Dites-moi où, dans quel taudis,
Dans quel cercle de la Géhenne
Moisit l'infâme Un Dégueulis
Qui nous tannait avec Germaine ?
Et Glaüx parlant sans qu'on comprenne
S'il préférait le fondement
De ta mère à d'autres fredaines ?
Mais où sont les flammes d'antan ?
Où est Clacker, breton maudit,
Bon ivrogne (c'est dans les gènes)
Invoquant Charles Bukowski
Ou Baudelaire, l'âme en peine ?
Semblablement, mais où donc traîne
Le Castor, prodigue en son temps ?
Calembours ou calembredaines,
Mais où sont les flammes d'antan ?
Hag, Yo, Scar, Tomatefarcie,
Nounourz, Ocus, Mill : à la benne ?
Aka, Winteria (j'en oublie...),
Carc, Narak, Aure et sa rengaine ?
Et Le Duc, quiche pas lorraine,
Suceur d'admin impénitent,
Fautif plus que la Magdelaine ?
Mais où sont les flammes d'antan ?
ENVOI
Zonards, tous ont quitté la scène
Mais ne cherche pas plus avant :
Elles sont, et tout t'y ramène,
Dtc, les flammes d'antan.
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= commentaires =
Je viens de m'auto-publier pour vérifier que tout se passe bien après une mise à jour mais on peut rajouter une meilleure description à mon texte. Je voulais le faire hier soir juste après la dite mise à jour mais, à une heure avancée, j'ai calé sur mon troisième couplet.
On espère un texte plus long de Dourak même si celui-ci est déjà très bien.
J'espère aussi que ce ne sera qu'un apéritif. A priori, je prévois au minimum de finir la proposition de texte en binôme que j'avais démarrée l'an passé.
J'espère également que ça ressuscitera les deux inquisiteurs en titre.
Notons d'ailleurs que j'ai traité Clacker comme un zonard mort alors qu'il s'est manifesté dans le forum il n'y a pas si longtemps mais, vu la présence de "Où est Claquin le bon Breton" dans l'une des deux ballades de Villon dont ça s'inspire, c'était trop tentant.
Excellente parodie.
"dtc, les flammes d'antan" : très évocateur, ces mots résonnent en moi.
Peut-être le Castor et le Dégueulis et Germaine coulent-ils des jours heureux loin des turpitudes de notre siècle et de l'internet ?
Quoi qu'il en soit, ils manquent, c'est certain, au moins autant que les puces à un chien.
Le Vil Claquin, c'est mon jumeau famélique. Il prend souvent possession de mon corps après minuit et demi.
Sinon, joli poème. Bel hommage à toute cette bande de tarés.
Peti anges parti tro to :coeur: :coeur: :coeur:
Bordel la zone clapote encore ?
La Zone clapote en glaise, évidemment.
(commentaire écrit en écoutant Unchained Melody avec une demi-molle)
Et merde, je me suis fait invoquer. Font chier ces putain d'apprentis sorciers.
Etant très vaniteux, je ne résiste à la tentation de remercier l'auteur de la bonne attention d'avoir écrit mon nom quelque part et qu'il sache que je vote pour lui.
HAG SEAL OF APPROVAL : EEUUURGHGLGL
Et omnia vanitas.
Con patatas.
Cum una emaila que t'ai envoyata per saber si une mota de passa ti volias.