Dans ma mémoire les images défilent, je me rappelle ma rencontre avec eux. Eux les gentils garçons que toutes les filles de l’université voulaient se taper. C’était en automne, Hugo était venu me trouver pour avoir un de mes cours. Nous avons sympathisé et il m’a présenté le reste de ses amis, Christophe, Sébastien et Ludovic. Nous étions super potes.
Un soir de février on a tous étaient invités chez Mélanie pour une soirée défonce, je connaissais pas et je sais pas pourquoi mais ça me faisait délirer de me défoncer à la coke. Ludo me lance : Eh Lucie un rail ou deux ? Euh un pour commencer.
Je snife, putain ça brule le nez cette merde, mes yeux piquent ce sont les dernières sensations que j'aurais de la journée. Et pour cause je suis toujours dans ce canapé à la con, assise et je comate. Je les observe sans pouvoir rien faire, ni dire.
Je vois Séb et les autres entrain de snifer encore et encore. Ils sont dans leur délire. Mélane elle aussi se défonce, elle les chauffe. Je vois Ludo qui la touche, elle se couche sur lui et caresse son sexe, elle le porte à sa bouche et elle se met à le sucer, il jouit. Elle en a partout. Les autres les regardent, ils sont morts de rire, bande de bouffons.
Moi j’hallucine, je suis comme un pantin, la bave coule de ma bouche et je m’aperçois que Mélane ne compte pas s’arrêter là, elle chauffe les mecs un à un et voilà ça finit en touse. Putain, il y a une odeur de sexe qui flotte dans la pièce, quelle bande d’enculés.
Je ne sais pas combien de temps ça dur mais voilà, ils se sont tous endormis sans se soucier de moi. Heureusement je vais mieux, je commence à reprendre le dessus, il était temps. Je bouge mes jambes, elles réagissent donc je me lève. Je fais le tour du salon et ils sont tous là, endormis. Ils n’ont même pas prit la peine de se rhabiller.
En y pensant ils se sont bien amusés sans moi et si c’était à mon tour de jouer ? J’attrape la lame de cutter qui a servi à faire les rails et je leur tranche la gorge. Ils n’ont pas l’air de souffrir, dommage. Le sang coule et coule encore, sincèrement j’en mouille ma petite culotte, c’est sur si je leur coupe la bite je jouis. Hum cette montée d’adrénaline m’excite littéralement.
Soudain j’entends gémir à l’autre bout de la pièce, c’est Mélanie qui se réveille, elle me regarde en souriant, pourtant je suis couverte de sang. Elle s’approche de moi et me touche le sexe, je suis toute humide, elle défait mon haut, mes seins pointent, elle les léche puis elle défait les boutons de mon jean, il glisse au bas de mes jambes, ma culotte suit le même chemin, elle enfonce ses doigts experts dans mon vagin et là on échange de longs baisers, je m’allonge et je la laisse faire. Y’a pas à dire elle a un coup de langue à tomber. Ca y est je jouis comme jamais je n’ai jouis. Elle me regarde, ce fait un rail et me sourit.
Moi je reste assise là, je contemple les corps qui m’entourent, bordel mais qu’est ce qui m’a prit ? Je pleure, je n’arrive pas à m’arrêter.
Ouah j’ai mal à la joue droite je sens qu’on me secoue et j’entends la voix de Christophe : Oh Lucie qu’est ce qui t’arrive ? Oh Lucie putain tu fais un grave bad trip. Je l’entends, je le vois et je me mets à rire et à rire, je n’arrive plus à m’arrêter.
J’ai perdu le contrôle de moi-même. Je sens de l’eau sur ma peau, on me lave apparemment, tiens maintenant je suis dans la chambre de Mélane. Le reste je ne m’en souviens plus. Tout ce que je sais c’est qu’il est 20 heures, et que nous sommes le lendemain de la soirée défonce.
La frontière entre le rêve et la réalité est tellement infime que je n’ose pas ouvrir la porte de la chambre. J’ai peur. J’attends.
LA ZONE -
Ca fait un moment que j’attends assise là. Tout avait bien commencé pourtant, ils étaient tellement sur d’eux. T’inquiète pas Lucie tu verras c’est rien. Rien, rien oui peut-être mais en attendant je suis là, dans le noir à attendre que l’on vienne me chercher.
= ajouter un commentaire =
Les commentaires sont réservés aux utilisateurs connectés.
= commentaires =
J'ai envie de faire un remake de ce truc à ma sauce. Ce serait un putain de bon texte, écrit par n'importe qui d'autre que cette conne.
moi je trouve qu'il ya une nette amélioration stylistique depuis le boche avec sa malette
l'idée est pas mal non plus.
mais ça manque un peu de psychologie, comme toujours, on comprend pas pourquoi le tueur se met à tuer.
la fin est bien
Par rapport à ce dont on a l'habitude, je trouve même ça excellent. J'ai adoré. La fin est particulièrement bonne. C'est dommage qu'on sente dès le début le bad trip à plein nez, mais la séance de saignage de porc est particulièrement marrante.
Ouais c'est marrant, mais je sais pas si c'était le but... Et ça pourrait être effrayant et malsain. Ca faisait longtemps qu'on avait pas eu du vrai porn aussi, c'est une bonne chose.
Mouais...Pffff....Bof. On va dire que c'est le moins pire des textes de Vrine, mais ça reste bien nullos, avec une écriture du niveau collège, et encore.
La description de l'égorgement des connards tient en quatre lignes, après (et un peu avant aussi), il parait que c'est du vrai porn selon saint-Nihil, mouarf...
Le happy end est particulièrement décevant. Si la pétasse de Lucie avait éventré l'autre conne de Mélanie du vagin jusqu'à la gorge, ça aurait pu faire une fin intéressante.
Marrant sans plus. Coup du bad trip déjà fait. Manque de crédibilité au niveau de la drogue en question aussi. Par contre d'accord avec l'amélioration nette de l'auteur dans son style.
"Amélioration nette de l'auteur dans son style"?Ah!ah!ah!T'es drôle Aka quand tu te la pètes critique littéraire.
Pour moi y a une nette regression.
Son meilleur texte c'est de loin sa recette de chef de service mariné à la pisse.Il est de bon ton de cracher sur la malette et d'encenser cette daube, et bien moi je dis le contraire, "La malette" c'est un chef d'oeuvre par rapport à "Coke".
Par contre ouais bizarre la coke de ces p'tits bourges ringards...remplace le mot coke par acide ca collera peut être un peu plus.
La phrase entière c'était "par contre d'accord avec l'amélioration nette de l'auteur et de son style" déjà.
Ensuite dire que je me la pète critique littéraire alors que t'arrives avec tes vérités toutes faites à la "son meilleur texte c'est" ou tes "par contre ouais", c'est carrément l'hopital qui se fout de la charité.
Quant à ton "il est de bon ton d'encenser ça ou de cracher sur ci" tu peux te le mettre bien profond dans ton cul : quand j'aime un truc je le dis, quand j'aime pas aussi. Sens du vent ou pas sens du vent. Les textes de Vrine en général j'accroche pas, je trouve que ça fade et simpliste, pas marquant. Là j'ai trouvé ça un peu plus soigné même si au final ça reste un texte complètement basique que j'aurai oublié dans quelques jours.
C'est complètement subjectif, un peu comme le fait que je pense que t'es un sale conard. Même si je suis la seule à penser ça, j'affirme que pour moi t'es vraiment une sous-merde. C'est plus clair ?
Tu vas pas encore faire ton caca nerveux.Vraiment susceptible cette conne.
"Il est de bon ton d'encenser etc.." ça s'adressait pas particulièrement à toi.Donc pas la peine de me pondre un paragraphe en réponse à une attaque qui n'existe pas.
Tu penses que je suis un "sale connard"?
Merde alors, la femme qui hante mes nuits me considère comme une sous-merde...quelqu'un a une corde?
C'est con, moi qui aime bien les histoires de partouzes, tampis...
Enfin de l'action !
Et mes textes à moi, ma poule, sont-ils de ton goût ?
Attention lapinchien chienchien à sa mémère va sévir !
C'est pas parce que tu ne t'adresses pas personnellement à moi que je dois fermer ma gueule. Si tu veux pas qu'on réponde à tes commentaires, t'as qu'à pas les mettre, on s'en portera pas plus mal.
Arrête de te regarder la bite un peu, je me contrefous de savoir comment tu réagis au fait que j'affirme que t'es un con qui sert à rien.
Les mots d'amour c'est en privé. Et ce serait bien de vous engueuler un peu également avec d'autres gens, votre exclusivité est lassante.
J'y arriverais un jour, j'y arriverais ...