Dossiers
- Asylum :
- Une série à épisodes qui peuvent être lus indépendemment ou à la suite les uns des autres. Chaque parsonnage est un pensionnaire d'un asite psychiatrique à l'ancienne.
Textes :
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Asylum - Cellule 219 (prologue)
par
nihil
C'est l'introduction du nouveau dossier Asylum, dont les épisodes peuvent se lire indépendemment ou d'affilée, selon le courage des uns et des autres. Pour ce premier texte, le héros est le professeur Tchekov, psychiatre qui a établi son bureau dans la cellule 219 après la rupture avec sa femme. Peu de choses à en dire, c'est une introduction, elle n'a pas d'intérêt particulier lue seule. Mais la suite arrive. -
Asylum 1 - Cellule 218
par
222
La cellule 218 de l'hôpital psychiatrique est occupée par une jeune psychotique incarnée par 222, qui semble ne pas avoir eu de problème particulier pour s'identifier à son personnage. Il faut dire qu'Amélie Vuissin, jeune fille agressive, traumatisée par son père, est tout le portrait de l'héroïne des autres textes de 222. Comme il fallait s'y attendre, c'est sombre, violent, un peu en deça des Dialogues pour la qualité, mais on se prend sa dose de violence verbale dans la face avec plaisir. -
Asylum 2 - Cellule 217
par
Winteria, Glaüx-le-Chouette
Winteria et Glaüx ont eu du mal à travailler ensemble pour écrire cet épisode successivement abandonné par l'Abbé Pierre, Dourak et Lahyenne. Le premier m'a pondu une contribution sombre et sérieuse, le second a fait dans le déjanté quasi-humoristique. J'ai eu un peu de mal à rapiécer les deux ensemble et le résultat est plutôt hétérogène, et hormis quelques passages psychopathologiques de la fin, peu satisfaisant. -
Asylum 3 - Cellule 216
par
Narak
L'épisode de Narak est à la fois très bon si on le lit comme un texte indépendant, et probablement trop long pour être valable pour la continuité de l'histoire globale d'Asylum. C'est très bien écrit, glauque à souhait. L'héroïne, une givrée de première paniquée par le déboulement en force de meutes d'animaux imaginaires, en voit de toutes les couleurs hallucinatoires. Un sommet du psychopathologique à la zonarde. -
Asylum 4 - Cellule 215
par
Hag
Hag nous a bombardé de textes comiques récemment, mais il ne faut pas oublier que c'est également un excellent auteur de textes sombres. Il en fait la preuve dans cet épisode cataclysmique, mystique au possible, où il incarne un prophète de la fin du monde de la meilleure manière qui soit. L'avalanche de sermons disjonctés et d'hallucinations morbides peut se révéler un peu lourde sur la longueur, mais c'est quand même un putain de chef d'oeuvre. -
Asylum 5 - Cellule 214
par
Invisible
La contribution d'Invisible au dossier Asylum n'est sans doute pas la plus violente, la plus sombre ou la plus remarquable du dossier. Il n'empêche que c'est clair, concis et ça se suit sans peine. Inv a su éviter la confusion psychopathologique qui a gangrené nombre d'épisodes jusqu'ici. Le ton est relativement léger, mais on se bouffe quand même quelques scène marquantes au passage. -
Asylum 6 - Cellule 213
par
Aka
On peut reconnaître les textes d'Aka au premier coup d'oeil, et aussi rigides que soient les instructions, on ne peut s'empêcher de déceler ce qui fait la force de ses autres textes : sensibilité, douceur perverse, violence psychologique. Moins de puissance brutale que certains de ses congénères sans doute, mais une certaine forme de nuance et quelques images marquantes plus sombres (plus classiques aussi) que les torrents de tripes habituels. -
Asylum 7 - Cellule 212
par
Ariankh
Ariankh a su élever suffisamment son niveau pour faire jeu à peu près égal avec ses illustres confrères de la série Asylum. Son épisode est loin d'être le plus réussi, mais il est efficace, halluciné, et largement assez psychopathologique pour plaire à tout zonard qui se respecte. Son personnage, maniaque, paranoïaque manque d'une psychologie réaliste, mais il est largement assez givré pour compenser. -
Asylum - Cellule 211 (épilogue)
par
nihil
Le professeur Tchekov, le fil conducteur de toute la série Asylum revient sur le devant de la scène pour cet épilogue qui manque d'une certaine dose de violence et de disjoncte pour servir de bouquet final. C'est plutôt une fin sombre et calme, sinistre. Ce qui après le déferlement de violence, de psychopathologie brutale qui s'est enchaînée durant sept épisodes, n'est peut-être pas un mal. -
Asylum hors-série - cellule 219 (version alternative)
par
Lapinchien
Y a eu comme une erreur d'interprétation à cause d'instructions mal formulées. Lapinchien, chargé de l'introduction de la série Asylum nous a pondu un épisode totalement hilarant, déjanté, bourré de gags tous plus absurdes et réjouissants les uns que les autres. Manque de bol, les autres auteurs d'Asylum se sont exclusivement cantonnés à des textes sombres. Du coup j'ai du réécrire cette introduction et garder celle-ci pour en faire un bonus DVD de haute volée.