Rubriques
- Surfaces :
- Série de prortraits très laconiques de gens au bord de la folie ou en plein dedans.
Textes :
-
Surfaces (1)
par
Konsstrukt
Les épisodes de cette nouvelle rubrique peuvent se lire séparément ou ensemble. Ici l'histoire d'une détresse sans fond qui germe au cœur d’un quotidien écrasant et qui pousse le personnage dans la folie. Le style est précis et laconique, très dépouillé. On a droit qu’à la phase terminale de ce processus, la plus dure. -
Surfaces (2)
par
Konsstrukt
Le style über-laconique de Konsstrukt a un coté pesant mais sied très bien à la description de cette vie absurde d'ouvrière devant sa chaine de montage. On est très vite harassé, ça doit être le but. -
Surfaces (3)
par
Konsstrukt
Comme le titre le suggère, les textes de cette rubrique s'attachent aux apparences sans rentrer dans le détail des personnalités, ils décrivent les faits et gestes plutôt que les sentiments... C'est parfois exaspérant, mais en tous cas ça colle à ces instantanés de vie quotidienne répétitive au plus haut point. Tout ça est très houellebecqien, à la fois pour la forme et le fond. -
Surfaces (4)
par
Konsstrukt
Atmosphère de plus en plus bizarre dans Surfaces, la frontière entre le contrôle et le pétage de plombs est maintenant largement franchie. On sombre en pleine violence et en pleine confusion, mais sans les débordements lyriques qu'on nous sert habituellement dans ces cas-là, c'est assez surprenant. -
Surfaces (5)
par
Konsstrukt
Légère accalmie. Konsstrukt continue à nous servir son concentré de quotidien, trés détaillé. Mais pour le coup, on sent une fin limite torchée à la va-vite, au moment où l'accroche se fait. En même temps, c'est pas grave, on n'a pas fini d'en bouffer du Konsstrukt. -
Surfaces (6)
par
Konsstrukt
L'atmosphère du sixième épisode de Surfaces oscille entre une réalité bien soudée et des éléments plus délirants. On s'habitue tranquillement au style télégraphique même si ici des idées et des faits sont soulevés qui auraient gagné en étant un peu plus développés. -
Surfaces (7)
par
Konsstrukt
Episode plutôt confus, avec un personnage qu'on a du mal à suivre. On ressent moins bien son tourment et sa douleur, à la limite ça laisse presque froid. Par contre l'ensemble est plus déjanté et part nettement plus en vrille que d'habitude. -
Surfaces (8)
par
Konsstrukt
Un assistant-comptable pointilleux tente d'occulter le vide intégral de sa vie en se raccrochant à des détails minables et fantasme devant ses écrans de vidéosurveillance. Un portrait psychologique un peu gâché vu que le type est finalement un déjanté de première. -
Surfaces (9)
par
Konsstrukt
La déséquilibrée du jour est une riche vieille peau qui vit dans un grand appartement, et qui tente d'oublier les ravages de l'âge en s'en prenant à sa bonne. Portrait intéressant, mais ça nous avance pas à grand-chose tout ça. -
Surfaces (10)
par
Konsstrukt
Ca devait bien arriver un jour sur la Zone à force de tester toutes les limites : voici un texte dont le personnage est pédophile. C'est bien écrit et pas facile à encaisser. Un texte qui a valu quelques ennuis à Konsstrukt... -
Surfaces (11)
par
Konsstrukt
Très bon épisode de Surfaces, à propos d'un type lambda englouti au coeur d'une foule de passants. L'effet de surprise n'est plus là, mais on a droit à une sorte de best-of de tout ce qu'on a aimé dans les précédents épisodes. -
Surfaces (12)
par
Konsstrukt
On est dans une bonne phase dans les Surfaces en ce moment. Encore un épisode sympa, assez sobre, qui montre l'étrangeté et le doute qui naissent au cours d'une journée comme les autres. -
Surfaces (13)
par
Konsstrukt
Plongée directe dans l'univers du snuff-movie, cet épisode est comme toujours totalement dépourvu de considérations morales et s'attache uniquement aux faits. L'impact n'est pas phénoménal, vu que les lecteurs de la Zone sont bien rôdés niveau gore. -
Surfaces (14)
par
Konsstrukt
Un épisode vraiment trop court pour être franchement intéressant, mais la scène représentée garde un impact, malgré le manque d'explications. -
Surfaces (15)
par
Konsstrukt
Les phrases de quatre mots débitées à la mitrailleuse, ça fait mal au crâne mais ça reflète bien l'état d'anéantissement moral dans lequel se trouve le personnage. Mais ça fait mal au crâne. -
Surfaces (16)
par
Konsstrukt
Une riche qui tue des pauvres pour s'occuper, et la description détaillée d'un de ces meurtres. On est blasé parce qu'on a lu mille fois la même chose sur la Zone et que le style laconique, marque de fabrique de Konsstrukt n'amène rien de spécial au texte. Pas taupe. -
Surfaces (17)
par
Konsstrukt
On commence à être lassés des Surfaces. Celui-ci est dans la mauvaise moyenne en plus, puisqu'il décrit un passage à l'acte au lieu de rester sobre. Seul intérêt : il nous nous permet d'envisager une certaine forme d'intrigue globale réunissant l'ensemble des textes de la rubrique. -
Surfaces (18)
par
Konsstrukt
Télégraphique toujours, ce portrait d'une jeune fille désespérée est pas désagréable du tout. Le manque de détails un peu frustrant, donne un coté irréel intéressant à l'action. Mais ce Surfaces possède un début trop contradictoire pour être vraiment agréable à mon goût. C'est sympa, mais un peu trop facile et lassant. -
Surfaces (19)
par
Konsstrukt
Les premiers jours en prison d'un condamné à perpétuité, c'est une bonne idée. Bonne ambiance, c'est pas très poussé au niveau psychologique et c'est un peu dommage, mais bonne ambiance. -
Surfaces (20)
par
Konsstrukt
Notre héros est en colère et déambule dans son appartement comme un fauve en cage. Une bonne rage basique, pas à tendance lyrique ou artificiellement psychopatho comme dans la plupart des autres textes de ce genre sur la Zone. C'est très bon, dommage que certains passages prêtent plus à rire qu'autre chose, et dommage aussi que ça n'aille pas plus loin. -
Surfaces (21)
par
Konsstrukt
Ce 'surfaces' rappelle les premiers épisodes, c'est de l'ordinaire crasseux et sans but, désespérant. Pour la première fois depuis un bail, le personnage n'est pas un psychotique déjanté, et mine de rien c'est pas plus mal. -
Surfaces (22)
par
Konsstrukt
Et encore un ! Cette fois ci Konsstrukt décrit un accouchement. Toujours pareil, dans la moyenne des autres Surfaces. Bon j'en chie à vous décrire ce texte étant donné que je l'ai lu le plus vite possible. C'est loin d'être le meilleur, mais c'est pas le pire. Voilà démmerdez vous. -
Surfaces (23)
par
Konsstrukt
On est définitivement lassés des Surfaces. Pour ceux qui ont lu le reste de la rubrique, cet épisode n'est qu'une goutte de plus dans un mer de similitude (merde faut que j'aille écrire un poème là). Similitude de style, d'esprit. Un Surfaces de plus, et un de moins avant la fin prochaine de la rubrique. -
Surfaces (24 + 25)
par
Konsstrukt
Plus la rubrique Surfaces avance, plus on s'emmerde. Ces deux épisodes fusionnés ensemble font exception. C'est bien foutu et ça ranime un peu cette rubrique qui devenait franchement lassante. On notera une phrase finale entre parenthèses qui en fera jouir plus d'un. -
Surfaces (interlude)
par
Konsstrukt
Après la première partie de la rubrique composée de vingt-cinq portraits, voici un interlude. Bizarrement c'est presque le meilleur texte de la série : d'abord il change agréablement de la routine qu'était devenue la première partie, et puis il est déjanté, pornogore, très marrant. C'est une sorte de zapping social et culturel sans fil conducteur autre que l'état de pourrissement global de la société, dans un futur proche. Très sympa. -
Surfaces deuxième partie (1/2)
par
Konsstrukt
Cette deuxième partie de la grande rubrique Surfaces ressemble à un grand fracas désespéré, affligeant et insupportable. L'incohérence de la pensée fait du texte une expérience assez pénible, un manège écoeurant de platitude et d'auto-dépréciation. Et quand on croit que ça ne nous mène nulle part on s'enfonce encore un peu plus dans la souffrance. Pénible et assez vain, mais intéressant. -
Surfaces deuxième partie (2/2)
par
Konsstrukt
Le type qui s'est fait niquer ses deux mains dans l'épisode précédent revient se lamenter ici. Considérations sur la vie qui peut basculer d'une seconde à l'autre, déchéance et chant du cygne. Sur le fond c'est pas mal, mais le style terre-à-terre de Konsstrukt s'adapte mal à cette litanie de réflexions intérieures, c'est très long et exaspérant. La fin est presque inespérée, c'est une vraie frénésie de révélations, qu'on attendait plus, sur le contexte et les personnages de la rubrique, sur les Maîtres. Même si elle tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, c'est une belle fin pour la rubrique Surfaces.