Meurs un autre jour

Le travail rend libre, on le sait, et Stephen King n'est qu'une musique indienne psychédélique... Et c'est à ce moment là, à ce moment où les klaxons te paraissent mélodieux, c'est à ce moment là qu'il faut intervenir : ainsi, j'ai remanié ce texte selon le bon vouloir de l'Empire, l'Empire appartenant aux cellules grises de Stephen King comme un pressentiment pour se réveiller avec un mal de chien, une gueule de bois.

Ce qui campait entre mes deux tempes, cette chose que Stephen King appelait le Shining tandis que les alligators de la Fosse Noire où je me noyais, dépliaient leurs queues, cette chose sécrétant ses secrets d'outre-tombe préoccupait ces bestioles de mages noirs. En effet, de la magie noire, très noire, et tous leurs sortilèges qui allaient faire voler en éclats les apparences quelconques de cette espèce crocodilienne, étaient suffisants pour me réveiller avec Carrie dans le canal de la Fosse Noire.

En somme et si c'est ça que tu veux, la télékinésie de Carrie démontrait, pour tous ces spécimens étudiés par Sigmund Freud, qu'une simple psychanalyse ne permettait pas de prévenir d'un potentiel suicide... représentant des apparences d’espèce innocente, comme les rudimentaires rats de laboratoire qui, oui ou non, entreront dans le labyrinthe de ton utérus, la fin des romans de Stephen King comme Carrie n'intéressait pas suffisamment les statistiques censés recenser tous les actes morbides des futurs pendus.