Au loin, la lumière intense et aveuglante à présent éteinte, l’ébranlement assourdissant du monde réduit au silence, la terre éclatée et encore fumante était devenue paisible... Un paysage dévasté apparaissait maintenant, mais aucune âme humaine n'était présente pour voir ce spectacle de désolation...
Le vil scorpion, abandonné à sa isolement dans cet univers de décadence et de chaos, seul rescapé de l'apocalypse qui réduisit à néant les puissants de ce monde, sorti de son antre misérable et ressenti à cet instant, au plus profond de ses entrailles, le destin empirique dont il allait être à l'origine.
Prisonnier des flammes, se consumant dans un hurlement de souffrance, tel le papier cigarette, en un instant, il disparu dans un virevoltement de cendres...
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Les problèmes de temps, de genre et de nombre semblent indiquer une part non francophone, je penche pour le bulgare, ou les Carpates, on s'appelle pas Vlad pour rien.
Pourquoi ça s'est arrêté à dix lignes, ce truc ? Quand on pose des personnages on les fait vivre, bordel, pas juste sortir d'une caverne.
Ca aurait pu être pas mal, relu et continué.
En même temps écrire sur l'immédiat après-fin du monde, ça peut très bien tourner court, en ce sens que seul dans le néant le survivant se fait chier, il est comme mort, mais biologiquement en vie.
Va penser plus loin putain.
L'accouchement d'un scorpion en huit lignes, ça promet.
Et encore j'ai eu envie d'écrire l'attouchement
"le vil scorpion", ah ah ah... Bouh le vilain pas beau! Dis moi, t'as peur des fourmis aussi?
"le destin empirique dont il allait être à l'origine" : destin impérial non? Sinon ça fait vraiment moche et inutile. En plus, pour un scorption, être "à l'origine de son destin" c'est ... tellement improbable. Un peu mieux présenté ça l'aurait fait, pourtant.
Une idée de fond qui défouraille sa mère, pourtant.