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LA ZONE -
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[ Voici une petite liste de choses à faire pour survivre en ces temps de guerre et de confinement extrême. Des astuces pour passer le temps, de la parano, de l'alcool, de la friture mais aussi un petit quizz à réaliser (qu'on aurait d'ailleurs bien aimé faire à la plage en se faisant griller le cul mais bon...). On se contentera de cette bonne vieille météo de merde et de la psychose générale. Un texte pas du tout anxiogène, à lire avec BFM en fond et un café serré. ]
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Mes résultats au test me laisse perplexe. J'ai démarré à fond en quatrième, mais je me suis vite retrouvé en troisième pour finir échoué en première dans un choix par défaut. Chasseur Thompson, donc, mais pour la vénérienne, j'ai la flemme.
C'est malin, maintenant j'aimerais avoir un bilboquet...
Mais vraiment.
Tu viens de niquer mon confinement.
Vas au Diable.
Merci.
Je viens de voir que la blague de "cons finis" a déjà été faite à peu près 11 millions de fois depuis le début de confinement. Je me sens original.
Je m'en suis rendu coupable également. Ces choses-là, mieux vaut s'en débarasser une bonne fois pour toutes. Ça me fait penser qu'il y a peut-être un truc à faire avec Concino Concini.
Je l'ai faite aussi et je passerai le reste de mes jours à le regretter. Heureusement, ça ne devrait pas être trop long.
on est surtout qu'au 7ème jour. Dur.
Dur ? Perso, ce serait magnifique si ça pouvait être comme ça tout le temps. L'agitation économique ramenée à l'essentiel, du temps libéré pour les choses intéressantes, pas de bruit dans la rue, les émissions de gaz à effet de serre qui baissent enfin. Si les gens étaient moins cons, on s'efforcerait d'en faire la normalité. Après, ça aide aussi de ne pas vivre dans dix mètres carrés avec des marmots et une grognasse (ou un grognard, hein).
Grave d'accord avec Dourak. Les gens auraient beaucoup plus envie de faire l'amour, aussi.
Oui parce que là, en ce moment, même se branler m'est pénible...
En général, je commence tranquille, ça se passe bien tout ça et puis des images du service de réanimation de l'hôpital de Mulhouse m'apparaissent et c'est foutu...
Notez bien que des images de Mulhouse seules suffiraient à pourrir mon trip.
Essaye le dry humping, ça aide.
Je me retrouve le cul entre deux chaises, entre une majorité de 1 et de 2. On ne va pas se plaindre d’échapper à la maladie vénérienne, et plutôt savourer de vivre loin de tous et de Mulhouse, avec son chien, dans une baraque branlante et solitaire, à 14,3km du premier trottoir et du premier commerce. Au moins, on chie où on veut, quand on veut, sans dérogation. On mange nos croquettes au soleil, le cul dans l’herbe. On prend son café matinal sur la plus haute marche du fenil, pour profiter de la vue sur le cimetière du village, et sur le clocher de l’église qui sonne au loin. Les vaches du pré voisin meuglent. Une bétaillère passe en brinquebalant. Des brebis évadées errent sur le chemin, faut que j’appelle le Guillaume pour qu’il vienne les récupérer, mais le téléphone ne capte pas ici ; ça attendra ce soir que j’aille au village jeter mes poubelles, elles ne vont pas s’évaporer. Le truc qui m’ennuie, quand même, c’est que la batterie de mon tracteur est hs, et à cause de ce satané virus c’est pas demain la veille que je vais en trouver une neuve. C’est foutu pour girobroyer les pâtures avant les prochaines pluies. J’aurai peut être le temps pour une petite partie de bilboquet, du coup.
Putain mais t'aurais surtout dû écrire un texte mec
C'est vrai, t'as l'air plutôt inspiré en terme de commentaires.