À la frontière, reconduites,
Nos complaintes classées sans suite,
Et nos résolutions gratuites,
Voyons ce qu'on en fait ensuite.
Pas question de faire les trois-huit,
De se convertir en jésuite,
Toutes nos tracasseries fortuites,
Voyons ce qu'on en fait ensuite.
Et nos erreurs souvent induites,
Même si elles en sont réduites,
À sucer des pines d'inuits
Voyons ce qu'on en fait ensuite.
Pour cette poésie pourrite,
Ces affaires bien peu instruites,
Lâchez vos coms, vos mots, vos tweets,
Voyons ce qu'on en fait ensuite.
LA ZONE -
Nous voici en deux-mille dix-huit,
Après s'être pris une bonne cuite,
Sans se racheter une conduite,
Voyons ce qu'on en fait ensuite.
Après s'être pris une bonne cuite,
Sans se racheter une conduite,
Voyons ce qu'on en fait ensuite.
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= commentaires =
Ouaich, gros, belle maîtrise de l'épistrophe.
Cela dit, il est à peine 22h et Zbooba est déjà cuité. Si ce n'est pas scandaleux. Ça ne tient pas l'alcool les petits zoursons.
Je m'y suis pris un peu tard cette année, alors je posterai mon sonnet de nouvel an demain. Par contre, il devrait y avoir des cavaliers mongols, pour faire plaisir au bon peuple.
et bonne année en sweat
Et il y a un refrain, c'est populaire. Trois accords, une ligne de basse, un beat velu, manque pas grand chose.
putain, c'est ce que disait ma femme, ou ma mère, ch'ai plus.
Le poème est super, vient dans notre zad, zboob !