Rubriques
- Nevrotica :
- Névrose quotidienne, mille questions ressassées, dépression, obsessions mineures qui tournent à la folie.
Textes :
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Nevrotica 1
par
Tulia
Fiction réaliste présentant la narratrice dans son environnement professionnel en train de piquer une crise inextinguible de fureur et de tout détruire autour d'elle. Très sombre. A lire. -
Nevrotica 2
par
Tulia
Une nouvelle humeur noire par Tulia, qui n'a que ça en stock à peu près, sauf que là ça tourne au psychopathologique façon Bible du néant de nihil. A lire absolumment pour bien flipper. -
Nevrotica 3
par
Tulia
On souffle le chaud et le froid dans cette rubrique (qu'est-ce que c'est que cette expression à la con ?) : un coup très violent et très sombre, un coup comme ici calme et démoralisant. -
Nevrotica 4
par
Tulia
La suite des aventures fantastiques de notre héroïne jeune, riche et belle. De l'action, de l'émotion, du suspense et de la DEPRESSION !!! Yaaargll ! Demain j'arrête la drogue. -
Nevrotica 5
par
Tulia
Toujours le même sillon tracé et retracé bien profond par Tulia, la dégénerescence de la narratrice dans les tréfonds de la névrose mélancolique (au premier sens du terme, voir dico) la plus plus sordide et la plus ordinaire. Une rubrique qui commence à devenir effrayante de cohérence. -
Nevrotica 6
par
Tulia
Retour à l'auto-appitoiement de Nevrotica avec un texte qui sent, au moins par endroits, moins le vécu que les derniers en date, mais avec des bons passages incohérents en plus, d'autres moins convaincants. Pas le meilleur des Nevrotica, mais de bons moments. -
Nevrotica 7
par
Tulia
Encore environ deux-mille questions sans réponse, du regret, du remords, de la solitude, de la remise en cause perpétuelle, de la tristesse infinie, bref un Nevrotica comme un autre. -
Nevrotica 8
par
Tulia
Comme souvent avec Nevrotica, il y a des hauts et des bas, Tulia joue sur le contraste et parle de violence et de rage avec calme et douceur. Mais peu à peu la tension monte. Enfin presque un peu trop puisqu'on arrive à des scènes gores qui font plutôt rigoler, ça casse un peu l'ambiance. Le style est moyen, un peu trop oral par moments dans cet épisode. Contrairement aux autres Nevrotica, on trouve dans celui-ci une forme de trame narrative qui apparait sur la fin, et qui surprend agréablement. -
Nevrotica 9
par
Tulia
C'est reparti pour un nouveau tour de manège. La suite (et fin ?) du journal intime le plus noir qui soit, Nevrotica. Avec de vrais morceaux de tristesse et de calme dedans, ce qui est inhabituel pour cette rubrique mais de plus en plus courant dans le style de Tulia. Plus de la bonne grosse souffrance torpide bien sûr, quelques plongées dans l'hallucination, bref la recette idéale pour un bon épisode. -
Nevrotica 10
par
Tulia
Et vlan, Tulia en rebalance une couche (si ça fait pas mal c'est qu'on tape pas assez fort) avec un Nevrotica qui raconte toujours la même chose, mais la répétition est le principe à la fois d'une rubrique et d'une névrose... Tentative d'auto-analyse compulsive et questionnement permanent mêlés de sensations maladives... Dans la moyenne des Nevrotica. -
Nevrotica 11
par
Tulia
Un Nevrotica plus décousu que la moyenne, les passages n'ont plus de rapport entre eux, c'est juste des bouts de pensées agglomérées. Ca quitte peu à peu les territoires psychotiques pour se tourner vers de la pure dépression. On retrouve ce mélange de mélancolie apathique et de désespoir qu'on ressent tous un jour ou l'autre. C'est moins impressionnant mais plus euh... convivial. Ouais convivial c'est bien. -
Nevrotica 12
par
Tulia
Le sentiment mis en avant aujourd'hui, c'est la méfiance vis-à-vis des autres et le besoin de protection, d'où un style un peu enfantin. Ca veut monter en puissance, mais l'intensité est tuée dans l'oeuf par l'inutilité flagrante de toute forme de rébellion et on sombre dans deux-mille questions embrouillées. Ca semble réaliste, mais d'un point de vue littéraire on sait plus sur quel pied danser.