Et pour tenir la distance, ce clair de lune, aussi taoïste que médiéval, dès qu'il touchait le sol, enchaînait, entre les pages d'une bible pour églises fantastiques, des fins de siècle somptueuses... leur territoire délimité par la nuit.
Pour achever le niveau Z, toujours au sous-sol, je rêvais d'illuminer ces percées informatiques sublimées de génération en génération qu'il étendait en secouant sa crinière incendiaire.
Pour anticiper la mort des combattants, il y avait aussi, sur les épaules des femmes fumantes comme des gouttes d'eau, larmoyantes comme des veillées noires, un revers corrigeant les secousses d'une caméra d'amateurs.
Les pauvres baraques explosaient sous le choc, anticipant d'autres échecs, d'anciennes détresses sans un seul battement de cœur.
Nous étions deux pendus pantelants dans un univers sale qui cherchait toujours de nouvelles connaissances ; dans un lieu désert, notre sincérité, trop prompte pour être froide, réfléchissant les romanesques cathédrales voûtées, laiteuses et sanguines.
Par solidarité on voyait nos brelans d'as trouver leurs failles secouées par les cimes stimulantes ; leurs failles mnémotechniques qui ne pouvaient échapper aux changements de trajectoire des chevaliers mérovingiens.
Pour échouer au fond de la voie lactée, en prenant les mots de passe sur place, je tâtonnais dans le noir ; je conviais le feu à tout reprendre pour entrer dans les grandes familles des fictions bâclées sur le papier.
Je m'en allais chercher la bonne humeur des geôliers qui aimaient se focaliser sur les pratiques obscurantistes des cours d'assises !
Pour aller d'un point A à un point Z, dans le sanctuaire où l'on s'était réuni pour prier, nos pensées répétitives commençaient à affoler la panse des consommateurs et, par leur incontrôlable utopie à réaliser, elles avançaient l'heure du sommeil par une étroite ouverture vandalisée !
L'intervention du rêve infaillible, sans obstacle, avec, dans le voisinage, des animaux nocturnes pour venir à bout d'une communauté Alien.
Pour désamorcer cette situation, il y avait dans ce monde onirique, parmi les slogans scandés par les manifestants dans la rue, une femme agenouillée : une énième tentative perdue mais une situation stratégique pour le mystère de la vie ! Les protestations de la rue disposaient en cellule souche leurs créations folkloriques !
Enfin, pour connaître l'intrigue de cette histoire malgré la chute du plâtre de notre plafond et un marasme qu'on ne pouvait mettre à bout sans pacifier la zone, le rituel était parfaitement organisé autour des frères Karamazov mais avec tant de déchirement de tambour qu'on finissait par s'évanouir dans le black-out d'une soupe noire à la Gainsbourg !
LA ZONE -
Afin de parvenir au point de non-perception et pour meubler le vide immense, se dessinait dans les flammes d'un feu une sensation de brûlure acide et creuse mais comique. En se compromettant jusqu'à très tard avec un clair de lune taoïste, des clowns épicuriens, comme des divinités, propres comme des sous neufs mais sans un brin de jugeote, embrasaient ce clair de lune taoïste.
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et je n'arrive plus à poster de vignette en plus. C'est mauvais signe. Tout part à vau l'eau.
Ce n'était pas un texte de Saint-Con ? On ne saura peut-être jamais.
Kékivapaavèklévignèt?
finalement la vignette est revenue toute seule. Probablement une sale histoire de cache
j'ai pensé plus à un prélude de saint con car il est fait allusion au feu et à la zone mais aucun con n'est brûlé