Thèmes
- Vie quotidienne :
- La vie quotidienne est le ferment des plus belles conenries qu'on puisse imaginer
Textes :
-
Le fléau !
par
Scorbut
Le Scorbut annonce publiquement la mort potentiellement probable de sa voisine du dessus. -
Le Scorbut à la neige
par
Scorbut
Le Scorbut fait ici l’apologie des beaux surfeurs décolorés qui hantent les pistes enneigées. -
Histoire vécue
par
Cepu
Une histoire vraie, avec Cepu comme héroïne. Style très particulier et reconnaissable entre mille, structure du récit complètement incompréhensible, abréviations et comparaisons absurdes sont à l'appel. A crever de rire. -
Mon premier rêve
par
Krista
C'est la mode : pour leur premier article, les nouveaux auteurs décident de nous raconter leur vie. Un épisode particulier ici : sexe, drogue et techno à fond dans ta gueule. Rejouissant. -
Routine 1
par
nihil
Première partie d'un article écrit pour le site de Djinny, la Bottle, ça raconte une journée-type de nihil et sa routine pesante. Commence de manière plutôt soft, à l'image du site auxquel il est destiné, mais dérive peu à peu vers un style plus brutal et plus disjoncté plus naturel à nihil. -
Routine 2
par
nihil
Suite de l'article <a href='http://zone.apinc.org/article.php?id=224' target='_blank'>Routine 1</a> , on s'enfonce ici dans le chaos. Du style disjoncté et marrant qui achevait la première partie de l'article, on termine sur une note plus sombre et carrément plus drôle du tout, qui laisse à penser que l'auteur est bel et bien une saloperie de cyclothymique qui change d'humeur toutes les dix minutes. A lire quand même pour l'absurdité et le fun du début. -
De candidius
par
Lapinchien
Probablement contaminé par les québecoises, Lapinchien décide lui aussi de nous raconter sa vie. Un récit étrange, empli d'alcool, de jmenfoutisme et d'anxyolitiques, ou l'histoire d'un jeune paumé qui sait plus quoi faire de sa peau en vadrouille aux Etats-Unis. -
Hmf
par
Fresbee
Fresbee est en passe d'imposer son style sur la Zone, ou plutôt son non-style : articles ultra-courts, balancés à la va-vite et taillés en quelques mots. Celui-ci nous laisse une impression désagréable sur l'été et les vacances à la plage. -
La 7e compagnie
par
Gwen
Est-ce le manque d'inspiration ? Tout le monde nous raconte sa vie sur la Zone : ici, Gwen, Amanite et Noursi au festival des Vieilles Charrues. Gwen en profite à son habitude pour pousser une gueulante contre tout et tout le monde. -
Où et comment ma belle-soeur est devenue une limace mutante
par
Amanite
Encore un excellent article d'Amanite, qui décidemment les accumule. Léger, drôle et authentiquement débile (pour une fois). Un article qui va vous faire baver de... baver tout court. -
Instants de vie
par
Aka
Aka n'a rien à dire donc elle en fait un article. Un texte qui aurait bien pris place dans les chroniques de l'ennui si celles-ci n'avaient été chasse gardée de Djinny... -
Non la fatalité n'est pas une fatalité
par
Petitclaxon
On a décroché une vraie tanche en la personne de Petitclaxon, preuve en est cet article au titre excellent, mais au contenu autobiographique incompréhensible, bourré d'abréviations et de phrases à la con : youpiii ! -
Help je vais craquer
par
Petitclaxon
L'invasion des nouveaux continue avec ce texte de Petitclaxon qui nous conte sa vie dans son style très particulier et si personnel. Visiblement l'amie Petitclaxon doit être un peu planche à pain pour en vouloir autant à tout ce quyi porte des gros seins. Un article très djinnien, incohérence et débilité en plus. -
Tranche de vie
par
Radikal
Petit portrait des actions d'un guerrillero de l'industrie de services... Ou comment profiter un max de toutes les petites combines quotidiennes possibles dans le monde du travail... -
Conseils pratiques pour rester célibataire
par
Arkanya
Voilà le premier texte que m'avait envoyé Arkanya il y a quelque temps, qui n'est surement pas du niveau du mini-article le déclencheur (pas le même style déjà), mais j'ai cru comprendre que c'était un 'texte de jeunesse' légèrement remanié pour l'occasion. C'est marrant et pas prise de tête, donc ça le fait. -
Au tour de mes voisins
par
Petitclaxon
Petitclaxon affirme de plus en plus son identité avec ce texte, violent, vulgaire, plein de fautes d'orthographe et de français et de références à des trucs dont tout le monde se fout (genre des conversations du forum). Texte à ne pas lire absolumment. -
Fait divers
par
Daria
On entre dans le sordide quotidien et le crasseux ordinaire avec ce petit récit assez débectant et bien foutu. -
Joyeux anniversaire Mémé
par
Tulia
Tulia fait l'éloge de la famille et du respect de nos ancêtres, de la tradition, et des petits moments de bonheur passés avec nos aînés. Marrant. -
Cloisons poreuses
par
Kirunaa
Un texte vie quotidienne, du Djinny tendance rentre-dedans, bien marrant. -
Un week-end
par
Cepu
C'est débile, c'est incompréhensible, bourré d'abréviations, de smileys et de fautes, et en plus Cep avoue ici être une jeune personne sage et courtoise dans la vie réelle, mais y a rien à faire : à partir du moment où tu comprends un minimum le cépunien, tu peux pas t'empêcher d'être éclaté de rire. Cep est vraiment meilleure quand elle raconte sa vie -
Introspection
par
Tulia
Un texte d'un rare intérêt, plein de références bibliographiques, un style recherché et dense, une réflexion profonde, une analyse fine et passionnante, du grand Tulia. Nan j'déconne, elle raconte sa vie c'est nul. -
Miaou
par
Cepu
Bon bah rien à faire, ça a beau être naze, ça me fait toujours marrer, Cep est vraiment bonne que quand elle raconte sa vie dont tout le monde se fout. C'est dans le genre de son tout premier article. -
Chronique d'une fin de semaine
par
Herpès
Un bout de récit de vie quotidienne cauchemardesque ça détend. Surtout quand c'est celle des autres. On dirait du Djinny en enfer, c'est à chier mais on s'en fout. -
Coutumes étrangères - l'Allemagne
par
Kirunaa
Un texte de vie quotidienne à la Djinny... Ca concerne les allemands et leur façon de se donner bonne conscience en se prétendant écolos. Un peu léger comme texte, mais bon, du moment qu'on peut se foutre de la gueule de quelqu'un, hein... -
Il n'y en a pas
par
Pourridelamoëlle
Après un faux départ, voici le premier texte de Pourridelamoëlle. J'ai un peu du dégangrener le texte de quelques fautes pour le rendre un peu lisible, en tentant toutefois de ne pas dénaturer le coté très euh... spontané du style. Le truc bizarre, c'est que ce texte incroyablement stupide m'a fait marrer. Faut que j'aille me faire soigner. -
La journée de merde
par
Le Duc
Le premier 'vrai' texte du Duc est étonnement soigné, pas trop de fautes (moins d'une par ligne en moyenne), compréhensible, bref, ça sent le gros effort. C'est de la tranche de vie déconnante à propos d'une loque défoncée 24/24, comme il fallait s'y attendre, et il faut bien l'avouer à notre grand désespoir : beaucoup de zonards ont déjà écrit des trucs bien plus pourris dans leur carrière sur ce site à la con. -
Moi et les bus ...
par
Nobodiz
Le racontage de life, c'est assez systématique pour les premiers textes. Nobodiz fait dans le grincement de dents, il s'énerve tout seul et ça part dans la confusion mentale complète. C'est un texte de commande, écrit en un rien de temps, c'est assez con et assez naze, mais ça passe le temps. -
Une vie pourtant bien rangée
par
Vrine
Ca commence par de l'insulte kilométrique, ce qui est toujours de bonne augure. On se cale bien profond dans son siège et là, c'est le drame : c'est de la merde. C'est l'histoire d'un couple qui s'engueule pour des histoires de vie quotidienne chiante, c'est écrit comme du mauvais théatre déclamé mais en version illétrée, on y croit pas une seule seconde. A lire en fermant les yeux. -
Lendemain de cuite
par
Kirunaa
Comment se fait-il que sur la Zone on ait jamais eu de texte sur la gueule de bois avant aujourd'hui ? C'est vrai quoi, la déchéance, le revers de la médaille, l'auto-destruction qui fait rigoler, c'est des créneaux zonards ça non ? Un texte qui rappelle de superbes souvenirs de haut-le-coeurs, de sifflements dans les oreilles et de points noirs devant les yeux. Totalement sans intérêt, et c'est ça qui est bon. -
Faîtes un voeu
par
Aka
Depuis qu'elle tient un blog, Aka s'imagine que sa vie intéresse les gens. Alors elle nous la raconte, avec force détails. Heureusement, c'est le versant le plus déjanté qui ressort ici, et le résultat est gentiment gore et allumé. Texte empli d'humour morbide et de bonne humeur déjantée. Bon esprit. -
Paris nous voila
par
Djinny
Djinny rentre à la maison. Comme elle ne peut pas assurer son blog assez régulièrement, elle revient pourrir la Zone avec sa life de merde. Ceux qui n'ont pas connu la Zone des premiers âges ou le site de Djinny risquent d'être un peu surpris par ce tas de private-jokes survoltées et ces péripéties profondément inintéressantes. Les autres ont l'habitude. -
Gala de promo
par
Kirunaa
C'est un vrai cauchemar ce texte, et qui nous rappelle de manière cinglante pourquoi on est misanthrope, antisocial et qu'on peut pas saquer nos semblables : parce qu'ils nous obligent à être aussi cons qu'eux. Texte très désagréable à lire. Et assez pourri au demeurant (si quelqu'un sait ce que signifie cette expression, je lui conseille de contacter l'académie française la plus proche). -
A la caisse du supermarché
par
Mandrago
Le thème : les abrutis qui défilent à la caisse des supermarchés. Forcément nous ça nous intéresse pas, les zonards ne font jamais de courses, ils mangent du chien errant. De la misanthropie. De l'humour gras. De la haine de nos contemporains. Des vannes sexuelles. De la vie quotidienne pesante. De la caricature. De la vulgarité. Avec tous ces bons ingrédients, Mandrago réussit un superbe foirage, et un texte mou et sans intérêt. Clap clap clap. -
La merveilleuse chronique intestinale de Narak
par
Narak
Narak a toujours un métro de retard et il nous apporte donc aujourd'hui sa contribution à la magnifique initiative 'mes plus belles galettes'. Dans la mode actuelle du 3615 ma vie, l'auteur nous raconte donc des vacances avec des potes, vacances agrémentées évidemment de séances dégueulies. C'est aussi chiant qu'une séance de diapo après le retour de voyage de mamie, mais l'aspect crade et débile a un côté amusant. -
Looser : La loose devant l’ordinateur
par
Nounourz
Après son retentissant succès 'le canapé', Nounourz relance sa série sur la loose avec 'l'ordinateur'. Un poil plus marrant que son illustre prédécesseur parce que ça invente une nouvelle raison sociale : la palourde qui passe non seulement son temps sur le net, mais qui le passe à rien y faire de particulier. -
Le ver ou la chenille
par
Glaüx-le-Chouette
Dans son style surlittéraire un poil prétentieux, Glaüx nous présente un portrait d'artiste soit-disant maudit qui se la pète grave. On passe des plombes sur le décor, le costume, les traits de caractère du héros. C'est très ennuyeux mais ça sent le sarcasme à plein nez, voire l'auto-dérision. Peu à peu ça tourne à la farce et la fin est assez amusante. Bref c'est plutôt pas mal, ça méritait juste d'être moins long. -
Robert
par
Lahyenne
Ce petit texte est amusant et pas prise de tête, c'est loin d'être un chef d'oeuvre ou une bête de concours (il a été présenté pour les JO de la Connerie 2005), mais il permet de passer cinq minutes détendantes. -
Putains de voleurs
par
Ek-ZutWar
Les fautes sapent rapidement la crédibilité de ce texte qui pourtant est assez sympathique. Une tranche de vie vitriolée à la sauce disjoncte / insultes tout ce qu'il y a de plus amusant. Complètement absurde, salace, teigneux. En fait ça fait presque trop, genre 'j'en rajoute un maximum histoire de flamber'. Fin en queue de poisson histoire de bien perplexifier le lecteur. -
Enfer-sur-Seine
par
nihil
Quand on a du temps à perdre et rien de spécialement intéressant à dire, on peut toujours raconter sa vie de merde. C'est donc le récit d'une journée infernale au plus haut point, avec tout ce que ça comporte de rage vaine et de situations loufoques. On peut donc considérer ça comme un texte comique (très 'zone old-school' dans son genre) même si ce jour-là moi je rigolais pas du tout. -
Symphonie vaginale en oui majeur
par
Obn
Cette petite tranche de vie anecdotique est assez amusante, mais y a vraiment pas de quoi en faire un fromage. C'est dans la 'lignée vie quotidienne de merde', ça sert à que dalle, mais bon. -
Modus copulandi
par
Obn
Obn nous avait posté une fournée de textes d'un coup et tout naturellement j'avais eu tendance à publier les meilleurs en premier. Ce qui nous laisse le fond du panier de crabes... Le ton est plaisant, mais ça reste une histoire de couple lambda qui a part quelques considérations misogynes amusantes n'a pas grand-chose à faire sur la Zone... -
Les voluptés du bain
par
Aesahaettr
Dans l'intro Aesatruc nous raconte la génèse de son article et c'est tellement pourri qu'on aborde le texte lui-même avec un bon feeling. Effectivement c'est convaincant : c'est l'une des pires bouses qui ait vu le jour sur la Zone et pourtant on est riches de ce coté-là. C'est ennuyeux, pénible, inutile au possible, ce qui pourrait être pardonné si les tentatives humoristiques n'étaient pas à ce point minables. -
Je suis pas pédé mais j'aime sucer
par
Don
Notre spécialiste de la quarantaine désabusée se décide dans ce texte à faire dans un registre plus léger, une tranche de vie. L'histoire d'un mec qui veut faire un tour dans un sauna malgré le fait qu'il ne soit pas particulièrement pédé. Du porno soft bien écrit, ça se lit tout seul, au début c'est plutôt drôle, après ça devient un peu anecdotique, hélas. -
C'est quand la prochaine nuit déjà ?
par
Obn
Après les quarante pages de son chef d'oeuvre, En route vers le clochard, Obn nous inflige les dix lignes de cette micro-bouse même pas zonarde. C'est sensé être vaguement amusant, mais ça n'a surtout aucun intérêt. Un peu inconstant le bonhomme. -
Une planète bleue de plein fouet
par
Obn
Dixit l'auteur : j'ai présenté cette nouvelle au concours qu'organisait le Crous à la rentrée 2005 pour fêter ses cinquante ans. Je ne retrouve pas l'intitulé exact, mais on devait dire ce qu'évoquait pour nous le Crou, le résultat de nos travaux artistiques devait servir à faire la promotion des Oeuvres Universitaires. Je n'ai malheureusement pas fait partie du tiers des nouvelles retenues lors de la première sélection. -
Enchaîné dans le Berry (1)
par
Winteria
Ce texte - pas mal écrit - dénigrant la campagne française, fit l'objet de débats acharnés et occasionna des nuits blanches au Praesidium suprême du comité de publication zonard. La pression populaire s'étant récemment accentuée dans des proportions dramatiques, nous sommes heureux de vous annoncer que le parti pro-bouseux vient de retirer son véto, dans un esprit d'union nationale. Vive la zone ! -
Une journée relativement agacante
par
Narvinou
Beau démarrage sur les chapeaux de roues pour cet extrait de vie quotidienne, mais rapidement ça sombre dans la confusion et les défauts de style prennent le pas. L'auteur sait pas où donner de la tête entre racontage de life, considérations philosophiques à deux balles et scènes pitoyablement gore. Plus le texte avance plus il est pourri, ça vaut à peine le clic pour ouvrir la page. -
Se faire baiser dans la vie (sous la douche)
par
Obn
Obn a beau être doué pour les tranches de vie, on se fait profondément chier à la lecture de sa petite visite du Brésil, ponctuée d'aventures sexuelles sans lendemain. Son style inimitable, qui nous avait permis d'encaisser des pavés sans broncher sauve un peu les meubles, mais tout juste. Même à ce niveau ça sent la petite forme et il ne reste que des péripéties sans intérêt et un ton traînant à assomer un mort. -
Enchaîné dans le Berry (2)
par
Winteria
Dans cette suite, notre citadin projeté de force en milieu campagnard voit ses certitudes démol:ies pierre à pierre. Le style est d'une lourdeur monumentale, avec des phrases kilométriques à tiroirs totalement toxiques qui tuent tout intérêt. Si on s'accroche quand même, on découvre une tranche de vie bien ficelée et pas ennuyeuse (alors qu'il ne se passe rien) mais totalement dénuée d'intérêt intrinsèque. -
Fou-rire
par
Slipman
Les transports en commun, c'est la version moderne de l'enfer, tout le monde sait ça. Ce texte est plein de micro-évenements amusants, plein de réflexions pas connes sur le suivisme des foules. Seulement, la saucene prend pas. Le style est trop amateur, le personnage trop peu distancié, et ce qui devait être un texte comique tourne rapidement à la leçon de morale bien-pensante et lourde au possible. Presque de la merde. -
Antoine
par
Ceacy
Déjà dès le début ça pue le mauvais humour absurde, le genre que je vais pas aimer quoi. Résultat j'aime pas, c'est pas absurde mais le résumé hâtif de cette vie est tout simplement dénué du moindre intérêt. Le style qui se veut fantaisiste est surtout foireux, et la morale est démago au possible. -
Appellation d'origine contrôlée
par
Sot-Viet
C'est pas pour être désagréable, mais c'est vraiment de la merde. Un torchon pondu avec un clavier sans accents, dopé à la confusion mentale et au racontage de life ni drôle ni édifiant. Ca tient vraiment pas debout et on se demande comment Sot-Viet a pu s'imaginer que ce genre de salades pourrait intéresser qui que ce soit. -
Puissance
par
Glandeur
Alors ça c'est de l'anecdotique dont on se passerait bien. Quelques lignes d'envolée sombrement lyriques et ridiculement grandiloquentes, avec une conclusion en forme de blague de Toto. Va falloir changer de fournisseur pour les nouveaux auteurs. -
Osmane
par
Titox
Pour son deuxième texte sur la Zone, Titox parle de kebab et, euh, c'est à peu près tout. C'est tellement anodin qu'on n'a rien à quoi se raccrocher, et surtout pas la psychologie Ikea du héros, montée à l'envers. Le style n'arrange rien, avec des phrases dont on ne sait pas trop si elles relèvent de l'abscons ou de la trisomie. Bon, si on aime le kebab... -
Mon voisin du dessus
par
M. Yo
Je ne déteste pas le racontage de life stupide quand c'est écrit par des gens qui ont un peu d'humour. Yo nous parle donc de son voisin, un homme intelligent et serviable, mais affligé d'une tare terrible : il est marié et père de famille. Malgré la bonne longueur du texte, c'est jamais chiant. C'est un peu genre du pop-rock littéraire : détendant, un peu con-con, léger et inutile. De la merde savoureuse, quoi. -
Trois jours
par
Sot-Viet
Comment foirer un suspense en une leçon magistrale. En gros il arrive quelque chose au narrateur, et nous pauvres lecteurs manipulés, ne savons pas quoi. Oh mon dieu, le suspense est insoutenable, on en a rien à braire tout ça. Le récit de cette ennuyeuse expérience est infiniment mal écrit, au point que ça finit par devenir amusant. On se marre même bien devant la deliquescence de cette piètre tentative. Minable. -
Dommage collatéral
par
Traffic
C'est probablement un extrait de blog, du racontage de life cent pour cent inintéressant, centré sur la rupture du narrateur avec sa copine. C'est plutôt long et il ne se passe rien. Oui mais voilà : c'est Traffic qui raconte, alors c'est tout à fait plaisant. Ca manque sûrement d'un peu de haine, d'un brin de violence verbale (voire physique), mais y a de l'humour, de l'amertume et on se fait pas chier. -
Pourquoi j’aurai préféré m’appeler John Taylor III
par
Traffic
Notre héros est bien décidé à se tirer une balle dans la gueule et fait son solde de tout compte avec la vie. Ce qui n'empêche bien entendu pas le texte d'être drôle, au contraire. Les digressions absurdes sur les américains, qui forment le gros du texte sont un peu inutiles par contre. C'est un peu du n'importe quoi dans un texte suicidaire (même comique), on s'en serait bien passé même si c'est pas super pesant. -
Chapter 5 et demi : où l'auteur rencontre les transhumanistes
par
Samforce
Comme si on avait pas déjà assez d'intellos sur ce site, Samforce vient en rajouter une couche, avec une tranche de vie à peu près dépourvue de sens, mais pleine de réflexions intelligentes, inutiles, déséspérantes et autres. Suffisamment de matière pour faire de ce grand puzzle de scènes sans rapport un texte lisible et pas ennuyeux. Mais ça ne répond pas à la grande question : 'à quoi ça nous mène, tout ça ?' -
And we'll never part
par
Glaüx-le-Chouette
Ca casse pas trois pattes à un canard obèse et c'est globalement mauvais, mais au moins ça se prend pas la tête, malgré une propension à la lourdeur du cul qui prend celle du lecteur. On s'en fout, tout le monde sait que c'est juste un texte pour sortir des inactifs, on peut conclure que Glaüx est un connard et baste. A lire pendant les pubs. -
Ce con de Maurice
par
Traffic
Ce texte ne parle hélas pas de M. Maurice, le célèbre incontinent qui fréquente la Zone de loin en loin, mais d'un autre Maurice moins âgé mais tout aussi con et alcoolique : l'oncle du narrateur. Ca pourrait faire penser à du Omega dans le genre scène de bistrot agrémentée de réflexions, mais le style de Traffic est plus amusant et lisible. Une histoire de virée alcoolisée très inutile, mais potable. -
Da Vinci mode (selection academy II)
par
Samforce
Un crew de branquignolles ultra-hype et mondains traîne les rues et disserte de choses et d'autres (parfois vaguement centrées sur le Da Vinci Code et son adaptation ciné). Le tout dégage une très puissante impression de non-sens et de superficialité, genre Bret Easton Ellis en version détendue du string Dolce & Gabana. C'est plutôt cool, marrant, mais carrément trop long pour les intoxiqués de la génération fast-food-net. -
Big brother
par
M. Yo
Un peu du mal à trouver sa place entre le sérieux et le déconnant. La tranche de vie d'un paumé qui vient de se faire larguer pour une connerie, par n'importe qui ce serait glauque et désespéré. Par Yo c'est plutôt loufoque, prétexte à gags et réflexions stupides diverses. Nous autres extrêmistes on aurait préféré du plus sombre, ou du plus disjoncté, mais au moins ça se laisse lire. -
Anecdote : la salope à la brioche
par
EvG
Ça commence par deux paragraphes auxquels j'ai peu ou prou rien entravé, avant de raconter une anecdote de boulangerie. Bien. C'est parsemé de trucs à peu près rigolos et zonards, mais globalement rien de follichon. Puisque c'est un premier texte, je vais être indulgent : c'est pourri. -
Le sens de l'humeur
par
Samforce
Je ne nierai pas que Samforce est drôle, qu'il a le sens de la situation incongrue et de l'absurde, qu'il déploie avec un exquis jmenfoutisme. C'est juste que c'est un putain d'intello, et ses vannes transhumaines et stochastiques (mots choisis aléatoirement dans le texte), faut se les enquiller. Ca ne rend pas son texte pourri, mais légèrement pénible. D'autant qu'il s'agit d'un genre de mosaïque de saynètes sans fil conducteur, sans chute, sans que dalle. -
Vacances en Vendée
par
Massime
Wow, jamais rien lu d'aussi mal écrit. Conjugaison arbitraire, contructions de phrases abracadabrantes, adjectifs aléatoires et clichés stupides à tous les étages, c'est une pure merveille. Dommage que l'histoire, qui forme la suite du texte 'Tobby' n'ait pas le moindre intérêt et s'achève en queue de poisson (en attendant un troisième épisode ?), parce qu'avec un style aussi pathétique, y avait moyen d'avoir un putain de chef d'oeuvre. -
Le vieux monsieur
par
Invisible
Les vieillards aigris font de bons personnages, j'avais déjà remarqué. Celui-ci détaille son décor de fin de vie à coups d'insultes et de mesquineries. En fait il rien d'autre, puisqu'il y a pas d'histoire. Rien de bien nouveau et peu de substance à se mettre sous la dent, mais j'ai pas trouvé de défaut majeur, ça s'ingère très bien à l'apéro. -
Henri
par
Bobby-Joe
Y en a qui aiment raconter les aventures extraordinaires de personnages hors-du-commun, Bobby-Joe semble se satisfaire des pauvres déambulations d'un rmiste alcoolo et dépressif. Le style est plutôt neutre, mais on sent le plaisir sadique de l'auteur à traîner son héros les confins d'une banlieue pourrave remplie de putes et de voyous à la petite semaine. Ca se lit bien, sans laisser d'impression particulière. -
Requin pour un con
par
Traffic
Il semble qu'après avoir reçu un très bon accueil pour ses premiers textes, Traffic ait décidé de nous refiler toutes ses merdes, ses tranches de vie inutiles, ses pauvres réflexions. Pour preuve, ce pauvre texte suscité par la vision d'une vidéo Grotube sur les requins mangeurs d'hommes. Heureusement, même la merde signée Traffic est hautement comestible, et on apprécie, mais ça sent quand même le fond du panier. -
Oser l'authentique
par
Traffic
Pour sauver leur couple, nos deux héros décident de cesser les non-dits et de jouer la carte de la sincérité totale. Grave erreur, comme chaque personne sensée le comprendra. Mais pour les voyeurs que nous sommes, franche rigolade. On est donc en plein 'un gars, une fille' version trash, et y a pas à chier, c'est drôle. -
Camille
par
Traffic
On dirait un peu ma vie, en moins glauque. Alcool, grosse conne et vie de merde. C'est pas désagréable, mais ça renouvelle pas vraiment le genre. Encore une fois donc, ça se vérifie : pas de canards --> pas d'originalité. Dommage. Faites un effort pour vos prochains récits, je vais pas me répéter 107 ans ! Heureusement que je sauve le tout avec les illustrations. -
Léonie ou le sens de la crête
par
Lembaumeur
Enfin un texte qui parle d'un canard, enfin, d'une jeune canne, plus précisemment. D'une jeune canne punkette un peu perdu, même. Mais tiens, ça me rappelle une fois ou j'étais allé à la fête foraine avec une punk, et ben, heu. Ouais non rien, on a juste mangé une glace. Bonsoir c'est Mossieur_Yo, bienvenue sur la duck-zone, car la zone, c'est un bon coin(-coin). Les tentatives des vieux réactionnaires pour freiner la révolution canarchiste ne sont que des successions d'échecs risibles et pathétiques, et même le retour de nihil ne pourra mettre fin à l'invasion divine qui nous rendra notre fierté et notre trône, sur la terre et sur les cieux, à nous, jeunes canards plein de fougue et d'espoir. Gloire à Jésus-Coin. Gloire aux galinacés. DAFFYDUCKPOWA, MOTHERDUCKER. -
Pour Hélène
par
Lembaumeur
Bravo pour l'introduction à base de calembours en bois de cèdre, c'est vraiment su-u-uper. Ca donne envie, tiens. Surtout quand ça enquille sur des histoires de cul bienheureuses, porno mais pas glauques. Heureusement, ça se délite à mesure que notre couple s'enfonce dans la routine. Ca devient même franchement drôle dans la déchéance et l'amertume. Ca ressemble à du Traffic qui écrirait comme un être humain, c'est nerveux et marrant et ça compense le début. -
Mariage
par
Putsch
Une tranche de vie désabusée à la troisième personne, c'est un peu comme une tranche de salami dans un bocal de formol, c'est... Euh non, oubliez ça. Le texte a le cul entre trois chaises et demi, avec des tentatives stylistiques assomantes et des vannes de cul-terreux. Un mélange improbable. Pour raconter l'histoire d'un mec qui se bourre la gueule au mariage de son cousin, y avait moyen de faire plus simple et plus direct. -
Zebulon subversif
par
Gros Biniou
Les insultes, c'est à double tranchant, même dans les textes ouvertement débiles. A petites doses, c'est valable, sinon, c'est l'indigestion. Ici, c'est le cas, et on a l'impression que M. Biniou bégaie du 'pute' et du 'ta gueule' tout du long. Ca doit faire partie du concept. Y a comme un genre d'élégance embryonnaire dans le grattage de couilles matinal et la caricature imbécile, mais sinon ça vaut que dalle. -
A quoi tu penses ?
par
Dark Angel
Un blanc dans la conversation. Et immanquablement, ta copine te regarde et te domande : 'à quoi tu penses ?'. Ma proposition : 'PUTE PUTE PUTE SALOPE DE PUTE 0 LA CON ENCUL2E DE P2TASSE DE MERDE JE VAIS T42VENTRER ET ME BRANLER LE JONC AVEC TON FOIE POURRI DE SALOPE ET TE FOURRER UNE CARCASSE DE PINGOUIN MORT DANS L4OESOPHAGE JUSQU40 IMPLOSION DES NERFS OPTIQUES'. Si t'as pas de copine, essaye avec ton géranium, ça marche aussi. -
Dérouillé
par
Glop-glop
Glop-Glop est dans son cycle 'Meetic' apparemment. Ici, on a affaire à un vieux couple blasé, niveau gaudriole, qui recrute une jeune pouf pour les accompagner au lit. Ca sent le coup foireux à plein nez, évidemment. Ca s'annonce bien, tout se met parfaitement en place, on en rigole d'avance. Sauf que, bizarrement, une fois l'action lancée, ça ne dure que deux lignes et paf, the end. Frustrant. Comme si la bonnasse du coin te faisait un strip-tease d'enfer puis se tournait pour faire des mots croisés. Glop est précoce. -
Maman touche le fond
par
Lia
Le problème majeur du concept de la Zone, c'est qu'il autorise tous les boulets de passage à nous tartiner leur crise d'adolescence miteuse à la gueule. Et ça, ça fait chier. Notamment les soucis des micro-zonards avec leur maman qu'elle est méchante. Et ce, même lorsque le texte est perclus de traits d'humour de limande et de décontraction feinte. Je réclame le pilori pour aguerrir cette fiotte stupide. -
Plein fruit
par
Al Dante
Franchement, si je fais un résumé de ce texte, je risque de le dépasser en longueur. J'insiste donc pas et je vous laisse découvrir cette tranche de vie de couille, toute fraichement sortie du cul de l'auteur. Intrigue microscopique, digressions foireuses, métaphores zgnück. On peut toujours essayer de revendre ce texte sur eBay, au pire. -
nevrose contemporaine
par
Naiyf
De retour, Nayif nous raconte sa journée de taf. Malheureusement pour lui, elle est gâchée par l'omniprésence d'une espèce de connards finis : les humains. L'occasion de nous faire part de ses belles envolées philosophiques : "Le problème des gens qui ne savent pas parler , c'est qu'il parle toujours beaucoup trop comme pour s'entraîner". De la nouveauté, du lyrisme, de la réflexion... un cocktail gagnant qui provoquera chez le lecteur zonard une irrépressible envie de capsuler en Sibérie ou de se passionner pour la vie des Wombats. C'était vraiment pas intéressant, merci. -
Libre expression
par
Krome
Est-ce que la Zone ressemble à un site de soutien scolaire ? C'est ce qu'on pourrait croire en lisant Krome nous raconter comment il se plante lors d'une épreuve d'expression libre. La fin est un petit défi, et vous incite à trouver un meilleur commentaire que celui de sa prof. -
Les chiens morts
par
Mill
Sur un air de 'déjeuner en paix' de cette grosse pute de Stéphane Eicher, Mill nous invente la progression psychologique la plus stupide du vingt-et-unième siècle. J'avoue que je suis resté stupéfait devant l'imbécillité du propos. Même dans Babar, les personnages ont une psychologie plus réaliste. Est-ce que c'est sensé être drôle ? Intéressant ? Ca tient juste pas debout, et le style mollasson genre carte postale arrange rien. -
Une journée ordinaire
par
Ralgoute
Ralgoute traînait sur la zone depuis quelques temps et s'autorisait même à commenter des textes. Voici son premier article, autobiographique et profondément casse-couille, mais remarquable pour son orthographe du mot whiskey, avec surtout en filigrane le portrait d'un être d'exception tyrannisé par une grognasse rupophobe. -
Cher Journal
par
Stan
Le premier texte de Stan sur la zone nous narre, sous la forme d'un journal intime, les affres de l'adolescence moderne à travers les espoirs et les illusions d'un jeune mongolien de bonne famille, incompris et libidineux comme il se doit. À suivre, d'après l'auteur... En se hâtant lentement, peut-être. -
Pour la saint Valentin mange mon poing
par
Mentha Suavolens
Quand un super-pangolin désabusé se met au service du peuple afin de dénoncer dans l'ombre les travers des coutumes consuméristes annuelles, ça donne forcément quelque chose d'accrocheur et d'Ubër-dröhl où chacun y trouve son compte. Sauf que dans ce texte, ce n'est pas le cas, et super-pangolin, malgré ses efforts dans le merdique, ne parvient à peine qu'à nous faire esquisser un léger tic de l'oeil. Nul. -
BLITZ UN FILM AVEC JASON STATHAM
par
Copypasta
Copypasta se fout bien de notre gueule avec ces quelques lignes non ponctuées écrites en CAPLOCKS. Théoriquement ça ne devrait pas être publié, c'est une espèce d'invitation à poster tout et n'importe quoi. Pourquoi ne pas faire caca dans ton port USB et faire la fameuse requète de post evil 666 (ceux qui ont deja posté un texte assez long doivent savoir de quoi je parle/ les autres vous n'avez qu'à poster un texte (de vous quand même) et assez long pour savoir de quoi je parle) E PERRICOLOSO SPORGERSI tout abus sera puni. La seule raison qui m'amène à poster cette sombre crètinerie dont je ne tenterais même pas d'analyser le contenu qui aurait probablement été rejeté par les admins d'ALLOCINE (quoi ! Bordel ! Le niveau !) ben c'est que c'est RIGOLO de poster une petite merdouille du genre (je le passe en mini article, faut pas déconner non plus) ET COMME C'est RIGOLO ben ça va dans le sens de la RIGOLOCRATURE. J'espère qu'il sera la source de grandes polémiques, qu'il y aura des lapidations de météorites, des pelotons d'execution au missile. heu... c'est la fin de mon commentaire je crois. -
Rouages 1 - Le moustachu
par
Carc
Sur les starting-blocks, une seconde SERIE produite cette fois-ci par Carc, n'en doutez pas, vous serez sublimé par les scènes d'action époustouflantes qui soutiendrons un suspens haletant jusque la fin de saison où un formidable final-twist concluera le feuilleton en feu d'artifice, en apothéose. Nous sur la Zone, on est comme ça. On vous file pas des séries à la mords-moi-l'noeud avec des clifhangers de merde. Non, c'est du lourd. Un truc superplanifié au microdétail près pour vous en foutre plein les yeux jusqu'au nerfs optique comme une bonne ejac faciale d'acide. Il sera question ici dans ce premier volet (oui chaque épisode est vrillé autour de sa propre morale, de ses propres conclusions philosophiques profondes car nous n'avons pas l'intension de vous faire perdre votre temps avec des descriptions inutiles ou des clichés que tout à chacun a vécu des 10aines de fois) donc oui dans ce premier volet il sera tout particulièrement question de problématiques capilaires existencielles et de la place de la testostérone dans la vision pré-nitzschénne de l'homme en translation. -
Extrait du journal d'une canaille
par
Mill
Un texte de Mill, voilà qui faisait longtemps; autant le dire, ici, il n'y a rien de très franchement zonard à se mettre sous la dent, il n'empêche que ça reste suffisamment distrayant pour s'y attarder. -
LE FLINGUEUR UN FILM AVEC JASON STATHAM
par
Copypasta
Le retour de Jason Statham sur vos écrans devrait parvenir à vous faire zapper sur les documentaires d'ARTE ou les téléfilms français. Ce scénario est un scénario DE TYPE NUL. Mais j'aime bien les cacahuètes. -
Tapage nocturne et neiges précoces
par
CTRL X
Sublime texte de CTRL X qui nous changera du déluge de nouvelles oniriques et basés sur la méthode du cut-up ou du serial insert. Et même s'il y a le compte rendu d'un rêve, on n'est plus dans un script de David Lynch et ça fait plaisir de lire un texte long, aussi bien maîtrisé stylistiquement parlant et avec une superbe unité. Certes, il y a quand même un flashback mais rien n'est gratuit et par dessus le marché ça sert surtout la déconne totale mais sobre qui règne du début à la fin sans incartade. Donc ça nous change de l'écriture automatique même si cette dernière est également appréciable. Il est bon d'alterner les plaisirs. Des références surprenantes et désopilantes ponctuent de plus le récit d'un semi-trentenaire précoce qui s'amuse à faire une sorte de répétition de ce qui sera indubitablement sa middle life crisis de dans 5 ou 6 ans. Et bien sûr je parle du narrateur et non de l'auteur qui est probablement un vieux zonard ayant changé de pseudonyme (certains indices de type table-basse, vous mettrons probablement sur la voie) -
Passer la trentaine
par
CTRL X
On tient un chef d'œuvre ! Dans le bourbier de bienpensance, bienséance et patriotisme de pacotille ambiants, CTRL X vient nous donner un bon gros coup de poing littéraire dans le ventre et nous sortir la tronche de nos carnets de condoléances désespérants. Ce formidable périple urbain d'un papa narrateur accompagné de son bambin bipolaire à l'ouest, entrecoupé de zones de turbulences scénaristiques improbables, en cheat mode lousdé sup, est exactement le cocktail médicamenteux narratif dont tu as absolument besoin pour sortir du coma d'idées bas de gamme dans lequel tu sais parfaitement que l'actualité pourrie t'a fait plonger. Toi qui t'étais promis de ne jamais subir son immonde diktat. Plus drôle, tu meurs catapulté à l'infini par tes propres zygomatiques. -
La vacuité du vide et ses états qui ont investi glorieusement les lieux
par
Clacker
Vous aussi faites des paris avec vos potes tout comme Clacker. Aujourd'hui Claker a parié que dans la présentation de son texte j'allais à un moment ou un autre utiliser le nom Kafka ou l'adjectif dérivé kafkaïen. Comme j'aime plutôt que les zonards remportent des paris, et je ne prends même pas de commission, je suis gentil et je lâche le terme de suite comme ça c'est fait. Kafka, donc. Voilà. Le titre de ce récit fantastique ou tout du moins sa première partie, je me la réservais, je ne sais plus trop dans quel univers parallèle et à quelle époque, pour écrire mon premier roman. Aussi j'ai un peu les boules que Clacker l'ait utilisé avant moi. Sinon j'aime bien faire des comparaisons avec des auteurs morts en ce moment, pour étaler ma culture niveau collège comme on étale les derniers grammes d'un pot géant de Nutella parce que l'huile de palme c'est pas bon pour la planète et qu'il faut pas gâcher, donc dans le même esprit j'étale ma médiocrité car elle rejette massivement, quotidiennement, à chacune des mes expirations du CO2 et que l'empreinte carbone c'est important de s'en soucier en diluant la connerie qui sédimente en nous à la moindre occasion. Sinon j'avais aussi dans ma besace trouée intellectuelle, le Horla de Maupassant. Oui peut être que Clacker avait une grille de bingo pour faire ses paris sur mon commentaire et probablement qu'il y avait aussi ces deux noms-là. J'espère que ça lui fait une ligne et qu'il va remporter un truc électroménager inutile comme une yaourtière par exemple. Pour conclure, je pense que ce texte sera souvent repris sur Doctissimo pour parler d'hernie rectale. Le final twist plagie sans pitié la recette du donut fourré au chocolat. -
.
par
Lourdes Phalanges
Quand Lourdes Phalanges se fait chier dans le métro, il invente de nouveaux genres littéraires. Ici il s'adonne à un exercice périlleux et des plus extrêmes (Lourdes Phalanges est un extrêmophile) qui consiste à écrire sur son smartphone tout ce qu'il se passe dans son environnement direct pendant que ça se produit. On a qu'à appeler le genre : l'écriture temps réel, ça sonne bien, innovant. Fait gaffe LP, si tu continues à innover la Zone va se transformer spontanément en startup puis on va tous se retrouver dans un incubateur, recevoir le label BPI France et puis même sans qu'on ait rien demandé du crédit impôt recherche, et même Macron viendra nous serrer la pogne quand on nous aura embarqué dans un charter à la descente de l'aéroport à Las Vegas au prochain CES au milieu d'autres gens innovants qui montent des concepts de boîtes sur des gadgets de geeks qu'ils pillent dans des vieilles licences de films hollywoodiens genre hoverboard, baskets qui se lacent toutes seules et blouson avec séchage automatique intégré, et d'ailleurs tes provocations m'ont déjà contaminé et voilà que ça me donne l'idée de lancer une startup pour refaire tous les gadgets du père de Billy dans Gremlins 1 à savoir le couteau suisse universel 2.0 et le presse-agrume à effet cluster. Sinon le texte est très maîtrisé pour du temps réel. Par contre, tester les limites de la Zone en appelant son texte "petit point" voire "un point c'est tout" et en incluant du japonais qu'on fait passer pour du chinois, ça pollue un peu le concept de real time litt avec un petit poil de troll litt. ça reste tout de même génial. -
Chacun son crabe
par
Clacker
Le pathétique est un genre efficace pour rendre compte de l'absurdité de l'existence. Ici il n'est pas question de rire ou de s'offusquer. Clacker tape dans un style scénique et une mise en scène à peine exagérée malheureusement. Moins glamour que Breaking Bad, une manière originale de sensibiliser à l'indifférence générale face au Cancer, une des pires pandémies de nos sociétés civilisées en post combustion qui produisent en réalité et loin des regards, loin des inquiétudes productivistes du quotidien, des dégénérés. J'ai également répondu à une étrange requête de Clacker déguisée en Brigitte les mercredis et qui voulait qu'il y ait une chouette effraie en illustration. Une allusion à la déesse Athéna ? A Glaüx ? A Harry Potter ? -
MANUEL A L'USAGE DU PARFAIT ALCOOLIQUE
par
Clacker
L'écriveur 4.0 picole t-il autant que le cliché du vieux misanthrope à Remington ? Quand d'autres détruisent le peu qu'il reste de la succursale France, Clacker - qui a visiblement écrit sous l'influence du lobby de la bouteille - propose de vous détruire vous-même avec ce mode d'emploi éthylique suivi d'un test à l'ancienne. Ca se mange sans faim, et c'est presque de circonstance si vous êtes d'humeur mélancolique. A la tienne, salope. -
Le casse
par
Mill
Cette nouvelle contribution de Mill me rappelle beaucoup par la gouaille de ses dialogues et son humour absurde, l'ambiance du film "Les démons de Jésus" de Bernie Bonvoisin. Avec Mill on n'est jamais bien loin de l'écriture scénaristique augmentée de toutes manières tant la littérature, le cinéma et la musique semblent être des arts majeurs et qu'il s'amuse à entrechoquer sous sa plume dans d'improbables expériences où les personnages deviennent des crash tests dummies. Beaucoup de comique de situation aussi dans ce texte constat cependant bien terre à terre dans la description de ce qu'est un vrai plan foireux de braquage entre branquignoles IRL, bien loin des clichés hollywoodiens glamours de Soderbergh par exemple. -
MANUEL A L'USAGE DU PARFAIT ALCOOLIQUE (partie deux)
par
Clacker
Les démons de la dive n'entraînent pas Clacker jusqu'au bout de l'ennui mais lui inspirent plutôt ce second manuel pour alcoolo amateur, qui s'avère assez gouleyant et pourrait même vous détendre gentiment les zygomatiques si la mention de la cirrhose tant redoutée dès l'introduction ne vous refroidit pas trop. Attention pour les plus fragiles : ce texte contient aussi une référence à Marc Levy, on vous aura prévenu. -
Le Beau révèle les racines sur le chemin
par
Broncopathe
Avec ce texte Broncopathe réinvente le téléphone arabe et nous fait partager les facéties des étudiants ERASMUS. Il vous faudra sortir votre petit smartphone et utiliser l'appli google traduction ou faire encore appel à Google Home, l'outil indispensable des coins coins de notre planète, pour décrypter les conversations des multiples personnages. Texte qui pourrait être marrant mais qui au bout d'une vingtaine de lignes fait légèrement grincer des dents. On pourrait se demander si le texte valait la publication mais comme il m'a bien fait chier à lire, j'ai tout de suite cliqué sur publier. Enjoy. -
T°0
par
Khalid EL Morabethi
T°0 ou zéro absolu ? Khalid EL Morabethi jette un froid sur la Zone -
Écrire (la gueule de bois) aux temps du Covid-19
par
CTRL X
Suite de notre feuilleton "vis ma vie" avec cette fois un questionnement autour du week-end. Allons-nous mieux apprécier l'alcool que nous consommons pour oublier la semaine de merde que nous venons de vivre ? ou au contraire mieux se murger la gueule avec la crainte de ne pas avoir fait assez de stock ? Dans tous les cas, faut bien enlever son masque ou faire un trou dedans pour boire au goulot. On enlève ses claquettes, on pose son cul sur le canap', on prend une bière et on clique sur l'icone triangulaire en haut de la page des favoris, oui voilà. -
BLACK OUT
par
Clacker
Diverses conversations téléphoniques ou échanges de texto entre un certain "Moi" indéfini et quelques personnes témoins de ses récentes errances éthyliques. Le mystère repose sur la disparition d'un chien, d'une Dacia, du contenu d'un compte en banque et de tout un paquet de souvenirs à reconstituer. C'est prodigieusement idiot et suffisamment bien mené pour que l'on lise jusqu'au bout. Mention spéciale à la qualité de certains dialogues, zonards au possible.