Résumé : En ce 8 mars, journée internationale de la femme, hommage au dépecage, récrimination inhabituelle contre la métrique française et viol de la règle des e muets ou caducs. Surabondance de rimes féminines dans les quatrains, évacuées en sac-poubelle dès les tercets.
[ En ce 8 mars, journée internationale de la femme, hommage au dépecage, récrimination inhabituelle contre la métrique française et viol de la règle des e muets ou caducs. Surabondance de rimes féminines dans les quatrains, évacuées en sac-poubelle dès les tercets. ]
nonobstant le 09/03/2019 à 15:23:32
Le caduc est au na-baron ce que le coca light est à la fritte mac cain, c'est à dire moins que leurs reflets dans un miroir, aussi, ce sonnet narrant une relation tarifée - à priori une fellation, ou peut-être juste un testiculolingus - et publié pour la journée du droit des femmes, questionne à l'évidence comme on répondrait à une mort subite, ou comme le disait bien plus brièvement untel : quitte à avaler du cul, autant chier entre ses propres dents.
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Le caduc est au na-baron ce que le coca light est à la fritte mac cain, c'est à dire moins que leurs reflets dans un miroir, aussi, ce sonnet narrant une relation tarifée - à priori une fellation, ou peut-être juste un testiculolingus - et publié pour la journée du droit des femmes, questionne à l'évidence comme on répondrait à une mort subite, ou comme le disait bien plus brièvement untel : quitte à avaler du cul, autant chier entre ses propres dents.
il faut sucer et avaler les e ?
Surtout pas, le narrateur de ce sonnet est un connard qui n'a rien compris, surtout pour le dernier tercet.