Pierre s'amusait comme un petit fou. Cette teuf improvisée - et le public français savait combien il adorait improviser - chez Thierry Ardicon, le célèbre animateur de talk-shows, réunissait tout ce qu'il appréciait, coke a gogo, jeunes garçons aux culs n'attendant qu'il s'y enfonce, trash metal signé Fecallica, cocktails capiteux rehaussés au Super SansPlomb (une recette guyanaise typique), bref, le panard total. Pour résumer : ça planait sec.
Soudain, Pierre vit le plafond s'ouvrir, une vive lumière l'auréola tandis qu'une voix impérieuse lui reprocha d'abuser des lignes de blanche qu'il s'envoyait dans l'appendice nasal. À quoi il répondit : "Seigneur ! Ce ne sont quelques traces...". "Des traces, oui, mais des tracas, aussi !" rétorqua la voix.
La soirée n'allait pas tarder à dégénérer en orgie, pour le plus grand plaisir des participants. Signe annonciateur de la partouze à venir ? Le smartphone de Pierre vibra. C'était Omar, son copain creusois, un afro qui adorait se faire remplir... des deux côtés : "Ben dis-donc, ben tu viens plus aux soirées ?
- Je peux pas, je suis sur Paname !" répondit Pierre.
- "Ouh ben tu sais, t'as manqué, hier on a fait une soirée Assainissement des Conduits de la Copro, c'est moi qui faisait la cheminée, je me suis fait RA-MO-NER ! Ouh la la, dis-donc !"
Il n'en fallait pas plus pour donner à Pierre le top-départ. Retirant son pantalon, il attrapa le premier sosie de Steevy Boulay passant à sa portée et lui fourra sa langue dans la bouche, ses mains descendant, lascivement, vers la braguette...
Jetons un voile pudique sur cette scène d'une débauche rare. Nous retrouvons notre héro le lendemain matin, allongé sur le sol - poisseux du sang d'un caniche abricot, explosé, pourtant entouré de chatterton. Dans les vapes, Pierre se releva, tout en se grattant les précieuses, comme chaque mâle de l'univers.
Vint la sempiternelle formule matinale du fêtard, émergeant du sommeil après une nuit bien remplie : "Mais ?!... Mais qu'est-ce-que j'ai fait hier soir ?!?"
Vite, il lui fallait réagir, se reprendre, avec un petit déjeuner roboratif : un pétard, une ligne de coke, un verre de cognac pour faire passer le tout.
Merde, plus de clopes ; détour au tabac du coin. Le Narval avait tout du débit de tabac traditionnel, du moins de l'extérieur. Dedans, il ressemblait plutôt à une caricature de coffee-shop néerlandais, plantes vertes, ambiance feutrée, miroirs, éclairage tamisé, franchement, pour accueillir une malheureuse poignée d'amateurs de CBD, on se dit que les propriétaires du rade en ont fait un peu trop... au fait, est-on sûr qu'il s'agit bien de cannabis thérapeutique ? Comment faire la différence avec la version classique, vendue dans la rue, à la sauvette ? En tout cas, pour Pierre, l'endroit respirait l'honnêteté.
Avisant l'employé chinois au comptoir, notre Pierre se fendit d'une petite boutade : "Un Camel 20, un menu C, avec un numéro 23 et un 48 ! Ah-Ah-Ah !"
La température ambiante chuta de plusieurs degrés. De derrière le comptoir surgirent quatre silhouettes. À bien y regarder, toutes avaient les yeux bridés. Les effets de la cocaïne s'estompant, Pierre commenca à s'inquiéter, et lança, dans l'espoir de ramener un peu de chaleur dans les regards froids dardés sur sa personne, un "Mince, vous êtes pas à prendre avec des baguettes, aujourd'hui !".
Combien de temps s'est-il écoulé ? Toujours est-il que Pierre se réveilla dans le caniveau, saignant du nez, le corps meurtri et l'oeil tuméfié : le sens de l'humour des chinois avait ses limites.
Quittons Pierre quelques instants, laissons le se remettre de ses émotions, et intéressons-nous au cas du jeune Jean-Baptiste, psychotique chronique :
Âgé d'à peine 29 ans, Jean-Baptiste, alias JB, a terminé depuis trois mois déjà une évaluation professionnelle, qui l'orienta vers le travail en milieu ordinaire. Fort d'avoir obtenu sa première année de DEUG informatique, il s'apprête à commencer son premier emploi, un CDI, payé quatre mille euros par mois, avec des stocks options, un bureau au dernier étage d'une tour de verre et d'acier, dominant la ville, ainsi qu'une armée de secrétaires, prêtes à exaucer ses moindres désirs.
Du moins, le croit-il.
Force est de constater que cette première embauche, suggérée par sa curatrice, n'atteint pas les sommets auxquel il s'imaginait accéder, mais il garde confiance, ce n'est qu'une question de minutes, ses supérieurs hiérarchiques vont s'apercevoir combien JB est une perle rare, un collaborateur essentiel à la bonne marche de l'entreprise.
'Technicien de surface' !! Rien qu'à ces mots, le jeune JB était tout émoustillé. Croisant un autre salarié de la boîte, probablement un subalterne, il expliqua la situation, d'un air hautain et autoritaire, et lui demanda de lui indiquer où se trouvait son bureau. Avec une servitude extrème, celui-ci lui indiqua une porte, qu'il ouvrit, laissant JB y entrer... et la referma brutalement. Il s'agissait du placard à balais. JB put ainsi faire connaissance avec ses outils de travail : seaux, serpillières, chiffons. Croyant à une méprise, il voulu sortir, mais il dut se rendre à l'évidence : il était bel et bien enfermé.
Nous retrouvons Pierre, au volant de sa Porsche, un buzz au bec, un autre sosie de Steevy Boulay sur le siège passager - à moins que ce ne fut le même - en train de lui faire une gâterie. Quelle heure était-il ? Combien de traces s'était-il envoyé depuis ce matin ? Pierre évoluait dans une brume sensorielle, les couleurs étaient trop vives, les sons évoquaient Garou, chantant la tête dans un seau. Ou alors, comme dans un jeu vidéo.
Avisant des Hare Krishna défilant, dans la rue, à la queue leu leu, Pierre fit un écart pour les écraser. La Porsche fit deux embardées, passant sur les corps des Krishna, lequels endommagèrent légèrement la transmission du bolide, et son réservoir, de façon plus durable. Les mots "Bonus Fou du Volant !" dansèrent quelques secondes devant les yeux de Pierre, et le nombre de ses points d'xp, dans le coin supérieur droit de son champ de vision, augmentèrent en conséquence.
S'arrêtant aux abords d'un square, fréquenté par des mères de famille et leur progéniture, il urina un instant sur un cheval à bascule, sur lequel était assise une fillette, laquelle put profiter d'une leçon d'anatomie masculine, dont elle se souviendrait fort, fort longtemps.
Au loin, Pierre entendit des sirènes de police, mêlées aux cris d'indignation des mères... bien qu'il ne voyait pas en quoi on pourrait lui reprocher son comportement, il décida de mettre les voiles, et fissa ! Avec la maison poulaga, on ne savait jamais.
JB prenait sa pause cigarette, les larmes aux yeux. Jamais il n'aurait cru que travailler était si dur ! Quand on l'avait libéré de sa geôle, les salariés de l'entreprise l'avaient accueilli, rigolards, filmant sa mine déconfite avec leurs téléphones. La vidéo devait déjà se trouver sur les réseaux sociaux. JB regrettait vivement avoir été orienté vers le milieu ordinaire, il décida d'au plus vite contacter une assistante sociale, qui lui permettrait de travailler dans un ESAT !
JB remarqua à peine le départ de la Porsche, garée sur le trottoir du square voisin, un instant plus tôt. La mort dans l'âme, ayant le besoin urgent d'un câlin, il jeta son mégot, lequel atterrit dans la flaque d'essence laissée par la Porsche.
FROUTCH ! fit le liquide, en s'enflammant. La traînée d'essence partit à l'assaut de la route, et ce n'est qu'une question de secondes, avant qu'elle ne rejoigne le véhicule de Pierre.
"Daddy Cool 2 à Central, poursuivons Porsche immatriculée 904 PD 92, demandons renforts ! Huit-trois-douze-cinq-dix-putaindedix !" hurla un poulet dans sa radio.
Pierre détourna un instant son attention de la route, et se tourna vers son passager : "Dis... tu sens pas comme une odeur de chaud ?". Son partenaire huma l'air : "Euh... ? Ben...non..." Deux secondes plus tard, la Porsche explosa.
La moitié des voitures de police de la capitale étaient présentes sur le lieu du brasier. À la radio, le central annonça que le propriétaire de la Porsche s'appellait Pierre Pall-Mall, comique homosexuel déjà condamné pour consommation de stupéfiants, habitant un pavillon à Saint-Germain-En-Laye.
La mort de Pierre, et ses circonstances, firent grand bruit dans les médias. Diverses personnalités du monde du spectacle s'exprimèrent, se désolidarisant du comédien, fustigeant ses diverses consommations ainsi que sa sexualité transgressive. À l'Assemblée Nationale, un député LR suggéra même de légiférer sur l'accès aux chevaux à bascule des squares de la capitale...
L'autopsie révéla, outre la quantité record de stupéfiants que Pierre s'était envoyée, l'identité de son passager, lui aussi, une célébrité : une star de télé-réalité, un certain Steevy...
Parfois, un geste anodin peut être lourd de conséquences... Entendons-nous bien : je parle de petits riens, de gestes innocents accomplis par de non moins innocentes créatures, gens ordinaires comme laissés pour compte, élites branchées comme campagnards bêtas, zonards, paumés, sodomites - tous, rejetons candides d'une société ne l'étant pas moins...
Quelques exemples : un couple déterminé à griller ses chipos à la belle étoile, au beau milieu d'une forêt de pins ; un berger corse inconnu, s'amusant négligemment avec son Zippo, au fin fond du maquis ; un moine tibétain armé d'un jerrican de Sans-plomb 95, désireux de protester contre la hausse du prix du beurre de yack ; un champion du stand-up, plus défoncé qu'un terrain de manoeuvres, engagé dans une course poursuite avec la police, roulant à tombeau ouvert, dans une Porsche 924 Carrera GT "Sacha Distel", au réservoir crevé ; un handicapé psychique, balançant son mégot dans une flaque d'essence...
Stop ! Arrêtons-nous sur ce dernier exemple. Il est naturel que ce geste n'obligera pas un Canadair à faire provision d'eau, le long d'un littoral touristique de l'Île de Beauté. Normal : on est en ville, en banlieue, certes, mais de la capitale. Autre évidence : pas de danger de ravager plusieurs hectares de forêt, pour la même raison. Mais attention, considérons tout de même le fait avec précautions... La flaque de carburant en question provient d'une voiture, laquelle n'est pas restée sur place, le conducteur ne s'est pas aperçu de la traînée inflammable qu'il laissait derrière lui, et ignore que dans quelques instants, sa vie va basculer...
... De façon...
... Pour le moins...
... RADICALE.
Vous en conviendrez, la situation est critique. Les dés sont jetés.
C'est vrai. Mais profitons de ce faible répit, avant que ce malchanceux conducteur ne s'enflamme pour de bon, et non pour le corps de jeunes éphèbes à peine pubères, comme à son habitude, pour voir quelles ont été les circonstances l'ayant mené à cette tragique situation :
Quelques exemples : un couple déterminé à griller ses chipos à la belle étoile, au beau milieu d'une forêt de pins ; un berger corse inconnu, s'amusant négligemment avec son Zippo, au fin fond du maquis ; un moine tibétain armé d'un jerrican de Sans-plomb 95, désireux de protester contre la hausse du prix du beurre de yack ; un champion du stand-up, plus défoncé qu'un terrain de manoeuvres, engagé dans une course poursuite avec la police, roulant à tombeau ouvert, dans une Porsche 924 Carrera GT "Sacha Distel", au réservoir crevé ; un handicapé psychique, balançant son mégot dans une flaque d'essence...
Stop ! Arrêtons-nous sur ce dernier exemple. Il est naturel que ce geste n'obligera pas un Canadair à faire provision d'eau, le long d'un littoral touristique de l'Île de Beauté. Normal : on est en ville, en banlieue, certes, mais de la capitale. Autre évidence : pas de danger de ravager plusieurs hectares de forêt, pour la même raison. Mais attention, considérons tout de même le fait avec précautions... La flaque de carburant en question provient d'une voiture, laquelle n'est pas restée sur place, le conducteur ne s'est pas aperçu de la traînée inflammable qu'il laissait derrière lui, et ignore que dans quelques instants, sa vie va basculer...
... De façon...
... Pour le moins...
... RADICALE.
Vous en conviendrez, la situation est critique. Les dés sont jetés.
C'est vrai. Mais profitons de ce faible répit, avant que ce malchanceux conducteur ne s'enflamme pour de bon, et non pour le corps de jeunes éphèbes à peine pubères, comme à son habitude, pour voir quelles ont été les circonstances l'ayant mené à cette tragique situation :
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J'ai enfin compris ce qu'est le chem sex. merci.
Un vrai bon texte de St-Con, fumé à l'ancienne. Bien construit, bien écrit, bien débile et en même temps pas tant que ça.
J'aime le ton du narrateur, dans le genre flegmatique. Les tournures un peu recherchées fonctionnent, sans alourdir le style.
Clap-clap.
Point bonus : maltraitance animale.
Tout y est.
Je t'ampute, pour la peine.
Ou désampute ? Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdu.
Tout ça pour laisser vivre Thierry Ardicon, je suis déçu.
Notons quand même quelques petits soucis de cohérence des temps :
"La traînée d'essence partit à l'assaut de la route, et ce n'est qu'une question de secondes, avant qu'elle ne rejoigne le véhicule de Pierre."
"Combien de temps s'est-il écoulé ? Toujours est-il que Pierre se réveilla dans le caniveau, saignant du nez, le corps meurtri et l'oeil tuméfié : le sens de l'humour des chinois avait ses limites."
Mais c'est littéralement le truc le plus casse-couilles de la langue française, donc restons indulgents.
On a aussi des répétitions et une ou deux lourdeurs qui viennent ternir légèrement le tableau. Néanmoins, dans l'ensemble, c'est du bon boulot, trouvè-je.
Oui, la concordance des temps est bancale, dans d'autres passages également. En me relisant ça ne m'avait pas trop choqué, ceci dit.
Je ne vois pas trop ce qui semble plaire dans ce texte. Je le trouve au mieux juste correctement écrit mais en réalité souvent plus proche du langage parlé que littéraire et, dans le choix de cible, j'ai l'impression de trouver davantage de moralisme que d'attaque contre une vraie connerie, ce qui n'est pas la première fois et n'est pas nécessairement un défaut rédhibitoire pour la Saint-Con mais, ici, j'ai juste l'impression qu'on m'entraîne dans le troupeau pour bêler contre l'idole médiatique tombée en disgrâce et livrée en pâture à l'indignation populaire. Très gros bof en ce qui me concerne.
Je n'ai pas vraiment suivi l'affaire du type, et je crois que cette année je m'en bats totalement les steaks du choix de con et de la crémation, dans les textes.
Par ailleurs, on a eu un paquet de personnages politiques (choix audacieux et original !) et de chanteurs/artistes du showbizz, chez les précédents cons crâmés. là, je ne vois pas ce que ça change, si ce n'est que le gars mérite effectivement qu'on le traite de con.
Le texte a pour lui, selon moi, une originalité de ton, une écriture correcte, une construction un peu chouette, avec les deux points de vues de personnages qui se déroulent simultanément.
Je ne dis pas que c'est la nouvelle de l'année, mais c'est plutôt réjouissant, tout de même.
Je précise quand même : tous les personnages politiques méritent évidemment qu'on les traite de cons. C'est en corrélation immédiate avec leur choix de carrière.
Je pensais plutôt aux artistes, qui, s'ils sont mauvais dans leur discipline ou font de l'évasion fiscale à gogo, ne sont pas nécessairement plus cons que n'importe qui.
J'avais rien écrit depuis juillet l'année dernière, je suis parti en impro totale jeudi soir au retour du Dégueulis, et pour parler franchement, je suis le premier surpris qu'on trouve des qualités à ce texte. Mais bon, je suis preneur quand même. Merci à toi, public adoré.
Cramer ou regarder cramer des personnalités, artistes, politiques, peu importe, des gens de notre actualité, en somme, ça me fait toujours braire (on commence à le savoir, supputé-je).
Je préfère les anonymes, comme dans le texte de Charogne, ou les éminences grises comme dans celui de Clacker.
Pourtant, en faisant abstraction du personnage, j'ai trouvé le texte plutôt sympa. Pas de quoi se taper la dunette arrière au sol, mais ça se lit bien, et ça ne se branluche pas le nombril, la construction est honnête. Ça manque un peu d'histoire, quand même.
J'ai bien apprécie le cocktail guyanais typique, le caniche au chatterton (ça change des hamsters), Garou la tête dans un seau, et ça, c'est collector :
"Seigneur ! Ce ne sont quelques traces...". "Des traces, oui, mais des tracas, aussi !"
Je trouve l'écriture de Cerumen plus posée, plus mature, plus maîtrisée, qu'à son arrivée ici.
Pas aimé. Ca commence par un "handicapé psychique" qui me fait vriller. Handicapé mental, malade psychique ou malade mental, ok. Mais handicapé psychique, ça sonne faux.
L'à-propos de faire exploser des animateurs non-regrettés de ma lointaine jeunesse, quand Notre-Dame-De-Paris était encore une comédie musicale de merde au lieu d'être un très cher tas de cendres, je ne le vois pas trop, mais soit.
C'est pas chiant à lire, mais c'est pas bon non plus. Ca oscille entre la vanne un peu forcée et le passage de remplissure.
Ce texte est malgré tout dans le top deux des textes de saint con que j'ai lu pour l'instant, et je tiens à rappeler que je fais beaucoup de choses pour de l'argent.
"Pas aimé. Ca commence par un "handicapé psychique" qui me fait vriller. Handicapé mental, malade psychique ou malade mental, ok. Mais handicapé psychique, ça sonne faux."
Oh, merde alors !! C'est vraiment pas de chance ! Je suis tombé sur un spécialiste !! Je ferai part de ta remarque à mon psy, et aussi à la mdph : je touche mon aah de façon abusive, en réalité, je n'ai pas de handicap, l'état ne pouvait donc pas le reconnaître !!
Merci, oh, merci de m'avoir ouvert les yeux sur la réalité, Carc !!
Pète un coup, veux-tu? J'ai seulement dit que ca m'avait fait vriller. Pas que c'était à raison. On s'en fout un peu, de la raison.
Perso je l'ai trouvé un peu confus ce texte, mais la scène où le type se retrouve enfermé dans le placard à balais m'a fait marrer.
Jenre il arrive tout fier en costume cravate et... et... il est dans un placard à balais.
MDRRRRRRRRRRRRRR
Du balai.
Heu...
Hors sujet.
On notera au passage que mon retour sur la Zone a fait bouger certains. Et fuir d'autres.
Comme quoi ma présence comme mon absence se remarquent.
La présence d'un poney mort dans un salon bien tenu se remarque également, je ne vois pas ce que ça prouve.