Saint Con le patron
Onc ne fut abscons
Flambez les débiles
Que le feu jubile
Brûlez tous les cons
D'iceulx sans pardon
Faisons des brandons
Tel est l'Évangile
Saint Con
Soyons les champions
De la crémation
Point ne soit d'asile
À ces imbéciles
Ainsi glorifions
Saint Con
#aufeu
(rondeau sur la Saint-Con sans ponctuation parce que pile 280 caractères sur twitter)
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Hell yeah !
"feuj" dans le titre d'un appel à textes sur le thème de l'immolation par le feu, je pense que cette année on va se marrer.
Bon, twitter, c'est bien joli, mais ça dévisage un poil la gueule des poèmes de Dourak. Ils sont où les sonnets ? putain de merde ?
Vous l'aurez compris, je ne suis pas pour cette twitterisation à outrance de tout ce que j'aime. Et les sonnets en font partie, oui, n'en déplaise aux fils de putes. Qui ne savent pas faire la différence entre un rondel et un rondeau, et moi non plus, putain de merde. Vous commencez à me chauffer ! (je dis la même chose quand mon chien commence à me brûler les couilles avec ses conneries, vous êtes prévenus, ça peut vite basculer dans le MMA)
Et je suis musclé. Tel un pianiste.
Sur twitter a plein d'imbéciles
Qui, très inconsciemment, affichent
Leurs idées dont trop ne se fichent;
Ce sont là cibles très faciles.
Sur fèssbouk sont gens volubiles,
Intelligents comme des quiches,
Beaux gosses tel Bruno Gollnisch,
Chacun plus que l'autre inutile.
C'est mission de reconnaissance
Et visite en fosse d'aisance
Que de repérer ces baudets.
Mais, fils de feujs ou fils de putes,
(Ne convient pas que trop suppute),
Déjà trop long est ce sonnet.
Tous les cons, je crois qu'un feu ne suffira pas. Peut-être qu'un peu de novitchok dans une fabrique de caleçons...
Bon. Je me sens mieux. J'étais prêt à attaquer l'Elysée. Putain, merci vieux.
C'est le caleçon (ou l'oreille) de Théo Azibert qu'il faudrait talquer au novitchok.
Trop long pour Twitter, mais j'ai promis une rondelle donc...
Il met le feu à ta rondelle
Et sa bite à tête chercheuse
Va se planter, souvent baveuse,
Dans ton séant, qu’il ensorcelle.
Il est le feu de l’Éternel
Brûlant les cons, baisant leurs gueuses,
Un bébé phoque à la rondelle,
Les testicouilles belliqueuses.
Dans un déluge d’étincelles,
Il encule les partouzeuses
Sur les corps des cons, des chialeuses,
C’est Saint-Con Déflore-Pucelles,
Il met le feu à ta rondelle.