Aujourd’hui, au Mc Donald où je travail, on me fait les mêmes reproches entre autres celui de ne pas être intéressant.
Quel paradoxe, quand j’y pense, pour quelqu’un qui a toujours été insignifiant d’être aujourd’hui écouter par tant de monde.
C’est vrai que je ne parle pas beaucoup, c’est comme ça.. Je n’ai pas forcément envie de parler de la coiffure d’une tel, ou de remettre en cause l’intelligence d’un tel et je me soucie peu des histoires de couples des autres qui m’entours.
Donc c’est sûr que pour beaucoup de personnes quand on élimine les sujets de conversations que je viens de cité, il ne reste plus beaucoup de choses sur les qu’elles ont peu discuter.
On dit de moi que je suis un marginal, ce n’est pas faux. On dit aussi que je suis un « gogole » ou encore un « psychopathe ». Ceux qui dissent ça ne me connaissent pas, d’ailleurs personne ne me connaît vraiment ici.
Enfin bon, j’avais fini par m’y habituer, à ces petits rires camoufler, c’est commérages que l’on faisait plus ou moins discrètement sur ma personne.
Mais ce que j’appréciais moins, c’est quand on me prenait carrément pour un trisomique ou je ne sais quoi quand par exemple, on jeter sur moi sans que je m’y attende de l’huile sale, ou bien alors, quand je prenais mon repas les autres cracher dedans.
Cela avais fini par des insultes et on ne m’appeler plus par mon nom mais par toute sorte de surnom plus dégradants les uns que les autres.
Quand j’essayer de clarifier les choses ou de vouloir discuter généralement c’étais encore pire que auparavant.
Jusqu’ici, j’avais réussi à tenir le coup grâce à Emilie.
Emilie était belle, elle à un an de moins que moi. Elle est du 14 février, c’est un ange de l’amour tombé sur terre c’est cheveux sont blonds, elle à le tain mate et les yeux marrons. J’ai toujours adoré Emilie, je pense même que j’en étais amoureux, on est arrivé chez Mc Donald le même jour voilà de ça deux ans, elle ne me connaissait pas et je pense que c’est d’ailleurs pour ça quelle est venue me parler.
Même si on ne parler pas beaucoup une complicité c’était vite installer entre nous, j’aimais son sourire et ça façon de m’enlacer quand elle me faisait la bise. Le simple fait de parler d’elle et d’y repenser me donne des frissons et me tord l’estomac, je pense que c’est ce que l’on appelle l’amour, je n’avais jamais ressentis cela auparavant.
Ce qui à tout fais basculer, c’est quand Emilie à fêter son anniversaire, elle à inviter tous les employés du Mc do, à venir dans une soirée en boite de nuit. Personne ne voulait que je vienne mais Emilie a beaucoup insistait pour que je sois là ..
Elle est vraiment gentille avec moi.
C’été la première foi que je rentré dans une boite de nuit, la musique qui y passer été tous simplement atroce, je me rappelle la première chanson que j’ai entendu c’étais Claude François qui chanter Alexandrie.
On c’étais tous rassembler à une table privée, un serveur et venu nous apporter des boissons alcooliser dans un grand plat rempli de glaçons avec quelques bâtonner qui faisait des étincelles, c’est peut-être ceux qui à fais que je me suis « lâcher » pendant la soirée.
Comme tout le monde m’éviter et que j’étais seule dans mon coin, Emilie est venue me proposer de danser. J’en avais pas très envie car j’avais déjà beaucoup bu et en plus je ne savais pas danser, mais comme la musique qui passer étais un slow, je partis avec elle en direction de la piste de danse.
C’étais merveilleux, j’avais déjà rêver d’un tel moment, j’étais collé contre elle et je sentais son parfum m’envahir. Elle portait une de ces robe noir à décolleter ou son dos été dénudé et une mini jupe qui laisse deviner un porte jarreter. Je sentais sa poitrine ferme contre mon torse, j’avais trouvé mon point de gravité la tête calée sur son épaule, un grand vide et une grande sérénité s’installa en moi.
Pour la première foi de ma vie j’étais heureux.
Mais comme tous bonheur a une fin, le mien aller vite s’arrêter et d’une façons plutôt inconvenante ..
Emilie ne pu s'empecher de rire et me poussa au moment ou j’aller lui dire que je l’aimer en crian tout joyeusement « MAINTENANT » le DJ étais apparemment dans le coup ainsi que l’équipe toute entière de la boite de nuit car la musique s’arrêta et les spots m’éclairères et c’est alors que deux collègues à Emilie et moi à l’étage supérieur m’aspergèrent du contenu d’une bassine de gerbe et d'urine, qu'ils avaient remplie en la disposent dans les toilettes de la boite.
A ce moment là, tout aller au ralentit pour moi. Je voyais Emilie et tous les autres personne présente de la boite, mortes de rire.
Je n’entendais leur rire, plus quand bruit de fond, cacher par les battements de mon propre cœur, les battements été de plus en plus lents mais de plus en plus intenses je sentais les veines de mon coup les accompagner. Et c’est a ce moment là que j’ai attraper Emilie.
Je les projeter contre le mur qui étais à côté de nous je les saisie par les épaules et j’ai commencer à la secouer en lui demandant si elle étais consciente de se qu’elle venait de faire, que je pensé trouvé en elle quelqu'un qui me comprenne et qui m'accepte tel que je suis, mais non elle étais comme les autres, pendant tout se temps elle c'est moquer de moi.
Je la pousser contre le mur en y métant de plus en plus force, je voyais sa tête si fragile qui se cognait violemment contre, à chaque secousses je me sentais apaiser, apaiser d’une soif de tuer.
Apaiser oui, mais pas repus.
Au bout d’un court moment, je vis qu’elle n’était plus en vie .. En effet une longue marre de sang étais à mes pieds ainsi que contre le mur derrière son crâne explosé, sur le moment je m'en voulais d'avoir salie c'est jolie cheveux blonds avec son sang. Je les donc lâcher et à ma surprise, elle est rester debout incruster dans le mur je lui est murmurer un « je t’aime » c'étais les mots que je rêver de lui dire depuis deux ans.
J’étais comme déconnecter je n’étais plus énerver je n’avais plus la rage je ne ressentais même plus la moindre petite tristesse, j’étais vide, vide de toute émotions.
Je n’avais plus qu’une seule envie, une envie que je ne pouvais m’expliquer, une envie qui venais du plus profond de mon être. Tuer, tuer le maximum de personnes, n’on pas par vengeance, mais pour le simple plaisir et fait de tuer.
J'avais la haine de tout mes semblables.
Je ne suis pas un garçon spécialement fort, ni spécialement rapide.
Mais quand je me suis retourné face à la salle je découvris seulement alors que trois videur de la taille de trois gorilles essayaient désespérément de me maîtriser, soit, se seront eux les premiers.
Je pris la main du premier qui essayer de m’étrangler et d’un petit mouvement de mon poigner je la brisa, j’ai trouver cela très amusant et j’ai continuer mon geste jusqu'à voire son os de l’avant bras déchirer sa peau ce qui me fit éclater de rire. Lui, il crier comme un porc que l’on égorge.
Je pris son bras-moignon et je les enfoncer dans l’œil de son collègue qui lui essayer de me retenir par ma jambe gauche, j’attrapa le troisième à ma droite par le coup en le soulevant de terre et le serra si fort que l’on entendis toutes ces cervicales craquer les une après les autres.
Quand je vis du sang s’échapper de sa bouche, je les lâcher et il c’est effondrais par terre, le voir là gisant dans son sang, été bien plus que jouissif pourtant je ne le connaissais pas, mais qu'importe.
Lentement je me suis mis à relever la tête pour contempler la salle qui été stupéfaite de frayeur devant mes actes. Je ne comprends d’ailleurs toujours pas d’où m'est venue une telle force mais ce qui est sûr c’est qu’elle n’était pas encore partie tout comme mon envie de tuer n’était toujours pas rassasier.
Je me mis alors à sourire et c’est à se moment que tout le monde commença à fuir, ils fuyaient tous car ils avaient peur que je les tues, ce qui été tout à fais normal car c’est ce que j’aller faire. J’étais frustrait de voir que beaucoup s’entre-tuer en se piétinant pour rejoindre la sortie, moi j’avancer lentement, vers elle pour empêcher les gens de s’en aller, je n’en n’avais pas fini d’eux. Ceux qui se trouver sur mon passage je les tuais en leur rompant la colonne d’artébrale, ou bien en frappant suffisamment fort sur leurs visages qui se déformer instantanément sous l’effet du choc. Je me rappelle même d’un gars au crane rasé d’environ deux mètres qui me donner quelques coup au visage en criant que je ne lui fessais pas peur, j’ai bien rigoler quand je les frapper à mon tour et que j’ai vu c’est dents se détacher ainsi que l’os de son nez, qui lui à violemment remonter vers l’intérieur de son crâne jusqu'à en transpercer son cerveaux. Ahh oui c'été bien marrant.
J’ai continuer à tuer, tuer jusqu'à ce qu’il n’y est plus personne pour assouvir ma soif de meurtre et au petit matin quand je me suis réveiller j’étais dans une pièce blanche avec ces matelas au mur.
En tout cas, je suis content, maintenant j’ai de quoi parler. Regardez ça fais bien une heure que vous êtes là et que je parle et vous vous n’avez encore rien dis, je crois que je suis guéris, je ne suis plus « inintéressant » n’es ce pas ?
Vous ne vous sentez pas bien ?
Mais .. Mais pourquoi vous partez ? revenez voyons ! je ne vous est pas encore raconter comment je les est retenu enfermer dans la boite !
.
..
…
c’est pourtant là où je me suis le plus amuser. Décidément ces jurés et ces journalistes, tous les mêmes.
LA ZONE -
Je suis un jeune homme de vingt quatre ans,
Je ne suis pas spécialement beau, ni spécialement moche. On ma toujours fait le reproche quand j’étais encore à l’école, de ne rien avoir à dire, d’être inintéressant.
Personne ne voulait me parler, car j’étais l’idiot de la classe, j’étais l’idiot parce que je ne riais pas aux blagues des autres, parce que je ne me m’étais pas, comme les autres à insulter la pauvre remplaçante qui débute dans son métier.
Je ne suis pas spécialement beau, ni spécialement moche. On ma toujours fait le reproche quand j’étais encore à l’école, de ne rien avoir à dire, d’être inintéressant.
Personne ne voulait me parler, car j’étais l’idiot de la classe, j’étais l’idiot parce que je ne riais pas aux blagues des autres, parce que je ne me m’étais pas, comme les autres à insulter la pauvre remplaçante qui débute dans son métier.
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Ouais nan, à ce niveau là c'est même plus trop risible. On sent bien que l'intention est bonne, mais vraiment y a des gros progrès à faire... ce qui est largement possible, j'ai lu des textes tout à faits acceptables de gens qui avaient commencé par des trucs pitoyables. C'est le commentaire le plus positif que je puisse te faire.
Ah si, quitte à lire des bouses je préfère celles qui se prennent pas au sérieux. J'avais bien aimé ton texte, la journée de merde, par exemple...
Commentaire édité par nihil.
ouais nan, à ce niveau là c'est même plus lisible
faut arrêter les fautes et apprendre à s'exprimer
au moins, on tente le coup
c'est pas comme d'autres...
Emilie, c'est une nouvelle marque de hamburger ?
Et c'est quoi la colonne d'artébrale ?
Sinon, c'est joli cet orthographe aléatoire, un peu pénible à lire quand même, faudra faire moins long la prochaine fois, juste le titre par exemple.
Ouais juste le titre, à condition qu'il soit moins naze que celui-ci aussi hein...
Ouais colonne d'artébrale, c'est bon ça.
Tu as voulu faire de ton personnage un loser et un asocial et tu ronchonnais parce que tu y arrivais pas trop... Le résultat c'est que non seulement tu y es pas arrivé mais en plus là il sonne plutôt comme un putain de mongolien, c'est impressionnant. Même dans mon texte Mongostrike (http://zone.apinc.org/article.php?id=469) j'ai pas fait mieux.
Et bien , moi, je trouve qu'il y a un assez net progrès. Mais il ne faudrait pas que tu te mettes à nous raconter ta vie privée, par contre.
Putain c'est mieux quand c'est pas passé dans word.
Il y a de beaux efforts mais bon. Le rôle du petit con qui fait des textes déconnants te va beaucoup mieux que celui d'auteur de nouvelles. Tout le monde ne peut pas écrire des nouvelles on le sait tous. Ca fait deux ans que je suis là et j'ai jamais réussi. Chacun son créneau. y a des bons auteurs de nouvelles ici qui sont incapables de faire un texte déconnant ou polémique par exemple.
J'ai bien aimé la toute fin, même si c'est surfait ici (sur la zone) l'HP. Y a un truc dans ton style très simple qui rend le mec vraiment psycho, mais à force ça fait mongolito (pour les amateurs, ça m'a rappelé Nono du squatt dans Groland).
Ah oui, faut arreter S.King aussi passé un certain âge. En plus le résumé de nihil ne t'a pas aidé sur ce coup là. Quoi que, y avait pas vraiment de suspens à préserver.
Bon en résumé, ça fait chier de dézinguer ce texte pour l'effort, mais, ça reste un texte de merde.
"Et c’est a ce moment là que j’ai attraper Emilie."
On sent confusément qu'ici, à ce point très précis du récit, un autre dénouement restait possible. Finalement, ça rend ce texte très poignant à la relecture.
bah ct pas un texte qui se prennais au sérieux .. l'autre que j'ai envoyer "l'épopée galactique" (oué je fais dans les noms de merde) par contre lui oui .. pis D.Smerdiakov à compris que le texte enfaite est meilleur à la relecture.
pour l'orthorgraphe pas d'excuse, vous pouvez continuer a me decendre ladessu.
Dourak a lu ton texte deux fois parce qu'il est myope et qu'il refuse de porter des lunettes à cause de son putain de snobisme d'aristocrate russe.
Et c'est vachement dangereux de dire que tu écris aussi des textes qui se prennent au sérieux. Tu nous tends le bâton pour te faire battre, là. Enfin, bon, le ridicule ne tue pas, t'as de la chance.
l'épopée galactique... ça sonne bien
je sens que ça va être grandiose
"Ah ! ça ira, ça ira, ça ira
Les aristocrat’s à la lanterne
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira
Les aristocrat’s on les pendra"
Et pourquoi pas actionnaire ?
ça passe mieux, je trouve
"les actionnaires, on les pendra"
par les bourses.
Y a pas, l'orthographe gache tout.
Putain je reste sans voix devant ce texte qui aurait été digne d'être de moi ... Je sais c'est pas flatteur pour l'auteur mais bon faut assumer après tout.
*Vrine se met en mode J.P Coffe et lance : C'est de la merde*
Vous devriez nous faire des petits tous les deux.
Putain parle pas de malheur.
"J’étais frustrait de voir que beaucoup s’entre-tuer en se piétinant pour rejoindre la sortie".
p'tain, où est la sortie ???
Mais dans ton fondement, Cosette.
Ca fait trop aristo comme formulation, Doukinounet. Après tu t'étonnes qu'on te charie...
Il eut mieux valu dire "dans tes fondations", c'eut été plus prolétaire de chantier zonard et franchement maçon.
oui, à quelle loge appartiens-tu, Dourak?
... Que dire...?
Comme ça doit être kitsch, d'être franc-maçon. Je préfère encore adhérer à l'Ordre Rénové des Templiers Cathares Canal Historique.
24 articles en attente, dont je ne sais combien de nouveaux auteurs. La rentrée littéraire sur la zone, ça confine au productivisme. Et ce malgré le fait que les glorieux anciens dissipent leurs forces dans de vaines compétitions multi-sites.
va bientôt falloir publier deux articles par jour, même sans compter la production destinée aux JOC
Ta gueule malheureux !!! Si nihil t'entend...
m'aime pa malle !
je dois d'urgence consulter un orthophtalmo... je vois des fautes d'orthographe partout...
bon j'en rajoute une couche au cas où on ait pas remué assez le couteau dans la plaie... on sait jamais p'tete qu'El def va péter un cable et tous nous zigouiller, ce qui serait plutot un acte salutaire.
"on jeter sur moi sans que je m’y attende de l’huile sale,"
apparament l'huile était pas que sale elle devait être chaude bouillante, toute fraiche sortie de la friteuse apres usage....
"ou bien alors, quand je prenais mon repas les autres cracher dedans.", Faut pas être parano, c'est un geste purement amical qui ne doit prêter à aucune confusion malheureux... l'amilase salivaire particpe à la digestion des aliments, çà devrait être un ingredient obligatoire de la garbage food, autrement indigeste.
sinon je suis pas sûr que Francis Ford Coppola (ah non putain Martin scorcese, ah mais non Brian De Palma) signe pour l'adaptation cinématographique d'un 3eme volet, quoique... en ajoutant une scene dans les vestiaires des filles ou ton personnage principal à ses regles pour la première fois de sa vie sous la douche çà devrait pouvoir se negocier... Autrement, la cuvette de gerbe et de pisse est carrément plus crédible que le sceau rempli de sang de porc...
Commentaire édité par Lapinchien.
hé ben il est en pleine forme l'hybride
Il rentre de vacances, bronzé jusqu'aux oreilles.
Tiens au fait je me demande se que fait la bite de Defoncer en illustration.
mais non c'est le clito d'émilie qu'il porte en pandentif depuis... l'excision par amour , c'est tellement beau...
Je viens de voire Carrie 2, (bah oué, j'avais pas vu) c'est bien pourri j'ai failli arretter avant la fin, un peu comme mon texte quoi, juste la mére qui ma fais délirer, sinon je suis dég de pas avoir pensé a la télékinésie.
pas le 2, le 1
Ah bon ? Y a eu un 2 ?
mouais
genre,"CARRIE est de retour, et elle est pas contente !!!"
Et l'Amniocentèse c'est fait pour les lampes de chevet ?
Du coup, déconcerté par le cas de ce brave garçon, je me suis précipité sur une vieille malle poussièreuse. Je savais au fond de moi que la solution s'y trouvait. Effectivement, elle me tendait les bras...
"Le développement de l'intelligence chez les arriérés", L. BONNIS, Paris 1926.
Et encore....
"Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie (Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902)" de Désiré Magloire BOURNEVILLE, Alcan, Paris 1902.
Quelle chance...
"Note sur le volume et la forme de la tête dans l'idiotie" par DESMAISONS-DUPELLAN , Bibliothèque spéciale, Tome 1.
Sans compter...
"Traité du goitre et du crétinisme", F. E. FODÉRÉ, 1800... une merveille
Et l'excellent...
"Le dressage des jeunes dégénérés ou orthophrénopédie", THULLIÉ, 1900.
Au boulot. Tout espoir n'est pas perdu !
Ca me ferait chier de m'appeler Désiré Magloire.
on ne dira pas ton nom...
essayez de lire ce texte à voix haute, avec un air idiot.
Fou-rire garanti.
Putain, Nourz, t'as pas honte de ressortir les textes de El Def ?
Ce qui est encore plus marrant, c'est que de l'avoir écrit avec un air idiot, ça n'a pas l'air de faire rire. Etonnant.
L'anthropologie conceptuelle atteint des sommets inégalés quand Glaüx découvre un texte du Duc.
Commentaire édité par nihil.
Ben oui. Moi j'écris avec un air sérieusement pris de la tête des trucs qui au bout du compte sont débiles. Le Duc écrit avec un air débile des trucs qui au bout du compte sont sérieusement prenants de la tête. Un Glo, un gol. On est pareils, le Duc et moi, sauf que non.
Encore quelques fautes d'orthographes et tu sera Le Duc.
kess que sé draule!
tu diser pas sa si tété émilie !
Jariv pa a finire le tesque pasque sé riant. J'aie dés smasmes. spasmes? Bon alé jeu vaiz essayait de continué