Mais si l’on peut visualiser assez bien les limites posées en terme de positionnement d’expression, en est-il de même pour celles plus immatérielles et d’appréciation personnelle, telles que le ridicule ? Y a t-il des limites au ridicule ? Vaste débat auquel chacun peut apporter une pierre gravée d’anecdotes croustillantes dans l’édifice de la réflexion…
En voici une…
Au retour d’Ecosse, m’apprêtant, armée de mon expérience toute récente, à affronter l’inévitable toute première question, farouchement intellectuelle doublée d’un fond de culture sans borne et sans limite, vous la devinez bien sûr, « mais que portent les Ecossais sous leur kilt ??? », voici la réponse qui fut apportée…
Le kilt, vêtement traditionnel dans les highlands, se suffit à lui même. Ses 4 à 6 mètres de tissus de tartans, lourds et chauds, couvrent un corps nu, sans laisser jamais la possibilité d’entre voir la moindre parcelle de peau située au dessus du genou. Ah… Mais seuls les militaires ont l’obligation de respecter la tradition. Ah… Obligation entraîne moyen de contrôle… Laissez courir votre imagination… Les gradés demandent à soulever les jupettes ? Non… Des miroirs posés sur le sol, dans les casernes, permettent de voir d’un seul coup d’œil si les attributs masculins sont bien là et bien aérés.
Ceci sans préjuger de savoir si c’est le récit, les Ecossais, ou les autres, qui sont ridicules dans cette histoire…
Le dossier limites est-il exclusivement axé sur la zone, ou sur les limites en général ? Repérons donc cette première limite… nombriliste… Un sujet dans un cadre, un cadre pour un thème, un discours du cadre…
Non, pas d’inquiétude, je n’ai pas l’intention d’en faire une large question philosophique, quoi que certains pourraient sans trop de difficultés se lancer dans cet essai…
Non, pas d’inquiétude, je n’ai pas l’intention d’en faire une large question philosophique, quoi que certains pourraient sans trop de difficultés se lancer dans cet essai…
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rab
Et le cul de l'illustration est d'une platitude abominablement pas excitante.
découpé à la meuleuse d'angle et rôti ça doit quand même avoir son intérêt.
ou rôti dans la masse et découpé ensuite, d'ailleurs.
Beurk, je me disais bien que le cul de l'illustration n'avait rien de bien appétissant. C'est un vrai viol visuel enculés !
Je me suis fait avoir aussi