphithéâtres bondés et fnac qui le sont tout autant. Muscadet est votre meilleur ami et il vous hait. Aimez le miroir qu’il vous tend pour qu’enfin vous viviez, toujours aussi seul mais libre à tout jamais. -
Ballade à laquelle j'ai la flemme de trouver un titre
par
Dourak Smerdiakov
Ballade à laquelle j'ai la flemme de trouver une description et une image d'illustration