Thèmes
- Pangolins et licornes :
- Comme son nom l'implique.
Textes :
-
journal inutile et désagréable
par
09069
On remarquera l'effort singulier de la part de l'auteur d'avoir choisi un titre qui sait également tenir lieu de résumé. Les admins sont sensibles à ce genre d'attentions. -
La Genèse du récit publié sur La Revue qui te parle.
par
HaiKulysse
Je tiens vraiment à remercier l'auteur de ce texte pour la pub gratuite pour ma revue non commerciale et un peu invasive en ce moment qui m'attirera probablement la haine bien justifiée de tous les autres admins. Bon, j'ai classé ce texte dans la catégorie =Divers-Pangolins et Licornes= parce qu'à force de recycler en ratatouille, son vomi et son caca, au bout d'un certain nombre d'itérations, ça n'est plus trop nourrissant et ça devient fade et sans goût par ailleurs. Tiens je vais mettre la photo d'un sanibroyeur avec des algorithmes prédictifs en illustration. -
La Vengeance de Katia ………… Troisième partie.
par
HaiKulysse
Percé jusques au fond du cœur d'un triptyque drogué D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle, Misérable Jumbo vengeur d'une juste querelle, Et malheureux objet d'une injuste rigueur dans son slip, Je demeure immobile face à Katia sur OS X, et mon âme abattue face au film de HPG, son vit, son œuvre, tout ça, Cède au coup qui me tue par anévrisme ou serait ce ce laps de temps d'ennui entre deux battements de la trotteuse des secondes ? Si près de voir mon feu récompensé au cinéma porno du coin, Ô Dieu, l'étrange peine et ce petit chapiteau sous mon drap pour accueillir toute la troupe Zavatta ! En cet affront mon père est l'offensé, et Achille l'arme au point sur le point de clamser Et l'offenseur le père de Chimène, bas, dit : "Que je sens de rudes combats , tourments sur mes glaouis. Contre mon propre honneur mon amour s'intéresse : Il faut venger un père, et perdre une maitresse, Angela et Katia, la raison de jadis et la botte de radis. L'un m'anime le cœur, l'autre retient mon bras, branlebas le combat, banlebarbapapa . Réduit au triste choix ou de trahir ma flamme, Ou de vire en infâme, Imax, Cinerama. Il est donc conseillé de vider intégralement son armoire à pharmacie avant d'entamer ce texte. -
La Conversation
par
HaiKulysse
HaiKulysse replonge dans les psychotropes durs et nous pond cette nouvelle qui fait suite à La Vengeance de Katia, série de nouvelles délirantes sur le thème de l'isolement interstellaire... Et c'est soudain un nouveau texte qui émerge dans la catégorie Divers, Pangolins et licornes. J'avoue ne pas disposer de suffisamment de connexions entre mes neurones pour avoir une vue globale de l'histoire, probablement faudrait-il brancher plusieurs boites crâniennes en dérivation pour faire de toute cette poésie aléatoire quelque chose de l'ordre du raisonnable. Ce texte manque cruellement d'arc-en-ciels cependant. -
Le Sans-Code
par
pascal dandois
"Oh! oh! oh! Si ce n’est pas ce gros sac tout poicreux de Billy Boy empoisonné ? Que racontes-tu, grosse outre pleine de mauvaises huiles à mauvaises frites, graillon puant ? Viens t’en prendre un dans les camouilles, s’il te reste des camouilles, frise d’eunuque en gélatine ! Il y avait moi, c’est à dire Alex et mes trois droogies, c’est à dire Pete, Georgie et Dim. Nous étions installés au Korova Milk Bar à nous creuser le rassoudok pour savoir où passer la soirée. Au Korova on sert du Lait plus, lait plus velocet ou Synthemesc ou Drinkrom. Nous, on en était au Drinkrom, ça vous affute l’esprit et sa vous met en train pour une bonne petite fête d’ultra violence. C’est du coté de l’ancien casino en ruines qu’on est tombés sur Billy Boy et ses quatre droogs. Il se mettaient en train pour s’offrir une séance de ça-va-ça-vient avec une pauvre petite devotchka fraîche levée." Pascal Dandois repart donc dans ses calembours cryptés. ça me rappelle donc le travail sur le langage fait par le traducteur en français du film "Orange Mécanique", j'ai entravé un peu que dalle, quelque part entre la langue de fe, le javanais et un patois moldave issu d'un village isolé peuplé exclusivement de becs de lièvre. Si ça se trouve Pascal Dandois communique avec Daesh dans un langage codé en utilisant la Zone comme la ficelle entre leurs pots de yaourt. -
13 février 2016
par
Collaro
La Zone sombre totalement dans l'excès de publications de type "Divers - Pangolins et licornes" Ici un nouvel auteur ( peut-être ? ) se lance dans la liste de course litt. Petite, brève, mais ça reste de la grosse commission. La Zone est certes troll-friendly et vous le savez tous, le seul moyen d'éviter qu'ils ne passent en surnombre, c'est de poster aussi de bons textes avant qu'on se transforme en sous-4chan au rabais. bien sûr le titre du texte fait référence aux attaques terroristes du vendredi 13 novembre à Paris. L'auteur est probablement le même qui à lâché le hashtag #JeSuiLaZone pour dénoncer la troll. litt. prépondérante et nous faire part de toutes ses condoléances vu ce que le site est en train de devenir. Mais quand on crie "don't feed the troll" on n'inscrit pas autant de bouffe dans sa liste de courses. -
COMPENSATION
par
pascal dandois
Petite polémique naissante sur la Zone sur ce qu'est la poésie, la manière de la ressentir et les règles qui la définissent en particulier autour du sonnet. Initialement proposé dans le cadre de La Revue Qui Te Parle sur la thématique "Faire abstraction du monde ", étrangement ce texte de Pascal Dandois vient au bon moment pour alimenter ce débat. Personnellement je trouve ce texte très poétique, bien plus que je ne trouve les sonnets poétiques en général. C'est du propre aveu de Pascal Dandois, un texte philosophique utilisant une technique d'escroc essentiellement basée sur le mélange gloubiboulguesque de termes détournés de leur sens originel et d'une grande dose d'écriture automatique. Les ruptures narratives sont particulièrement jouissives. -
VISION INTERNE
par
pascal dandois
Pascal Dandois nous propose un nouveau texte basé sur la méthode du cut up de William Burroughs, la divination et l'écriture automatique. Il semble à bien des égards être lié à son précédent texte COMPENSATION et encore plus mystérieusement au texte d'HaiKulysse "Charles Pasqua, es-tu là ?" En effet, ces deux auteurs ont des styles assez similaires et s'adonnent à des collages stylistiques qui à la lecture semblent oppressants, non pas tant par leur coté transgressif (certes présent mais plutôt bien senti) mais par l'ambiance glauque qui en résulte. Comme dit précédemment, l'angoisse induite par ces textes dépend entièrement du lecteur et de son état d'esprit. Personnellement je trouve ça très inspirant même si je ne m'adonnerai jamais à la chose. J'ai l'impression d'observer une nébuleuse au télescope suite à la collision de multiples galaxies n'ayant rien en commun. Une émulsion donc en résulte, une pouponnière pour de nouveaux univers-îles oniriques. -
_____La légende de l'escargot_____
par
Curare-
/!\ Attention. Voici un texte de Curare- /!\ Grosse polémique en vue donc et probablement d'interminables échanges et clashs dans les commentaires sous le sonnet. De la sueur, du sang et d'autres sécrétions que la morale réprouve et m'invite à occulter, seront déversés sur le ring. Et il y a matière, l'auteur annonce la couleur : "Ce texte n'a eu aucun succès sur un forum de poème - je poème pour ne pas le citer- C'est nul à chier - si c'est bon pour la Zone - " Poum, DNC, la Zone serait la déchèterie de JePoème. Puis elle enquille. D'entrée de jeu, une citation de Cioran, comme ça sans prévenir. Âmes sensibles s'abstenir. Dépressifs, éloignez-vous des armes létales à votre portée. Rappelons que l’œuvre de Cioran, ironique et apocalyptique, est marquée du sceau du pessimisme, du scepticisme et de la désillusion. Curare- réaffirme donc sa profonde émogothitude assumée et s'adonne à l'écorecyclage en ces lieux. De manière incompréhensible après cette mise en matière, Curare- nous narre une fable triangulable quelque part entre Esope, De La Fontaine et Henri Dès. Et là c'est le choc : le texte malgré tous les indices semés par l'auteur et les effets d'annonce est de bonne facture. J'ai retrouvé mon âme d'enfant, ce petit gars au fond de la classe qui entravait que dalle. On sent que les troubles obsessionnels compulsifs entrainant un usage aléatoire de la ponctuation et d'autres caractères ASCII atypiques s'est estompé. La fable est cohérente, elle comporte même une morale et on rêverait que Bernard Minet la mette en musique et l'interprète en générique avant les allocutions télévisées présidentielles. On finit par apprendre que le sonnet fait partie d'un recueil sobrement intitulé "On écrit pour quelqu'un" On se demande alors pourquoi Curare- n'adresse pas ses cartes postales par colis piégé recommandé avec accusé de réception et préfère plutôt lancer des bouteilles à la mer sur JePoème ou La Zone. J'en ai fini, vous pouvez vous écharper. Round one. Fight ! -
Nuit Debout
par
HaiKulysse
HaiKulysse est l'envoyé spécial zonard sur la place de la République à Paris, il est ainsi à la Zone ce que Rémy Buisine est à Périscope, impartial contempteur de la convergence des luttes dans le vortex de l'inanité contemporaine. Attendons-nous à ce que nos serveurs plantent avant les 80.000 vues simultanées. D'ailleurs, c'est une bonne idée, ça, de planter. Plantons, donc. -
EXO-TRIP
par
pascal dandois
Ce qui est fascinant avec la plupart des écrits de Pascal Dandois (lorsqu'il n'abuse pas des jeux de mots et calembours) c'est cette facilité déconcertante qu'il a, en quelques lignes, à créer un micro univers parallèle tout à fait stable et autosuffisant, sans nul besoin d'avoir à ajouter de nouvelles lois, de nouvelles règles pour éviter qu'il ne s'effondre sur lui même par manque de cohérence. Comme quoi, il faudrait se pencher sur l'existence de tiny bangs au CERN. Je propose que Pascal Dandois soit enfermé dans ATLAS et fasse l'objet de multiples expériences de bombardements de particules dans son cerveau pour vérifier cette théorie. -
Guapa te quiero !
par
HaiKulysse
Le flood storytellique aléatoire de HaiKulysse passe au stade "attaque chimique Bashar Al Assad like". martin et lui, semblent se donner le change pour nous pondre une histoire onirique à dormir debout. Ne voulant pas offenser la puissance créative du binôme, j'ai laissé les fautes d'inattention qui je le pense sont liées au foutage de gueule total d'un texte pondu en 2 minutes chrono sur le coin d'une nappe mais peut être que non, peut être que ça s'inscrit dans un truc intentionnel super puissant et génial alors je ne préfère pas y toucher et livrer le texte tel qu'il a été posté. -
Les marcheurs blancs de Game of Throne ( Palimpseste quasi plagiaire du texte de nihil )
par
Lapinchien
Dans la grande tradition Zonarde, Lapinchien remixe un superbe texte de nihil : les marcheurs. En réalité, c'est plus une sorte de collage entre le texte original et des citations et bouts de discours d'Emmanuel Macron. étonnantes prédictions de nihil sur le programme du mouvement politique "En Marche !" dans son texte écrit il y a plus de douze ans. Au passage petite allusion aux marcheurs blancs du Trône de fer, série que je ne connais pas du tout. et si le plagiat de Lapinchien est taquin, celui de George R. R. Martin fout carrément les boules même si c'est probablement une coïncidence. -
A une escort girl #TrollCon2016
par
HaiKulysse
HaiKulysse se synchronise avec Clacker pour coordonner ses frappes Burroughsiennes et onirico trollesques. Ici, un non-poème en prose octo-duodéno-syllabiques dédicacé à tous les zonards. Notre Grand Inquisiteur de l'Ordre de la Saint Con est attaqué à la jugulaire. Quelque part entre une chanson de Michel Onfray, une chanson de Michel Houellebecq et une chanson de Henri Dès. Aux armes citoyens, koi. Vivement une réplique massive avec vos contributions. -
Abattre un poète est un acte conformiste #TrollCon2016
par
HaiKulysse
La grande foire internationale improvisée de la troll littérature se poursuit sur la Zone avec ce nouveau texte d'HaiKulysse. J'imagine que la #TrollCon2016 se poursuivra tant que vous n'enverrez pas de textes dans l'esprit historique du site soit sombre (mais par crétin), violent, voire absurde mais toujours cicatrisant au niveau des lésions cérébrales, ce qui n'est pas le cas ici. /!\ Attention aux AVC, les amis, donc. /!\ HaiKulysse lors de cette attaque par déni de service de la Zone du 31/07/16 avec Clacker et Pascal Dandois #CutUpBurroughsTeam #TrollTeam "Remember, remember the thirty first of july, the troll litt. treason and plot, koi." nous ressort un vieux personnage qu'il avait déjà serialkillé dans d'autres aventures à épisodes dans le coin mais on doit probablement être dans un multivers et du coup il suffit d'un vortex pour que tout ce qui semble illogique retrouve de la consistance. Pour cette première journée de la #TrollCon2016, je n'aurai donc tiré qu'un seul enseignement : ce genre de littérature est l'exact contraire de l'homéopathie. On a beau la diluer à l'infini, au final elle reste toujours aussi peu active et de toute évidence je m'aperçois que j'aurais mieux fait de faire un parallèle avec la boisson lyophilisée en poudre Tang plutôt qu'avec l'Homéopathie mais voilà qu'il me semble déjà arriver au terme des 256 caractères de descriptif de texte que Dourak Smerdiakov m'interdit de dépasser à présent. La Zone va-t-elle devenir Twitter ? Une question parmi d'autres, tant l'univers semble infini et l'avenir insondable, CMBDTC. -
Munchkin Maldonne #TrollCon2016
par
HaiKulysse
La Zone n'était plus qu'un champ de ruines. Des décombres de mots aléatoires résultant de son implosion jonchaient le flan de montagne où autrefois avait été érigée la Grande Bibliothèque des Siècles des Siècles. La #TrollCon2016 avait été proclamée par Lapinchien comme une sorte d'Etat d'Urgence à la mode turque d'Erdogan. Cela ne démotivait en rien HaiKulysse, Pascal Dandois et Clacker, ils erraient dans les gravats et, au contraire, très enthousiastes, arrachaient des bouts de pages de tous les livres en lambeaux et trouvaient une satisfaction littéraire à les coller les uns à la suite des autres. Ils ne le savaient pas encore mais le virus mangeait leur cervelles et ils n'allaient pas tarder à muter en odieux ZombOuLiPistes qui engloutiraient tous les zonards historiques en stase dans leurs caissons de cryogénisation. C'était bel et bien la fin des haricots, comme une grande canicule ayant décimé l'esprit initial de la Zone. Nos cerveaux fondaient et coulaient par nos trous de nez. -
*** ^-^ ***
par
Hynups
Ce texte de pseudo adolescente poète maudite gothique suicidaire est plus proche d'une note du journal de Bridget Jones en 5eme que des excellentissimes interventions de 222 postées sur ce site il y a trop longtemps déjà et dont je recommande chaudement la lecture alternative. -
Abécédaire Zonard
par
HaiKulysse
Vous connaissez sans nul doute le jeu du baccalauréat consistant à choisir quelques crétins, quelques thèmes, tirer une lettre au sort et demander aux crétins de trouver un mot commençant par la lettre en question pour chaque thème, le gagnant du tour étant le premier à trouver un mot pour tous les thèmes. Bien sûr il y a des subtilités. Par exemple on peu privilégier l'originalité lors du décompte en n'accordant pas de points aux mots que les crétins ont été plusieurs à plébisciter. HaiKulysse nous invite donc à jouer au baccalauréat, un jeu initiatique pour mettre un premier pas, si c'est le droit ça porte bonheur il parait, dans le monde de la confusion mentale littéraire : L'OuLiPisme . Un texte à lire avec des Crayola à portée de main. -
Subjectivité
par
Sunya
Nouvel Auteur, Sunya dont le narrateur semble s'éveiller à la compréhension de ce monde, probablement après avoir suivi son premier cour de philosophie en première avant d'envisager d'essayer diverses drogues pour mieux appréhender l'univers dont l'essence nous échappe. Ce pourrait être aussi un extrait d'un échange épistolaire entre Jean Claude Vandamme et Bernard Werber. Ce dernier à l’assertion déguisée en questionnement de JCVD, que constitue ce texte, rétorquerait son habituel : Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que vous croyez en comprendre, ce que vous voulez comprendre, et ce que vous comprenez, il y a au moins neuf possibilités de ne pas se comprendre. JCVD prenant cela pour invitation à fermer sa gueule lui décocherait alors une grosse patate dans sa tronche parce que le langage des signes ne souffre d'aucune équivoque, pas l'ombre d'un doute, ou de quiproquo. D'ailleurs on parle de malentendu et jamais de malmandale, de malcoupdepiedauxcouilles, de tarte qu'on aurait pu confondre avec une caresse. Quoi qu'il en soit, GOTO Divers, Pangolins et licornes. -
J'accuse
par
HaiKulysse
La technique du cut up poétique d'HaiKulysse enfin révélée dans l'image d'illustration. Ici, la production sans anesthésie locale ou générale d'un texte lors d'une opération chirurgicale du cortex préfrontal du dit auteur. On introduit le pyrograveur et la pelle à tarte par l'encoche obtenue suite à la rupture de l'arrière du crâne suivant la méthode du décalottage d'un oeuf dur à la petite cuillère. Pendant l'opération, HaiKulysse reste bien sûr éveillé et conserve son libre arbitre et tout son potentiel de discernement comme le prouvent les lignes qui suivent car comme nous le voyons sur la photo HaiKulysse dispose d'un ordinateur portable sur lequel il écrit tout ce qui lui traverse l'esprit (certes il ne parle pas du pyrograveur, pas plus que de la pelle à tarte, je vous le concède) La vieille technique du texte écrit sur une feuille que l'on découpe puis que l'on mélange avant de recoller des morceaux aléatoirement est complètement dépassée. Ici le neurochirurgien créé des liaisons dendritiques et synaptiques à la volée pour optimiser en temps réel la qualité poétique de l'oeuvre grâce au feedback des gens qui matent le happening sur Périscope. -
Propositions
par
Jacques Cauda
Jacques Cauda poste une seconde contribution sur la Zone accompagnée de "milles bises" en message complémentaire. C'est de la pure provocation. Probablement teste-t-il le site ? Les admins ? Le lectorat ? Quoi qu'il en soit, que Jacques Cauda assume intégralement les propos qu'il fait tenir à ses personnages, à son narrateur, ou peut être même qu'il cautionne lui-même. On n'en sait rien. Bien entendu, ici personne ne donne la moindre crédibilité à de telles conneries. Alors pourquoi le publier me direz-vous ? Et bien, le texte est dans la ligne éditoriale, certes, puisque tout à la fois sombre, violent et absurde. Par ailleurs, le texte n'est pas fasciste, n'est pas raciste. Il est néanmoins ultra misogyne. On pourrait imaginer que l'auteur fait parler Soral ou Zemmour, pourquoi pas ? On n'en sait rien. Il n'y a pas le moindre indice. Pas le moindre contexte. Nos règles d'édition ont donc été hackées. La contribution passe tous les benchmarks, tous les tests, répond à toutes les conditions. Voilà pourquoi le texte est publié. Faudra-t-il songer à durcir la ligne éditoriale dans le futur ? Je ne pense pas. En réalité, les admins ont un droit de veto inconditionnel aussi j'aurais très bien pu refuser le texte. à nouveau, vous me demandez pourquoi donc le publier ? Et bien tout simplement pour en dire tout le mal que j'en pense en attendant que l'auteur vienne s'en expliquer. Déjà, ça se veut probablement être un texte conceptuel bien senti, un truc expérimental original, un coup d'éclat, mais en réalité, c'est un Nième délire d'OuLiPiste inconséquent et mille fois vu ailleurs voire un pur délire trollesque. Une liste de mots, ça n'a jamais fait un texte. Pitié, qu'on ne me dise pas que c'est poétique, que ça me dépasse. C'est un truc nul d'un point de vue littéraire et l'autre raison pour laquelle je le publie est l'unique raison pour laquelle il a été écrit : générer de l'émulation, provoquer de l'indignation, des commentaires à la chaîne. Peut-être que pour vous autres, lecteurs, la meilleure des réponses à toutes ces manigances serait purement et simplement l'indifférence ? -
T'as craqué ton crack non mais allo quoi
par
HaiKulysse
La crack music avait son roi Heenok. Voici qu'HaiKulysse chasse sur ses terres et lance un nouveau mouvement la crack littérature. Trip artistique d'automutilation assumée dans ce premier texte, gageons que s'il continue dans cette voie, le concept dont il deviendra addict aura raison de ses neurones à court terme. Il semble que ce soit complètement inconséquent sur les cerveaux du lectorat. HaiKulysse recentre son cœur de métier sur la saine activité de dealer complètement raccord avec le monde ultralibéral dans lequel nous allons entrer de plein pied dans quelques mois. Je suis cependant le premier cobaye aussi je ne peux vous assurer la parfaite innocuité de ce produit de synthèse et AGAWAgga buga warff warrfff. -
L'Etranger
par
AntonellaPorcelluzzi
Voici l'histoire d'un veuf octogénaire qui, grâce à des ballons gonflés à l'hélium, envole sa maison vers l'Amérique du Sud accompagné d'un petit nanfant pour accomplir une promesse qu'il avait faite à sa femme décédée. Ah non merde, ça c'est le synopsis de Là-Haut. En tout cas, cette nouvelle m'a fait le même effet, une description de paysage assez flippante, des tons pastels et chaleureux comme dans un fucking disney qui fout grave les jetons ! La fin m'a laissé un peu sur ma faim. Je m'attendais à du sang sur les murs, des monstres mangeurs d'enfants ou un vieillard extra-terrestre en mode MenInBlack qui danserait en string sur la table mais nope. Donc j'attends vos réactions (et oui je racole pour que vous commentiez). Quelques maladresses sont à souligner mais l'auteur est italienne donc bon, allez, on est sympa avec les rois de la pizza (hum hum...). -
Pierre
par
Khalid EL Morabethi
Premièrement il faut bien préciser que ce texte, même si on y parle beaucoup de ventre, n'a rien à voir avec le bouquin de nihil éponyme. Il ne me semble pas que nihil écrive du slam même si des légendes urbaines rapportent qu'il lui arrive de smurfer sur la tête. Il serait par ailleurs tripode comme Grand Corps Malade cependant sa troisième jambe ne serait pas une cane artificielle mais bien un appendice organique rétractable, autonome et symbiotique, mais je m'égare... L'auteur de ce texte n'est pas nihil mais bien Khalid EL Morabethi. Je vais à présent placer ma petite vanne pourrie sur les textes qui parlent de ventre et qui ne manquent jamais de faire un bide. Voilà. Comme ça c'est fait. D'ailleurs, il y aurait plus de commentaires sur le site, si on partait du principe que l'auteur doit à chaque fois prouver son honnêteté intellectuelle. En effet, je ne doute pas une seconde que Khalid EL Morabethi soit ici sincère dans son approche littéraire mais on ne sait jamais, peut-être qu'il se fout vraiment de la gueule du monde et que mon analyse est insultante, ce qui serait regrettable. Je ne cherche à m'embrouiller avec personne. Autre chose : il est fait allusion dans le texte à une entité mythologique, le Dibbouk, une sorte d'esprit malin, qui peut être emprisonné dans un armoire, ou un placard, mais si le meuble est ouvert, le propriétaire aura des ennuis de santé, ou de la malchance, jusqu'à ce qu'il cède l'objet à une autre personne, pour retrouver une vie normale. Peut-être que le Dibbouk peut aussi se refiler sous forme de MST des yeux si on l'insère dans un texte ? Peut être que cette contribution n'est pas du slam mais une malédiction ? Alors, n'hésitez pas à prendre vos précautions. Après l'avoir lu, faites le lire à quelqu'un d'autre, on ne sait jamais. -
Speed, sperme et espuma
par
Méthylène
Grâce à ce titre bien racoleur, Méthylène cherche à provoquer le *clic* pour qu'on puisse lire sa "merveille". Après avoir bien rigolé, je me suis posée la question suivante : "l'auteur voulait-il nous faire rire ? ou était-il sérieux ?" Parce que là, on est quand même dans le top de la bouse si l'auteur se voulait premier degré. Quoi qu'il en soit, pas grand chose à en tirer si ce n'est que je me suis un peu perdue au fil de la lecture, trop de "spleen", "splittant", "spumeux"...On retiendra quand même l'espuma au sperme, une idée brillante pour innover à top chef. -
Neymar
par
Zbooba
Zbooba fait enfin entrer la Zone dans le Rapgame 2.0. Punchlines en bois, rimes en carton, racaille à lunettes, pianiste sur toboggan. Il nique des mères en tournante dans toute la France. Bientôt dans ta cave et dans ta meuf. Voilà un zonard qui n'a pas la langue dans son cul. Remarque : ce texte manque cruellement de wesh-wesh. -
#Covfefe
par
Zbooba
Grand retour tant inattendu, si peu espéré même en fait, de Zbooba, rappeur de la Zone périurbaine. Après le transfert hypermédiatique de Neymar au PSG, le voila qui s'intéresse au conflit diplomatico-médiatique entre les USA et la Corée du Nord, ou plutôt au concours de quéquettes entre leurs psychopathes de présidents respectifs. Victimes collatérales : Alain Souchon et Laurent Voulzy. Indubitablement un friendly fire lié à cette avalanche aveugle de scuds, promesse de feu et de fureur dans les lyrics. -
#Billie
par
Zbooba
Zbooba est le chansonnier post-moderne de la Zone. Il nous revient pour une nouvelle contribution au thème #PangolinsEtLicornes avec cette étrange reprise "pâte à modeler" de la chanson Lily de Pierre Perret, mais peut-être s'agit-il d'un test de molécule des laboratoires Lilly en réalité tant le texte est hétérogène. Un vibrant hommage à l'actualité chaude bouillante des Etats Unis d'Amérique. On a l'impression à la lecture et lorsqu'on cherche à rapper ou à "on ne sait pas trop quoi bien faire dans nos têtes" qu'on joue à feu le jeu de la Maxi-Tête de feu Canal+. Aujourd'hui il fallait découvrir aux lyrics, Booba, Pierre Perret, Renaud et Michel Sardou (à moins qu'il ne s'agisse de Daniel Balavoine ou plus probablement Gilles Dor) Le mois "confusion mentale en vrac" se poursuit donc en mode destockage total, tout doit disparaître. -
Le chaud le bain le mince
par
Twadi
Règle numéro 45 sur la Zone : il est interdit de refuser un texte contenant le mot ouaouaron et antérieur à la divulgation au public de la règle numéro 45. Bravo Twadi, vous avez battu le système. Bon, c'est une criss de bluette en québécois pleine de fucking anglicismes, mais ça devient lisible et presque agréablement exotique par moments après le choc initial du premier paragraphe. Le mot ouaouaron est d'origine wendat, et les mâles sont agressifs et territoriaux, surtout pendant la période de reproduction, précise wikipedia. -
la sexualité des femmes n'est pas digne d'innovation
par
Allezonyva
On dirait un film érotique en crypté, version originale mongole sous-titrée en ouzbek. La ponctuation c'est pas pour les pingouins. GOTO Pangolins et Licornes. Merci Jacquie la polio et Michel le ragondin trisomique. En bonus DVD il y avait les scènes coupées au montage https://bonus.usbeketrica.com/article/the-femtech-market-to-reach-50-billion-dollars-by-2050 Je regrette déjà d'avoir filé 18€ pour que la Zone survive. -
Tinch
par
Twadi
Dans la série auteurs à fort potentiel de confusion mentale, on poursuit sur notre lancée avec ce texte de Twadi qui nous raconte l'évolution chez le narrateur d'un très gros cancer du cerveau.