Thèmes
- Semaine 'textes de merde' 11 :
- Semaine TDM2020 Thématique : autofiction vainqueur : Lunatik
Textes :
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Les Nuits de Clara Luciani.
par
HaiKulysse
Un texte avec le mot "volute" dedans est forcément un TDM. L'allusion à une chanteuse anonymisée dans le texte alors qu'on trahit le nom dans le titre est également une assez bonne trouvaille. Voici la contribution d'HaiKulysse à la semaine TDM 11ème édition. PRENDS GARDE SOUUUS MON SEIN LA GRENADE KOI§§§ -
Ca suffis de bouffer des cadavres !!!
par
PhScar
Contribution de PhScar à la semaine TDM2020. Point positif : bon sujet. Point négatif : Les fautes d'orthographe qui sont un atout classique du TDM. Comme dit l'auteur : "Il s'agit bel et bien d'une contribution sérieuse et motivée à la compétition des TDM. Elle est complètement hors-sujet, et le hors-sujet est un critère de non-qualité parmi tant d'autres mais qui pèse, quand même. En plus tous les autres vont hurler au scandale, il vont gueuler comme des putois, c'est tentant non ? Je t'embrasse, qui que tu sois." -
Schizophrène, t'attaques la falaise
par
CTRL X, tomatefarcie
Texte écrit à 4 mains par CTRL X et tomatefarcie dans le cadre de la semaine TDM 11ème édition. Très bon concept que je vous laisse découvrir. Petit indice : C'est un échange épistolaire. Second indice : Le narrateur est schizophrène. Bon en fait avec ces deux indices je spoile déjà beaucoup. JE RAPPELLE QUE LE TDM EST UN GENRE LITT2RAIRE 0 PART ENTI7RE§§§ Cette année CTRL X vise le grand chelem. -
C'était mieux avant
par
Clacker
Attention ce TDM écrit par Clacker peut porter à confusion. Non ce n'est pas un très bon texte, c'est un concept TDM d'art contemporain. PAS BESOIN DE CAPS LOCK LITT2RATURE POUR 2CRIRE DE LA DAUBE. Pa besoin de fotes d'orthografe non plus. On y découvre entre autre que Clacker est caféinomane et qu'il connait par cœur toutes les stations balnéaires bretonnes. Si ça c'est pas merdique. C'est comme si on lisait le guide du routard. Il ne manque que les étoiles. -
RDV en terre inconnue dans mon slip
par
Lapinchien
Bien étrange objet que ce TDM pondu par notre inestimable Lapinchien. Si le titre nous laisse présager beaucoup de déconne caninolapinesque, on est vite surpris par le ton sérieux et la débauche de descriptions et d'anecdotes plausibles qui se déroulent tout le long de la lecture. J'en déduis que l'auteur tente une approche nouvelle pour le texte de merde, que dis-je, il me semble que son oeuvre pourrait bien représenter la pierre angulaire d'une toute nouvelle littérature dont la définition et le nom restent à inventer. Quelque chose comme "autofiction", mais en moins barbare.On peut souligner l'étrange contraste que vient provoquer un passage en CAPS LOCK diablement revendicatif, alors que le reste est somme toute sobrement bien écrit et même, oserais-je le dire, intéressant. Oui, intéressant. Même si ça part dans tous les sens, et qu'on a l'impression d'avoir fait un tour du globe à peu de frais. Alors, j'ouvre les votes : vous pensez que c'est du vécu, tout ce bordel ? -
THC SOUS TDM !
par
HaiKulysse
HaiKulysse tient absolument à remporter la 11ème édition de la semaine TDM puisqu'il poste une seconde contribution que voici. Au programme du cut up burroughsien comme d'habitude, de la littérature surréaliste et de grandes envolées d'écriture automatique. Notons une belle trouvaille dans le doublement du premier paragraphe, intentionnel ou pas, ce n'est pas le problème. TDM écrit sous l'emprise de substances bizarres, probablement de la colle d'écolier. -
Mâchez, ceci est mon coeur
par
Lunatik
"Vis ma vie de Camille Lacourt", ou "Camille et Camille sont sur un bateau", tels auraient pu être les sous-titres de ce texte foutraque, mystérieux et un peu confus, il faut l'avouer. Lunatik- ne tombe pas dans les écueils classiques du TDM, pas de conjugaisons aléatoires, de viol d'orthographe ou de sonnet de merde, ce qui fait qu'on ne sait pas trop comment qualifier mentalement ce qu'on vient de lire. Ça vous mordille le cerveau tout du long, parfois jusqu'au sang, et même plus loin - soulignons un passage bien gore et bien torché -, ça verse dans la scène de cul de manière inattendue, ça vous fait des métaphores à base de trains disséminées un peu partout, presque en douce, et finalement ça vous fait douter de vous-même, de l'existence du monde et de Camille Lacourt. Ajoutez à tout ça ce qui me semble être un Final Twist, et vous avez un concurrent sérieux pour clore en beauté cette semaine textes de merde. Clap de fin.