Une période de doute, de vague noire intense, une boule à l’estomac.
Certaines pensées me cogne la tête, ma grand- mère ,ma mère, mon frère, même mon père : La Mort !
Des flashs en continuent me viennent aux yeux : L’accident, Le fusil, Les tentatives échouées, Le cercueil, Les coups sur mon corps, Mes bleus, Mes cicatrices.
Je ferme les yeux : « Non, non ! Va -t-en…. Non, non, arrêtez ! Stop….AU SECOURS ! »
Mes yeux s’ouvrent peu à peu. Ma gorge se sert, ma boule à l’estomac s’intensifie de plus en plus… J’étouffe… encore et encore…
« Boom, Boom… » Ma tête tourne, mes yeux s’humidifient, mes oreilles bourdonnent. Des larmes traversent mon visage. Elles sont chaudes. Elles me brûlent, me gèlent.
« Aïe ! »
Je tourbillonne, je m’enfonce dans le gouffre, ça tourne, ça tourne !
« Non, arrêtez ! Partez ! »
Mon souffle est de plus en plus rapide, ma peau s’humidifie, mes muscles se tendent.
Non ! Non ! ARRETEZ !
Je sens une main arriver sur moi. C’est une main, chaude, familière, attendrissante et pleine de compassion.
Elle est de plus en plus présente. Elle est là pour me rassurer, me réconforter, m’aimer.
Elle est là….
Mon souffle s’atténue, mon cœur se calme, l’humidité sur mon corps s’évapore. Mes yeux ne saignent plus. Mon âme est en paix, je sourie.
« Tout va bien, calmes toi »
Je me replonge au fur et à mesure dans mon monde…
Cette douce chaleur part, m’arrache mon bien être, ma paix.
« Non, non ! reviens ! S’il te plait ! Je t’en prie ! »
Tout recommence, ma poitrine fait des va et viens de plus en plus rapidement.
Le ciel s’assombri, mes muscles se tendent, ma peau pleur ….
Tu m’as quitté, je te cherche…Panic, Peur, Angoisse !
Mes yeux s’ouvrent, se ferment, s’ouvrent….
La lumière est là, je me réveille il est 10H39.
Tu es là, ce n’était qu’un cauchemar !
Cette main, Ta main est douce, chaude, apaisante.
Je la rejoints.
Je sens mes cicatrices, mes bleus, tes coups sur mon corps….
LA ZONE -
J’allume mon portable, il est 10H39.
Je le regarde fixement.
Je sens ma jambe bouger.
Le stress m’envahit.
Je le regarde fixement.
Je sens ma jambe bouger.
Le stress m’envahit.
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Sérieusement, un texte de Clax, ça ressemble toujours à un bon vieil épisode de Twin Peaks, une main pour frapper l'autre, un oeil pour ne pas voir l'autre, un poumon pour mieux voir l'autre noircir, et juste un coeur qui ne bat jamais que pour lui seul.
Mince, ça me réussit peu le taf pour écrire des inepties pareilles. Il devait y avoir une idée derrière néanmoins, mais j'ai honte de moi.
Clax montre la dualité, l'attrait des contraires, les cicatrices derrière le sourire lisse.
L'absurde et la violence derrière l'amour.
En lisant des textes comme 10h39, on en vient à regretter que les journées n'aient que 1440 minutes et que nos mains soient dans nos poches.
V.
heu
c'est la main de qui ?
D'Occus peut être ?
Toi on dirait que tu es un peu le specimen qui se rapproche le plus de ce qu'on pourrait appeler "lectrice zonarde de Voici". Il semble en effet que tu t'attaches à pister les éléments biographiques derrière les textes de Clax (texte adressé à son frère ? Main violente et douce d'Ocus ?).
En espérant que tu avances dans tes recherches...
V.
Désolé pour l'image qui ne fonctionnait pas, c'est rectifié...
ouais ! je suis d'accord avec nihil ! J'ai la meme opinion de ce texte !
bah non c pas la main d'ocus... c'est juste un texte comme ca, si j'ose dire.... rien de reelle!
Euhh c'est vrai c'est un peu le bordel ce texte, mais bon quand je le relis j'arrive a comprendre... c'est la st con qui vous met dans ds etats pareils?
piti piti piti ... approche ... pitipitpiti... tu vois je jete au loin mon piège à ours..allez approche..
¤craquage d' une allumette dans le dos¤
non lc tu me bruleras pas! Je ne serais pas ta conne pour demain!!!!