Noir, je l'étais sacrément ce soir là. Quelques verres de punch assortis d'un joint fumé en douce avec 2 ou 3 collègues : mauvais point quand il s'agit d'une soirée d'entreprise...
L'impair, je l'ai commis en faisant du rentre-dedans à la femme de mon boss, une belle quadra qui semblait s'emmerder à 100 sous de l'heure dans ce joyeux pince-fesses.
Mes inhibitions étant restées au vestiaire, bien encadrées par un demi-litre de punch et quelques grammes de THC, je réussi à convaincre la dame de me suivre aux toilettes.
Nous nous chauffons quelques minutes et très vite, je me retrouve à l'intérieur de la dame (enfin, en partie seulement).
Manque : après deux malheureux coups de reins, perdant tout contrôle, j'envoie la sauce.
"Qu'à cela ne tienne, je vais me refaire sur le coup suivant" me dis-je en mon for intérieur (j'aime bien me raconter des trucs en mon for intérieur. Généralement, il n'y a personne pour m'apporter la contradiction et je tombe toujours d'accord avec moi-même. C'est reposant.).
Je poursuis donc mon va et vient en essayant de me motiver, mais dans le même temps, une nausée sournoise commence à me gagner.
"ça, c'est certainement le toast aux oeufs de lump. Je n'ai mangé que ça, ils ne devaient pas être frais."
J'interromps brutalement ma prestation et me penche sur la cuvette des toilettes, expulsant en quelques spasmes le-dit toast dont les petites billes noires surnagent au milieu d'un liquide de couleur improbable et exhalant une forte odeur de rhum.
Je reste là, pensif, à genoux devant la cuvette, continuant à me demander comment un petit toast de rien du tout peut-il provoquer une telle indigestion.
La dame, qui s'était rajustée entretemps et que j'avais légèrement oubliée, me tire de ma contemplation en me tapant sur l'épaule.
Je relève la tête. Elle me dit d'un air narquois : "Vous savez, mon époux vous trouve très compétent dans votre domaine. Comme quoi, on ne peut pas être bon partout..."
La prochaine fois, j'essaierai les toasts au saumon. Ils avaient l'air sympa, les toasts au saumon...
L'impair, je l'ai commis en faisant du rentre-dedans à la femme de mon boss, une belle quadra qui semblait s'emmerder à 100 sous de l'heure dans ce joyeux pince-fesses.
Mes inhibitions étant restées au vestiaire, bien encadrées par un demi-litre de punch et quelques grammes de THC, je réussi à convaincre la dame de me suivre aux toilettes.
Nous nous chauffons quelques minutes et très vite, je me retrouve à l'intérieur de la dame (enfin, en partie seulement).
Manque : après deux malheureux coups de reins, perdant tout contrôle, j'envoie la sauce.
"Qu'à cela ne tienne, je vais me refaire sur le coup suivant" me dis-je en mon for intérieur (j'aime bien me raconter des trucs en mon for intérieur. Généralement, il n'y a personne pour m'apporter la contradiction et je tombe toujours d'accord avec moi-même. C'est reposant.).
Je poursuis donc mon va et vient en essayant de me motiver, mais dans le même temps, une nausée sournoise commence à me gagner.
"ça, c'est certainement le toast aux oeufs de lump. Je n'ai mangé que ça, ils ne devaient pas être frais."
J'interromps brutalement ma prestation et me penche sur la cuvette des toilettes, expulsant en quelques spasmes le-dit toast dont les petites billes noires surnagent au milieu d'un liquide de couleur improbable et exhalant une forte odeur de rhum.
Je reste là, pensif, à genoux devant la cuvette, continuant à me demander comment un petit toast de rien du tout peut-il provoquer une telle indigestion.
La dame, qui s'était rajustée entretemps et que j'avais légèrement oubliée, me tire de ma contemplation en me tapant sur l'épaule.
Je relève la tête. Elle me dit d'un air narquois : "Vous savez, mon époux vous trouve très compétent dans votre domaine. Comme quoi, on ne peut pas être bon partout..."
La prochaine fois, j'essaierai les toasts au saumon. Ils avaient l'air sympa, les toasts au saumon...
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Le prochain coup, tentes directement un toast au dégueulis, ça évitera des allers-retours inutiles.
Moi j'allais soumettre l'idée que la prochaine fois, il se tape directement son patron... comme quoi!
moi jaurai proposer le patron et la femme en meme temps tu gagnes du temps et de l'avancement
les galettes !
un theme très prisé et récurrent sur la zone
j'ai cru comprendre que c'était du réchauffé (déjà recasé ailleurs)
nous on veut du frais, de l'appétissant
allez au turbin
Une histoire de schyzophrénie, par exemple ?...
D'accord avec la binoclarde. Tu t'es pas trop foulé sur ce coup là... Va falloir te remettre à bosser maintenant.
S'il vous plaît, tu me racontes une histoire ?
Bin ouais, ça serait génial, comme ça dans quelques années on a des chances d'écrire tous la même chose, comme ça au moins on aura recréé un style bien conforme avec nos propres critères différents de ceux des autres, un style zonard mais tout lisse avec rien qui déborde, et on pourra tous s'interchanger ensemble, et on formera une société parallèle bien qu'en presque tout point identique à celle que nous critiquerons de nos écrits acerbes. Pis tiens, tant qu'on y est, on a qu'à tous prendre le même pseudo, pis tous s'asperger la gueule d'acide pour avoir tous la même tête.
A MORT LA DIFFERENCE, VIVE LES CLONES !!!!!!!!
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Par contre j'espère qu'on va le garder celui-là !
Son histoire pue le déjà-vu (entre autre) mais j'aime bien le moment où il est (en partie) dans la dame !
D'ailleurs je l'ai appris par coeur ce passage.
damned çà ressemble à du Scorbut tout craché prédigéré ! nihil, y t'en a fallu du temps pour cloner le regrété Scorbut grace aux prélèvements de frottis de glotte que j'ai pu te fournir et au matériel que tu as "emprinté" à ton ex boite Strasbourgeoise de création de superantibiotiques à base d'insectes
Quoi ? Un autre faux-clone ?
Moi,j'ferais bien pareil mais sans la patronne.