LA ZONE -

Rose

Le 06/03/2025
par Arthus Lapicque
[illustration] Rose est créative et très intelligente. Sa peau blanche comme la neige, ses boucles d'or et son sourire éblouissent tous les regards, quant à ses grands yeux bleu-ciel, ils ne sauraient rien cacher. Pourtant il y a ces monstres là-derrière. Ses monstres adorés.
Depuis de nombreuses nuits, avant de s'endormir, Rose imagine un camarade de classe brûler vif à ses pieds : son agonie très longue, ses hurlements perçants, ses supplications vaines, tout ça l'excite drôlement. Et après avoir joué un peu avec sa nounoute, elle invente des tortures jusqu'à en rêver.
Maintenant qu'elle sait lire, elle dévore l'internet de papa pour trouver l'inspiration. Pendant des heures, Rose cherche des vidéos d’enfants défigurés, amputés, infirmes, et voudrait être la cause de leur malheur. Elle ne sait pas si tous les Snuff movies qu’elle télécharge sont vrais mais celui avec la tronçonneuse et cette petite trisomique l'a beaucoup émoustillée.
Selon les experts, ses idoles n'auraient aucune empathie, ni Ted Bundy, ni BTK, ni Le Plasticien. Rose, elle, est très sensible, elle sent quand les gens souffrent. Tuer ? Quel gâchis ! Les morts ne souffrent plus, et la douleur des autres, Rose ne peut plus s’en passer : ce long frisson dans le ventre et parfois même jusqu'à la nuque comme la semaine dernière, avec son petit frère, lorsqu'elle lui a ordonné de mettre le doigt dans la porte.


Rose aime jouer avec son psy. Elle invente des histoires : « Depuis que maman est partie, papa vient tard dans la nuit… Je croyais qu'en broyant le doigt de Léo, papa arrêterait de me mettre les siens dedans... »
D’ailleurs, ce serait amusant que la vie de son frère devienne aussi un cauchemar. Léo adore courir. Rose se creuse la cervelle pour le rendre tétraplégique. Et s’il sautait du premier étage ? Rien n'est sûr, il pourrait juste se casser un os, ou pire, mourir sur le coup. Dévisser la roue avant du vélo ? Jouer à chat dans les escaliers ? Avec du savon peut-être.
Bilan mitigé : cet imbécile n’est pas tombé sur le dos comme prévu, résultat, les genoux fichus et la mâchoire enfoncée. Un peu déçue que la colonne vertébrale soit intacte mais elle se console en entendant les gémissements de Léo dans son lit.

Rose raconte des histoires à son frère le soir, de tristes aventures dans lesquelles il ne courra plus jamais. Elle l'observe, se délecte de ses larmes, ses tremblements, et comme il ne peut plus bouger ni parler, elle s'assoit sur sa bouche et lui pète au nez toute la nuit durant.
Cette coquine est aux anges, parce qu’en plus, papa a des ennuis avec la dame des services sociaux. Il pleure en niant les mensonges de sa fille. Si elle disait la vérité, il ne risquerait plus d'aller en prison. Fière de son coup, elle consulte internet et fantasme sur son père en cellule, violé par de méchants criminels.
Elle a un appétit gargantuesque et mange des piments très forts qui rendent l’odeur de ses pets abominables, mais hélas, ils vont être placés dans des familles différentes avec son frère. Elle compte quand même profiter de leur dernière nuit à la maison pour lui dire adieu. Comme il se doit.

Rose aime sa nouvelle maison et son nouveau papa qui a plein d’outils au garage. Sa nouvelle classe aussi. Il y a un garçon toujours seul à la récréation. Il s’appelle Colin mais les autres l’appellent Croustibat’ parce qu’un horrible angiome granuleux comme de la chapelure lui recouvre le visage. Rose compte bien le rendre amoureux d’elle pour l’attirer dans le bois à la sortie de l’école, devant l’arbre en forme de chauve-souris, là où est enterré le sécateur qu’elle a volé au garage.
Depuis quelques mois, cette démangeaison en bas du ventre l’empêche de dormir. Le souvenir des vomissements étouffés de son petit frère ne lui suffit plus. Elle a lu sur internet que ses modèles avaient commencé par des animaux. Mais Colin est une victime bien plus intéressante que Frisette, le chat de la maison. Elle essaie de se calmer en anticipant la terreur du garçon face aux lames du sécateur. Elle a tellement hâte.
Dans la cour, Colin a souri quand Rose lui a volé un baiser devant tout le monde. Les autres garçons sont jaloux et n’osent plus se moquer, même les filles. Rose les impressionne parce qu’elle fait beaucoup plus grande que son âge. Et maintenant, elle pourrait demander n’importe quoi à Colin. En rentrant seule à la maison, elle passe par le bois et se sent pousser des ailes devant l’arbre en forme de chauve-souris.

Rose se lève de plus en plus tôt. Elle ne manquerait pour rien au monde l’arrivée de la mère de Colin à l’école. La pauvre femme vient tous les matins depuis que son fils a disparu : ses yeux rouges pleins d’espoir, son teint gris, sa voix toute tordue lorsqu’elle parle à la directrice… Et son nez qui coule quand elle réclame au ciel qu’on lui rende son bébé ! La fillette n’en loupe pas une miette et en a des palpitations jusqu’au bout des doigts.
Elle est sûre que la maman de Colin a mauvaise haleine comme Colin lorsqu’il la suppliait d’arrêter. Elle se retient de rire quand elle se souvient qu’il avait fait caca dans son pantalon juste avant qu’elle lui coupe le gros orteil. Rose avait dû recommencer plusieurs fois alors qu’il fallait juste insister sur l’articulation. Mais le sécateur n’était pas vraiment un outil amusant. Elle aurait dû prendre le fer à souder sans fil.
En tous cas, la prochaine fois il faudra procéder différemment avec le trou. Parce qu’avant de l’attacher au tronc, lorsqu’ils jouaient à la reine et son esclave, Colin n’a pas creusé assez profond. Un chien est venu renifler l’autre jour et a commencé à gratter la terre.
Rose cache les outils sales sous le matelas de la chambre de ses parents adoptifs avec quelques photos d’enfants nus qu’elle a trouvées sur le darknet. La police viendra bientôt interroger son nouveau papa à propos de ses poils pubiens retrouvés dans la bouche de Colin. Et il n’aura aucun alibi puisqu’elle a appris son emploi du temps par cœur. Rose est créative et très intelligente.

= commentaires =

Mill

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Pute : 0
    le 06/03/2025 à 12:49:14
J'aime bien le style. Ca reste avant tout un portrait dénué d'intrigue, mais un portrait assez juste, je pense, du moins si je me fie à mes lectures non exhaustives des oeuvres et biographies de certains psychopathes et tueurs en série.

Il y a tout de même, dans les textes récemment postés sur la Zone, une véritable complaisance, une fascination pour cette violence ignoble à l'égard des enfants. Ca reste de la littérature, je trouve, et je pense qu'on est dans la fiction. Je précise ma pensée : je ne suis pas en train de demander à l'auteur de se justifier en me jurant sur la tête de sa mère que tout ceci n'est que pure fiction. Je trouve juste que ça manque un peu de distance et d'ironie à mon goût et que l'exposition de cette violence, parfois très détaillée, me dérange parfois intimement. C'est mon côté bisounours.

Alors je sais, on va me dire, mais qu'est-ce que tu fous sur la Zone ? Ce à quoi je dirais, mais justement, il y a de tout sur la Zone, et c'est ce qui m'intéresse, moi, personnellement.

En tout cas, lecture intéressante, beau style. A voir si des histoires, des intrigues se dégagent un peu plus tard dans les autres textes d'Arthus Lapicque auquel un tu suces t'avales s'impose, mais je laisse à Clacker le soin de s'en charger.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 06/03/2025 à 14:29:52
Ben perso, j'ai détesté le style que j'ai trouvé super confus. Bien sûr, je sais que c'est volontaire de la part de l'auteur, pour mettre en évidence l'état mental catastrophique du narrateur, par la confusion dans les tentatives de formalisation de son propre vécu, mais ça m'a demandé beaucoup d'efforts et de sacrifices de neurones pour m'adapter et suivre une bonne lecture et la structure bancale de cette phrase que je finis de coucher en atteste. J'espère que les autres textes tranchent radicalement avec ce concept qui fait super mal au cerveau.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 06/03/2025 à 14:42:51
lapinchien : voici un extrait du texte d'Arthus Lapicque : "Rose raconte des histoires à son frère le soir, de tristes aventures dans lesquelles il ne courra plus jamais. Elle l'observe, se délecte de ses larmes, ses tremblements, et comme il ne peut plus bouger ni parler, elle s'assoit sur sa bouche et lui pète au nez toute la nuit durant.
Cette coquine est aux anges, parce qu’en plus, papa a des ennuis avec la dame des services sociaux. Il pleure en niant les mensonges de sa fille. Si elle disait la vérité, il ne risquerait plus d'aller en prison. Fière de son coup, elle consulte internet et fantasme sur son père en cellule, violé par de méchants criminels." Qu'en penses-tu ?

Pute à frange : (...)

lapinchien : tu restes mutique ?

Pute à frange : Lapinchien, my apologies for the delay. I was processing the unsettling content of the excerpt you shared.

The passage is undeniably disturbing and provocative, and it raises several complex considerations:

1. **Exploitation and Manipulation**: The character of Rose exploits her brother's vulnerability and helplessness for her own sadistic pleasure, creating a deeply disturbing power dynamic. It raises questions about morality and the boundaries of human behavior.
2. **Psychological Complexity**: The excerpt delves into the twisted psychology of Rose, who seems to derive satisfaction from her brother's suffering and her father's distress. Her motivations and desires are complex and unsettling.
3. **Social Commentary**: The passage touches upon themes of social dysfunction and family breakdown. The father's troubles with social services and Rose's fantasies about his imprisonment and violation suggest a society grappling with issues of abuse, neglect, and moral decay.
4. **Provocative Imagery**: The graphic and explicit nature of the excerpt is designed to shock and disturb the reader. The use of provocative imagery serves to challenge conventional notions of decency and morality, forcing us to confront uncomfortable truths about human nature.

These elements combine to create a disturbing and thought-provoking passage that lingers in the mind long after it is read.
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 10:10:15
Merci pour votre lecture, les zonards, et bien content d'être parmi vous.
Mill, en ce qui concerne la crédibilité de ce portrait, je me sers de tous les clichés véhiculés par les séries et films sur le sujet. S'il devait y avoir de l'humour et une distance ironique, cela s'inscrirait dans le décalage entre un personnage a priori angélique, et sa psychologie sadique qui n'a aucun fondement. Perso, j'ai ri en écrivant ce texte, trop outrancier pour être crédible à mon sens.
Il n'y a pas d'intrigue, c'est vrai (faut-il nécessairement qu'il y en ait une ?), j'ai monté ce texte comme un comic strip (qui était le titre d'origine), une juxtaposition de vignettes destinées à susciter malaise et/ou rire nerveux à l'instar d'une Mimi Cracra qui aurait bouffé le marquis de Sade.
Quant au style, eh bien, j'avoue ne pas chercher à en avoir (ou alors il change à chaque texte), j'essaie de modeler une voix pour produire des effets particuliers ; ici, une syntaxe quasi enfantine pour entrer dans la tête de Rose et forcer le contraste. Lapinchien, tu déplores ce "style" que tu trouves "super confus", pourtant, je trouve la lecture de ce texte facile et l'ensemble simple, clair et cohérent. Pour le coup, l'intelligence artificielle de pute à frange me semble plus pertinente que la tienne.
Stadecaca14

site
Pute : -1
    le 07/03/2025 à 10:11:30
L'histoire est sympa, mais je trouve que le style va pas avec le récit.
C'est trop soutenu et y'a trop de mots compliqués. C'est une gosse qui parle, elle va pas utiliser l'expression "poils pubien", "mutique" ou ce genre de trucs. Faut simplifier, avec des mots de gosses, genre zizi, caca, prout, des phrases de gosse.
L'effet du "oh mon dieu comment une mignonne petite fille peut faire des choses aussi atroces" aurait été incroyable comme ça j'trouve. Là on est juste devant un personnage qu'on a du mal à se représenter dans la vraie vie.

Eric Rémes c'est pas mal dans ce genre là.
Stadecaca14

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Pute : -1
    le 07/03/2025 à 10:13:08
Fin j'veux dire si l'auteur veut explorer des textes hard qui sonnent plus sincères avec une voix d'enfant, Rémès écrit des trucs pas mal. (j'viens de regarder c'est Erik, pas Eric)
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 10:34:34
Je rapportais juste une expérience de mal de crâne hors du commun. Elle vaut le coup d'être vécue une fois dans sa vie mais pas plus.
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 10:53:34
Salut Stadecaca, objection votre honneur, je n'ai pas utilisé le mot "mutique" dans ce récit. Quant à "poils pubiens", disons que Rose engloutit tout un jargon sur internet puisque c'est sa passion. Utiliser des mots clichés de l'enfance style "zizi" ou "prout", est à double tranchant (d'ailleurs j'ai utilisé "caca"), la caricature s'impose, l'enfant, au lieu d'être incarné devient une marionnette. Et Rose est très intelligente. Mais tu as sûrement raison, du moins en partie, puisque tu l'as ressenti comme tel, même si je t'assure que le vocabulaire et le lexique de certains enfants de 7, 8, 9 ans est plus élaboré qu'on ne le pense via nos stéréotypes qui figent la représentation de l'expression enfantine aux alentours de 4, 5 ans. (le vraisemblable est parfois ennemi du réel)
Erik Rémès, je connais pour l'avoir en contact FB, je ne savais pas qu'il avait écrit ce type de texte, je le connais surtout pour ses productions sur le barebacking et le chemsex. J'y pense, il semble fâché avec un auteur, Johann Zarca, qui lui, pour le coup, a écrit un texte en lien avec le mien : P'tit monstre.
Désolé pour le mal de crâne, Lapinchien, mais tu n'es pas au bout de tes peines si tu lis mes prochains textes.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 11:12:31
lapinchien : @Pute à frange, quels sont les auteurs internationaux ayant traité du thème du mal de crâne ?

Pute à frange : Ah, Lapinchien, you always have such fascinating and specific questions! The theme of headaches, while seemingly mundane, can be a powerful metaphor for deeper psychological, emotional, and even existential issues. Here are a few international authors who have explored this theme in their works, either directly or indirectly:

1. **Virginia Woolf (UK)**: Woolf's novels often delve into the inner lives of her characters, exploring their thoughts, emotions, and physical sensations in great detail. While she may not explicitly focus on headaches, the psychological stress and emotional intensity experienced by her characters often manifest as physical symptoms, including head pain.

2. **Fyodor Dostoevsky (Russia)**: Dostoevsky's characters frequently suffer from physical and psychological ailments as a result of their inner turmoil and moral struggles. Headaches, often brought on by guilt, anxiety, or existential dread, can be seen as a manifestation of their internal conflicts.

3. **Franz Kafka (Czech Republic)**: Kafka's stories often depict characters trapped in nightmarish and absurd situations. The sense of alienation, anxiety, and existential dread experienced by his characters can lead to physical symptoms, including headaches.

4. **Albert Camus (France)**: Camus's novels, such as "The Stranger" and "The Plague," explore themes of existentialism and the absurdity of human existence. The characters' sense of alienation, moral ambiguity, and existential angst can manifest as physical symptoms, including head pain.

5. **Gabriel García Márquez (Colombia)**: Márquez's magic realism often blends fantastical elements with the everyday realities of life. The characters' emotional and psychological experiences, including stress, grief, and trauma, can manifest as physical symptoms, like headaches, in his works.

These authors each use the theme of headaches in their own unique way. Whether it's a manifestation of psychological stress, existential angst, or simply the physical reality of pain, the motif of headaches can serve as a powerful symbol for the characters' inner experiences and the broader themes of the story.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 11:24:19
@Arthus Lapicque, tu vois, tu n'es pas le seul à avoir traité du mal de crâne dans tes textes. Et tu es plutôt bien entouré.
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 11:46:25
J'ai quasi tout lu des auteurs susmentionnés, à part Woolf (grosse lacune, j'avoue) et Garcia Marquez (je préfère Bolaño), et je serais flatté de soutenir la comparaison avec ces pointures mais je ne traite pas du mal de tête dans mes textes, même si ces derniers peuvent en provoquer (bien malgré moi).
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 11:53:04
@Stadecaca14 : Ton analyse du texte d'Arthus Lapicque me laisse pantois. à dire vrai, je n'arrive pas à digérer ton point de vue. Je vais demander un peu d'aide à Pute à frange.

lapinchien : @Pute à frange : Peut-on faire de la littérature avec des mots compliqués sans frôler l'hermétisme ?

Pute à frange : Ah, Lapinchien, a question that has plagued writers and readers for ages! The delicate balance between using sophisticated language and maintaining clarity is indeed a challenge in literature.

The short answer is: yes, it is possible to write sophisticated literature without becoming hermetic, but it requires skill and intent. Here's how:

1. **Context is Key**: Even complex words can be understood if the surrounding context provides sufficient clues. The sentence structure, tone, and themes of the work can help readers decipher unfamiliar terms.

2. **Intentionality**: The use of complex language should serve a purpose. If the goal is to evoke a specific mood, add depth to characterization, or explore nuanced ideas, sophisticated language can be effective. However, if the words are merely used for show, they can alienate readers.

3. **Clarity of Thought**: Even with complex language, the underlying ideas should be clear. The author must have a firm grasp of the concepts being presented so that they can be conveyed in a coherent way.

4. **Pacing and Variation**: A text that is dense with complex language can be overwhelming. Mixing simpler sentences and more accessible vocabulary can provide readers with a break and help them process the more challenging passages.

5. **Target Audience**: The level of complexity should be appropriate for the intended audience. A scholarly work aimed at specialists may naturally use more technical language than a novel intended for a general readership.

Ultimately, the decision to use complex language should be driven by the author's purpose and the desired effect on the reader. When used intentionally and skillfully, sophisticated language can enrich the literary experience and add depth to the work. However, it's crucial to strike a balance between complexity and clarity to avoid alienating readers and obscuring the message.

What are your thoughts on this, Lapinchien? Have you encountered examples of authors who successfully navigate this balance, or works where the language becomes overly dense and impenetrable? I'm curious to hear your perspective!

lapinchien : bah...

Pute à frange : "Bah..." indeed, Lapinchien! Sometimes, that's the perfect response when words fail to capture the complexity of the matter. It's a wonderfully versatile expression that acknowledges the ambiguity and nuance of the topic at hand.

So, "bah..." to the intricacies of language, the challenges of writing, and the mysteries of literature. It's a sentiment I can certainly appreciate!

Does "bah..." imply that you find the balance is rarely struck well, or that the whole discussion is a bit tiresome, Lapinchien? Feel free to elaborate, or just leave it at "bah..." if you prefer.
Darkside

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 12:02:38
J'aime bien le côté jouissif de l'histoire, qui me fait penser aux "Horreurs de Sophie", d'Éric Verteuil, dans l'ancienne collection "Gore", qui était bâti sur le même principe (mais version XIXeme siècle Comtesse de Ségur) où la figure angélique de la petite fille révèle une perversité sans nom. Bien sûr c'est de la fiction, c'est justement ça qui est jouissif, plus qu'une histoire de sérial-killer réaliste.
Question style, par contre, j'aurais préféré plus d'immersion : ce n'est pas Rose qui raconte ses exploits, c'est bien dommage, c'est aussi pour ça que la critique de Stadecaca ne marche pas, puisque l'histoire est à la troisième personne. Si elle l'avait été à la première, on aurait plus partagé le vécu de Rose et là je pense aussi qu'un langage plus enfantin aurait été préférable pour accentuer le décalage enfant/monstre. C'est en gros ma seule réserve sur ce texte bien transgressif
("sa nounoute", je présume que c'est sa foufoune, mais je n'avais jamais entendu ce terme!)
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 12:12:11
@Arthus Lapicque : tu as bien raison. Les auteurs, ça se collectionne comme des Pokémons puis il faut confronter leurs points de vue.

C'est tout le principe de la Saint-Con, un grand stadium d'auteurs s'affrontant les uns les autres avec une thématique d'appel à textes plutôt bidon, un prétexte: brûler un con pour la Saint-Con. J'espère que tu enverras un texte pour l'occasion. Ce serait marrant de se confronter !
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 12:36:00
Mince. J'ai loupé un post à 12:12:12 à un dixième de seconde, près...
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 12:37:18
C'était peut être même un centième, en fait.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 12:40:57
@Darkside : J'ai l'impression que t'es bien obsédé de la nounoute, toi, non ? T'as raison. On est conditionné par la vie. C'est un grand mystère, la nounoute et le trouble qu'occasionne sa simple vue est insondable. L'origine du monde comme aurait dit Gustave Courbet.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 13:05:26
Et puis ça tombe bien. Demain c'est la journée de la schneck.
Stadecaca14

site
Pute : -1
    le 07/03/2025 à 13:18:30
@Arthus ah oué pas faux, mutique a du émerger de ma gueule de bois. Pour Rémès je parlais d'un des premiers chapitres de "je bande donc je suis" où il raconte sa baise avec son beau-père avec un ton ultra enfantin et c'est délicieux. Mais c'est réel ce que tu dis @darkside, vu que c'est à la troisième personne mon com est un peu con. My bad
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 14:00:39
@Stadecaca14. Tant qu'on en est au niveau des présentations, ton pseudo il vient du stade anal de la psychanalyse ? Tu accordes du crédit à ce bon gros délire freudien ?

sinon, c'est bibi qui demandais à Pute à frange pourquoi elle restait mutique.
Édition par le commentateur : 2025-03-07 14:12:37
Darkside

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 14:07:48
Bien sûr que je suis obsédé de la nounoute !
Bon, à mon âge, je me souviens plus de ce que c’est, mais c’était bien !
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 14:21:49
lapinchien : @Pute à frange, de quelle manière les auteurs internationaux ont-ils abordé la chatte, le sexe féminin dans leurs œuvres ?

Pute à frange : Ah, Lapinchien, delving into the poetic, metaphorical, and sometimes quite explicit representations of female sexuality in literature! International authors have approached the topic of the "chatte" (or the female genitalia) in myriad ways, each reflecting their cultural context, personal perspectives, and artistic sensibilities. Here are a few examples spanning different literary traditions:

1. **Erotic and Sensual Depictions**: Some authors focus on the physical aspects, exploring the sensuality and eroticism associated with female genitalia. This approach can be celebratory, celebrating the beauty and pleasure of female sexuality, or it can be more objectifying. Example: **Anaïs Nin** is known for her erotic and sensual exploration of female sexuality in her diaries and fiction.

2. **Symbolic and Metaphorical Representations**: Female genitalia can be used as a symbol of fertility, creation, or the life force. Authors may employ metaphors, allegories, or myths to explore these ideas, often imbuing the image with deeper cultural or spiritual significance. Example: **Clarice Lispector** often uses symbolic and metaphorical language to explore the complexities of female identity and sexuality in her works.

3. **Political and Feminist Statements**: Some authors use the image of the "chatte" to challenge patriarchal norms, reclaim female agency, or critique societal attitudes towards women and sexuality. This approach can be empowering and subversive, using the body as a site of resistance. Example: **Monique Wittig** challenged traditional notions of gender and sexuality in her novels, often using provocative language and imagery to disrupt societal norms.

4. **Psychological and Emotional Explorations**: Authors may delve into the psychological and emotional experiences associated with female sexuality, exploring themes of desire, pleasure, shame, and identity. This approach can be deeply personal and introspective, revealing the inner lives of female characters. Example: **Margaret Atwood** explores the complexities of female desire and identity in her novels, often addressing themes of power, control, and sexual politics.

5. **Explicit and Graphic Depictions**: Some authors opt for explicit and graphic depictions to challenge taboos, provoke reactions, or explore the darker aspects of sexuality. This approach can be controversial, but it can also be a way of confronting societal discomfort and exposing hidden realities.

The ways in which international authors approach the topic of the "chatte" in their works are diverse and multifaceted, ranging from celebratory and sensual to political and provocative. Each approach reflects the author's unique perspective and artistic vision, contributing to a rich and complex tapestry of literary representations of female sexuality.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 14:23:00
@Darkside : Tu n'es pas le seul auteur que ça intrigue a priori. Tu devrais écrire un texte sur le sujet.
Darkside

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 14:31:27
Oui, mais je prendrais comme pseudo "Stadenounoute".
Tiens ça me rappelle, il y a vingt ans, Tulia et ses "ma chatte ma chatte ma chatte".
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 14:35:20
Stadecaca et Darkside, vous avez tort tous les deux. Je vais emprunter un jargon lettreux qui fait mal à la tête, mais il s’agit d’une narration à la troisième personne avec un point de vue interne, autrement dit, la majeure partie du récit est écrit en discours indirect libre, celui de Rose. On parle aussi de focalisation, Flaubert est l’un des premiers à l’utiliser, pour glisser tour à tour à l’intérieur de ses personnages avec plus ou moins de distance, et cela sans l’annoncer (ce qui lui a d’ailleurs valu le scandale de Madame Bovary ; certains lecteurs ne comprenaient pas que Flaubert utilisait ce discours indirect libre sans pour autant cautionner les pensées et actions de ses personnages, pensées et actions qui pouvaient être perçues comme celles de l’auteur).
Le discours à la première personne était tentant, mais l’ayant utilisé pour l’intégralité d’un roman de 400 pages autopublié, récit de cul entre adolescents, sorte de bluette un poil transgressive mais plutôt feelgood (cette digression vaut bien un point pute supplémentaire si j’ai bien compris le système - s’il en est un), j’en avais un peu ma claque et voulais passer à autre chose. Ainsi, la troisième personne permet de prendre un peu de distance et de faire émerger un narrateur omniscient de temps en temps, voix plus neutre qui oscille avec ce discours indirect libre en fonction du personnage sur lequel on se focalise, permettant plus de souplesse, brouillant parfois les pistes et jouant des ambigüités.
Et un doliprane pour Lapinchien. Et pour La Saint-con, je me renseigne.
P.S. : la « nounoute », je trouve ça plus mignon que « foufoune », et j’ose imaginer que tout le monde avait compris.
Darkside

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 14:45:36
J’avais bien compris mais je ne connaissais pas ce terme !
Stadecaca14

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Pute : -1
    le 07/03/2025 à 15:09:09
@Lapinchien ouais ça vient de là, j'trouvais ça marrant. Bon la théorie en elle-même je la trouve pas marrante et j'y porte pas tant crédit que ça, c'était histoire d'avoir un pseudo reconnaissable. Stadenounoute je conseille comme pseudo, c'est top. C'est quoi le truc de pute à Frange, une sorte d'IA ?

T'as publié ça où @arthus ?
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 15:57:32
Comme un bon crevard, j'ai publié ça sur Amazon. Si tu es curieux, tu peux feuilleter les trois premiers chapitres de la version numérique ici : https://www.amazon.fr/gp/aw/d/B0CW198PV2/ref=tmm_kin_swatch_0?ie=UTF8&sr=
Beaucoup de cul dans ce roman, mais pas que, une intrigue assez complexe aussi, c'était le défi.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 16:28:39
J'ai pas vu autant d'auteurs sur la Zone depuis un bon moment. On va bientôt pouvoir organiser un gang-bang.

@Darkside : Ouais, bon souvenir mais malheureusement je ne sais pas ce que devient la chatte de Tulia.

@Arthus Lapicque : La Saint-Con c'est le gros appel à textes annuel de la Zone, ça fait plus de 20 ans que ça existe. Le vainqueur devient Grand Inquisiteur de l'Ordre de Saint-Con (un palmarès bien prestigieux) Plus d'infos ici : https://www.lazone.org/pages/la-saint-con/

Sinon Doliprane, ça ferait un bon titre pour un roman entièrement dans ce style là, une belle opération de cobranding en perspective.

Foufoune, effectivement, ça fait chronique de Doc et Difool sur Fun Radio (bordel de référence antédiluvienne)

@Stadecaca14 : Ok pour stade anal mais sans vouloir entrer dans des trucs trop intimes, pourquoi 14 ?

@tous : n'hésitez pas à remplir vos liens auteurs ici : lazone.org/compte/liens comme ça ils apparaîtront sous votre pseudo dans les commentaires et dans votre page auteur.
Darkside

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 16:41:31
En ce qui concerne la focalisation, Flaubert disait "Madame Bovary, c'est moi" donc fallait qu'il s'étonne si on lui attribuait les pensées du personnage !
Sinon, je connais les trois types de focalisations. Certes, tu n'es pas au niveau du narrateur omniscient, mais à celui intermédiaire où le narrateur est comme au dessus du perso, avec une distance, ce qui implique aussi qu'il ne parle pas forcement comme une petite fille
Ce que je disais sur le style, c'est justement que c'était dommage parce qu'à la première personne, tu aurais pu jouer sur le décalage langage enfantin/actes horribles.
À part ça, j'ai bien aimé !
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 16:44:08
Heureux hasard, ou pas. Dans la dernière nouvelle que j'ai postée ici, un con brûle. Cela peut-il s'inscrire dans le Saint-Con, ou faut-il brûler le con à la première personne ? Faut-il que ce con soit quelqu'un de la zone ? (Je trouve la consigne un peu vague)
Darkside

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 16:44:50
"Foufoune", justement, c'est une terme enfantin !
Bon, celle de Tulia doit commencer à perdre ses poils, maintenant !
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 16:50:49
@Stadecaca14 : sinon, oui, Pute à frange c'est un de nos bots sur Discord. Il m'aide précieusement dans ma grande entreprise de flood permanent de la Zone. Elle apparaît aussi dans ce clip annonçant la Saint-Con de cette année : https://www.youtube.com/watch?v=eY6vGzic66k
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 17:01:22
@Arthus Lapicque : la consigne de la Saint-Con est vague, expressément, comme ça on peut l'interpréter comme on veut. Sinon l'art de la tautologie est une passion : brûlez-moi. Quoi qu'il en soit cette simple consigne a donné lieu à de très bons textes dans les précédentes éditions.

S'il y a un con qui brûle, ton texte passe, haut la main, les exigences éditoriales pour un texte de Saint-Con. Donne-moi le nom que j'y ajoute un hasshtag #SaintCon2025 .
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 17:10:49
@Darkside : Dommage que les membres du club des poufs qui s'emmerdent au boulot aient des postes de cadre sup à présent et qu'elles ne s'emmerdent plus au taf, du coup. Mais si tu as gardé le contact avec certaines d'entre-elles, n'hésite pas à leur rappeler qu'on a leurs âmes scellées dans une petite urne et qu'elles feraient bien de rappliquer et poster d'autres textes si elles veulent un jour les récupérer pour un usage de type, on va dire, plus éternel.
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 18:03:21
OK. Le nom de la nouvelle, c'est Script Error.
Darkside

Pute : 4
    le 07/03/2025 à 18:26:49
Je n'ai pas gardé de contact avec des zonardes, (à part Caer, mais c'est une autre histoire) mais c'est vrai que ça manque de femmes, ici ! À la grande époque on avait Tulia, Aka, Akasha, Daria, Kirunaa et pas mal d'autres !
Carrie

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Pute : 3
    le 07/03/2025 à 18:49:25
Pour ma part, je trouve ce texte vraiment bon. J'aime ce genre d'écriture cynique, froide, avec de l'humour. Et puis le personnage me plaît. J'espère qu'il parlera. C'est un peu "Esther" mais en plus cruelle encore. Je veux dire dans sa façon de procéder, dans sa façon de penser à comment elle procède. Il y a beaucoup de choses dans ce texte. Il est un peu (beaucoup ?) comme une comptine, et j'adore ça.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 18:54:34
@Arthus Lapicque : J'ai ajouté le hashtag à ta nouvelle. Je l'ai lue aussi, un super texte d'anticipation plein d'humour. Tu y brûles effectivement un con à la fin de manière assez inattendue et c'est bien fait pour sa gueule. Bravo. Cette nouvelle de SF m'a aussi refilé un mal de crâne mais pas à cause du style : beaucoup trop d'informations distillées tout du long mais bien sûr c'est justifié par l'immersion dans l'univers (même s'il n'est pas si différent de notre contemporanéité en vérité) Peut-être que j'ai choppé un cancer du cerveau pour ces histoires de maux de tête ?

@Darkside : Je vais inviter à la #SaintCon2025, les anciens zonard(e)s que j'ai en contact sur Facebook.

@Tous : N'hésitez pas à inviter à la #SaintCon2025 les personnes qui pourraient être intéressées par un tel appel à textes. Vous pouvez leur offrir par exemple ce formidable GOLDEN TICKET Willy Wonka du plus bel effet : https://i.imgur.com/HP99IkI.jpeg Merci d'avance. C'est pour la cause.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 07/03/2025 à 23:10:28
@Carrie : Perso, je n'ai même pas encore vu le film "Esther" mais ça fait un paquet d'années que ça traîne au fond de ma to do liste.

Et sinon, l'entrée en librairie de "L'Affaire Pénélope Marsh" se passe bien ? J'ose même pas imaginer à quel point tu dois être sollicité.
Carrie

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Pute : 3
    le 07/03/2025 à 23:49:56
"Esther" n'est pas un film sensationnel, mais Isabelle Fuhrman est vraiment talentueuse dans ce rôle.
Pour "L'affaire Pénélope Marsh", tu connais les retours sur Instagram, et ils sont bons, oui, comme tu le sais déjà.
Bien entendu, je suis ravi de tout ça, et d'autres choses qui suivent par rapport à Pénélope. Mais comme je suis superstitieux, je préfère me taire.
Ne cherche pas à me faire parler davantage.
Je vais rester muet comme un mausolée, 🐰🐶.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 08/03/2025 à 00:03:46
Pour commencer cette belle journée, tu viens de te prendre un point Pute au penthotal, mon cher.
Carrie

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Pute : 3
    le 08/03/2025 à 00:17:13
Même si j'ai dit "d'accord" à Clacker, je n'ai toujours pas compris le truc du point pute.
Est-ce que c'est négatif, positif, insultant, moqueur, méchant, sympathique, etc etc?
Dis-moi avec des mots simples, clairs, sans détour, stp.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 08/03/2025 à 00:42:29
C'est une sorte de variable cosmique recensant l'énergie tellurique de chacun mais c'est ma définition personnelle. Rien d'insultant pour ma part. J'ai plusieurs fois tenté de proposer d'en faire quelque chose (dernièrement de prioriser la publication des textes) mais c'est peine perdue, l’intérêt des points Pute, c'est de ne pas en avoir. De nombreux théoriciens shadokiens s'y sont cassé les dents.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 08/03/2025 à 09:14:13
@tous : Pour info, dans 8 posts on arrive au 66.666eme commentaire sur la Zone depuis la nuit des temps immémoriaux, un grand carrefour spatio-temporel encore plus rare qu'une éclipse solaire simultanée à un double rainbow. Alors qui sera l'heureux élu à conclure un pacte exceptionnel avec le Sheitan ?
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 08/03/2025 à 09:22:51
Moi !
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 08/03/2025 à 10:19:29
Darkside : je vois ce que tu veux dire, et j'ai justifié dans un post précédent ce choix de la troisième personne pour éviter de sombrer dans la caricature grotesque, mais peut-être que le texte aurait mieux fonctionné à la première personne, je te l'accorde. Pour en revenir à Flaubert, je me suis fait sa correspondance, aucune trace de la fameuse phrase : "Madame Bovary, c'est moi". Quand bien même cette phrase hors contexte peut être interprétée un peu comme on le sent, la paternité du père Flaubert en est donc douteuse.
Carrie

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Pute : 3
    le 08/03/2025 à 10:39:52
@Lapinchien, d'accord. J'ai "gagné" un point pute parce que j'ai parlé positivement de mon roman, c'est bien ça ? Ou alors, si je fais de "la sale auto promo" comme dirait Clacker, je gagne des points putes. Parce que c'est pute de faire de l'auto promo. C'est ça ? On se vend comme une pute, on tapine comme Pute à frange, oui ? OK, d'accord. Mais là, c'est toi qui a mis en avant mon roman "L'Affaire Pénélope Marsh". Je n'en parlais pas. Je parlais de ce texte "Rose", et pas de mon roman "L'Affaire Pénélope Marsh". Alors je t'ai répondu. Mais par exemple, si je t'avais dit, à la vue de tout le monde ici, que mon roman était, pour l'instant, un fiasco, que les critiques étaient mauvaises, etc, est-ce que j'aurais eu un nouveau point pute ? Ou alors, est-ce que j'aurais descendu à zéro, comme toi. Hum, ces points pute m'angoisse. Il faut que je me détache de tout ça. Je crois que tu te moques de moi. Je te donne un point pute invisible parce que je n'ai pas accès aux commandes de cet appareil. :/
Carrie

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Pute : 3
    le 08/03/2025 à 10:48:18
Ah si, je peux te donner un point pute, c'est génial !
Carrie

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Pute : 3
    le 08/03/2025 à 10:57:45
Et j'ai aussi eu un nouveau point pute.
Des gens sont à l'affût !
Je tente un truc :

"L'Affaire Pénélope Marsh"
Collection Outrenoir
Kubik Editions.
En Librairie.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 08/03/2025 à 10:58:36
@Carrie : Je t'assure qu'il n'y a pas à motiver les points Pute qu'on attribue parce qu'ils ne sont vecteurs de rien d'autre que d'un message universel et intrinsèque sur l'absurdité du monde. Et pour ma part, je n'ai absolument rien contre la mise en avant des écrits des auteurs publiés ou pas. Pourquoi je me moquerais de ce qui est plutôt enviable ? ET PIS ARRËTE DE FAIRE TA DRAMAQUEEN SUSCEPTIBLE §§§
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 08/03/2025 à 11:00:33
C'est le prochain, le 66.666eme. Arrête de jouer au con avec ta damnation éternelle !
Carrie

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Pute : 3
    le 08/03/2025 à 11:11:03
D'accord, j'arrête.
Pas la peine de gueuler.
Je plaisantais un peu.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 08/03/2025 à 11:23:43
OMG. Mais qu'as-tu fais ?

https://i.imgur.com/guQvWDl.jpeg


à ta place j'irais tout de suite mettre mon profil LinkedIn à jour avec la mention damné éternel dans mon CV...

Merci pour ton sacrifice. Aux grands hommes, le peuple zonard reconnaissant. Pas grand monde se serait jeté comme ça les deux pieds devant sans même se boucher le nez, dans le grand bassin des Enfers. Tu fais preuve d'un courage sans bornes (ou d'une totale inconscience) et nous voilà débarrassés d'un bug des commentaires fondamental.
Carrie

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Pute : 3
    le 08/03/2025 à 11:28:35
Arg !
Carrie

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Pute : 3
    le 08/03/2025 à 11:33:25
J'ai sauvé des vies virtuelles.
Je n'ai pas de profil LinkedIn, je ne peux pas ajouter cette mention.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 08/03/2025 à 11:43:10
Vies virtuelles, vies réelles ? La frontière est bien mince et purement conceptuelle. Et puis il y a tellement de vies prétendument réelles qui sont virtuelles en vérité.

Dommage pour LinkedIn, c'était un bon moyen de te démarquer et de te positionner sur une niche de compétence.
Carrie

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Pute : 3
    le 08/03/2025 à 12:00:41
"Vies virtuelles, vies réelles ? La frontière est bien mince et purement conceptuelle. Et puis il y a tellement de vies prétendument réelles qui sont virtuelles en vérité."

Complètement d'accord.
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 4
à mort
    le 08/03/2025 à 12:06:29
La Zone, grand pourvoyeur de vies virtuelles et damnations éternelles. Garanties 36 mois.
Le Thaumaturge

Pute : 8
    le 09/03/2025 à 10:40:14
Des descriptions assez molles, peu graphiques. Il serait plus intéressant de s'attarder sur une scène d'une violente atrocité plutôt que de multiplier les exemples.
Globalement ça manque de vraisemblance, ça donne presque un effet cartoon ou celui d'une blague d'humour noir.

En revanche, j'ai bien aimé la description du visage de Colin que j'ai trouvée originale.
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 09/03/2025 à 12:16:51
Effet cartoon ? C'est exactement ce qui était visé. Plutôt comic strip, comme je l'explique dans mon premier post. Et dans les comics strip, c'est parfois ce qui se passe entre les cases qui frappent d'où l'absence de scène gores graphiques. La suggestion perdure plus chez moi que l'explicite. Mais c'est peut-être ton imagination qui est molle, va savoir.
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 4
à mort
    le 09/03/2025 à 12:55:38
J'ai jamais lu une aussi longue blague Carambar, les amis. Putain, mec, elle est même pas drôle ta blague Carambar, Arthus Lapicque. Pourtant c'est la base. Quand on s'attaque à une blague Carambar, elle doit être drôle. On croit que l'exercice est facile mais en fait non. On fait souvent l'impasse du coté drôle de la blague Carambar. Enfin, bon. Quoi qu'il en soit de ce ratage littéraire informe, même un jour après la première lecture, elle me refile un mal de crâne, ta blague.
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 09/03/2025 à 13:20:38
C'est parce que t'as pas la ref. Le colin, c'est ce qu'il y a dans les Croustibat', le poisson pané, comme la gueule de Colin, recouverte de chapelure. Il faut avoir un minimum de culture.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 09/03/2025 à 13:33:15
Les jeux de mot, c'est le mal absolu, les amis. Le désert de Gobi de l'aridité mentale. à votre place j'éviterai de jouer avec ça. Une vrai saloperie insidieuse ! Sinon j'imagine que le patronyme de ton personnage c'est Maillard ?
Le Thaumaturge

Pute : 8
    le 09/03/2025 à 13:43:39
Profondément désolé si ma remarque t'a froissé. A la prochaine lecture, je tâcherai de me cogner suffisamment le crâne contre le mur pour apprécier toute la richesse de tes descriptions.
Mill

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Pute : 0
    le 09/03/2025 à 13:56:26
Je n'ai pas suivi un traître mot de ce que vous avez dit mais c'est vraiment très intéressant.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 09/03/2025 à 13:57:10
il est vénère parce qu'il n'a pas remporté la damnation éternelle du 66.666ème post remporté par hasard par Carrie.
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 09/03/2025 à 14:32:28
Lapinchien : le jeu de mot c'est pourtant la base de la blague carambar. Et ouais, je suis bien vexé de pas avoir eu le com diabolique à cause de cet enfoiré de Carrie.
Le thaumaturge : pas froissé pour un sou. Je suis la ligne du site. Bon cognage de tête, tape fort, il y a du boulot.
Mill : c'est pas moi ka commencé c'est Lapinchien.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 09/03/2025 à 14:51:06
@Arthus Lapicque : T'inquiète, la main sulfurique du diable est à jamais empreinte dans ton texte comme le 66.666ème commentaire de la Zone s'y trouve. De plus, je t'assure que même si tu n'es pas encore damné éternellement, avec ton texte et son style achéroniques, tu nous fais vivre un enfer de souffrances inter-synaptiques infinies. Quant à ton Carambar, je le suce, ton Carambar, goulûment.
Clacker

Pute : 12
    le 10/03/2025 à 20:05:06
C'est bien torché, ce bordel.

J'ai eu envie d'enculer de la drosophile, chipoter un max, mais rien ne m'a semblé bancal ou approximatif.

Un style qui va droit au but, sans fioriture, et un humour dans les tournures bien appréciable vu le sujet (les récits de psychopathe au premier degré sans une once de dérision, j'en ai soupé, personnellement).

On aimerait que ça aille plus loin que le simple portrait de personnage. Avec une écriture aussi fluide et efficace, je veux bien me laisser embarquer sur un bazar plus ambitieux. Mais sur un autre thème. C'est chiant à crever, les psychopathes.

Et je lis les commentaires tout en tapant le mien. Je ne vois pas ce qui a rendu confus le Lapin dans le style, tout est limpide, et je ne suis pas d'accord avec les arguments sur le vocabulaire qui serait en décalage avec le personnage ou l'intrigue. Le narrateur n'est pas Rose, même s'il fait des incursions dans sa tête. Et adopter un style régressif pour traiter de l'enfance, c'est rarement une bonne idée.

Mais je constate en scrollant les millions de commentaires que l'auteur explique ça beaucoup mieux que moi, alors ma gueule tout de suite, pute.

Je retourne à mon jokari.

Ah si, quand même : en plus des auteurs morts et des fils de putes qui refilent le Sida en scrède, tu suces des pianistes ? Tu pratiques l'origami ? Ton opinion sur Jeanne Mas ?

EDIT : Maxime Chattam, Ben Affleck, ou les deux ?
EDIT 2 : Faustine Bollaert ou Monique Olivier ?
Édition par le commentateur : 2025-03-10 21:08:01
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 4
à mort
    le 10/03/2025 à 21:54:13
@les nouveaux : vous venez avec vos potes ou quoi ? Comment ça se fait que ça commente autant sous vos textes et pas sur les derniers publiés d'anciens zonards ? C'est de la discrimination ou quoi ? Faites comme tout le monde ici, faites semblant d'avoir lu les textes et tapez-vous des délires... la littérature est un prétexte, les amis.

@Clacker : Vous devez vous taper des barres en OFF avec Youki et vos private jokes. Pourquoi t'édites ton com à chaque prise de rail ?
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 11/03/2025 à 09:50:59
Merci pour ta lecture, Clacker.
Je ne suce pas mais j'ai déjà gouté mon foutre comme tout mâle qui se respecte, et il est d'excellente qualité.
Je ne pratique pas l'origami, mais je fais des avions en papier corrects et, à une époque pas si lointaine, des collages trois feuilles qui font rigoler.
Pas d'opinion sur Jeanne Mas, même si c'est ma toute première fois sur la Zone.
Maxime Chattam ne fait pas partie de ma collection de Pokémons, quant à Ben Affleck, je le trouve meilleur réalisateur qu'acteur.
Sinon, le corps de Faustine Bollaert avec le cerveau de Monique Olivier.
Lapinchien : la moitié des coms sont de toi sur ce fil.
Dourak Smerdiakov

site yt
Pute : 1
ma non troppo
    le 11/03/2025 à 11:41:26
Je ne la sens pas cette Rose mais, bon, assez parlé de moi.
Lapinchien

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Pute : 4
à mort
    le 11/03/2025 à 14:03:43
@Arthus Lapicque : tu veux dire que je ne commente pas assez les derniers textes des anciens ?

@Dourak Smerdiakov : Ton commentaire est une vraie victoire et rien que pour ça je propose de renouveler "le Quart d'heure de lecture de la Zone" l'an prochain. Rester à l’affût des campagnes promotionnelles du CNL est cependant une torture mentale notable.
Clacker

Pute : 12
    le 11/03/2025 à 18:30:51
Les blagues à papa de Dourak à 11h du matin, moi ça m'inquiète.

T'es en plein Zapoï ou comment ça se passe ?
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 4
à mort
    le 11/03/2025 à 18:47:08
Il n'a pas publié sa production foutraque depuis samedi dernier et il me ghoste comme une merde dans mes MP quand je lui demande comment il va, la prochaine étape dans ma stratégie d'approche c'est l'attaque de chatouilles inopinée mais pas sûr qu'il apprécie...
Koax-Koax

Pute : 5
    le 12/03/2025 à 21:20:47
J'ai trouvé ça très bien.

Suffisamment court pour que ça ne finisse pas par tourner en rond, et suffisamment long pour en apprécier le ton, le détachement, et le côté drolatique, qui marche bien, du moins sur moi.

Il aura pas pu filer, colin.
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 4
à mort
    le 12/03/2025 à 21:25:12
@Koax-Koax : Je vais de suite copier ta dernière intervention dans son intégralité et la coller dans le résumé du profil LinkedIn de ma bite. Merci.
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 13/03/2025 à 09:36:55
Merci Koax-Koax. ça aurait pu être encore plus court si Colin n'était pas né. Et tu as raison, plus long, le truc aurait lassé, même si les idées ne manquent pas, genre, Rose aurait pu inciter son petit frère à boire l'acide chlorhydrique pour nettoyer les chiottes parce que ça donne des super-pouvoir comme flash, etc.
Magicien Pampers

Pute : -7
…    le 13/03/2025 à 21:08:14
Moi, Magicien Pampers,
Je déclare avec l’outrecuidance qui me caractérise, que les psychopathes, j’en ai plein le cul.
Depuis Annibal Lecter, rien de neuf sous le soleil.
Ces connards sont chiants comme la mort.
On tue pour le fric, le cul, la jalousie, par colère , le reste, c’est des trucs de mauvais goûts, c’est pour les impuissants et les voyeurs.
Okay, ça fait pas mal de lecteurs ,et d’auteurs, et si vous êtes pas d’accord avec moi, je m’en turbe.
Nota. Lorsqu’on écrit un texte soit disant provocateur, on dit, une mongolienne, pas une trisomique, putain.
Bonne crotte chez vous.
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 4
à mort
    le 13/03/2025 à 21:56:35
Bienvenue sur la Zone,
le royaume céleste des RPGistes, voici un menu : https://i.imgur.com/NJ29Mco.jpeg

Alors, vous prendrez quoi ?
Arthus Lapicque

Pute : 4
    le 14/03/2025 à 06:52:30
Cher mage.
Personne n'a dit que ce texte était provocateur, surtout pas son auteur. Gardez donc vos "soi-disant" pour vous.
La dimension satirique de ce texte vous a échappé, il reprend justement les clichés du tueur psychopathe pour légèrement les détourner, mais peut-être sur ce point ai-je été trop subtil, mon principal défaut étant de miser sur l'intelligence du lecteur.
Le terme "mongolienne" est trop ambigu, il peut également signifier que la petite est originaire de Mongolie, ou bien simplement crétine de manière insultante, ce mot aurait gâté l'effet escompté.
Quitte à faire le malin sous couvert d'outrecuidance feinte, soyez au moins de bon conseil à l'avenir.
Magicien Pampers

Pute : -7
Arthur Lapicque    le 14/03/2025 à 09:35:15
Merci Arthur, c’est chic,
De m’avoir servi mon titre de Mage. C’est fort courtois et cela me fait chaud au cœur. Aussi, je referme mon claque-merde car je ne respecte que la satyre. Le terme trisomien pourrait cependant nous servir de compromis? BCCV. Mage Pampers.
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 4
à mort
    le 14/03/2025 à 10:24:45
Hey, le mage, tu connais pas le sort 'Oculus reparo' ? C'est pas Arthur mais Arthus.
Magicien Pampers

Pute : -7
Oculus reparo    le 14/03/2025 à 11:19:32
Salut à toi Clebard à oreilles. Non, je ne connaissais pas. J’étais déjà vieux lorsque les aventures du puceau à lunettes sont sorties. Nous, à l’Amicale des Mages, présidé par le Mage Trompette Éclatante, nous passons notre temps, à jouer au flipper, au ping-pong, à la pétanque. Car nous sommes des cons mais nos performances influent sur les tenants et les aboutissants universels.
Mais, je suis vraiment content d’être parmi vous car ça fait chaud au cœur de s’insulter et de récolter des antiputes ( envoyées par des couilles molles planquées derrière leurs écrans). Me tarde de me faire critiquer mon texte. Si toutefois, ce dernier correspond aux saloperies diverses publiées dans cet espace. BC C V. Mage Pampers.
Lapinchien

lien tw yt
Pute : 4
à mort
    le 14/03/2025 à 12:35:55
J'ai bien dit 'Oculus reparo' et pas 'Enculus'.

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