Thèmes
- Faux obscur :
- Les textes sérieux et sombres mais avec une chute comique
Textes :
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Irunia
par
Petitclaxon
Des conséquences de chercher à tout prix à avoir la meilleure place dans le bus... Du Clax tout craché, avec une pointe de second degré en plus. -
Le pendu
par
Herpès
Souvent les nouveaux auteurs commencent dans le délirant pour leurs premiers articles puis reviennent à du plus noir et sérieux. Là j'ai cru à ce syndrôme. C'est super bien écrit pour une fois, l'histoire est bien gaulée, bref, j'adore. -
Tempête
par
Herpès
Draz a trouvé sa voie dans le texte sombre, calme et très con. Bref c'est une curiosité. -
Apocalypse ?
par
Ocus
Un chouette texte, court mais bien écrit, avec une conclusion sympa. -
Psykoz
par
Keyz
Décidément, l'effet zone se confirme, changement de trajectoire pour Keyz qui fait dans la psychopathologie paranoïaque, avec tout de même une pointe d'ironie, on se refait pas. -
Pandemonium
par
Aka
Un article entre l'obscur et le débile, qui vole pas spécialement haut mais n'en avait pas l'ambition. Ca aurait pu faire une nouvelle sombre correcte mais ça dérape vite vers du pas trop sérieux. Ca a un peu le cul entre deux chaises, mais ça se laisse lire, sans plus. Une vision de l'enfer qui donne envie... un peu. -
Dans mon monde
par
nihil
Un petit conte trop mignon pour fêter dans la convivialité et l'amicalité la forte concentration de bisounours sur le site ces jours-ci. Je sais que ça leur fait plaisir. -
La fugue d'Amélie
par
Darkside
Le concours de nouvelles d'Arte dont le thème était les vampires a engendré bien peu de résultats, hormis ce texte de Darkside qui revient après un an d'inactivité. Il accumule à loisir les stéréotypes dans une horripilante mixture de clichés et de romantisme noir à la petite semaine. la fin est amusante et relève heureusement le niveau. -
La proie consentante
par
Kirunaa, nihil
Un nouveau résultat pour le concours de textes d'Arte, dont le thème est les vampires. Celui-là, comme celui de Darkside, accumule à loisir les stéréotypes vampiriques à la Ann Rice, du genre sang, érotisme, domination et dentelle. J'ai remanié une base de Kirunaa et rajouté une chute. -
Sus à l’ennemi !
par
Pas Sage
Texte assez stupide mais pas trop désagréable. Ca vaut pas grand-chose mais ça a le bon goût de ne pas être trop long et d'être sans prétention. -
Vendu
par
Ceacy
Notre doux compagnon à dreadlocks nous revient avec une note de blog qui raconte tout connement l'histoire d'un type qui vend son âme au diable, et ce qui s'en suit. C'est court, pas prise de tête, et souvent marrant. Du coup, c'est lu aussi vite que c'est oublié, comme tout ce qu'a posté Ceacy sur la Zone, mais ça constitue indiscutablement de la très bonne littérature pour les chiottes. -
Récit intérieur d'une pyramide
par
Mill
Soyons clairs : ce texte ne vaut sur la Zone que pour sa fin. Le reste n'est que description à la première personne d'une pyramide, certes documentée, certes soigneusement écrite, mais plate au possible. -
S.T.A.L.K.E.R.
par
Omega-17
L'excellent jeu vidéo Stalker, qui prend place dans la zone de Tchernobyl, a inspiré Omega pour ce texte. Les noms et les circonstances sont directement tirés du scénario du jeu. C'est pas grave, y a des radiations contaminantes, des mercenaires russes, des carcasses de camions, alors on va pas faire la fine gueule. -
Life wreck
par
Glaüx-le-Chouette
Certes, les thèmes sont typiques de Glaüx (art, accidents de bagnoles, fin en forme de mode opératoire déjanté). Mais ça laisse surtout un impression de calme, de délicatesse. Alors qu'on est en train de causer d'un mec dont l'idéal de vie est de se planter en bagnole dans un platane quand même. C'est plutôt agréable, avec quand même des gros morceaux de tournures surlittéraires qui se laissent pas facilement ingérer. -
Ne fais pas cette moue, tu me donnes faim
par
Copypasta
Un texte sur l'antropophagie écrit avec un style de dandy homosexuel petit doigt en l'air. C'est une faute de goût évidente, mais ça a au moins le mérite d'être orginal. C'est bien le seul mérite de ce texte. On a beau être dans un contre-emploi très réussi, ça n'en reste pas moins un texte élégant et sobre, et donc complètement pourri. Et oui, on est sur la Zone, pas sur Gentlemen Quaterly. -
La fève
par
Contre-paix
Les membres de cette sorte de club privé pratiquent le suicide convivial, avec une bonhomie et une gaieté tout à fait horripilantes. A leur image, le style est d'une simplicité écoeurante, avec ce coté sautillant digne du club des cinq. C'est pourtant d'un cortège de meurtres et éxécutions qu'il s'agit. Alors évidemment, ça donne un coté décalé appréciable. Mais ça reste un texte guilleret et cuicuitesque. Horrible, donc. -
Fallait pas
par
Pygwenali
Pour ce texte, Pygwenali fait dans un classique de La Zone qui semblait avoir disparu ces temps-ci : Le texte à final twist faussement sadique, finalement débile. Bon, je viole le suspense du texte et donc la moitié de son intérêt, mais on sent vite ce genre de fin pointer de toutes façons. Ca se veut gore, mais genre gore de neuf ans d'âge mental : c'est sanglant mais c'est trop mignon. -
Éthano
par
Ceacy
L'avantage du style de Ceacy, c'est qu'il est très facilement lisible. C'est passe-partout, c'est fluide, ça passe en machine à 50°. Trois pour le prix d'un. L'histoire, elle, fait dans le euh... 'fantaisiste'. Oui, de la fantaisie sur la Zone. Mais de la fantaisie à base d'alcool. Aaaah, je me sens tout de suite mieux. -
La trente-cinquième heure
par
Jean-Claude Porcin
Le racontage de vie est à la mode ces temps-ci. Sauf qu'ici, on sent qu'il y a quelque chose qui cherche à venir, comme un relent de Saint Con qui contamine tout le fond. Malheureusement il ne se passe rien, et l'écriture pas spécialement dégueulasse sera la seule chose qui rendra ce texte un peu plus lisible que les habituelles tanches de vie gothoputiques. -
Holocaust
par
Wilhelm
Alors d'amblée on comprend que le mec qui a écrit ce truc ne veut pas faire dans le rigolo ce qui est un tort et il sera pourchassé dans tout le royaume de la RIGOLOCRATURE et une fois rattrappé, bien sûr, lui seront infligés d'horribles scéances de tortures RIGOLOTES à bases de poil à gratter, gaz hillarant (speciale dedicasse à nihil) et autres farces et attrappes jusqu'à ce qu'il accepte de n'écrire que des trucs qui marquent les consciences des lecteurs, c'est à dire des trucss rigolos. Quand c'est pas rigolo, tout de suite on pleure, on égorge de petits animaux, on se tape la tête contre des mines portatives: grosso modo, on cherche à rigoler pour mieux apprécier ce texte qui est par ailleurs génialissime mais ce n'est pas une excuse. On croirait que Glaüx a voulu nous berner en changeant de pseudo d'ailleurs. (j'espère ne pas l'insulter car j'espère qu'un jour Glaüx sera mon copain et acceptera de venir dîner à la maison (soyons fou, dîner, un truc de psykopats)) Sinon y a un moyen quand même de trouver le texte rigolo, c'est de se dire dès le départ que les gars qui avancent péniblement les uns derrière les autres, ben en fait, c'est des gars qui font la queue devant les cabinets. J'espère bien vous avoir pourri votre lecture. -
Poll(c)ock
par
Lourdes Phalanges
Nette amélioration avec ce deuxième texte de Lourdes Phalanges : un texte zonard, débile et violent, vite lu, complètement inutile mais sympathique à sa façon, comme un débile profond pataugeant dans sa merde au fond d'un hôpital psychiatrique en grève, ou comme la théologie protestante, ou comme Nicolas Dupont-Aignan. -
DIEUABLE
par
pascal dandois
ça m'a beaucoup fait penser à un scénario d'épisode de South Park en mal formaté alors en premier lieu j'ai reformaté le texte pour qu'il soit lisible et puis j'ai mis une image de South Park en illustration. Il y a un arrière goût des morales des contes de la crypte aussi mais ça me demanderait beaucoup de boulot de faire un photomontage croisant les deux licences. Personnellement ça m'a fait rigoler et pour une fois en plus on a un texte de Pascal Dandois qui ne tape pas dans le foutage de gu... heu la technique du découpage de Burroughs. Aussi profitons-en. -
Révélation mystique transcendentale intersidérale
par
LePouilleux
LePouilleux nous revient avec un troisième texte et à nouveau c'est un concept excellent qu'il pourrait être intéressant de décliner dans un dossier. C'est l'histoire d'une personne, tout du moins on le suppute, qui émerge dans le noir sans savoir où elle se trouve. Sans suivent introspections,litanie, digressions, discernement de l'univers proche puis de l'univers dans son ensemble telle une apocalypse, une révélation, un final twist. C'est assez bien trouvé et rigolo d'ailleurs il y a de nombreux textes dans le genre sur la Zone. J'ai le souvenir d'un texte d'Aka et un des miens que je mettrais en liens dans les commentaires puisqu'ils avaient été adaptés pour La Revue Qui Te Parle. C'est clairement une trame onirique et un mécanisme fréquent que vous avez probablement vous même expérimenté lors d'une sieste. n'hésitez pas à poster vos propres contributions avec une réappropriation de la mécanique et du twist final à votre sauce, pas forcément dans un trip absurde. -
Puissant ou misérable…
par
Alan
Ce texte de haute volée a été posté par l'auteur d' "Un cadavre étrange", texte ayant défrayé la chronique durant la #SaintCon2016 tant l’intentionnalité de l'auteur ne semblait pas du tout évidente. J'avais en bon dictateur alors réaffirmé la toute puissance de l'intention éditoriale sur l'intention des auteurs. Et de nouveau, le même cas se présente à l'identique dans le cadre de l'appel à textes permanent. Que cherche à nous faire comprendre l'énigmatique Alan ? Ce texte parle du zèle et de la morgue des sous-fifres qui ont un Maître en ce bas monde, quelque soit leur contemporanéité, même si on devine que le texte est une uchronie située à l'époque du roi Soleil. Il leur suffit d'un titre honorifique redorant pompeusement leur carte de visite pour vivre dans le déni de leurs tâches ingrates et se convaincre qu'ils sont exceptionnels, au dessus de la mêlée qu'ils exècrent et que leur labeur est avant tout une passion, qu'ils sont au service d'une quasi-divinité réincarnée. Quoi qu'il en soit, en tant qu'admin zonard, je vois surtout en ce texte une formidable occasion de vous reparler de la semaine #TDM2016. Vos contributions sont vivement attendues avant le 20/06/2016. De plus amples informations sont accessibles sur le forum. Comme quoi, tout se répète, et un excellentissime texte, avec sa propre morale et sa raison d'être singulière, peut être détourné en vulgaire prospectus et en outil de propagande. -
Nature et Paysage
par
HaiKulysse
Soumis au hasard, dont le résultat est incertain : Entreprise aléatoire. Se dit d'une œuvre plastique (notamment cinétique) dont la configuration procède d'une combinatoire exploitant les possibilités du hasard, avec ou sans programmation par ordinateur. Se dit d'un acte juridique dont la particularité réside dans l'incertitude dans laquelle se trouvent les parties quant à l'équivalence de contrepartie qu'elles peuvent espérer. Se dit d'une musique dans laquelle l'auteur introduit des éléments de hasard ou d'improvisation soit au niveau de la composition, soit au niveau de l'exécution. HaiKulysse, grand maître du lancé de dés : Alea ejaculat est. -
Africanisme !
par
HaiKulysse
Exquisite corpse, also known as exquisite cadaver (from the original French term "cadavre exquis"), is a method by which a collection of words or images is collectively assembled. Each collaborator adds to a composition in sequence, either by following a rule (e.g. "The adjective noun adverb verb the adjective noun." as in "The green duck sweetly sang the dreadful dirge.") or by being allowed to see only the end of what the previous person contributed. It became a game designed by Hag and it evolved as a MEUPORG played by the fringe of zonard called "the happy fiew" that connected their brain to become a single entity named "HaiKulysse" and sometimes also called the "Teratochiard" or "Teratopoupon" when he was young. Welcome to the reverse deep nightmaring of Burroughs. But why the fuck am I suming up in english ? -
Les désinvoltes fleurs de Sainte Hélène
par
HaiKulysse
Résiste ! Prouve que tu existes. Cherche ton bonheur partout, va. Refuse ce monde égoïste. Yeah, yeah, yeah, résiste ! Suis ton cœur qui insiste. Ce monde n'est pas le tien, viens. Bats-toi, signe et persiste. Yeah, yeah, yeah, résiste ! Ne serait-ce que dans l'image d'illustration, résiste au flood HaiKulyssien de la Zone. Rajoute des pilotis à tes croyances et convictions. ça déborde de partout. Résiste, koi § -
Ce cher Arthur Rimbaud !
par
HaiKulysse
Après la confiture verte de Baudelaire, invitation d'HaiKulysse a consommer de l'absinthe sans modération. L'auteur se livre à des mélanges de drogues exotiques. Probablement suce-t-il des crapauds d'Amazonie. -
Orange Mécanique
par
HaiKulysse
Sur fond blafard et bouffon de fin du monde fluctuante, le narrateur se met en route pour rejoindre ses deux malandrins de comparses afin d'accomplir d'assez sombres desseins. Les références se veulent kubriciennes mais l'illustration vient de la série Sliders, 'faut pas pousser le professeur Arturo dans les orties. -
Le Livre des Morts. Du premier au troisième chapitre.
par
iThaque
Quel est le mystère derrière cette image qu'HaiKulysse utilise dans son blog ? Dourak souhaite déjà un entretien avec les deux jeunes filles. Sinon le texte est comme d'habitude une bouillie de phrases aléatoires que l'auteur HaiKulysse ou son colocataire à la même adresse IP, iThaque, nous flanque sous les yeux précisant qu'il y a 3 chapitres, en réalité 3 monticules de sables mouvants. Quoi qu'il en soit si Prism suit de près la Zone, on peut remercier toutes les allusions à Daesh. Oui, texto ça ressemble à s'y méprendre à un encodage de conversation sur Telegram ou bien à des consignes entre Paul Bismuth et son avocat qui le cas échéant, bien assaisonné tient bien plus du guacamole que de l'avocat. A suivre donc mais à pas pressés. -
Les évangiles noirs de l'Hélicéenne
par
HaiKulysse
HaiKulysse précise que son texte "s'inspire du livre de Tristan Garcia, 7, de La Ruche et de la Rouge ainsi que de Lovecraft". Il est question d'une tuile translucide qui fait office de stupéfiant. Je me demande bien quel est le mode de consommation d'une drogue à base de tuiles, (faut-il appeler une entreprise de désamiantage avant utilisation ? Doit-on se la coller dans le baquet façon suppo ?). Il paraît qu'on aura droit à un épilogue (de quoi donc ?) pour la St-Con. Formidable. J'ai mal au crâne. -
Interact
par
Capitaine Porto
Soyons clair. Ceci n'apportera pas grand chose à l'eau du moulin #MeToo, ou à sa version française #BalanceTonPorc. Mais il y a cette chute brutale et saisissante après un nawak déroutant, presque lisible pour qui n'est pas familier des absurdités du site. Nous avons choisi de l'inclure dans le dossier #balancetonporc, certes un poil vieux et décati, dans l'espoir de susciter des interventions plus pertinentes. Le texte, en soi, mérite un oeil averti et, nous l'espérons, glacé. Gageons que l'auteur serait capable de mieux s'il avait pris quelques minutes pour se relire et développer une trame. -
Le Cœur fou
par
HaiKulysse
L'auteur de ce texte, HaiKulysse, nous explique dans un message complémentaire qu'il a basé son histoire sur le synopsis d'un film qu'il n'a pas vu, "Le coeur fou" de Jean-Gabriel Albicocco : " Le Cœur fou est une histoire d’amour entre une pyromane internée en H.P et un journaliste de deux fois son âge rencontré par hasard. En s’enfuyant de l’hôpital, leur road trip leur fera traverser des lieux qui s’embraseront, tout comme leur passion…" Le texte, quant à lui, rassemble des images fortes, de belles impressions, et un fil conducteur qui nous parle essentiellement de folie. Les amateurs de giallo y verront peut-être un hommage décalé à une certaine esthétique. Un texte résolument gothique.