Thèmes
- Poèmes de merde :
- Tous les pires déchets inrecyclables arrivent ici : à savoir tous ces putains de poèmes de merde.
Textes :
-
Poésie merdique
par
Ocus
Tout est dans le titre ! C'est court, c'est sale, c'est vulgos, c'est un pan de l'esprit de la Zone. -
Rouge
par
Arwen
Encore une nouveauté sur le site avec ce poème sanguinaire d'Arwen, à mi chemin entre le Dr Vlad et Jean-Pierre Goldman, dont l'intro est complètement disjonctée. -
Mon amour
par
Petitbouc
Ca doit bien être la première fois que quelqu'un parle d'amour sur ce site à la con, ça fait bizarre quand même, et sous forme de poème en plus... Enfin c'est bien violent et bien sombre quand même hein. -
Destruction
par
Petitbouc
Petitbouc remet ça avec la poésie classique et noire. C'est toujours assez sombre mais avec une bizarre note d'espoir sur la fin. Bon moi c'est pas ma tasse de thé honnêtement. -
Un ange noir déchu
par
Arwen
C'est la saison des poèmes torturés à la con, Arwen en recolle un pour rejoindre son premier du genre 'rouge' que j'avais bien aimé. J'y connais rien en poésie, mais celui-là me semble aussi très bon, très sombre et assez violent. Défaut : on comprend pas trop bien le début. -
L'errance
par
Petitbouc
Nouveau poème d'amour tout mignon (enfin selon les standards de la zone) par Petitbouc. Bon, voilà... -
Adieu
par
Petitbouc
William Wallace je t'ai reconnu... -
Svetlana
par
X
Après une superbe volée de bois vert sur son premier texte, X retente l'expérience avec ce poème un peu triste mais mollasson pompé sur une chanson minable de euh Téléphone je crois. -
Un froussard qui nous a perdus
par
Caligula
Pour son premier texte, il semble que Caligula se veut héritier de la tragédie grecque, mais y a des standards auxquels il est dur de se mesurer. Le texte est pompeux, tombe à plat et on a forcément tendance à focaliser sur les défauts. Ceci dit, ça fonctionne dans le sens où ça s'attache à montrer la tourmente des passions qui s'affrontent. C'est pas mal écrit, mais on grince des dents, ça fait rap en version MC Racine quoi. -
Chronique d'une mort annoncée
par
Madcap
C'est le texte de dépressif par excellence : c'est un poème mélancolique et vaguement romantique (encore un nécrophile baudelairien). C'est pas à tomber à la renverse, mais ça se laisse lire sans difficulté, et faut reconnaître que ça fout le cafard. -
Obsession majeure
par
Caligula
Caligula prend ses aises dans les intro de ses textes et nous avoue qu'il se branle de nos avis ! Profitons-en donc pour conspuer cette nouvelle enculade lamartinienne. -
7x7 (souffrances de l'internement psychiatrique)
par
Madcap
Madcap, comme Caligula, fait un commentaire explicatif dans l'intro de son poème post-baudelairien mal digéré. On va pas être chien, le poème lui-même respire l'authenticité et une détresse assez pathétique, il est aussi plutôt moins romantique / grandiloquent que la moyenne de poèmes qui peuvent se retrouver sur la Zone, c'est un bon point. -
Saloperie de connerie à la con de putain de guerre de merde
par
Tabasco
Je suppose que Tabasco tente de battre le record de l'article le plus merdique de la Zone, et fait assez fort avec ce monument de confusion bien-pensante et imbécile sous forme de poème (c'était prévisible). Dommage, le titre est trop bon pour que le record soit homologué. Dans ton cul Tabasco. -
Naïve ‘tite fille
par
Caligula
Un beau poème stupidique. Finallement je me rétracte, la poésie sur la Zone ça a de bons cotés, ça permet de se défouler sur l'auteur à peu de frais. -
Opale réservée
par
Caligula
Ce Caligula m'a l'air d'être un beau détraqué sexuel, il poursuit des adolescentes de ses assiduités, et ensuite vient raconter ses échecs sur la Zone, dans des textes de plus en plus colériques, ce qui laisse à penser que y a du massacre de jeunes filles qui se prépare. -
Mirage
par
X
Le thème, la manipulation affective, est vraiment intéressant et complexe, mais là putain c'est du sous-développé, dix lignes de quatre mots chacune, ça peut pas suffire à résumer le problème. En plus c'est encore un putain de poème à la con. -
Poèmes eldars inachevés
par
Arwen
Ceci est un poème. Vous voilà prévenus, vous pouvez passer votre chemin. Pour ceux qui envisageraient tout de même de cliquer sur ce lien, sachez qu'Arwen est un mordu de jeux de rôle, que son poème s'y réfère directement, et que son poème nécessite une explication aussi longue que le poème lui-même. Voilà, vous êtes bien découragés ? Ah j'oubliais : c'est le poème le mieux écrit que j'ai lu depuis un bail. C'est bon, vous êtes en train de vous barrer là ? -
Para-temps
par
Anthrax
C'est un poème, ça se veut polémique et c'est par Anthrax. Voici de quoi craindre le pire. En fait ça commence pas mal du tout, c'est clair et carré, mais en cours de route, ça s'enlise à nouveau dans la confusion mentale ornée de jeux de mots en bois. Du coup, rien de notable, ça s'avale comme un m&m's : cinq secondes après on s'en souvient plus. -
[konsstruktVOUSaime]
par
Konsstrukt
C'est cette série de poème enchevêtrés sans ordre précis qui fait exclure Konsstrukt de tous les sites où il les poste, et qui lui attire la haine des intégristes littéraires. C'est interminable, répugnant, stressant ça met mal à l'aise et ça nie tout concept d'art ou de poésie classique. En fait on ne peut que détester totalement, c'est ce qui fait de ce truc un OVNI. C'est pas à lire d'un bloc, ce serait imbuvable, mais à picorer par bouts. -
Inondation I-XII (sonnets)
par
Dourak Smerdiakov
Incapable de se retenir plus longtemps, Dourak nous dégueule un flot de sonnets de sa composition, à la chaine. Comme on pouvait s'y attendre, c'est un amas d'absurdités déconcertantes qui frôle l'écriture automatique. Le tout noyé dans l'alcool, qui reste le seul repère fixe dans ce fatras instable. -
La trainée et le maso
par
Caligula
Le comité des pondeurs de bouses diarrhétiques nous présente aujourd'hui un nouveau mini-article, un poème romantique boursouflé de douleur outrée et hérissé de vannes improbables (voire involontaires). -
Inondation XIII (sonnet)
par
Dourak Smerdiakov
Dourak poursuit son inondation en sonnets. Contrairement à ce que pourrait laisser entendre l'intro, il est ici question de la destruction massive de chats. Encore un qui n'a rien compris à la Zone : ici les ennemis ce sont les ragondins bordel de merde. -
La boue
par
Anthrax
On a tendance à oublier très rapidement les textes d'Anthrax, qui ne servent que de bouche-trous pour occuper deux à trois minutes. Ses poèmes c'est pire : on les oublie à mesure qu'on les lit. -
Egalité des chances
par
Caligula
Notre auteur semi-merdique Caligula s'intéresse à la scolarité et à l'égalité des chances dans un poème taillé à la hache, qui s'achève dans le sang. Ou comment analyser un problème de société en dix lignes de cinq mots chacune. -
Face à la feuille
par
Caligula
Encore un forfait poétique de Caligula, qui va pas tarder à se retrouver en taule pour pourr issagesystématique de toute forme d'expression écrite. Le sujet du jour : l'inspiration littéraire. Ooooh. -
Subjective est la notion du temps
par
Caligula
Une fois n'est pas coutume, un article long de Caligula. Toujours très embrouillé et approximatif, ce texte est en plus un putain de poème dont les quatrains sont alignés en phrases pour mieux tromper l'ennemi. C'est l'histoire d'un mec sequestré et torturé. Ce qu'on arrive à comprendre de ce bourbier littéraire vaut à peu près le coup, mais faut se battre. -
Testament exalté d'un suicidaire raté
par
Glaüx-le-Chouette
Glaüx est un surlittéraire qui se la pète, bon ça c'est acquis. Ca fait pas spécifiquement de lui un bon auteur, preuve en est cet obscur texte qui équivaut à du Anthrax qui aurait avalé Mallarmé de traviole. -
Poème après l'amour avec ma main
par
Glaüx-le-Chouette
Un poème assomant, dans un style très doux et ampoulé, prise de tronche au possible, impressions soleil levant et tout le tralala d'intello de merde. A partir du moment où on sait que Glaüx parle à sa bite, ça passe mieux, allez savoir pourquoi. -
Murmure
par
Ieyasu
Le choix de la poésie pour camoufler le manque d'inspiration, les tournures alambiquées pour faire pro, les métaphores incompréhensibles pour sonner torturé... Bref c'est un putain de poème saoûlant et inutile. -
Amer rouleau de printemps
par
Caligula
Comme toujours, l'introduction est trois fois meilleure que le texte lui-même, un poème où Caligula poursuit de la gonzesse dédaigneuse. Et comme toujours, c'est confus, laborieux, mais aussi rageur et parsemé de vannes tellement débiles qu'elles en deviennent cosmiques. -
Intello-visuel
par
Ryolait
Un poème qui pour une fois évite les grandes envolées lyriques assomantes. Ca parle de ce sujet inépuisable qu'est la télé et de son emprise sur les masses. -
Inondation XIV (sonnet)
par
Dourak Smerdiakov
Dans le cadre des Jeux Olympiques de la Connerie 2005, un certain auteur anonyme nous poursuit de sa hargne à coups de sonnets abrutis. -
Le sang qui coule dans tes veines
par
Lahyenne
Connard enculé carcasse de poulpe niquée au vitriol saloperie entrailles de gnou réversibles pianiste mongolien Martine Aubry vermisseau atrophié d'enculé de merdeux de merde. -
Inondation XVI - La fin des grands ventilateurs
par
Dourak Smerdiakov
Ce magnifique sonnet conte la disparition de ces créatures mythiques que sont les ventilateurs. Bon. Moi ça m'a donné envie de dormir. -
Philémon
par
Lapinchien
Voici qui devrait rappeler tout un tas de chansons de chanteurs morts à Dourak et d'autres. On peut s'interroger sur le format que choisit LC pour conter cette inintéressante fable philosophique : la poésie. Choix injustifié et peu pertinent. Ca rend le texte singulièrement pénible et fatigant et ça oblige l'auteur à massacrer le français, qui ne méritait pas ça. -
[konsstruktVOUSaime] / série porno
par
Konsstrukt
Konsstrukt nous rebalance une volée de pseudo-poèmes mous, vides et désespérés/rants. Du porn neurasthénique, solitaire et qui pue du cul. Plutôt genre caissière de cinquante ans qui se branle que top-model lesbienne en string, si on voit ce que je veux dire. Axé sur la frustration sexuelle ordinaire. Comme tous les autres textes de Konsstrukt, celui-ci met vaguement mal à l'aise mais est avant tout insupportablement ennuyeux. -
Le corps de l'autre
par
Hervé Devereaux
Devereaux vient d'un autre site, librisme.com, où comme sur la Zone on peut poster des textes. Notre nouvel adhérent y a parodié un texte sentimental et cul-cul d'une autre gonzesse, et s'est fait huer et insulter pour sa performance. Le résultat est pourtant un poème gore et disjoncté de très bon aloi. -
Inondation XVII
par
Dourak Smerdiakov
Que ne ferait-on pas pour revenir parmi les auteurs actifs. Témoin en est cette contribution, même pas alcoolisée et même pas drôle de Dourak Smerdiakov. Par contre c'est tout à fait décalé, un peu étrange et assez sombre. -
The filth and the fury to be
par
Lecks
Je croyais les ardeurs des mallarmistes et rimbaudiens de tout poil définitivement calmées, mais non. Le dernier assaut nous vient de Lecks, qui se le joue plus subtil que la moyenne. Son poème de merde est bien écrit et pas désagréable. Mais un poème de merde reste un poème de merde, celui-ci reste très daaaark, très goth en bois et très incompréhensible. -
Dolly
par
Lecks
Ce poème de merde confirme notre impression : Lecks est un putain d'ado qui s'est fondu dans la mode goth et en recrache les pires clichés. Son poème, en plus d'être une sale ressucée de l'esprit caverneux de nos amis gothiques, est putain d'incompréhensible et chiant. La vraie chiasse. -
? rire, la mort ?
par
Aure
Ce texte m'a fait me demander si je devais pas après tout imposer un minimum de qualité pour publier. Mais il m'a tellement fait rire que je ne pouvais pas le passer à la trappe. Aure est visiblement la femelle du Duc et cette chose est l'une des pires bouses jamais procréées. Si jamais c'était une parodie, ça tiendrait du génie. Attention les yeux. -
Camisole de viande
par
Saintshaka
Saintshaka a su s'infiltrer discrètement à l'occasion de la Saint-Con, et maintenant il nous poignarde dans le dos avec des poèmes de merde. Aaargh. Surprise de taille, ce poème de merde n'est pas si merdique que ça. Bon c'est sur, c'est pas d'une clarté ultime, mais c'est bon esprit. -
Les évangiles sans nom
par
Saintshaka
Saintshaka est officiellement mon poète de merde préféré sur la Zone. Non pas que je comprenne grand-chose à ses textes, mais ils suintent de partout, l'ambiance est visqueuse et malsaine. Y a des passages assez maladroits et d'autres qui font goth triste, mais dans l'ensemble j'aime bien. -
Utopie du sadique
par
Tabasco
Tabasco s'impose comme parolier potentiel de groupes de death-metal kitsch avec ce poème de merde, rempli de haine et d'appels à l'extinction humaine par la guerre. C'est pas que le fond soit mauvais, mais le format poétique le décrédébilise un max. -
Chapeau bas monsieur le cadavre, cette tarte a vous meme est parfaitement reussie
par
Saintshaka
Notre poète du moment, Saintshaka, se défend décidemment pas mal : ce poème est une mosaïque d'images et de sensations fugitives, moins péniblement baudelairiennes de service. Comme d'hab on comprend rien, mais bon, ça surprendra personne. -
Etat second
par
Freya, MantaalF4ct0re
C'est la bouse du mois, félicitations à nos auteurs qui n'étaient pas trop de deux pour pourrir cette idée amusante et la transcrire sous forme de pseudo-poème minable. C'est sans aucune prétention, et putain, encore heureux. -
Ce n'est qu'un au revoir
par
Dagus
Comme d'aures avant lui, Dagus débarque avec un petit poème vite lu et vite oublié. Celui-ci ayant pour principale caractéristique d'être compréhensible d'un bout à l'autre. Il est également écrit en français et n'est pas trop caricatural, bref c'est carrément le haut du panier de la poésie zonarde. -
Détresse
par
MantaalF4ct0re
Un beau poème de merde profondément merdique, avec en bonus une conclusion marrante qui sert de prétexte à ces plates envolées lyriques. C'est laid. -
Calomnie, j'adore les vaches moi
par
Dourak Smerdiakov
Cet abruti de Dourak Smerdiakov ferait n'importe quoi pour sortir de la liste des auteurs inactifs. Cette ballade est un hymne à la vache, c'est-à-dire à la joie. -
Toutes des salopes, sauf l' homme orchestre
par
Saintshaka
Les poèmes de merde de Saintshaka sont pas mal, mais le mieux c'est encore ses titres. Evidemment le décalage de ton entre les uns et les autres surprennent un peu. Ca n'empêche pas d'apprécier ce morceau de glauquerie hypnotique et salement mystique, incompéhensible mais qui sonne foutrement bien. -
Inondation XVIII
par
Dourak Smerdiakov
Dourak n'aime pas être inactif, alors il poste un nouveau sonnet à rajouter à sa discographie de chansonnier transgénique. Le format sonnet n'aide pas le lecteur à s'immerger vraiment dans le truc, à peine le temps de se prendre quelques vers brutaux et élégants dans les dents et c'est déjà fini. Dommage, ça méritait une épopée, un truc pareil. -
La mort ou la gloire
par
Lecks
Dans la série des poèmes minables, on a ce concentré de champ lexical goth à la con, peu compréhensible de surcroît. Si c'était un peu plus sobre dans la branlette dépressive et l'amour romantique exalté, si ça forçait un peu moins sur le crayon noir autour des yeux, ça pourrait presque passer pour une marche militaire, là c'est tout juste de la daube. Attends que je te trouve une image de pute gothique pour t'illustrer la gueule, connard. -
Et le vent sous mes bras qui ne sont pas des ailes
par
Ceacy
hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan hihan -
En partance
par
Arkai59
Après nous avoir infligé sa prose chromosomiquement surnuméraire, Arkai décide de ravager un autre genre littéraire : la poésie. On sent que l'auteur veut rendre le tout classe, puisque cette fois il écrit les mots en entier, mais ça transpire la misère adolescente. Au début, à part à rien, ça ressemble à un poème skybloggesque de merdeux gothique refoulé, et au fur et à mesure que ça avance, on dirait plutôt une envolée lyrique qui se crashe. On retient les efforts de l'auteur, on jette le reste. -
Ballade des épandus
par
Dourak Smerdiakov
Environ 75% de la production de Dourak est destinée à le faire sortir de la liste des auteurs inactifs pour un sursis de deux mois supplémentaires. C'est encore le cas ici. Quelques vers sombres, sales, mélancoliques et d'une élégance décadente qui fera jouir Glaüx. Comme d'hab. -
Souvenirs de mondes
par
Imax
J'aime Imax d'un amour profond, mais là il me perturbe. C'est un genre de poème de merde qui rime pas, ou de poésie en prose gavée aux retours-lignes aléatoires, tout dans la nuance, tout dans l'atmosphérique, bref, le genre de trucs que je peux pas saquer. -
Depuis que C. Jérôme est mort
par
Dourak Smerdiakov
Le dernier texte de Drucker, euh, de Dourak, est un hommage vibrant et empreint de nostalgie à un chanteur français. On a fusillé pour moins que ça. Mais comme d'habitude, il s'exhale des vers de notre troubadour russe un bon vieux parfum de déchéance et de classe mêlées, même si ça reste moins sombre que ses publications précédentes. -
Ronsardesque
par
Glaüx-le-Chouette
Ah putain, mais que j'aime ces moments Nutella où la zonardise jaillit par surprise des poèmes de merde. Dès le premier vers, on se dit clairement qu'on va se taper une bouse ampoulée telle que celles que Glaüx sait si bien pondre, même si quelques images sympas relèvent plutôt bien le tout. Puis interviennent les giclées de foutre, au moment clé : celui où on ne les attend plus. Rien que pour ça, je dirais que ce texte est culte, avec un gros Q. -
Le greffoir
par
Glop-glop
D'après l'auteur, ce texte a été refusé chez lapin.org qui y ont vu une apologie du viol, de la pédophilie et du meurtre par arme blanche... Bon personnellement j'y vois surtout une apologie de la poésie de merde. -
Ballade en nature
par
Ceacy
Ceacy s'est mis en tête de faire de la poésie conforme aux attentes de Glaüx et autres surlittéraires du coin. C'est foiré comme on s'en doute, malgré l'effort. Au delà de la forme, le contenu est franchement anodin et ne mérite aucun autre qualificatif. -
Beyrouth
par
Titox
Putain de bordel de mes couilles dans ta mère de putain d'enculé bâtard carcasse de pingouin éviscéré salope chienne hystérique d'huître lapone prurit sauvage de raclure de méningite d'enfoiré de fils de pute pianiste. Eh ouais. Moi aussi je peux en faire, de la pO3siE d3 m3RdE. Connard. -
Ballade des langoureux
par
Dourak Smerdiakov
Le crétin en -kov, souhaitant s'exfiltrer une fois de plus du cloaque des auteurs inactifs, se gratte les couilles et la balalaïka pour nous infliger une ballade inutile et surnuméraire. -
Opération à coeur ouvert
par
Mademoiselle L.
La meuf L., pardon : Mademoiselle L., décide de venir avorter sur la Zone de ce poème au lyrisme infiniment paradigmatique. Le premier couplet est régulier, la suite est informe et baveuse, comme toute bonne omelette. Après longues délibérations, nous avons cependant renoncé à publier ce textes dans le dossier 'Recettes'. Motif avancé : la cuisine, c'est un ART, bordel. -
La très jolie maison de M. Interstice
par
Saintshaka
Je ne crains pas de dire que j'aime globalement les poèmes de merde de Saintshaka, mais là, rien à faire, c'est vraiment trop pourri. C'est certes axé sur un champ lexical typiquement zonard, à base de suintements, de maladie et de pêché, mais en fait là, y a que ça. Ca déblatère à vide autour de quelques mots puissants. Ca fait léger. -
Le temps des grosses putes
par
Dourak Smerdiakov
Ce salaud mal fini à la vodka de Smerdiakov profite du bordel ambiant pour glisser une ballade de merde en dépit du durcissement de la ligne éditoriale. C'était pour sortir de la liste des auteurs inactifs, messieurs les jurés. -
Soir d'hiver
par
Dourak Smerdiakov
Dourak est le seul qui puisse impunément faire publier de la poésie sur ce site, tenez-vous le pour dit. Ses poèmes les plus basiques sont trente fois supérieurs à tout ce que vous pourriez pondre dans vos meilleurs moments. Preuve en est ce morceau de détresse morbide, brûlant et plombé, à lire et relire. yop -
Pipi doré
par
EvG
Quand nos auteurs auront fini de patauger dans leur caca, dans leur vomi ou dans leur pisse, on pourra peut-être en faire des êtres civilisés. En attendant, on appréciera cet élégant poème urinaire, plutôt classique dans sa forme et agréable dans son cul. -
La beauté ne se mange pas en salade !
par
Kaos
C'est mignon. Cette comptine enfantine à base de sang et de torture ne pourra que plaire aux charmants bambins qui visitent nos pages. Attention, le texte est situé juste à la droite de l'image. Il est tellement microscopique qu'on risque de le rater facilement. -
Marne-la-Vallée
par
Dourak Smerdiakov
Putain, mais même au sujet de cette saloperie de merde de Disneyland Paris, Dourak arrive à nous pondre une ballade morne, misanthrope et disjonctée. Un excellent cru, pas anodin, prenant. Et en plus, ça se chantonne très bien sur un air de musette. A genoux. -
Peste
par
Advienne-que-pourra
Je dois bien avouer ma partialité : en principe on ne publie pas de poèmes à part ceux de Dourak. Mais celui-là parle de la peste, avec des légions de mourants et tout le bazar, alors j'ai pas pu résister. Très baudelaireux, mais cool. -
Raté
par
Dourak Smerdiakov
Pour aider Dourak à sortir des auteurs inactifs, je lui ai filé trois idées personnalisées et un début de texte. Résultat probant, puisque dès le lendemain il nous a pondu cette ballade sans le moindre rapport avec ce que je lui avais proposé. Enculé de bielorusse. Reste que la poésie Dourakienne est la seule qui mérite d'être lue sur internet, donc je ferme ma gueule. Prends ça dans ton hémistiche, salope. -
La vachette et le dépeceur
par
Dourak Smerdiakov
Oh, une douce chansonnette sentimentale, à base d'animaux morts et de tripes répandues. C'est mignon. Un peu trop morne, peut-être. Ca donne l'impression que Dourak avait envie de se débarasser de ce truc rapidemment. Classe, mais inerte. -
Indus martial n°1
par
Glaüx-le-Chouette
Glaüx tatonne dans les expérimentations littéraires, et ce sonnet est un premier résultat. Il s'agit ici de restranscrire une atmosphère, des sensations éprouvées à l'écoute de Nötre Klorieuze MuziKue Märziale Indhütrielle Für übermensch, vous pouvez pas comprendre. Pourtant, là où l'on ne devrait avoir que matière à contemplation béate, on ne peut s'empêcher de déceler du sens. -
Les dimanches
par
Strange
Le thème imposé qui nous a valu ce sonnet, c'était la branlette. Pourtant, en quatorze lignes, il y est aussi question de la luxure cléricale, de la gérontophilie/phobie, de l'amour des jeunes éphèbes. Et de bourrelets. Ca c'est du concentré de pute ou je ne m'y connais pas. -
Faubourgs
par
Winteria
L'infame Glaüx a eu beaucoup trop d'influence sur Winteria, ce pauvre petit enfant. Son sonnet est bô, bien écrit, c'est glauque au possible et grandiloquent. Mais ça s'enferre un peu dans le léchage servile de modèles datés. En faisant abstraction des grumeaux d'exaltation baudelairienne, ça se boit bien. -
Mon petit chien
par
Putsch
Y a plus de spontanéité dans les sonnets de Putsch que dans les autres. Avec un coté disjoncté, pas prétentieux assez rafraichissant. Comme toute pièce à deux faces, c'est aussi les plus anodins et les plus approximatifs. Celui-ci serait presque drôle, avec son vengeur débiloïde qui joue à Carmageddon avec les clebs du quartier. Mais la chute est franchement bancale. -
Départ
par
nihil
On a ici affaire à un sermon, un petit bout de propagande vindicative un peu à l'étroit dans ces quatorze vers. Le format est vraiment pas adapté et limite le message à quelques mots-clés et slogans entassés sans transitions. Ca se veut proche de la vision hindouiste de l'ascétisme, mais sans les explications qui devraient aller avec, ce n'est qu'un patchwork déficient. -
L'ascète
par
Das
Tiens c'est pas mal ça. A mi-chemin entre les thèmes imposés 'l'ascète' et 'les animaux morts'. Le style se permet quelques envolées mais ça déborde pas trop, ça reste clair. Le plus contestable finalement, c'est le final totalement true evil avec croix renversée et tout le bordel. C'était la consigne, on est d'accord, mais avant le dernier tercet j'étais presque prêt à apprécier le sonnet en tant que texte sérieux. -
Mister natural
par
Glop-glop
L'ascète dont il est ici question ici se nourrit des résidus de son propre corps. C'est pas follement original, mais ça passe peu ou prou. Bon j'ai quand même du relire deux fois pour tout bien capter, signe qu'on est pas au summum de la clarté. -
Le goinfre
par
nihil
C'est plutôt léger (malgré la masse de saloperies graisseuses que le narrateur décide d'ingurgiter), et le style évite les embardées. Bref, ça prend pas trop de risques, c'est amusant sans plus. Anodin, quoi. -
Liquéfaction
par
Lembaumeur
Je me prononcerai pas sur le fait que l'écriture soit bien maitrisée ou non, n'en reste pas moins qu'il se dégage une bonne ambiance de décrépitude organique avec lambeaux de peau et côtes apparentes. Ca c'est sur. Ce qui est sur aussi, c'est qu'en fait, il ne se passe rien. Sans parler des retours lignes en plein milieu des phrases. -
Lucifer incestus
par
Putsch
C'est tout à fait nul, et plutôt drôle. Vu le format, on a juste le temps d'esquisser un sourire, et c'est fini. En gros c'est une blague carambar quoi. Avec de l'émotion, du suspense, et surtout une morale : à la fin, le bien triomphe du mal. -
Jugement dernier
par
Dourak Smerdiakov
Trois d'un coup, Dourak s'est déchainé ce coup-ci. Tous aux abris, rien ne peut l'arrêter ! Trois ballades sans rapport apparent entre elles, qui vont de l'anodin au valable sans vraiment provoquer de hurlements de joie. Et on garde l'impression générale que Dourak continue sur sa lancée contre vents et marées, zone ou pas zone. Qu'il est un peu extérieur à tout ça. En attendant, cette série mérite à peine une demi-molle. -
Überweib
par
Das
Das s'aventure dans un domaîne normalement réservé à Dourak : la ballade. Et il le fait plutôt bien, sur un sujet assez habituel : la haine des femmes. Les principaux écueils sont évités : le propos est clair, c'est pas prétentieux et pas trop cliché (malgré une certaine insistance sur le registre du glaireux purulent). Bon, pour attaquer la gent féminine, j'aurais personnellement choisi une pelle, plutôt qu'un poème. -
Au crépuscule lointain des temps
par
Nathan Esmer
Nathan est un dangereux fasciste. Il ne manque plus que des mecs qui braillent que le diable marche avec eux pour faire de ce poème une chanson de la Waffen. Du moins en ce qui concerne le début. On bascule ensuite dans un symbolisme qui tend vers le mystique flou. A l'occasion, quelques belles images ressortent cependant, malgré un manque d'évolution de l'ensemble, une accumulation de poncifs et un je-m'en-foutisme total des principes de la versification. -
SNCF, merci
par
Pinocchio
Il y avait bien longtemps qu'on n'avait pas publié de mini-article sur la zone. Voici de la poésie en prose faussement précieuse, sur un thème qui eût bien mérité un sonnet. -
Inondation XX
par
Dourak Smerdiakov
Dourak s'était ouvert un de ces blogs à la con que personne ne lit, comme tant d'autres abrutis désoeuvrés. Le rétablissement du système de mini-articles lui offre l'opportunité de renouer avec la série des Inondations en venant nous déverser à la gueule ce mélange confus de ballades et de sonnets. Un blog de moins, un mini-article de plus : l'Histoire jugera. -
Angoisse
par
Le Rieur
Ce poème pourrait être la rencontre entre Ophélie Winter et Mylène Farmer : du caps lock, du désespoir, de jolis mots qui disent que le monde il est pas beau et que la mort, c'est la seule issue possible mais que quand même il faut se battre, bordel. Avec en bonus une pointe judicieuse d'anglicisme. Juste merveilleux. -
Mon pire ennemi.
par
Yothar_Ace
Je n'y connais pratiquement que dalle en poésie, mais je suis à peu près sûr que ce truc digne des premiers brouillons de Nicolas Sirtakis (ahah, le con, ah, ah.) n'en est pas. Il me semble néanmoins que l'Alexandrin est respecté, c'est déjà ça. Heureusement, vous pourrez toujours porter votre attention sur la merveilleuse image sans rapport qui orne ce texte. -
Rondel forestier
par
Dourak Smerdiakov
La girolle (Cantharellus cibarius) est un champignon de la famille des Cantharellacées. C'est un des champignons les plus connus et les plus recherchés. Souvent nommé Chanterelle, bien que cette appellation recouvre plusieurs espèces, il compte plusieurs autres noms régionaux tels que chevrette, roussotte, jauniré (dans les Vosges), ou gallinace. C'est un excellent comestible. (wikipedia) -
Salome Bling Bling Patmos Yacht Club
par
Dourak Smerdiakov
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lacérations quotidiennes
par
tantale
Autant l'annoncer d'entrée, j'entrave que dalle à la poésie. Du moins quand elle ne se permet pas d'être suffisamment claire ou de forme classique. Dans ce cas présent la forme n'est pas essentiellement poétique (on va remplacer "poésie" par canard, sinon on va jamais y arriver); donc je disais, ici on a pas affaire à un canard qui fait des rimes trop évidentes, on pourra même dire que ce canard là, et bien il ne rime pas. On a plutôt affaire à un canard gothassier en forme de puzzle, qui peut être arrivera à toucher les amateurs de canards, moi perso, je préfère la grandeur des otaries célestes à toutes ces conneries. -
Les Conquérants
par
Dourak Smerdiakov
José-Maria de Hérédia, grand auteur de sonnets devant l'Éternel, méritait bien un hommage sur un site tel que la Zone. Cet oubli scandaleux est à présent réparé. Nous allons vous demander une minute de silence et de consternation. -
Inondation XXI
par
Dourak Smerdiakov
-
Sonnet de merde
par
Dourak Smerdiakov
Inondation XXII. Sonnet. -
Déjà
par
Abracadabrants
Alors, ça, c'est indécent : un poème de chagrin d'amour. Je veux bien que chacun fait, fait, fait c'qui lui plaît, plaît, plaît, mais il faudrait voir à examiner un peu ce que c'est, ce truc, là, la Zone, avant de poster un texte plein de souffrance tragique et de désespoir fatal. -
Il n'était pas là par hasard
par
Dourak Smerdiakov
Inlassable comme un trisomique, prévisible comme un autiste, Dourak Smerdiakov nous livre une nouvelle ballade (veuillez prendre garde à l'artificialité de la rebriche). -
Effervescence nocturne
par
Arkai59
Arkai59 revient et relance sa candidature pour le poste de gognol en chef avec une espèce de prose poétique qui fleure bon la pop coréenne et un épisode particulièrement kitch de sept à la maison. C'est con, mais tout ça passe nettement mieux si on s'imagine que le narrateur parle aux fruits de sa gastroentérite. -
Karnak Mélancolique
par
Dourak Smerdiakov
Voici une vibrante récrimination antipolythéiste sous forme de rondel. Dourak poursuit donc sa coulée métaphysique dans un moule à tarte pour troubadour et, surtout, racle ses fonds de tiroirs pour repasser dans la liste des auteurs actifs. -
____Inuk____
par
Curare-
Curare-, inconnu au bataillon, débarque sur la zone en cette fin d'année et de civilisation avec un sonnet débilo-philosophique et des signes typographiques superfétatoires, voire surnuméraires. On ne résume pas un sonnet, on le torche, alors je n'en dis pas plus. -
___TiQQun___
par
Curare-
Salut, je ne suis pas sûr de savoir de quoi ça parle mais ça contient le mot usufruit et il serait dommage de passer à côté d'une occasion de vous rappeler qu'il faut en manger au moins cinq par jour et de bien les laver au White Spirit avant ma bonne dame parce qu'avec tout ces pesticides on sait jamais alala avant on avait de vraies tomates et surtout n'oubliez pas de bien vous brosser les dents sauf si vous n'en avez pas néanmoins big up aux gens qui nous lisent et qui n'en ont pas on vous aime quand même mais respectez vous un peu bordel de merde sinon ce texte est chouette et tout, y'a le mot ovale aussi alors peut être que ça parle de Rugby ou d'Eleanor Rigby oh d'ailleurs SALUT C4EST MARC LAVOINE ET SI VOUS LISEZ 9A C4EST QUE VOUS ËTES SUR LA ZONE / LA ZONE LE PREMIER SITE ON O% PEUT TROUVER. -
Profonde
par
Lourdes Phalanges
On accueille un nouveau camarade. À coups de barres de fer. "Lourdes Phalanges" débarque avec des vers bien pourris et un portrait de femme vaguement pathétique et complètement improbable. La poésie merdique est un de nos créneaux, alors on publie, crénom. -
Inondation XXII
par
Dourak Smerdiakov
Quand on est trop constipé pour un sonnet et trop flemmard pour une ballade, que fait-on ? Un rondel, bien sûr. Quand on a pas une idée de sujet, qu'on attend avec impatience le prochain Tour de France, quand les jours se changent en nuits sans éclaircie à espérer, quand on n'a plus rien à boire à la maison et qu'Émilie n'est plus à Moix, que fait-on ? Hé bien, euh... ce genre de truc. -
___La contournée ___(TiQQun- 3)
par
Curare-
Curare- est notre nouveau poète maudit (mais ça sent la poétesse, moi je dis) et promet de s'impliquer davantage sur le site. De plus, en message complémentaire aux admins, l'auteur traite la Zone de blog sympa. On laissera donc toute indulgence au vestiaire et l'on veillera à se munir d'une barre de fer et d'un sac poubelle. J'appuie sur le bouton "publier" et j'invoque Georges Pompidou à ma décharge d'anthologie. -
Puis elle mourut de trop avoir poussé.
par
Lapinchien
Lapichien, ayant gagné une publication directe sans délai d'attente de six mois sur la Zone à l'occasion de l'un nos légendaires jeux concours, s'en jugea indigne, tergiversa, fit des ronds de jambes, quémanda un thème pour l'inspirer, tenta de refiler la patate chaude et puis finalement nous posta, après un suspens haletant, ce sonnet scatophile et entomologiste, créant du même coup un nouveau genre littéraire, certes fort proche de la poésie merdique mais non assimilable. Thème imposé, donc : 'Elle mourut d'avoir trop poussé'. -
Inondation XXIII
par
Dourak Smerdiakov
-
Quatorze merdiques
par
Dourak Smerdiakov
Première et sans doute unique contribution à notre grand concours de textes sans substantif, cette saloperie de sonnet foireux raconte une scène de viol sur un ton guilleret. Bon, c'est vite lu, et on passe à autre chose. -
Les âmes en lambeaux
par
Cerbère.
Bonjour les lecteurs de la Zone. Aujourd'hui, traitons de la supériorité de l'intention éditoriale sur celle de l'intention de l'auteur. ALORS NE VOUS EFFRAYEZ PAS § La Zone n'est pas en train de virer club de poésie post bourgeoise bohémienne qui pue le pipi. Réglons nos comptes sur le sujet si vous le voulez bien dans les commentaires de ce texte. Mon point de vue n'a jamais changé : SEUL DOURAK SMERDIAKOV EST L2GITIME SUR LA ZONE pour écrire de la poésie, surtout si c'est un sonnet ou une ballade, ou dans le cas présent ON NE SAIT PAS TROP BIEN QUOI § Car oui, c'est super facile de se faire passer pour un poète, en écrivant 3 lignes en prose aléatoire ou en vers qui riment dans le meilleur des cas, avec respect des règles du genre, du décompte des pieds, de l'élision, des rimes riches, de l'absence de voyelles inspirées MAIS SEUL DOURAK A LE BACKGROUND nécessaire pour écrire de la poésie vraie.(un stage commando de 2 mois en Guyane) Déjà il a conscience que CE TYPE DE PO2SIE C4EST DE LA MERDE § Et sculpter dans un block de caca pour faire émerger, une œuvre minimaliste, dense, à plusieurs niveaux d'interprétation, voire même des niveaux SYMBOLIQUES, ça pourrait très rapidement faire penser à un happening d'ART CONTEMPORAIN (les plus grands spécialistes du marché de l'art/investissement financier à intérêts de l'ordre de 10% en 3 ans SONT SUR LE COUP et dissèquent actuellement le sieur Dourak, peut-être même au sens propre dans la chambre aseptisée d'une morgue scientifique de VOLGOGRAD afin d'étudier son cerveau de GENIE HORS DU COMMUN de notre contemporanéité, puisque voilà plus d'une semaine que DOURAK a disparu de la circulation ET QUE JE SUIS à 2 DOIGTS de lancer une ALERTE ENL7VEMENT) Pour en revenir au texte : J'aime bien les gens pointilleux, moins le style pointilliste, et encore moins l'abus de ponctualité triple. (J'ai jadis souffert de ce mal mais la Zone m'en a guéri) Il atteint en général ceux qui se la pètent et écrivent rapidement des textes, disons même qu'ils les torchent, ou qu'ils se torchent avec, puis qu'ils nous font les carreaux des lunettes. Ils veulent inconsciemment nous faire croire que non seulement ils ont des choses intéressantes à dire mais de surcroit qu'ils aimeraient en dire tellement d'avantage que ce qu'ils nous révèlent mais qu'ils écrivent tellement plus vite que leur pensée qu'ils peuvent au rythme de croisière à fond sur le clavier qui fume, se tourner carrément les pouces au sens littéral tout en continuant de taper leur texte d'une traite avec leurs deux auriculaires entrainés bien malgré eux dans une chorégraphie digitale digne de Rudolf Khametovitch Noureev. Nous aborderons la question de la supériorité de l'intention éditoriale sur celle de l'intention des auteurs, une autre fois probablement, car notre émission touche à sa fin. Et bien le bonjour. -
Rondel du vieux tacot
par
Dourak Smerdiakov
Pendant les travaux, la démolition continue... -
De l'humour drôle
par
Lapinchien
J'ai décidé de publier ce petit sonnet que j'avais écrit en juin dernier dans le seul but de faire barrage au flood de la Zone par HaiKulysse. D'ailleurs si vous avez des vieux textes sous la main (genre une antisèche de l'époque du collège qu'aurait mal séché justement ), n'hésitez pas à les poster. Objectif : Sursaut républication, donc. Parce que HaiKulysse, faut pas déconner, il dépasse les bornes et même s'il y a un plafond de verre qui bloque sa progression, en l’occurrence, mon absence totale de connivence en tant qu'admin, n'oublions jamais que ce plafond de verre peut à tout moment se fissurer et que la dernière digue contre la déferlante totale du mal absolu sur Terre, ce ne sera jamais Carglass, répare, Carglass remplace, mais toi plus moi plus eux et tous ceux qui le veulent. -
Blasphèmes
par
Dourak Smerdiakov, David, Lapinchien
Lors de la Saint-CON 2015, Dourak avait lancé une initiative au succès mitigé. Un grand concours de sonnets sur le thème du blasphème permettant à ceux qui obtiendraient le plus de votes d'avoir des points d'avance. Au final, il y a eu 3 participants au pré-concours, Dourak, David et Lapinchien aussi, ça aurait été discriminatoire de leur accorder des points d'avance. Cependant quand Dourak fait un bide, d'abord c'est un beau bide et puis on peut toujours le recycler en quelque chose de magnifique. Et puis je ne me souviens plus trop si ça avait été un bide en réalité, il y avait peut-être même eu des votants. Pendant longtemps, Lapinchien n'a pas voulu que sa contribution apparaisse dans ce texte jugeant qu'elle était bien où elle était, c'est à dire dans les limbes de l'oubli du forum du site. En effet, son texte n'est non seulement pas un sonnet et son titre "blasphème au règles du sonnet" est un prétexte honteux pour taper dans un concept ambigu mais il aurait été de mauvais ton de le publier après les attentats de Charlie Hebdo afin de ne pas entretenir un amalgame. Aujourd'hui ce n'est même pas par pure provoc' mais pour mettre en évidence un paradoxe dans la représentation graphique du sacré. ça aurait pu tomber sur "Piss Christ" mais du coup c'est Jacques Prévert que Lapinchien défigure (la honte réside plus dans le conceptuel proche du marketing d'agence de com plus que dans la transgression) Cela dit le texte de Lapinchien, est le plus pourri des 4 ici proposés. -
Malgré moi -
par
Curare-
Après une courte absence, Curare- revient sur la Zone pour nous poster un sonnet. Perso je le trouve très bon mais c'est parce que mes sonnets sont tout pourris alors j'ai pas les bons critères, les bons repères pour juger de la qualité, mais Dourak Smerdiakov nous dirait qu'in fine tous les sonnets sont tout pourris. La facture de celui-ci se trouve probablement quelque part entre le point de vue de Dourak et le miens. Je rappelle que pour Dourak, seules les ballades peuvent, lorsqu'elles sont bien senties, tenir la route. Faudrait qu'on s'y exerce un peu. Ce serait bien que Dourak nous montre un peu la voie à suivre. Franchement ma culture n'est pas bien vaste et d'autant plus dans ce domaine, je ne connais qu'une seule ballade, celle de Gérard Lenorman, la ballade des gens heureux. Le secret réside dans la prise à grandes doses de Prozac. -
Fond du Poëme
par
Khlamydon Kükipät
Curare- et son approche un peu singulière de la vie qu'elle est belle avec des petits oiseaux qui chantent, de l'émogothitude assumée, de l'hermétisme obscurantiste orthodoxe et des citations et hommages aléatoires, de la case et de la ponctuation de type ASCII Art pointilliste, s'attire tout un lot de copycats qui s'en donnent à cœur joie dans la parodie. Je fous tout de suite une photo de Gainsbourg un peu strange en illustration pour attirer d'autres poètes maudits dans le coin. En effet, toute cette émulation autour des sonnets est bien rigolote. Et pour ma part, ça vaut bien du Gérard De Nerval dans sa période journaliste au Figaro. Ici un nouveau pseudo pour un auteur qu'on fera semblant de ne pas reconnaitre. On plagierait bien du Chopin pour mettre ce texte en musique. -
Perds ta rondelle en chevauchant
par
David
Dans le cadre de la #SaintCon2016 l'Inquisiteur trismégiste Dourak Smerdiakov a proclamé : "Et si on faisait un pré-concours de rondels au lieu de sonnets, cette année ?" Les modalités ne sont pas encore fixées, elles serviront probablement par la vox populi à attribuer quelques points d'avance, mais profitons de cette manne pour nous en donner à cœur joie. David se lance éperdument dans l'aventure en nous proposant cette contribution printanière et inspirée. Vous êtes bien entendu tous conviés à participer à cette mise en bouche. Bien entendu ce n'est pas une obligation pour participer à la #SaintCon2016 -
J'irai te péter le rondel
par
Lapinchien
Dans le cadre de la #SaintCon2016 l'Inquisiteur trismégiste Dourak Smerdiakov a proclamé : "Et si on faisait un pré-concours de rondels au lieu de sonnets, cette année ?" Les modalités ne sont pas encore fixées, elles serviront probablement par la vox populi à attribuer quelques points d'avance, mais profitons de cette manne pour nous en donner à cœur joie. Lapinchien s'engouffre dans la brèche, son mode de reproduction étant opportuniste et impromptu. ça vaut ce que ça vaut, probablement pas grand chose d'après Muscadet qui nous met en garde :"Wallah, vous êtes des oufs, les octosyllabes, c'est pour les pédés. C'est des alexandrins qu'il faut, frère, à l'ancienne. Dourak, il va vous défoncer votre mère quand il va voir ça. Miskine. Vous avez suivi aveuglément la première ligne du Wikipédia comme des bœufs de labour." Perso, j'ai rien contre les homosexuels, bien au contraire, les plus grands poètes de tous les temps en étaient. Vous êtes bien entendu tous conviés à participer à cette mise en bouche. Bien entendu ce n'est pas une obligation pour participer à la #SaintCon2016 -
Oyez le stupre de la Zone
par
Curare-
Dans le cadre de la #SaintCon2016 l'Inquisiteur trismégiste Dourak Smerdiakov a proclamé : "Et si on faisait un pré-concours de rondels au lieu de sonnets, cette année ?" Puis il a fixé les modalités qui serviront à attribuer quelques points d'avance aux vainqueurs et les a exposés sur le forum ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le troisième rondel est donc une contribution de Curare- qui en profite pour régler ses comptes avec les zonards. Elle semble cependant oublier que les seuls liens qui nous unissent en ces lieux, c'est le fait d'y poster des textes et qu'en cela, Curare- n'est ni plus ni moins zonarde que les autres. Parfois peut-être trouve-t-on du plaisir à nous auto-flageller ? Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Make rondelle great again !
par
LePouilleux
Dans le cadre de la #SaintCon2016 l'Inquisiteur trismégiste Dourak Smerdiakov a proclamé : "Et si on faisait un pré-concours de rondels au lieu de sonnets, cette année ?" Puis il a fixé les modalités qui serviront à attribuer quelques points d'avance aux vainqueurs et les a exposés sur le forum ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le quatrième rondel en lice est posté par LePouilleux qui le dédie aux USA et au pire de ses ennemis, Donald Trump. Suggéré par Dourak dans les thèmes autorisés pour le pré-concours, j'imagine que cette année pour la Saint Con, on n'a pas fini de bouffer du Donald Trump, indéniablement le con de l'année quelque soit l'issue de nos festivités zonardes. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Il ne faut pas baisser les bras
par
David
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le cinquième rondel est posté par David, son second en lice après "Perds ta rondelle en chevauchant". Ici de très bons conseils : quand on vous braque, gardez les mains en l'air. Certes je pervertis les propos, mais l’ambiguïté m'a bien fait rire. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Rond d'elle
par
pascal dandois
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le sixième rondel est posté par Pascal Dandois qui destroye les règles du rondel au tractopelle dans une approche plutôt punk. Ma question est cependant la suivante : existe-t-il un état intermédiaire entre le stade anar et le stade anal ? Je rappelle que tous les auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
La buse
par
Muscadet
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le septième rondel est posté par Muscadet en réaction à l'antitrumpisme primaire de LePouilleux dans son rondel. Non seulement il se fait l'avocat du diable mais se fout de notre gueule en envoyant paître l'octosyllabe et en passant en alexandrins. De toutes façons, Muscadet le dit lui-même :"Mon premier objectif est d'être pénible, gagner est accessoire" Je rappelle que tous les auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Bon vieux temps
par
Dourak Smerdiakov
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le huitième rondel est posté par Dourak en personne. Un rondel nostalgique qui fleure bon les souvenirs d'adolescence, la bière belge d'abbaye, la moule, les frites sauce andalouse et le vomi en langue flamande. Je rappelle que tous les auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
JPC, mon amour
par
Madelicea
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le neuvième rondel est posté par un nouvel auteur Madelicea, ou plus probablement un ancien zonard qui a pris un pseudonyme pour ne pas assumer ce texte qui prend pour cible la marotte zombie de la Zone. J'ai bien une idée de qui pourrait être le vrai auteur et il s'est donné beaucoup de mal pour ne pas être reconnu. Je rappelle que tous les auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Rondelle K0730
par
Lapinchien
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le dixième rondel est posté par le récidiviste Lapinchien, toujours partant pour sombrer dans la folie furieuse de la procrastination induite par le premier trouble obsessionnel compulsif rigolo qu'il trouve à portée de main. Ici réminiscences de dessin industriel, un truc bien vicelard réservé à un public de tourneurs fraiseurs avertis. Je rappelle que tous les auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Surfer le ciel
par
Lunatik
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le onzième rondel est posté par Lunatik- . Rappelons que Lunatic était un groupe de rap français, originaire du département des Hauts-de-Seine. Créé en 1994 et dissout en 2003, le groupe était composé de deux membres, Booba et Ali. On se rend compte aujourd'hui que Lunatik- a probablement choisi son pseudo en hommage à B2O tant son rondel semble mené par l'esprit des punchlines de ce dernier. On peut également rapporter qu'une fronde s'élève contre le pré-concours de rondels et parmi les leaders de ce mouvement on peut compter Lunatik-, Muscadet et Trompette (a priori CTRL X, le dernier Grand Inquisiteur en date). Pour l'instant c'est embryonnaire et ridicule mais on sent que ça peut dégénérer alors gardons un œil attentif sur les actions des frondeurs. Par ailleurs, tous les auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons qu'ils jouent tous le jeu et que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Oui, vraiment, il s'agit d'un jouet sportif formidable et vraiment peu onéreux
par
CTRL X
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le douzième rondel est posté par Trompette, soit probablement Trompette Sournoise et selon ses dires CTRL X . J'indique donc CTRL X comme en étant l'auteur. Rappelons que CTRL X est le dernier Grand Inquisiteur de l'Ordre en date et qu'il a l'air bien décidé à remporter le titre à nouveau cette année. Que retiendra-t-on de son Inquisitorat 2015 si ce n'est en fin de règne d'être, au sortir de son hibernation, l'instigateur du soulèvement que l'Histoire désigna par Frondelle, soulèvement vif contre le pré-concours de rondels auquel il finira lui-même par se rallier en répondant enfin à la question "Est ce que Jokari est à moitié dans ton lit ?". Par ailleurs, la plupart des auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons qu'ils jouent tous le jeu et que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Elle esseulée dans son pull flasque
par
Dinah.K
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le treizième rondel est posté par le nouvel auteur Dinah.K, qui ne manquera pas une occasion de marquer des points dans le cœur de Dourak Smerdiakov en s'attaquant frontalement dans sa contribution à son sujet existentialiste de prédilection : La chanteuse Elsa. C'est avec délice que nous pourrons pour une fois sur la Zone nous délecter d'un article People. On va faire des envieux dans les rédactions de Voici et Closer. Par ailleurs, la plupart des auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons qu'ils jouent tous le jeu comme Dinah.K qui est le second dans ce cas et que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Relation spéciale
par
Dourak Smerdiakov
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le quatorzième rondel est posté par Dourak en personne signant ainsi sa seconde contribution après "Bon vieux temps". Ici Dourak s'attaque à son ennemi héréditaire, le Royaume Uni qu'il porte en aversion. Comme c'est un rondel de type hermétique, je n'en comprends pas trop tous les symboles. Il est question de Blair et de Malouines, ça me suffit à imaginer que le narrateur est feu Margaret Thatcher. Mais je suis probablement à coté de la plaque. La relation entre ces deux ex premiers ministres de la perfide Albion pourrait en effet être qualifiée de spéciale. Je m'en vais cauchemarder toute la nuit. Merci. Par ailleurs, la plupart des auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons qu'ils jouent tous le jeu et que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Puisque pour vendre un best-seller
par
Lapinchien
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le quinzième rondel est posté par Lapinchien qui remet le couvert pour la troisième fois au risque de chopper une indigestion ou tout du moins de gaver le lectorat. On continue dans les ragots de tabloïds absurdes et autres légendes urbaines que même la presse à scandale aurait trop honte de lancer de peur de sombrer dans le ridicule. Certes Lapinchien a coulé depuis longtemps et il s'en fiche. Cela dit, à défaut de l'apnée prolongée qui ne semble pas l'affecter, il faudrait vraiment cette fois que le ridicule le tue, l'achève. Lapinchien, à mort ! Rien à voir mais la plupart des auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons qu'ils jouent tous le jeu et que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Les dreamcatchers sont des cons
par
Mill
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le seizième rondel posté par Mill semble de premier abord assez vindicatif à l'égard d'un mystérieux zonard qu'il m'est difficile d'identifier. Cela dit je pense qu'il faut plus prendre cette participation comme une invitation à régler ses comptes par le biais d'un clash amical dans l'esprit du Rondel Game qui à l'instar de son équivalent dans le monde du gangstarap est fake et truqué comme un combat de catch sur RTL9 et d'ailleurs que Booba et Roff m'en soient témoins. Yom Kippour tombe cependant le 11,12 Octobre cette année alors je m'avance peut être un peu. Quoi qu'il en soit il est de mon devoir de ne cautionner aucun débordement. A vous voir vous battre je préfère encore que vous veniez tous les deux me casser la gueule. Sinon rien à voir mais la plupart des auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons qu'ils jouent tous le jeu et que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Du foutre
par
Mill
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le dix-septième rondel du pré-concours et le second posté par Mill traite d'échanges de fluides corporels, thème on ne peut plus printanier avec tous ces allergiques aux pollens et ces nez qui n'en finissent pas de goutter. Juste pour créer une petite polémique, je dirais que ça m'a fait penser à du Gainsbourg. Mill nous balance son foutre dans les rondels, plagiez Chopin, lâchez vos coms. Sinon rien à voir mais la plupart des auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons qu'ils jouent tous le jeu et que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
L'OTAN a largué son tapis
par
Dourak Smerdiakov
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le dix-huitième rondel du pré-concours et le troisième posté par Dourak après "Bon vieux temps" et "Relation spéciale". Dourak profite du pré-concours qu'il a lancé pour sournoisement distiller sa propagande anti-atlantiste. Certes les bombes frappent aveuglément qu'elles viennent du ciel ou de l'explosion de la ceinture de terroristes. Les frappes chirurgicales n'existent que dans les contes de fée, le prince charmant dans le tréfonds de Blanche-neige. Cependant dans sa démonstration, Dourak oublie de dire que la Russie bombarde les "mahométans" avec encore plus de zèle, sans faire le tri des zones sous contrôle des rebelles anti-régime ou sous celui de Daesh. Sinon rien à voir mais la plupart des auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons qu'ils jouent tous le jeu et que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Le ragondin, malin et doux
par
Madelicea
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le dix-neuvième rondel du pré-concours et le second posté par Madelicea après "JPC, mon amour". La Zone est troll friendly et souvent leur intervention est salutaire. Ici Madelicea dénonce avec subtilité la dérive misogyne et machiste parfois limite homophobe aussi du pré-concours de rondels qui part en vrille. Ici donc la belle histoire d'une nymphomane zoophile épanouie et rayonnante. Un beau message d'amour, d'espoir et de tolérance. Quelque chose me dit que le pré-concours vient d'amorcer une nouvelle phase ou chaque participant va tenter de pousser les limites du politiquement incorrect et du mauvais goût pour sortir du lot et gagner quelques points d'avance. Sinon rien à voir mais la plupart des auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons qu'ils jouent tous le jeu et que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Extrait du journal intime d'un membre éminent de la Nambla
par
Mill
En préambule de la #SaintCon2016, Dourak Smerdiakov a lancé un pré-concours de rondels dont les règles sont exposées ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3544 Le vingtième rondel du pré-concours et le troisième posté par Mill. Comme annoncé l'escalade se poursuit dans le politiquement incorrect et le mauvais goût car, oui, après la misogynie, l'homophobie, l'antitransgenre, l'anti-atlantisme, l'antizoophilie, voici que d'odieux propos antipédophiles s'immiscent dans le pré-concours qui part en vrille totale. Une sorte d'hystérie satanique pascale en est probablement la cause. Sinon rien à voir mais la plupart des auteurs qui ont posté des rondels jusqu'à présent n'ont pas encore posté de texte de Saint Con. Espérons qu'ils jouent tous le jeu et que la moisson sera bonne. Vous êtes bien entendu tous conviés à poster des rondels. Pour autant ce n'est pas une épreuve obligatoire pour participer à la #SaintCon2016 -
Nous, les gueux
par
Mala Espina
Oh, un poème, oh des vers, oh des rimes, le tout bancal et arythmique, sachons-le, puisque c'est Mala Espina qui s'y colle, pour cette rentrée littéraire d'après Saint-Con alors même que le suspense est à son comble et que les votes n'ont pas fini de tomber. Réjouissons-nous toutefois, ceci n'est pas un rondel, ni même un sonnet et ça causerait même un petit peu des Nuits debout que ça ne nous étonnerait guère. Mignon comme un jet de bile dont la prose nous manque ici toutefois pour les raisons évoquées plus haut. Il n'empêche que c'est cool, quand même, d'avoir un auteur qui y croit sans cynisme aucun. Qu'on ne vienne pas se plaindre ensuite d'écoutes téléphoniques intempestives, merci. -
Boîte à pâté
par
LePouilleux
Hommage à Christian Estrosi et Jean Dujardin. -
Complainte femelle
par
Clochard Céleste
Prototype de ce qui deviendra le Bobo, exporté dans nos contrées gauloises, le Beatnik est un dangereux individu. Après Jacques Cauda, voici un nouveau spécimen dont les méfaits sont publiés sur la Zone. La beat generation s’apprête à investir les lieux, ça commence d'ailleurs à un peu sentir le pipi, faudrait convoquer d'urgence des légions d’auxiliaires de vie pour endiguer l'afflux de migrants retraités fuyant des sites littéraires aux lignes éditoriales plus strictes. Ici donc, sous un nouveau titre qui fleure bon la provoc' des années 50, une sorte d'hommage collatéral à Jack Kerouac, une invitation à l'errance, qui cache en vérité un prosélytisme pro bouddhiste frontal et sans vergogne. -
LSD
par
Jon Ho
Suite à une grande opération de reboot de certains mots de passe des derniers inscrits, une sorte de spam de lapinchien en mode social engineering de bas étages en réalité, Jon Ho, sollicité, nous gratifie de deux bonnes contributions. Elles vous permettront de lire, digérer et commenter les deux premiers textes de l'appel de Cthulhu déjà publiés mais que cela ne vous empêche pas d'y participer vous-même. Voici le premier des textes, un sonnet dominical bancal qui ne manquera pas de bien énerver Dourak Smerdiakov. Un constat : désillusion et désenchantement du message véhiculé par le groupe Jefferson Airplane dans sa chanson White Rabbit. -
A l'intérieur du bidon
par
Khalid EL Morabethi
Ce qu'il y a de bien avec Khalid c'est qu'avec ses poèmes les illustrations sont faciles à trouver, sinon que dire ? Comme d'habitude, on a les images et pas le son donc après le muscle du dragon on a affaire ici à un parapluie noir, une personnification du vide et un tralala de répétitions. D'ailleurs, j'ai un peu l'impression de faire une partie de scrabble avec mémé, on prend des lettres, des mots, on les met dans un petit sac, on mélange et tadaam : voici un poème ! Quoi que, après la relecture, j'ai aussi cette image surréaliste de Magritte dans son oeuvre "Golconde", les parapluies, le clair-obscur, la pomme...tiens tiens tiens...(songeur) Aurais-je percé le secret de Khalid ? Mystère... -
Pourris d’humanistes à la solde du monde.
par
Le Docteur Burz
"Je ne nourris dans moi qu'une humeur noire, Chagrin, fâcheux, mélancolic, hagard, Grogneux, dépit, présomptueux, langard, Je fais l'amour au bon vin et au boire. De mon esprit toutefois je fais gloire, Pour le penser être frisque et gaillard, Et ne tenir nullement du vieillard, Mais nul que moi ne le se fait accroire. Pour trop me plaire, à chacun je déplais De vains discours, pauvre sot, je me pais, Ne pouvant rien sans espoir je désire. Pour n'avoir plus de reste que ma voix, Je chante à tous mes anciens exploits, Mais, les chantant, je n'apprête qu'à rire." Etienne Pasquier, humaniste du XVIème siècle. C'est beau la littérature quand on s'y met. Le verbe est manié avec douceur, les mots gazouillent comme des petits oiseaux. Et voici l'humanisme selon Burz : "Aimez-vous les uns les autres aux Maldives, C’est assez grand pour vos gueules de pets." Quelle poésie chantante, un plaisir vos petites oreilles... -
Dixit Valentino
par
Mala Espina
Bizarre. De la part de Mala Espina, on attendait plutôt un Jet de Bile. Rien de tel dans cette espèce de litanie déguisée en histoire racontée / vécue par une mouche de bar répondant au nom gouleyant de Francky-la-Cogne. Si l'on s'en tient au fil ténu du pseudo-récit qu'on nous propose ici sous forme de prose poétique, on peut considérer qu'il s'agit d'une incitation à la fuite. Exit, la révolte, la lutte et le torse bombé. Ici, on largue les amarres et on va voir ailleurs si on y est. Quelques images clefs, deux trois tournures élégantes ou au moins agréables. Pour le reste, ça sent un peu l'écriture automatique. -
SIMPLE COMME VIN
par
Khalid EL Morabethi
Bien, bien, bien... Comment dire ? Je ne sais pas d'où sort ce machin mais je suppose qu'il y a une prétention poétique. Alors bim, sans prendre de risque, je glisse ça dans "Poèmes de merde" et je retourne finir mon calva. Ah, pis y a un orignal. Pas sûr que ce soit fait exprès, mais ça reste exotique. Franchement, ça sent la traduction littérale de je ne sais quoi. M'en vais relire du Lapinchien, moi, tiens... -
2018, l'année de la bite
par
Mill
Bonne année à tous les pornophiles, érotomanes et onanistes confirmés, meilleurs voeux aux obsédés, aux maniaques et chibrophiles, il est l'heure de poétiser, de jongler avec les métaphores et les synecdoques, parce que tout est beau avec la gueule de bois. Bien entendu, il y a pire que cette sombre potacherie et vous pourrez sans doute le trouver sur ce site. La magie de la Zone, quoi. -
Tom Cruise avec Penelope Cruz
par
Zbooba
Zbooba semble nous proposer de lancer un appel à textes "Fake news" et c'est vrai que ça pourrait être marrant. Sa contribution ne vole pas bien haut mais elle s'inscrit dans la défiance à l'encontre de Macron qui souhaite légiférer dans le domaine alors c'est probablement subversif et zonard vu sous cette angle. D'un point de vue plus conventionnel, ça reste un gros TDM. -
Puisque pour vendre un blockbuster (LC remix)
par
Zbooba
Nouveau PDM de Zbooba qui cette fois-ci fait un remix de ce vieux texte de LC http://www.lazone.org/articles/2755.html -
Pas de green card, pas de patrie
par
Zbooba
Inconséquent : Qui manque de logique avec soi-même, qui n'est pas cohérent. Par exemple, un raisonnement inconséquent. Qui agit, parle avec légèreté, étourderie, imprudence : C'est être inconséquent que de se compromettre ainsi. Attention à ne pas confondre avec incontinent. Nouveau flood de Zbooba sur un sujet d'actualité. Vite des couches Tena contre les fuites urinaires des doigts. -
Choco BN, chocolatine ?
par
Zbooba
Foutage. De foutre avec le suffixe -age, sous l’influence du participe passé, foutu. Action de foutre (la merde), de se foutre (de la gueule de quelqu'un), etc. Donc à tous les niveaux, ZB2O c'est bien du gros foutage. Gréco-latine : mon cul. Zbooba étalon bas de la Zone qui nous souhaite deux fois les vœux de bonne année : inspiration abyssale : Si tu peux faire mieux, (et toi même tu sais que tu peux faire mieux ) poste donc un texte sur la zone point org. -
Arrache toi d'là, t'es pas d'ma bande
par
Zbooba
Vous n'en vouliez pas ? Et bien tant pis pour vous, vous n'avez qu'à suivre sa cadence et pondre de la pige en trois huit . Deux pour le prix d'un pour votre plus grand malheur : Zbooba, en veux-tu pas , en revoilà quand même. -
Turlutur-fu
par
Zbooba
la zboubohaikulysation totale de la Zone suit son petit bonhomme de chemin. Qu'attendons-nous pour réagir et sauver notre patrimoine séculaire foulé des 4 pieds 4 mains. Par pitié, jamais une collaboration ou un featuring entre ces deux abominations. -
Le pantalon sous les rotules
par
Dourak Smerdiakov
Quand les contributions se font rares, qui c'est-y qu'on appelle ? Dourak Smerdiakov, bien sûr. Réglé comme un métronome, il peut nous pondre des vers au kilomètre. Alors craignez sa fureur et contribuez. -
Rencart
par
Groomokh
Vous l'aurez voulu : c'est un poème, et même un "popoème de cimetière", précise l'auteur, par autodérision, ou pour se foutre de nos gueules, ou les deux à la fois (vous lui demanderez, enfin s'il se transforme en entité dialoguante). Peu importe, d'ailleurs, puisque le silence sépulcral régnant sur le site ne s'y prête pas trop mal. Sans doute faut-il connaître l'univers de l'auteur pour comprendre mais, ici encore, peu importe : on se sent toujours mieux après avoir fait popo. -
Equasillon
par
Groomokh
Toujours dans l'esprit de l'auteur, on continue à sautiller gaiement d'un vers à l'autre ou plutôt d'une mamelle à l'autre. On y connait pas grand chose en poésie érotique mais ici ça laisse quelques traces, attention tout de même à ne pas suer trop vite. On retrouve quelques mots aléatoires ici et là, l'histoire du funambule, des mots clés accrocheurs pour le site : mamelles, vagin, catacombes, rasoir. Rapide et efficace. -
Bavures extrêmes
par
HaiKulysse
Finalement, on ne sera pas surpris de découvrir qu'HaiKulysse est un enculé de poète. Dans ce cadeau posté le jour de Noël, il joue à convoquer des images ambiguës, sans doute dans le fol espoir de perturber nos systèmes digestifs entre Nativité et Saint-Sylvestre. C'est beau comme un cancer du colon, d'ailleurs ça parle aussi d'étoiles filantes. -
L'insoutenable caducité des lettres
par
Dourak Smerdiakov
En ce 8 mars, journée internationale de la femme, hommage au dépecage, récrimination inhabituelle contre la métrique française et viol de la règle des e muets ou caducs. Surabondance de rimes féminines dans les quatrains, évacuées en sac-poubelle dès les tercets. -
Saint-Gilles, par-dessous les caves
par
Dourak Smerdiakov
Si j'ai bien compris, le crétin en -kov se remémore une amour de jeunesse. C'est gênant. -
le déluge m'analyse
par
Khalid EL Morabethi
La nouvelle livraison du camarade KEM contient un plan d'action pour la Zone : " Il faut plus d’espace. Dévorer toute la décoration intérieure et la remplacer par de la visite." C'est une brillante analyse. À part ça, fume, c'est du KEM. -
kratoievski
par
Khalid EL Morabethi
KEM le surcryptant prend la rentrée en charge sur la Zone, et il était temps que quelqu'un s'en mêle. Sur la forme, rien de neuf du côté de KEM ; sur le fond, il me semble que ça régresse pas mal, je veux dire : d'un point de vue psy. -
Épitaphe
par
Dourak Smerdiakov
Pour mettre un peu d'ambiance, quoi de mieux qu'une épitaphe ? -
Sonnet au lecteur
par
Charogne
La Zone se transforme en cercle des poètes disparus. Ici, Charogne poste un sonnet avec un dernier vers caché pas bien difficile à trouver. Pour le fond, c'est une sorte d'hommage à la phrase "Merde à celui qui lit". -
Trou de balle
par
Dourak Smerdiakov
-
Lampadaire
par
Dourak Smerdiakov
Suntem chiar expulzați din viitor. -
Pour un empereur d'Autriche
par
Dourak Smerdiakov
-
Un dégueulis en vers
par
Un Dégueulis
Rappelons en premier lieu que seul Dourak Smerdiakov a le droit d'écrire des poèmes sur la Zone. Bien sûr de nombreuses personnes ont contourné cette règle, moi le premier. Le résultat n'a jamais été à la hauteur comme si une malédiction frappait tous ceux qui tentaient de rivaliser. Les vers de Un dégueulis ne font pas exception. Bien qu'emplis de mot savamment choisis, il y a toujours quelque chose de bancal qui agresse l'oreille et vous tord le cervelet. -
nobody can build bridges like me.
par
Khalid EL Morabethi
Vous ne le saviez pas, mais KEM nous manquait. Hélas, il semble qu'il se soit trouvé une utilité dans le génie civil et qu'il en soit même arrivé à payer des impôts. Ça ne nous dit pas ce que Jeff Bridges vient faire là-dedans, ni pourquoi KEM choisit le week-end de Pâques pour tenter de faire concurrence au souverain pontif. -
Colique intercalaire
par
Dourak Smerdiakov
Petit rondel intercalaire enter deux textes d'Un Dégueulis. C'est de la merde, mais c'est pour éviter de croiser les flux. -
Le flot des notifications
par
Dourak Smerdiakov
En ce début de week-end caniculaire, entre un texte sur les petits Irakiens morts et un autre à venir sur le désespoir, on va intercaler un petit rondel. Le rondel, c'est frais, léger, primesautier, ça se boit comme ça se pisse, c'est parfait pour l'apéro. -
La conjonction des probabilités
par
pascal dandois
Accident pédagogique : on avait publié ici un "texte" mal écrit, pas drôle et égotiste uniquement pour illustrer un propos. Comme l'auteur en a publié d'autres, on a choisi celui-ci, qui est vaguement moins chiant et aussi plus court, pour remplacer le contenu de l'article initialement publié. Bon, c'est la Zone, c'est bordélique et on fait n'importe quoi. (21/7/2022) -
Sur l'Uélé
par
Dourak Smerdiakov
Un tout petit rondel à la con au format Twitter sur un thème assez peu #metoo.