Alors, serait-ce montrer un aspect peu reluisant de mon caractère que d’avouer ici que je les aurais volontiers écrasés comme des cafards ?
Au fond, je sais bien que ce ne sont pas de vrais génies.
Ce sont de « simples petites choses virtuelles » intronisées par un gourou insignifiant, le père Bouric et son comparse non moins microscopique, l’affreux Jojo. De surcroît, ils sont de qualité très inférieure, mais leur habileté à contaminer est telle qu’elle confine au génie !
Qu’on ne vienne pas me gonfler avec des considérations morales sur l’envie, minable produit de l’aigreur. Envieuse, certes je le suis devenue à la lecture de leurs topics ! C’est ainsi. Il m’aura fallu moins d’une seconde pour remplir ma poche de fiel.
Cette montée d’amertume est un symptôme habituel de la première phase avant l’indifférence puis l’apathie. Si l’atonie me guette, je ne suis pas vaincue pour autant et pour guérir de ces intrus, il faut commencer par se purger de ses humeurs, chasser le poison, faire bouillir le ressentiment et oser l’injure par le feu pour en exprimer le principe actif.
Quand on est comme moi, repue de jalousie il est temps d’étouffer ou d’expulser.
Non, l’envie n’est pas à mettre au rang des défauts incurables. Fortement dosée elle est un émétique violent qui finit par soulager quand il ne tue pas !
AU FEU LES POMPIERS LA MAISON QUI BRUUUUUUULEUUUUUU !!
J’ai attrapé deux génies la semaine dernière, comme on attrape une mauvaise grippe.
Je clique sur un forum, le traverse en diagonale…hop !
Je clique sur un autre…le parcours non moins rapidement…et re-hop !
A peine le temps nécessaire à la contamination dont tout virus normal et sain à besoin pour se propager que j’étais déjà empoisonnée ! Ils m’ont sauté dessus…lâchement, sans préavis !
Je clique sur un forum, le traverse en diagonale…hop !
Je clique sur un autre…le parcours non moins rapidement…et re-hop !
A peine le temps nécessaire à la contamination dont tout virus normal et sain à besoin pour se propager que j’étais déjà empoisonnée ! Ils m’ont sauté dessus…lâchement, sans préavis !
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= commentaires =
J'essaye même pas de lire, ils commencent à me gonfler.
A dégager. Je comprends même pas que ça paraisse, faudra effectivement redéfinir les règles.
L'année prochaine, je réglerai mes comptes avec mon arrière-grand tante, promis.
Je me suis forcée. Il n'y a aucune élaboration de plan, aucun choix vraiment concrêt de con, pas de séquence de crémation.
Non seulement vous n'êtes pas intéressants avec vos histoires de familles nombrilistes, mais vous êtes inutiles à ce qui se passe ici.
Au vu des commentaires, pas envie de lire non plus.
Commencer par les commentaires... pourquoi pas.
S'en tenir là sans autre engagement personnel, c'est un peu comme éviter un film parce que les critiques de Télérama sont à chier... tout ceci dénote une belle indépendance d'esprit et une imposante capacité de jugement.
Pour être dans le ton, je pourrai me fendre d'un commentaire élaboré : Bêêêê! Bêêêêêêêê! Bêêê!... ou, rebelle et inconscient, prendre le risque d'écrire que j'ai pris un certain plaisir (hélas trop bref) à lire.
Je me tâte.
C'est beaucoup plus facile de prendre du plaisir à quelque chose quand on le comprend il me semble. Toujours aussi con ce Gout Bulgare.
Maman,
Depuis maintenant huit mois que tu refuses de m'adresser la parole, sache que je n'en ai strictement rien à battre. Le temps est fini où la petite fille avait besoin de toi pour la castrer tant psychologiquement que socialement, j'élève mes enfants comme je veux, je ne serai pas ton clone et ma vie ne sera pas un reflet de la tienne, va brûler ailleurs, et fous-moi la paix.
Bernard,
Pendant trois ans j'ai supporté tes gérémiades de poète maudit. A présent, tu veux me culpabiliser avec ton ridicule chantage au suicide, sache que je m'en bats comme de l'an quarante, puisses-tu être le con de quelqu'un cette année ou une autre, adieu.
Mamie,
La prochaine canicule approche, je saurai me souvenir du cadeau minable que tu m'as fait à Noël dernier...
Monsieur Jacquemin,
Mes meubles, prenez-les, je ne m'attache pas au matériel, je n'en ai que faire. Mes enfants, enlevez-les moi, ils seront plus heureux dans une autre famille et je les entendrai moins hurler, ça me fera des vacances, de toutes façons, vous n'aurez pas ma libertééééééé de penseeeeeeeer.
Sauvage,
Merci pour l'espace inutile à combler, ça me manquait moi aussi de régler mes comptes avec des gens dont personne n'a rien à foutre.
out of order