Et pourtant je me suis senti tomber, au propre comme au figuré, ça fais plusieurs années que je me sent tomber avec plus où moins de panache, la chute ça peut être important mais là, l’atterrissage à fais un grand boum.
Je savais que je ne devais pas aller dormir en haut de ce garage avec mes 3 grammes d’alcool dans le sang et tout le crack que je m'étais enfilé dans les poumons, je savais déjà inconsciemment comment ça allait se finir. Acte manqué, prémonition, rêve éveillé ? On appelle ça comme on veux mais il n'y a pas de hasard, le jour de mon anniversaire en plus, bon on se calme je ne crois toujours pas en dieu malgré tout.
Toujours est t'il que pour une fois je voulais me réfugier dans mon coin loin des gens de mon espèce et que j'ai donc pris de la hauteur. Ensuite la gravité à frappé,
je me suis senti loupé l'échelle, le premier barreaux 4 mètres au dessus de la dalle en béton, j'ai senti le flottement de la chute et j'ai eu le temps de me dire que j'allais me coller la pire boite de ma vie, j'ai juste eu le réflexe de me repousser contre le mur pour éviter la tronçonneuse posé au pied de celui ci et je suis retombé droit sur mes deux pieds d'ivrogne, de tout mon poids mort, raide comme la bite d'un évêque devant youporn, comme une grosse merde d'alcoolo. J'ai senti l'impact de mes deux talons pieds nus contre le béton bizarrement chaud remonté le long de ma colonne vertébrale et me secouer jusqu'au sourcil, mon cocci entrer en contact avec le sol et mon poignet se fouler en m'affalant par terre, après je sais plus trop, ça flotte un moment, ma tête. Je sais que je me suis gravement blessé mais pour l'instant je suis brûlant, mon corps ne ressent pas encore la douleur, l'adrénaline, l'alcool et les prods me font faire un truc que peut de gens auraient crus possible : Je me remet debout, j’envoie chier le voisin venu voir ce que c'est que ce bordel, et je remonte l'échelle pour finir ma 8,6 et me coller un pipeau, parce que j'en ai plus rien à foutre depuis longtemps et que ce qui est fais est fais. Du moins j'essaye, parce que je commence à dégueuler partout, un autre voisin inquiet grimpe me voir dans ma grotte, et appelle les pompiers tout en ayant le réflexe de ne pas me manipuler en me laissant en pls.
Bref, il a fallut l'intervention du Grimp, 5 voitures de pompiers, une dose de morphine de mongole pour me sortir de mon souk, plus la visite des gendarmes du bled auprès desquels je ne suis bien sûr pas inconnu au bataillon, ils veulent me passer au test salivaire les enculés ! Comme si on avait que ça à foutre ! « La vie est une question de priorité » comme dis mon père, chacun les siennes, moi j'avoue que je me la collerais bien encore un peu parce que je vois un peu arriver la suite.
On me fout dans une coque rigide avec une minerve, hôpital, urgence, attente, irm scanner, tout le bordel, et puis les prods qui retombent, la douleur qui se diffuse de plus en plus, la morphine qui forcément ne fais rien parce que la coke interagie avec...
A partir de ce moment, et avant d'ailleurs, depuis l'impact déjà mais surtout depuis bien avant... Je m'en branle, de tout, mais alors je m'en branle que c’en est faramineux, je sais que j'ai faillis me tuer, je sais que mes deux talons sont fracturé, mes deux calcanéums ont morflé, et ma vertèbre l1 est cassée/tassée, fracture par éclatement heureusement sans déplacement ni lésion dût à la compression suite au choc.
Ce genre d'accident tu le vis comme un deuil en fait, donc je le nie de toutes mes forces, j'ai juste les boules quand une élève infirmière de 20 balais me torche le cul et je passe 3 jours à m'arracher la geule avec le fond de mes poches et les doublures de mon jeans qui étaient là en prévision de la prochaine GAV.
Puis pénurie, sevrage, honte du regard que porte l'équipe soignante sur ce toxico amorphe dont on ne sait pas quoi foutre dans ce service.
Au bout d'une semaine on m'a transférer en ssr à Varennes (pas la prison hein... ) J'ai atterris au milieux des têtes blanches et mon cerveaux a reconnecté et à atterris lui aussi, je constate enfin que je vais avoir tout le temps de me retourner sur mes conneries et leurs conséquences et j'en chiale pendant 3 jours.
Ça fais 34 ans que je construis pour tout fracasser lorsqu'il est temps de poser la dernière pierre, que je réalise des trucs de fou sans les finaliser pour le plaisir de les voir s’écrouler, je vend du rêve au gens et à moi même en plus de leur dealer la mort. J'ai fais du fric frac partout en France, tout le monde te dira que je suis un mythomane manipulateur heureusement assez peu narcissique, et que l'alcool arrive fort bien à amplifier mes affabulations et va jusqu'à provoquer ma propre adhésion à mes psychoses. En gros je suis un cas type de bon gros boarderlineu de compèt. Je manipule tout le monde, moi même compris, c'est pratique avec les structures soignante que je bordélise, je mène les médecins par le bout du nez et je me fais prescrire à peut près tout et nawak selon mon bon vouloir.
Bordel croyiez moi je me réveille au bord du gouffre là... La tête dans le vide avec juste un orteil qui me maintient a la falaise.
Du gâchis, de la merde que j'ai fais, et puis non, il faut que j'arrête de me dénigrer mais merde, dernier exemple en date : je m'extrais d'urgence en Picardie loin du fric frac et des bad people, je me dégotte une place de manager nourri logé comme un pape, et puis quoi ? Pourquoi j'ai laissé mes vieux démons me rattraper, pourquoi j'ai rebus, pourquoi j'ai encore fais de la merde alors que je pouvais enfin me poser ? This is the dark side of the force mais merde.
J'ai déjà eu cette discussion avec moi même, me dire que j'en ai marre de mon merdier, que j'allais me ranger etc etc. Pour en être toujours à ce point, le plus bas que je puisse trouver. Pourquoi je me refuse le bonheur bordel de merde ?
J'espère juste que je me suis bien pris le mur pour de bon ce coup ci, et le pire c'est que je suis encore capable d'en douter dans mon fauteuil roulant, parce que c'est pas la première fois que je me fracasse par terre, au propre comme comme au figuré, et je constate que c'est toujours un peu plus dure de se relever.
J'ai encore envie de me défoncer la gueule, il va falloir que j'apprenne à vivre avec sans laisser ça me détruire.
Moi moi moi j'aime la vie quand je ne la détruit pas, j’aime les jolies filles, j'aime les gens qui ont de la frappe, qui ont des désirs, de la niaque pour autres choses que se défoncer.
Depuis mon retour dans mon bled j'étais en voie de clochardisation, plus de logement, je faisais la manche à pour m'acheter mes cannettes en attendant de remonter un plan fric frac... Je ne veux plus trainer avec des no_life sur les bancs publiques où me cogner des voyages fric frac juste pour m’anesthésier avec le bénéf. Je veux vivre et j'espère que cette boite est salvatrice, que c'est le déclic bordel.
Mais j'ai peur, mes vieux démons ne sont jamais loin, même loin de tout j'ai encore le deepweb sous la main alors ce sera quoi quand je vais remarcher ?
Et puis il y à la pression que tout le monde me fout inconsciemment, tout le monde se dis : ça y est maintenant qu'il a failli se tuer il va enfin se réveiller ce connard.
Oui, peut être, et j'y crois, c'est tout le mal que je me souhaite.
Mais je suis bien placé pour savoir qu'il ne suffit pas de se prendre un mur sur la gueule pour se réveiller frais comme un gardon et repartir droit debout. Alors après le deuil de ma chute faut que j'assume le deuil de ma vie dépravé, que le bouffeur de fric et de coke se transforme en jolie papillon lol !!!
LA ZONE -
Résumé : Sylvain Tesson est « stégophile » depuis son adolescence — il a lui-même conçu ce néologisme synonyme du plus courant « toiturophile » pour nommer l'activité consistant à monter sur les toits, dans son cas essentiellement ceux des cathédrales. Surnommé « le prince des chats » au sein d'un cercle d'acrobates, il passait des nuits entières sur des clochers et des flèches : à Notre-Dame de Paris, au Mont-Saint-Michel, à la basilique Sainte-Clotilde à Paris, et sur d'autres monuments (principalement des églises) à Orléans, Argentan, Reims, Amiens ou encore Anvers. Le 20 août 2014, il chute de près de 10 mètres en escaladant la façade d'une maison à Chamonix, alors qu'il séjournait chez son ami Jean-Christophe Rufin avec qui il pratique l'alpinisme. Victime d'un sévère traumatisme crânien et de multiples fractures, il est hospitalisé à Annecy et placé en coma artificiel. Réveillé huit jours plus tard, il est transféré à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière pour rééducation. Trois mois après cet accident voilà comment il décrit cette épreuve : « Ces trois mois de repos, de sobriété, de silence, d’examen de moi-même ont été bénéfiques. Ma vie était un carnaval endiablé et légèrement suicidaire, il était bon de ralentir un peu les chaudières intérieures, de descendre du train. Je conserve une paralysie de la face qui me donne un air de lieutenant prussien de 1870. J’ai aussi perdu l’ouïe à l’oreille droite mais, étant partisan du silence, que René Char appelait « l’étui de la vérité », je ne m’en plains pas. Notre société est devenue hystérique et bruyante »
= chemin =
= résumé =
[ Sylvain Tesson est « stégophile » depuis son adolescence — il a lui-même conçu ce néologisme synonyme du plus courant « toiturophile » pour nommer l'activité consistant à monter sur les toits, dans son cas essentiellement ceux des cathédrales. Surnommé « le prince des chats » au sein d'un cercle d'acrobates, il passait des nuits entières sur des clochers et des flèches : à Notre-Dame de Paris, au Mont-Saint-Michel, à la basilique Sainte-Clotilde à Paris, et sur d'autres monuments (principalement des églises) à Orléans, Argentan, Reims, Amiens ou encore Anvers. Le 20 août 2014, il chute de près de 10 mètres en escaladant la façade d'une maison à Chamonix, alors qu'il séjournait chez son ami Jean-Christophe Rufin avec qui il pratique l'alpinisme. Victime d'un sévère traumatisme crânien et de multiples fractures, il est hospitalisé à Annecy et placé en coma artificiel. Réveillé huit jours plus tard, il est transféré à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière pour rééducation. Trois mois après cet accident voilà comment il décrit cette épreuve : « Ces trois mois de repos, de sobriété, de silence, d’examen de moi-même ont été bénéfiques. Ma vie était un carnaval endiablé et légèrement suicidaire, il était bon de ralentir un peu les chaudières intérieures, de descendre du train. Je conserve une paralysie de la face qui me donne un air de lieutenant prussien de 1870. J’ai aussi perdu l’ouïe à l’oreille droite mais, étant partisan du silence, que René Char appelait « l’étui de la vérité », je ne m’en plains pas. Notre société est devenue hystérique et bruyante » ]
= biblio =
14/08/2021
14/08/2021
13/07/2021
05/01/2018
acte 1 si t'en reveus y'en rena
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= commentaires =
On sent bien l’atterrissage dans le style
C'est du langage parlé plein de fautes d'accord, ça termine sur un lol comme pour se payer notre fiole, mais ça raconte une tranche de vie sans artifices et avec des accents de vérité. Pas d'affichage d'égo boursouflé ou d'étalage d'opinions foireuses sur l'avenir de la civilisation, pas de mauvaises rimes. De l'humain, pas spécialement original mais vrai. Et la description de l'accident, assez jouissive à sa façon. J'achète. Pas trop cher, mais j'achète.
Même la présentation a quelque chose à vous apprendre. Que veut le peuple ? Ah oui, des cavaliers mongols, merde...
J'oubliais la formule de bienvenue sur la Zone : tu suces, t'avales, quelle est ta bière préférée ?
l'auteur me rappelle El Def alias le Duc
Non, ici, il y a plein de fautes d'accord, au point que ça a l'air fait exprès, mais le Duc se vautrait syntaxiquement et rythmiquement dès qu'il essayait de construire une phrase, ça n'a rien à voir. Et il n'aurait jamais employé le mot faramineux. Et ce texte est pour moi un vrai texte, il raconte une tranche de vie merdique avec sa part de vérité humaine, dans un style parlé mais vif et naturel. Que ce soit autobiographique ou pas, d'ailleurs.
Je propose qu'on fasse du texte de présentation un article à part entière. Je le trouve génial.
Le reste, en revanche, relève d'une magnifique supercherie. Si le style reste relativement basique mais efficace, on a effectivement l'impression que les fautes on été ajoutées, que certaines virgules ont été volontairement omises. Forcément, ça me sort un peu de l'histoire. Il y a du rythme, pourtant, et deux trois trucs marrants à se passer sous la langue pour bien sentir le goût.
Ce lol final, pourtant, m'indispose.
Je vais reprendre du citrate de bétaïne, tiens.
le texte de présentation est un extrait de la fiche wikipedia de Sylvain Tesson.
Putain.
J'ai honte.
(mais c'est quand même trop bien comme texte de présentation)
Les fautes ne sont pas volontaires, mais j'assume, même si, putain, ça me fait honte (un petit peu). Le texte de présentation me renvoi vite jouer aux playmobiles, il est magnifique.
sinon on attend avec impatience l'acte 2
On n'est pas ici pour avoir honte, tas d'enculés.
Arrête, je vais rougir.
(attends je vais me mettre au diapason)
(se racle la gorge)
ARRETE ENCULE JE VAIS ROUGIR !!!
ET SI J'AI ENVIE D'AVOIR HONTE BORDEL DE BORDEL EN COLLIER DE COUILLES !!!
(je suis un peu rouillé mais ça va revenir)
Comme disait l'autre l'important c'est pas la chute c l'atterrissage. Mais c pas vrai c'est la manière dont tu te relève et l'entourage qui croit en toi. La chute a été longue pour moi 20ans l'atterrissage au 115 mais je me relève difficilement mais avec les bon gens et toutes les motivations possible on y arrive. Mais la société ne nous aides pas
HAHA, elle à bon dos la société, un bon dos et une sale gueule
.
l'acte 2 je suis dessus, je rajoute juste deux trois fautes d'orthographes histoire de garder la ligne éditoriale intact.
What a fuck !!!
Bordel, si tout le monde se met à se tirer sur la tige devant des extraits de page wikipedia on n'a pas fini d'en chier en 2018.
Voilà.
Bordel.
Ton "tout le monde" se réfère à un singleton vergogneux, là, t'en es conscient ?
"Bordel, si tout le monde se met à se tirer sur la tige devant des extraits de page wikipedia on n'a pas fini d'en chier en 2018.
"
Certes, mais à l'origine de ce texte on devine un acte créatif.
ET NON JE NE SUIS PAS DE MAUVAISE FOI !
personne par contre n'est contrarié par Sylvain Tesson qui fait des dédicaces en gribouillant des bites.
J'ai compté trois personnes (moi compris) dans mon "tout le monde".
Et puis Sylvain Tesson il est handicapé, alors il a le droit de dessiner des bites.
Moi aussi je suis handicapé alors j'ai le droit d'être de mauvaise humeur.
Sacré lascar ! bordel fait chier !!! si j'ai bien compris il s'est encore maché ! ce texte me touche bcp.. On se fou de savoir quelle vertèbre ou plaies du scalp, mais il dérive dans des émotions très familières. comme disait Vialatte "la confiture n'est bonne, que s'il faut monter une chaise pour attraper le pot dans le placard"
Tesson ! est un excellent pote de mélancolie, qui me trouves les mots que je n'arrives tjrs pas à formuler, c'est un peu le Jeff Panacloque de mon âme, lui donnant l'éloquence, avec une certaine noblesse dans son "continuez sans moi !"
Je l'ai fait suivre "sur mes chemins noirs". J'ai découvert "les forets de Sibérie" quand j'étais perdu dans ma glacière au milieu des bois noirs... donc j'l'aime bien, quand je le lis je me sens moins seul. Pour l’anecdote, le hasard à aussi fait qu'on avait la même casquette. Ce n'est pas le hasard, c'est les balafres, ça protège ! préviens des p'tits chocs, du soleil qui brille plus pareil pour toi, aussi par pudeur, après ça devient une habitudes, une part de toi, tu bâches ! comme une prothèse pour les fêlés du bocal. En tout cas je l'ai souvent vu avec sur des photos et vidéos, ça me faisait sourire la sienne était moins patinée... je l'avais depuis 2012 et j'en prenais soin ; peut être en rêvant de le croiser et lui faire un clin d’œil en la relevant avec le doigt, comme il faisait quand il rééduquait sa tronche fuyante.. baste on n'est pas dans la cour de récrée à savoir qui l'a eu avant. en tout cas le jour ou je l'ai perdu j'ai perdu du rêve.
...C'était en août dernier, durant mon road trip, le festival "les ondes s'en mêlent" du coté de Saintes, Le problème c'est que ma dyslexique a subliminalement lue "les ondes s’emmêlent " et ce fut le cas.
Deux jours de festochs, camping, camtards, pinard.. j'ai vite compris que j'étais au pays du pinot en rencontrant des locaux, sans oublier les prods, tjrs aussi fabuleux en live... Au final j'étais fait comme un rat ! au pied d'un arbre, proche de la buvette, parti pour germer ma nuit, cultivant les litres de houblon que je venais de m'enfiler avec des figurants de beuveries. Je me souviens vaguement quand subitement les mecs de la "" sécurité ont essayé de me déraciné, m'expliquant en vain qu'il fallait sortir, pouvais pas ! alors je me suis laissé reconduire à la sortie par deux loustics qui m'ont porté tel le Bacchus d'or, pour me laisser trôner devant la sortie. J'ai soudainement dégermé ! quand j'ai ressenti un courant d'air froid sur le crane ! je mets ma main sur la tête, cherche sur moi, rien, elle est restée par terre ! et je ne peux plus rentrer, j'ai la haine, je m'en veux d'être dans cet état car même si les deux molosses, à qui j'ai hurlé mon désespoir pour essayer de la récupérer, me quittaient des yeux, en trouvant une faille pour regagner l'enceinte du festival, mon corps était incapable d'aligner deux pas, alors j'ai cuvé dans un coin, j'y suis retourné des le matin j'ai cherché, demandé, en plein été j'étais aussi triste que l'hiver de réaliser que c'était perdu, alors je me suis barré avec une tête de basset artésien... avec le recul ce n'est qu'une bâche, j'ai surtout une bonne étoile... quoique la fois d'avant je m'étais arraché la tronche on voulant cueillir une fleur en papier crépon, rond comme une queue de pelle j'ai dévalé la pente tête première là main en l'air pour ne pas abîmer la fleur...
Pourtant je ne suis pas un poch' ! Pas facile de s'ancrer ou de trouver un port quand on est à la dérive.
Le commentaire de Tan Tan pourrait faire un excellent texte.
Disons qu'il y a une base solide.
Un texte, peut-être ; excellent, faut pas déconner.
"Jeff Panencloque", je craque : autoventiloquie de foetus mort
Ah si si, il faut.